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(05/03/2010 17:20:39)
Microsoft mise tout sur le cloud, confesse Steve Ballmer
70% des 40 000 collaborateurs de Microsoft(*) qui travaillent sur les logiciels le font d'une façon ou d'une autre pour le cloud, a déclaré à Seattle hier, jeudi 4 mars, le PDG de la société, Steve Ballmer, devant un auditoire d'étudiants en informatique réunis à l'Université de l'Etat du Washington. Selon le patron américain, cette proportion sera passée à 90% dans un an. « Notre inspiration, notre vision... s'appuie sur le cloud. C'est le pari que nous faisons. Pour le cloud, nous sommes tous sur le pont. Littéralement, je vous dirai que nous avons misé notre groupe dessus ». Tous les produits de l'éditeur, incluant Windows, Office, la Xbox, Azure, Bing et Windows Phone, sont conçus avec l'idée d'une connexion au cloud, a-t-il poursuivi. Même si pour certains d'entre eux récemment livrés, comme Windows 7, il y a eu beaucoup de développements qui n'étaient pas liés aux services hébergés, l'inspiration autour du produit a démarré « avec le cloud ». Au-delà du logiciel, Ballmer a évoqué les différentes stratégies de Microsoft pour mettre au point des équipements qui se connectent à des services en ligne. « Le cloud a besoin de terminaux plus intelligents ». Il a reconnu que Microsoft a commis des erreurs dans sa façon d'aborder le marché de la mobilité, laissant aux fabricants trop de latitude sur le choix des formats de terminaux. « Nous n'avons pas suffisamment standardisé », ce qui a généré pour les utilisateurs une trop forte cacophonie autour des formats. Clouds publics/clouds privés Au Mobile World Congress de Barcelone, Microsoft a montré que la nouvelle version de sa plateforme mobile, Windows Phone 7, était plus stricte sur les pré-requis matériels. Malgré cela, a ajouté Steve Ballmer, le système d'exploitation devrait offrir aux fabricants davantage d'options pour innover face à des concurrents tels qu'Apple ou RIM. Avec ces derniers, on ne peut faire que « ce qu'ils ont choisi pour vous », a-t-il asséné. Le PDG précise que sa société recourt à la même stratégie pour sa console de jeu Xbox. Microsoft veut aussi encourager le développement de différents services de cloud computing, à la fois privés et publics. « Comment faire pour que le cloud ne soit pas quelque chose que seules Microsoft et quatre autres sociétés exploitent pour le compte de la planète entière ? Comment vous le rendre ? Vous devez, si vous le voulez, pouvoir exploiter votre propre cloud ». Dans certains cas, Microsoft peut avoir intérêt à aider à mettre en place un environnement hébergé, par exemple dans le cas d'un gouvernement souhaitant conserver ses données à l'intérieur de ses frontières. « Il y a peu de chance que notre société installe bientôt un cloud public en Slovénie, cite en exemple Steve Ballmer. En revanche, Microsoft pourra vendre un ensemble de produits construits autour de ses services de cloud Azure qu'un pays comme la Slovénie pourra acheter et mettre en place lui-même. [[page]] Accélérer l'innovation scientifique Les bénéfices potentiels du cloud computing sont énormes pour les entreprises et les chercheurs, considère le PDG de Microsoft. «Nous devons accélérer la cadence de l'innovation scientifique». En accédant à des services de cloud public, les chercheurs pourront analyser de plus importants volumes de données et accélérer leurs travaux, explique Steve Ballmer. Ce qui permettra, par exemple, de pouvoir avancer sur les questions de changements climatiques. Le cloud « va créer pour vous tous ici des opportunités de recherche et de projets », a-t-il lancé aux étudiants en ajoutant que le modèle hébergé créait aussi de nouvelles possibilités pour les entreprises. Le PDG pense voir apparaître encore de nouveaux modèles économiques suscités par « cette infrastructure logicielle qui n'existait pas jusqu'à présent ». Il cite l'exemple d'une société dont les ressources limiteraient sa capacité de services à une communauté locale. En utilisant une infrastructure en ligne, elle pourra offrir ses produits à une audience plus large, payant les services informatiques au fur et à mesure qu'elle les utilise, sans avoir à investir d'emblée dans un datacenter. Steve Ballmer suggère même que cela pourrait donner des idées aux développeurs en Open Source pour vendre ce qu'ils ont fait. « Avec l'apparition de ces nouvelles infrastructures commerciales, ces inventeurs peuvent maintenant se demander comment ils pourraient monétiser ce qu'ils ont fait », et tirer un revenu des innovations qu'ils ont créées. (...)
(05/03/2010 16:58:00)Plates-formes de téléchargement logiciels : les opérateurs au pied du mur
(Source EuroTMT ) Plus personne n'en doute, vingt ans après la création des premiers réseaux cellulaires, la téléphonie mobile est à un nouveau tournant de son histoire. Jusqu'à présent, l'enjeu des opérateurs mobiles était assez simple : proposer de meilleures offres commerciales que leurs concurrents opérateurs pour capter le plus grand nombre d'abonnés qui souhaitaient, avant tout, pouvoir téléphoner à n'importe quel moment. L'explosion du marché des smartphones, réservés jusqu'à l'arrivée de l'iPhone d'Apple au monde professionnel, bouleverse la donne car il transforme le mobile en terminal internet, la fonction téléphone devenant, presque, accessoire. Pour les opérateurs mobiles, comme pour les FAI dans le haut débit fixe, la concurrence est maintenant multiforme : les autres opérateurs, mais aussi les fabricants de terminaux ou les acteurs de l'internet. Et comme dans le fixe, la création de valeur ne réside plus dans l'abonnement, mais dans la capacité d'offrir les services et contenus recherchés par l'abonné. Un marché défriché par l'iPhone C'est le véritable enjeu de la bataille déclenchée par l'iPhone. Car si de nombreux acteurs peuvent se partager les revenus de ces nouveaux services et contenus, seuls les opérateurs mobiles en supportent les coûts : par les investissements qu'ils sont obligés de réaliser pour permettre aux réseaux de supporter la croissance exponentielle du trafic. Selon la GSM Association, le lobby des opérateurs, les investissements dans le haut débit mobile vont ainsi s'accroître de 15 % en 2010 à 72 milliards de dollars. Mais les revenus des opérateurs mobiles, notamment en Europe, sont en berne, en raison de la baisse des revenus voix, la croissance des revenus « données » ne compensant que très partiellement cette baisse de la voix. [[page]] Même au niveau mondial, la croissance du secteur s'explique uniquement par la croissance du nombre d'abonnés. Selon Ovum, le nombre d'abonnés devrait ainsi augmenter de 42 % d'ici à 2014 pour atteindre alors 6,5 milliards de clients. Dans le même temps, les revenus de la téléphonie mobile ne progresseront que de 19 % à 1040 milliards de dollars. Sur ce montant, la part des revenus « données » devraient représenter un petit tiers : 340,3 milliards. Soit une augmentation de 67 % par rapport à 2009. Mais les revenus tirés des SMS constitueront encore l'essentiel des revenus données (45 %). Pour les opérateurs mobiles, l'enjeu est donc clair. Il leur faut entrer sur le marché des contenus payants, pour diversifier les sources de revenus et profiter de l'explosion du marché des smartphones. Il leur faudra développer des écosystèmes similaires à celui crée par le géant japonais DoCoMo avec son imode. Un modèle déjà adopté au Japon D'ailleurs si pour la plupart des grands opérateurs occidentaux, les revenus donnée ne devraient représenter que 33 % de l'ensemble de leurs revenus à moyen terme, ce n'est pas le cas pour l'opérateur japonais. Selon Informa Telecoms & Media, les revenus de données représenteraient l'essentiel des revenus des opérateurs mobiles en 2014 ! Un modèle à suivre donc et c'est à cette aune qu'il faut juger les annonces faites notamment à Barcelone. Ce fut la grande surprise (et peut-être la seule) du congrès mondial du mobile réuni mi-février à Barcelone : 24 opérateur mobiles se sont alliés avec l'objectif de développer une plateforme ouverte permettant aux créateurs d'applications de pouvoir proposer leur création à quelque 3 milliards d'abonnés, quel que soit (ou presque) leur terminal. [[page]] Seul problème : les 4 plus gros acteurs du marché des smartphones (Nokia, RIM, Apple et Google) ne se sont pas ralliés à cette initiative. Seuls Samsung, LG et Sony Ericsson y participent. La raison est simple. Les quatre principaux acteurs ont déjà développés leur propre « application store » et n'ont aucun intérêt à faciliter la tâche des opérateurs, malgré des résultats très mitigés pour trois d'entre eux, en comparaison du triomphe d'Apple. Si la très grande majorité des applications est gratuite, ce marché pèse déjà plus de 4 milliards de dollars, selon l'institut Gartner, qui l'évalue à plus de 20 milliards en 2013. Un autre cabinet d'études, Juniper Research est encore plus optimiste en l'estimant à 25 milliards de dollars en 2014. Un marché dont les opérateurs sont aujourd'hui exclus. Apple accapare l'essentiel des téléchargements. Un leader encore inaccessible Et aujourd'hui, le modèle mis en place par la société de Steve Jobs semble inattaquable, d'autant que le succès de quelques applications payantes fait rêver les développeurs propulsés dans le grand bain en cas de succès. L'alliance des opérateurs peut-elle changer la donne ? Elle répond en tout cas à une critique des développeurs qui refusaient de multiplier le développement de leurs applications pour l'adapter aux très nombreux systèmes d'exploitation mobile, compte tenu des coûts générés, alors que ce sont souvent des petites start-up peu financées. Reste à savoir comment réagira l'abonné. Pour le moment, Apple a gagné la première manche avec son système propriétaire. Surtout, l'abonné semble aujourd'hui faire plus confiance à Apple qu'à son opérateur pour obtenir les contenus qu'ils recherchent. Avec leur grille tarifaire illisible et leur formule d'abonnement « tout compris », qui ne couvre en fait qu'une partie de la consommation réelle des abonnés (d'où l'explosion des factures), les opérateurs vont d'abord devoir réaliser de gros efforts de transparence pour renouer des liens de confiance avec leurs abonnés. Sous peine sinon de ne rester que de simples réseaux de transport. (...)
(05/03/2010 16:22:57)Les entreprises de Rhône-Alpes s'unissent autour du logiciel libre
Ploss Rhône-Alpes vient de naître officiellement. Cette association, initiée sur Lyon fin 2009, réunit les entrepreneurs du logiciel libre et a pour objectif de promouvoir un écosystème régional. « Malgré une grande activité en la matière, aucune communauté d'entreprises spécialisées FLOSS (acronyme de Free/Libre and Open Source Software) n'avait été formée en Rhône Alpes. Des organisations adressent des problématiques spécifiques et importantes (ClusterEdit/ENE), d'autres s'adressent aux personnes, mais il existait un manque flagrant de structure dédiée regroupant associations et entreprises FLOSS » peut-on lire sur le site du Ploss-RA. C'est pourquoi Ploss Rhône-Alpes s'est formé, avec pour ambition de devenir l'interlocuteur identifié sur les sujets FLOSS. Ploss Rhône-Alpes entretiendra d'étroites relations avec les acteurs régionaux tel que l'ALDIL, Open-ADIRA, Colibre, et également avec les associations de défense des intérêts du logiciel libre des autres régions de France, comme Libertis, CapLibre, Alliance Libre, PLOSS Ile de France, ProLibre... (...)
(05/03/2010 15:32:13)En 2010, un mobile sur trois sera équipé d'un écran tactile selon Gartner
Les ventes mondiales de téléphones mobiles dotés d'un écran tactile devrait atteindre les 362,7 millions d'unités, soit environ un mobile vendu sur trois, selon une prévision du cabinet Gartner publiée jeudi. Un chiffre qui serait en progression de 96,8% par rapport à 2009, année au cours de laquelle il s'est vendu 184,3 millions de combinés tactiles. "Les écrans tactiles ne sont plus réservés aux appareils haut de gamme et sont désormais intégrés sur plusieurs téléphones de milieu de gamme" a expliqué Roberta Cozza, analyste chez Gartner, en soulignant au passage le rôle de l'iPhone dans la démocratisation de cette technologie. (...)
(05/03/2010 15:23:04)Déjà 10 milliards de tweets
Les 10 milliards de messages publiés sur Twitter viennent une fois de plus confirmer la croissance spectaculaire de ce site créé en 2006. Le premier milliard de tweets avait en effet été franchi il y a à peine un an. La barre des 20 milliards devraient être atteinte d'ici 200 jours, selon le compteur GigaTweet. Selon Twitter, le nombre de tweets publiés par jour est passé de 5.000 en 2007, à 50 millions en 2010. Par rapport à l'année dernière, ce chiffre a connu une progression de 1.400%. Sur Twitter, les utilisateurs ont la possibilité de partager avec leur réseau des informations par le biais de courts messages appelés "tweets", et dont la longueur maximale ne dépasse pas les 140 caractères. Le principal atout de ce service gratuit créé en 2006 aux Etats-Unis est son interface de programmation ouverte et simple d'utilisation. Barack Obama a utilisé Twitter pour remercier ses électeurs suite à sa victoire à l'élection présidentielle américaine le 5 novembre 2008. Le site sert également d'outil de communication pour les opposants au régime en Iran depuis les dernières élections en juin 2009. Parmi les 10 milliards de tweets publiés, l'un des plus célèbres demeure le message envoyé depuis l'espace par l'astronaute Timothy Creamer. Afin d'inaugurer le premier service de connexion à Internet à bord de la station ISS, ce dernier avait publié sur son compte Twitter le message suivant : "Hello Twitterverse! We r now LIVE tweeting from the International Space Station -- the 1st live tweet from Space! :) More soon, send your ?s". Twitter revendiquait en 2009 seulement 50 millions d'utilisateurs à travers le monde. En novembre dernier, une version française du site est apparue. Toutefois, selon une récente étude publiée par Sysomos, société de conseil spécialisée dans les réseaux sociaux, moins de 1% des utilisateurs de Twitter sont français. La France se classerait à la 13ème place, juste derrière les Philippines, et loin derrière les Etats-Unis. (...)
(05/03/2010 15:14:04)Cyberconflit et sécurité du cloud au menu de la conférence RSA
Durant une table ronde d'experts, un directeur de la formation technique de la NSA (National Security Agency) a indiqué qu'il n'avait pas confiance dans les services cloud. Parlant en son nom et non au titre de l'agence, Brian Snow explique que « l'infrastructure cloud délivre des services auxquels les clients accèdent de manière sécurisée, mais la nature des échanges engendre des doutes sur d'éventuelles attaques via d'autres utilisateurs dans le cloud ». Dans une présentation, Art Coviello, président de RSA, la division de sécurité d'EMC, estime que les clients ont besoin de savoir que le cloud est sûr. Le responsable pense que son adoption est inéluctable au regard des bénéfices financiers importants attendus, mais pas sans un niveau de sécurité élevé. « Le gros problème est la confiance », résume-t-il, en soulignant, comme exemple, la réponse apportée conjointement par Intel, VMware et EMC pour mesurer les niveaux de sécurité des prestataires d'offres cloud. Une plateforme pour lancer des botnets En parallèle, le sommet de l'alliance sur la sécurité du cloud (CSA), qui s'est tenu, au sein de la conférence RSA, a annoncé la réalisation d'un rapport sur les questions de sécurité et notamment de la documentation sur les risques d'utiliser les infrastructures cloud comme plateforme pour lancer des botnets. Le même consortium, regroupant utilisateurs et fournisseurs, a pointé les différentes failles des services proposés, ainsi certaines API ne sont pas assez sécurisées et laisse la porte ouverte à une attaque via le cloud. La solution pour éviter cela, est l'implémentation combinée d'une authentification forte, d'un contrôle de l'accès et de transmissions cryptées. [[page]] L'autre temps fort de cette conférence a été l'intervention de la Secrétaire d'Etat américaine à la sécurité intérieure en tant que recruteur, car le gouvernement ne peut pas gérer seul les différentes menaces. Elle a donc confirmé la recherche de spécialistes de la cybersécurité y compris issus d'entreprises privées. Janet Napolitano a aussi lancé l'idée d'un concours sur la création d'un programme national de sensibilisation à la cybersécurité auprès du grand public, en leur montrant comment les gens peuvent contribuer à l'amélioration de la sécurité. Ce programme devrait être diffusé via les réseaux sociaux pour renforcer son efficacité. Le gouvernement américain ne peut pas s'occuper tout seul de la sécurité, car la majorité des infrastructures réseaux sont des propriétés privées. Elle a donc exhorté les différents acteurs « à redoubler d'efforts pour augmenter la sécurité, la fiabilité et la qualité de leurs produits qui entrent dans cet écosystème virtuel ». Janet Napolitano a également appelé à une automatisation des règles de sécurité et indiqué que le gouvernement travaille sur système de prévention d'intrusion (IPS) pour protéger les réseaux des agences fédérales. Une évolution de la plateforme de détection d'intrusion, Einstein 2 vers Einstein 3 est en cours. Cet outil a déjà été déployé au sein de 9 agences fédérales, mais aussi sur les réseaux des opérateurs AT&T, Qwest et Sprint. Verizon devrait prochainement rejoindre la liste. Einstein 3 aura pour mission de détecter automatiquement les activités malveillantes et de désactiver les tentatives d'intrusions. (...)
(05/03/2010 12:10:01)Ventes de PC en 2010 : Gartner prévoit une remontée de 20% en volume
Au mois de décembre dernier, le cabinet Gartner prévoyait 13,3% de croissance pour le marché mondial des PC en 2010 en volume, et 1,9% de croissance en valeur. Ce début mars, il reprend sa prévision et annonce 19,7% de croissance en volume (avec 366,1 millions d'unités vendues) et surtout 12,2% de croissance en valeur. Ce dernier chiffre redonnera du baume au coeur aux constructeurs laminés par la guerre des prix et le raz de marée des netbooks, qui dopent les ventes en unités, mais réduisent les chiffre d'affaires et les marges. L'industrie du PC est tirée par les livraisons de PC mobiles. Elles représentaient 55% des ventes (en volume) en 2009 et passeront à 70% d'ici 2012, annonce le Gartner. Les netbooks contribueront fortement à cette croissance globale des terminaux mobiles en 2010, mais cette croissance, ensuite, sera moins forte. Le cabinet d'études annonce la percée des ultraportables ULV (ultra-low-voltage) et celle d'une nouvelle génération de PC tablettes. Pour 2009, le Gartner avait conclu sur 5,2% de hausse avec 305,9 millions de PC vendus dans le monde. (...)
(05/03/2010 11:51:40)Le marché de l'impression a reculé de 17,8% en zone EMEA l'an dernier
Le marché de l'impression est mal en point. D'après Gartner, les ventes cumulées d'imprimantes, de copieurs et de multifonctions (MFP) se sont élevées à 39,6 millions d'unité l'an dernier en zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), soit une baisse de 17,8% comparé à 2008. Les ventes en valeur ne sont pas non plus de nature à remonter le moral des industriels puisqu'elles ont subi une décroissance de 21% à 11,3 Md$. Selon le cabinet d'études, ces chiffres sont la conséquence directe du resserrement des conditions de crédit associé aux coupes des budgets IT des entreprises comme des particuliers. En dépit des difficultés globales du marché de l'impression en EMEA, certains segments ont tout de même tiré leur épingle du jeu en 2009. Les ventes des systèmes d'impression couleur ont augmenté de 5%, notamment grâce aux bonnes performances des modèles multifonctions A4 couleur. Pour Gartner, les MFP A4 devraient continuer à être préférées par les entreprises pour répondre à leur besoin d'impression partagée, au détriment des modèles A3. HP n°1 du marché et... du recul de ventes Pris un par un, l'évolution des résultats des fabricants montrent que les cinq principaux constructeurs de systèmes d'impression en EMEA ont tous vu leur ventes décliner en 2009. En revanche, tous n'ont pas souffert dans les mêmes proportions. HP a ainsi enregistré le plus gros déclin avec des livraisons en baisse de 21%. Le fabricant conserve néanmoins, et de loin, la première place du classement des constructeurs avec 41,3% de parts de marché en EMEA. La moins mauvaise contre-performance est à attribuer à Samsung dont les ventes n'ont reculé que de 2%. Une bonne affaire pour le fabricant coréen qui prend ainsi à Brother, d'une très courte tête, la quatrième position du classement des fabricants en EMEA avec 7% de parts de marché. Canon reste quant à lui en deuxième position avec une part de marché stable de 17% tandis que celle d'Epson progresse d'un point à 14,5%. A priori, les difficultés qu'ont connues ces constructeurs en 2009 ne devraient pas cesser puisque Gartner n'anticipe pas de retour de la croissance sur le marché de l'impression en EMEA cette année. Ses prévisions sont d'ailleurs corroborées par les premiers chiffres livrés par Context sur le marché de l'impression en Europe où les ventes des grossistes ont baissé de 6% en volume et de 8% en valeur au mois de janvier dernier. (...)
(05/03/2010 11:50:47)Facebook se dote d'une application de transfert d'argent
Les utilisateurs du site de réseau social vont pouvoir maintenant envoyer de l'argent à leurs amis à travers une application, baptisée Buxter. Cette solution a été développée par ClickandBuy, qui offre des services de paiement en ligne en autorisant les transferts en euros ou en dollars. La transaction en livre sterling sera disponible dans les prochaines semaines. L'utilisation de cette application nécessite la création d'un compte ClickandBuy et doit être crédité de l'équivalent de 10 dollars. Le transfert d'argent entre les comptes ClickandBuy est gratuit, mais le virement sur d'autres comptes sera taxé à 1,9% du montant total. Ce dernier est plafonné à 50 dollars et les transactions ne peuvent se réaliser qu'avec des « amis » facebookiens. (...)
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