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(16/12/2009 17:23:00)

Le Crédit Mutel Arkéa améliore ses outils de supervision métiers

S'il y a une DSI qui a régulièrement recherché le meilleur outillage possible afin de mesurer les performances des transactions de bout en bout, c'est bien celle du Crédit Mutuel Arkéa. Situé dans l'Ouest de la France, le centre informatique de Crédit Mutuel Arkéa se emploie 360 personnes. La DSI gère environ 400 applications sur une centaine de serveurs. Des outillages venant de BMC, de CA ou d'IBM, permettent d'effectuer une supervision technique pour connaître le taux d'occupation des disques ou l'état des bases de données Oracle. Une sonde Nagios - un outil Open Source - permet de connaître la présence de tel ou tel programme, pour une supervision technique, et savoir si telle ou telle table Oracle n'est pas conforme. De même, Arkéa dispose de la solution Strobe de Compuware afin de mesurer la performance des applications en ligne, et de savoir par exemple dans quelle section écrite en Cobol peut se trouver un souci. La banque possède également Introscope de CA pour analyser ses applications Java. Elle a aussi utilisé des sondes Newtest afin de simuler des transactions venant d'utilisateurs, mais le produit a été abandonné au profit d'un développement interne à base de "curl". « Un robot qui simule des transactions peut effectuer des mesures même lorsqu'aucun utilisateur n'utilise le réseau, ce qui est un avantage, mais le robot n'ira pas jusqu'au bout d'une transaction et ne saisira pas un ordre de bourse jusqu'au bout par exemple, ce qui nous prive de l'information complète sur les temps de réponse» expose Didier Calvar, directeur informatique adjoint du Crédit Mutuel Arkea. Par ailleurs, en 2002, la banque a également employé la solution de Systar, mais elle était difficile à maintenir. [[page]] Avec la montée en puissance du canal web pour s'ouvrir à ses clients, l'impératif pour la banque est d'analyser des architectures multi-tiers (à plusieurs rangs) propres à internet. Un impératif d'autant plus fort que le Crédit Mutuel Arkéa est la maison mère de Fortuneo, un service de banque en ligne dont les performances sont stratégiques. Des solutions de capture des flux réseaux ont été testées, venant de CA ou de Compuware, sans convaincre. Il faut non seulement connaître quel est le niveau des SLA (niveaux de service) mais aussi dans quelle partie de la chaîne applicative se trouve le souci. Pour cela, le Crédit Mutuel Arkéa a mis en place sur une ligne applicative, une nouvelle solution de mesure des transactions fournie par la société israélienne OpTier. L'intérêt c'est que cette solution découvre par elle-même la nature des applications et leurs multiples composants applicatifs. « Un agent placé sur un serveur sert à mesurer le temps pris par une requête, et le taux de consommation CPU associé. Cet agent utilise le champ 'user data' qui existe dans chaque trame de protocole en y plaçant un label de suivi. On sait ainsi combien de temps une trame a pris pour aller d'un point à un autre. En tout, 50 protocoles sont reconnus automatiquement par l'outil, tels que http, SQL, CTG [CIS Transaction Gateway] explique Didier Calvar. Dix serveurs ont été équipés d'un agent. Par exemple, si un utilisateur demande une page web, l'outil suivra l'évolution de la même étiquette 'user data' dans la trame de la transaction depuis le serveur web (http), la base de données SQL (Apache), puis la passerelle vers le mainframe (CTG). C'est ainsi qu'a été découvert un problème de performance dans une base Oracle. « Nos experts avaient l'information au travers de plusieurs outils, Strobe et Intrascope, mais la nouvelle solution a permis de cerner très rapidement le 'rang' (tier) à l'origine du ralentissement. Les outils de diagnostic spécialisés ont ensuite été utilisés pour déterminer le code à corriger dans la la base Oracle. L'outil a apporté une hiérarchisation car nous n'avons pas le temps de tout suivre en temps réel » déclare Didier Calvar. Avec le nouvel outil, le suivi des niveaux de service devient plus simple et mieux structuré. « Or, les SLA sont le fondement de l'ISO 20 000. Nous avons en effet engagé une démarche ISO 20 000 devant déboucher sur une certification, ce qui reconnaîtra et stabilisera le niveau que nous avons atteint en ce qui concerne les bonnes pratiques ITIL. Schématiquement, l'ISO 20 000 peut être vu comme l'ISO 9001 appliqué aux bonnes pratiques ITIL v3 termine Didier Calvar. (...)

(16/12/2009 17:17:13)

IBM s'offre Lombardi, spécialiste du BPM

IBM a enfin complété son portefeuille BPM (Business process management). Big Blue vient d'annoncer le rachat, pour un montant non communiqué, d'un spécialiste du domaine, Lombardi Software. IBM avait bien une offre de gestion des processus métier, mais il s'agissait de fonctionnalités réparties dans ses différents produits, son serveur d'applications et d'intégration WebSphere (module Dynamic Process) et l'outil de gestion de processus documentaires hérité de FileNet. Lors de la publication de son dernier quadrant magique sur les suites de BPM en février dernier, Gartner notait qu'il fallait s'attendre à ce qu'IBM fît une acquisition dans ce domaine. Lombardi figure depuis longtemps parmi la catégorie des leaders dans le quadrant Gartner, aux côtés de Pegasystems. L'éditeur texan peut aussi s'enorgueillir de références clients solides « parmi les plus avancées en maturité de BPM », note Gartner. Mais, malgré la communication d'IBM qui tend à positionner TeamWorks comme un outil départemental, l'offre de Lombardi est plus généralement considérée comme un outil d'entreprise relativement onéreux. C'est d'ailleurs cela qui permet à des petits acteurs d'émerger, en Open Source (comme BonitaSoft) ou en Saas (comme RunMyProcess). En plus de définir ce positionnement, IBM devra aussi intégrer ses offres. Or, Gartner estimait dès avant le rachat que le nombre de fonctionnalités et de possibilités d'intégration était déjà impressionnant, obligeant les clients à recourir à des prestataires de service. En France, Lombardi n'a ouvert sa filiale qu'en 2007. (...)

(16/12/2009 16:50:20)

Annuels Adobe : 2009 en baisse, des espoirs pour 2010 avec la CS5, Flash/Flex et LiveCycle 2

Après le coup de froid de 2009, Adobe est sur les rails pour rebondir en 2010. Tel est le message que Shantanu Narayen, PDG de l'éditeur, a tenu à faire passer lors de l'annonce des résultats annuels, mardi soir. Le dernier trimestre a été particulièrement rude, l'éditeur affichant une perte de 32 M$, malgré une politique assez sévère de réduction de coûts. Côté chiffre d'affaires, la baisse au quatrième trimestre est de 17,3%, reflétant celle de l'année, de 17,7%. Après six années consécutives de croissance à deux chiffres, Adobe affiche une année morose, et retombe sous la barre des 3 Md$ de chiffre d'affaires. La faute à la récession explique-t-on chez Adobe, qui a frappé au moment de la sortie du produit phare pour les consommateurs, la suite d'outils pour créatifs CS4. Néanmoins, indique le CEO d'Adobe, le groupe est en ordre de bataille et devrait renouer avec la croissance en 2010 : « Nous avons connu une amélioration de la demande des clients pour nos produits au quatrième trimestre. Nous pensons que les investissements que nous avons réalisés l'année passée, ainsi que les nouveaux produits que nous sortirons durant l'année à venir, nous permettront de croître lorsque les conditions économiques s'amélioreront. » Omniture devrait représenter 10% du CA au premier trimestre 2010 A priori, Adobe devrait conserver la confiance des marchés financiers, ces derniers ayant anticipé un plus mauvais résultat pour le dernier trimestre. Pour le premier trimestre 2010, l'éditeur prévoit de remonter à un chiffre d'affaires compris entre 800 et 850 M$. Dont 78 à 83 M$ provenant de sa nouvelle filiale, Omniture, spécialiste de l'optimisation du trafic des sites Web. Au dernier trimestre, le revenu en provenance d'Omniture n'avait contribué au CA global qu'à hauteur de 26 M$. La fusion avec Omniture a par ailleurs fait subitement remonter le nombre de collaborateurs du groupe, qui avait ajusté ses effectifs pour resserrer ses coûts et réaligner ses effectifs sur ses nouveaux objectifs stratégiques. Adobe est ainsi passé de plus de 7 600 employés au troisième trimestre 2008 à moins de 7 200 au premier trimestre 2009, avant de remonter à un peu plus de 7 500 au troisième trimestre, et enfin de bondir à 8 660 au dernier trimestre, avec l'acquisition d'Omniture. En attendant que l'intégration des capacités d'Omniture pèse véritablement sur le chiffre d'affaires, la stratégie de Shantanu Narayen s'appuie sur deux grands piliers. L'offre pour créatifs, bien sûr, avec la CS5 qui devrait sortir courant 2010. Et si le parc informatique finit par se renouveler, les éditeurs de logiciels pourraient aussi en profiter, les clients effectuant alors leurs mises à jour. Le second pilier est celui de l'entreprise, où Adobe est plus à la peine. « Un outil comme Livecycle [gestion de processus documentaire, NDLR] se vend davantage comme un outil serveur de type WebSphere, chose dont Adobe n'a pas l'habitude », explique par exemple Mathieu Poujol, consultant chez PAC. En pleine réflexion sur ses méthodes de vente, l'éditeur s'attache à convaincre avec la face émergée de l'iceberg, les RIA (applications Internet riches). Le format Flash, qui focalise tous les efforts d'Adobe - à tel point qu'on peut se demander ce qu'Adobe ferait aujourd'hui s'il n'avait pas racheté Macromedia - sert en effet de tête de pont, voire de cheval de Troie, pour vendre le reste des solutions. L'association Flash/Flex emporte l'adhésion, LiveCycle reste dur à vendre La journée Adobe Business Exchange RIA 2009, organisée hier pour la deuxième année consécutive par Adobe France, a vu se succéder de nombreux partenaires et clients expliquant pourquoi et comment ils ont opté, tant pour des applications internes qu'externes, pour des solutions techniques s'appuyant sur le Player Flash (et Flex plus BlazeDS ou LiveCycleDS pour l'intégration avec les données d'entreprise). Simplicité du déploiement, ergonomie, fluidité des processus, performances correctes, globalement, les clients se montraient très satisfaits. Les technologies de RIA offrent en effet aux utilisateurs un moyen d'interagir avec les données beaucoup plus en phase avec ce qu'ils peuvent attendre aujourd'hui. En revanche, ces mêmes clients ne se montraient guère empressés de s'appuyer sur l'offre serveur de l'éditeur, dont la version 2 vient d'être annoncée (et fait justement le lien entre une architecture basée sur SOA/mash-up et une interface ergonomique). La proposition de services LiveCycle hébergés dans le cloud fera peut-être évoluer cet état d'esprit. (...)

(16/12/2009 16:32:06)

Google lance Goo.gl, un (autre) raccourcisseur d'adresses web

Comme si nous n'en avions pas déjà assez... Google a décidé de livrer au monde un autre raccourcisseur d'adresses web. Goo.gl, c'est son nom, se retrouve de fait en concurrence immédiate avec des services équivalents comme TinyURL, Bit.ly et une bonne centaine d'autres. Chacun est capable de générer une URL raccourcie unique à partir d'une adresse web à rallonge. Comme l'explique la page d'accueil, goo.gl raccourci les longues adresses URL pour générer un lien plus facile à partager." C'est notamment utile pour les terminaux mobiles et les membres de sites de microblogging comme Twitter. En effet, les Tweets sont limités en nombre de caractères. La forme courte pour publier et échanger des adresses et des liens, permet aux utilsateurs de dire plus de choses dans leur message. Des "googlers" confirment que "les gens partagent beaucoup de liens en ligne». Pour l'instant, le service fonctionne uniquement avec les applications de Google, notamment FeedBurner, le gestionnaire de flux RSS de Google, ou la barre d'outil du moteur de recherche. Le service ne peut être consulté directement par les utilisateurs depuis un navigateur. L'arrivée de Google, déjà introduit sur le marché du DNS, dans le secteur du raccourcisseur d'adresses web n'est pas une bizarrerie. Au contraire, les utilisateurs du moteur de recherche et de ses nombreux services ne pourront que se réjouir de voir que l'entreprise continue à leur offrir des "goodies" et qu'elle est aussi capable de leur proposer ce type de service dans un domaine en pleine croissance et en phase avec leurs besoins. Au fait, au cas où vous vous interrogiez sur le .gl, il correspond au code utilisé pour désigner le domaine internet géographique (country code top-level domain ou ccTLD) du... Groenland. (...)

(16/12/2009 15:03:38)

Mise en place d'une Charte de lutte contre la contrefaçon sur Internet

Pour la première fois en Europe, une Charte de la lutte contre la contrefaçon sur Internet a été signée ce mercredi 16 décembre, sous la présidence de Christine Lagarde, ministre de l'Economie, et Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie. "Les titulaires de droit de propriété intellectuelle et des plateformes d'e-commerce s'engagent à mettre en place des moyens concrets pour lutter contre la vente de produits de contrefaçon sur Internet" indique un communiqué. Concrètement, les sites Internet signataires s'engagent "à renforcer l'information et la sensibilisation des consommateurs et à mettre en oeuvre des mesures permettant de détecter le plus en amont possible les produits à problème", explique le site Internet d'achat-vente PriceMinister, signataire de la Charte. Le baromètre du CtoC PriceMinister/La Poste/OpinionWay révélait en novembre dernier que 26% des internautes qui font des achats sur la Toile attendaient une meilleure protection contre la contrefaçon sur Internet (soit une hausse de 9% par rapport à 2008). Un phénomène croissant Au début du mois d'octobre dernier, l'Institut national de la consommation et la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) ont lancé une campagne d'information consacrée à la lutte contre la contrefaçon, à destination du grand public. En début d'année, la DGDDI indiquait que le nombre de produits contrefaits saisis en 2008 avait progressé de 45%, pour un total de 5.254.821 articles. Les produits les plus contrefaits étant le textile, les chaussures et la maroquinerie. De son côté, PriceMinister annonçait que le nombre de marques victimes de la contrefaçon avait augmenté de 69% en 2008, avec une "montée en puissance" du secteur de la high-tech (+170%). (...)

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