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(16/12/2009 11:41:40)

En 2009, les spams ont représenté 87% des emails selon Symantec

Selon une étude publiée en décembre par Symantec sur l'état du spam et du pishing, 2009 a été une année faste pour les pourriels avec une crête à 95% de tous les courriels envoyés en mai dernier ! Le spécialiste de la sécurité indique encore que le début d'année a été le point le plus bas avec « seulement » 74% du total des emails expédiés, soit quelques mois après la fermeture de l'hébergeur américain McColo, bien connu pour ses activités « cyber criminelles ». Les vagues de spam ont ensuite continué à déferler en particulier avec le décès de certaines célébrités comme les acteurs Patrick Swayze et Natasha Richardson. Mais c'est la mort de Michael Jackson qui a généré le plus de pourriels « people ». Selon Symantec, les spams Jackson ont représenté près de 2% du volume global de ce type de trafic. La société indique encore qu'elle s'attend à une année 2010 très active dans ce domaine, avec des botnets (des PC zombies infectés par un ver) jouant un rôle très important dans l'expédition des spams. Le spécialiste de la sécurité a également précisé que les spammeurs vont continuer à utiliser des tactiques tels que les serveurs d'adresses web raccourcies comme bit.ly et les services d'hébergeurs gratuits pour tromper les filtres antispam. (...)

(16/12/2009 10:05:20)

Le projet très haut débit du gouvernement manque de cohérence

( Source EuroTMT ) Comme le proposait la Commission pour le grand emprunt, Nicolas Sarkozy a confirmé, lundi 14 décembre, qu'une partie des 35 milliards d'euros serait consacrée à l'économie numérique. Sur les 4,5 milliards réservés à ce dossier, deux milliards seront utilisés pour financer le déploiement des réseaux à très haut débit. Un premier pas qui va très certainement satisfaire l'ensemble des acteurs (opérateurs, collectivités locales, Arcep...), mais qui souligne la politique brouillonne du gouvernement en la matière. Il y a un plus d'un an, Eric Besson, alors secrétaire d'Etat à l'économie numérique, présentait son plan « France Numérique 2012 ». Ce plan affirmait bien la nécessité de doter le pays d'infrastructures télécoms modernes, mais il ne donnait comme objectif qu'un vague droit à l'accès au haut débit, et encore réduit au débit ridicule de 512 Kbit/s alors que la plupart des autres grands pays européens ont fixé un plancher à 1 voire 2 Mbit/s. Nouvel objectif, couvrir 70% de la population Surtout, pas un centime n'était mis sur la table : les caisses de l'Etat, expliquait-on alors, étaient vides. Un an plus tard, le président de la République remet donc le dossier à plat. Le nouvel objectif fixé est maintenant de couvrir 70 % de la population en très haut débit dans un délai de 10 ans. Pour ce faire, le gouvernement va créer un fonds national pour la société numérique qui aura la charge de répartir les 2 milliards réservés aux réseaux. Un montant qui devrait venir compléter le financement dans les zones moyennement et peu denses définies par l'Arcep. La zone dite très dense pouvant être couverte par les opérateurs privés, la rentabilité des investissements y étant, a priori, assurée. Les modalités de versement de cette aide devraient, surtout, ravir les opérateurs alternatifs. [[page]] Ce montant de 2 milliards devra « favoriser un investissement mutualisé entre les acteurs ». C'est exactement ce que proposent de faire SFR et Iliad dans la zone moyennement dense : mutualiser l'infrastructure pour accélérer le déploiement des réseaux. Une offre jusqu'à présent rejetée par France Télécom qui est le seul opérateur à disposer des infrastructures nécessaires même si elles sont certes ouvertes aux concurrents. Ce fonds va aussi aider le financement des collectivités locales qui souhaitent investir dans les réseaux à très haut débit. Le Parlement vient d'ailleurs de voter la loi sur l'aménagement du numérique qui crée un fonds de péréquation, dont le financement pourrait venir du grand emprunt. Le volet numérique du grand emprunt prévoit aussi la mise en service d'un satellite permettant de couvrir en très haut débit 750 000 foyers en zone rurale. Ou est la cohérence ? Si cet ensemble de mesures propose une réelle incitation à l'investissement dans le très haut débit, il reste toutefois au gouvernement à donner une cohérence à l'ensemble de sa politique. En attendant que l'ensemble de ces réseaux soient opérationnels, de nombreux acteurs déplorent la faiblesse du réseau DSL, qui ne permet pas d'offrir les services et les contenus comme le triple play déjà disponibles dans les zones denses. L'Arcep a lancé une consultation sur la problématique de la montée en débit, qui permettrait d'améliorer significativement la situation. Mais il faudra investir. Et il ne faudrait pas que la nouvelle priorité accordée au très haut débit ne vienne détourner les moyens disponibles pour le haut débit, qui pour tous les spécialistes, constitue une étape nécessaire avant de passer au très haut débit. (...)

(15/12/2009 18:50:19)

Rapport sur le stress au travail : un éclairage sévère sur France Télécom

Avec un taux de réponse avoisinant les 80%, l'implication des salariés de France Télécom dans l'enquête du cabinet Technologia donne du poids aux résultats présentés lundi au siège de France Telecom. 80 000 salariés (sur 102 000) ont répondu aux 160 questions d'un questionnaire établi pour mieux cerner les éléments liées à leurs conditions de travail par catégorie professionnelle, âge, ancienneté, formation... Dans sa synthèse, le rapport de Technologia parle d'une "ambiance de travail tendue, voire violente" et désigne une "grande défaillance du management." Privés "d'une colonne vertébrale solide de management, les personnels de France Télécom semblent plus que jamais orphelins de sens, de leaders," commente finalement l'enquête. Certains constats sont sans appel. Seuls 39% des répondants se disent "fiers d'appartenir au groupe France Telecom ?", contre 96% il y a 5 ans. Les salariés jugent aussi que leurs conditions de travail se sont nettement dégradées. A la question " Depuis quelques années, vos conditions de travail se sont-elles : améliorées ; restées inchangées ; dégradées ?", ils sont 65% à estimer qu'elles se sont "dégradées" et 30% à estimer qu'elles sont restées inchangées. Les écarts de réponse entre les groupes (hommes/femmes, par tranches d'âge, fonctionnaires/contractuels, cadres/non cadres...) sont très faibles. A noter en revanche que les collaborateurs ayant plus de 35 ans et plus de 10 ans d'ancienneté se sentent très concernés par la situation. Le personnel perçoit une dévalorisation de ses compétences [[page]] Le personnel perçoit une dévalorisation de ses compétences En ce qui concerne le stress au travail, 52% des personnes interrogées ont reconnu qu'il leur arrivait (ou qu'il leur était arrivé au cours des 12 derniers mois) de se sentir "très fatigué(e) ou stressé(e) " par leur travail et 40% considèrent que "Cela arrive souvent." Les collaborateurs s'expriment également sur les effets du travail sur leur santé. 39% estiment qu'au cours des cinq dernières années, en raison de leur activité, leur santé s'est dégradée. Enfin, 55% du personnel se dit "pas du tout et plutôt pas satisfait de sa situation professionnelle prise dans sa globalité." C'est notamment le cas pour les métiers où les salariés sont en contact avec les clients, dans les boutiques, centres d'appel ou unités d'intervention. Tous ces résultats pointent vers des modes de fonctionnement où s'accumulent "conditions de travail difficile," "désajustement professionnel," "relations sociales dégradées," ayant engendrées "une fragilisation de la santé physique et mentale" de certains salariés, pour reprendre les éléments les plus significatifs de l'enquête. 67% sont "tout à fait d'accord" pour dire que "les exigences demandées sont trop fortes", 76% jugent que les "applicatifs sont devenus trop nombreux et/ou trop complexes," 78% jugent les "conditions de travail dégradées en raison de la dévalorisation des compétences," et 62% des personnes trouvent aussi que ces mauvaises conditions de travail sont dues à la "pression de [leur] responsable" qui "critique injustement [leur] travail." Le rapport issu des réponses à ce questionnaire ne constitue que l'une des quatre étapes de la mission confiée au cabinet Technologia, entre l'analyse des rapports d'enquête des CHSCT (comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) du groupe, les entretiens qualitatifs de collaborateurs et l'audit sur les suicides. C'est en mars 2010 que sera remis le dernier rapport du cabinet spécialisé en évaluation et en prévention des risques professionnels et de l'environnement. (...)

(15/12/2009 17:56:13)

Le créateur de MySQL appelle à 'sauver' la base Open Source

Monty Widenius a lancé ce week-end un appel à sauver de toute urgence MySQL de l'emprise d'Oracle, ce dernier entendant bien absorber Sun, l'actuel propriétaire de la base de données Open Source. Le Finlandais, créateur de MySQL, enjoint tous ceux qui se sentent concernés par le sujet à écrire à la Commission européenne, dernier recours selon lui pour pérenniser le développement futur de la base de données sous la forme d'un projet Open Source. « J'ai passé les 27 dernières années à créer et faire évoluer MySQL et j'espère encore y travailler de nombreuses années avec mon équipe de développeurs, écrit Michael Widenius sur son blog. [...] Avec votre soutien, il y a de bonnes chances pour que la Commission européenne demande à Oracle de [...] donner d'autres garanties aux utilisateurs. Sans votre soutien, cela risque de ne pas se faire. La Commission européenne est notre dernier espoir vraiment important maintenant que le gouvernement américain a approuvé le rachat [de Sun]. » Le père de MySQL souligne qu'Oracle a contacté des « centaines de gros clients » en leur demandant de faire du lobbying auprès de l'Union européenne pour peser en faveur du rachat de Sun. Oracle a bien promis d'investir davantage dans le développement de la base Open Source, mais pour le développeur finlandais, « cela ne constitue pas une preuve que [...] MySQL conservera sa puissance concurrentielle dans le marché actuel ». Michael Widenius a de son côté lancé une nouvelle branche de la base de données, sous le nom de MariaDB. Les réactions au billet de 'Monty' ne sont pas toutes positives. Certains regrettent par exemple que le développeur encourage une intervention des gouvernements sur le terrain du libre. L'éditeur français d'un ERP Open Source offre de racheter MySQL pour un euro Hier, Oracle a publié dix promesses à l'attention des utilisateurs de MySQL à la suite de discussions menées avec la Commission Européenne pendant le week-end. Dans la foulée, Neelie Kroes, commissaire européenne aux TIC, s'est déclaré optimiste sur l'issue du dossier. Jeudi et vendredi dernier (11 et 12 décembre), la Commission avait auditionné de grands clients d'Oracle. Autre rebondissement du dossier, la société française Nexedi, qui édite l'ERP Open Source ERP5, a adressé hier, lundi 14 décembre, une lettre ouverte à la Commission européenne pour proposer de racheter la base de données Open Source pour un euro symbolique. (...)

(15/12/2009 17:31:25)

Les ventes de téléphones mobiles progresseront de 9% en 2010

Le cabinet Gartner évalue à 0,67% la baisse des ventes mondiales de téléphones mobiles entre 2008 et 2009. Un moindre mal. Au mois de septembre dernier, Gartner situait cette baisse à 3,7%. Pour 2010, le cabinet d'études envisage un retournement de ce marché avec une hausse des ventes de 9%, par rapport à 2009 et toujours au plan mondial. Ce marché atteindra 1,32 milliard d'unités vendues en 2010, contre 1,21 en 2009 et 1,22 en 2008. Par continent, l'évolution des marchés est significative. Deux des sept sous ensembles (ou régions mondiales), définis par le Gartner sont en progression sur 2009 : Asie-Pacifique et Europe de l'Ouest. Un seul est égal : l'Amérique du nord, tous les autres baissent de manière plus ou moins forte. L'Asie Pacifique passe de 453 000 ventes en 2008 à 479,8 en 2009, l'Europe de l'Ouest de 174,4 à 186,9. En 2010, ils devraient atteindre respectivement à 546,7 millions d'appareils vendus et 198,5. L'Amérique du nord passe de 182,245 à 182,571, et devrait atteindre les 190,1 millions d'appareils vendus en 2010. La crise économique impacte les marges des fabricants Dans les autres régions du monde, le Gartner observe que l'Europe de l'Est est tombée de 96 millions d'appareils vendus en 2008 à 81,1 en 2009 et devrait atteindre 84,9 en 2010, donc rester toujours en dessous du niveau de 2008. Le Japon ne repart pas, passé de 40,58 en 2008 à 34,87 en 2009, il restera pratiquement au même niveau l'an prochain avec 34,89 millions d'unités vendues. L'Amérique latine est mieux lotie, mais ne retrouvera pas ses niveaux de 2008, ce continent passe de 142,3 millions de ventes en 2008 à 119,7 en 2009 et 126,7 en 2010. Enfin, la zone Moyen-Orient Afrique repartira plus franchement, passée de 133,7 en 2008 à 128,9 en 2009, elle devrait atteindre les 140,3 en 2010. En dehors de ces différences géographiques, le Gartner relève l'impact de la crise économique. Pour le marché des mobiles, il se manifeste sur les marges des fabricants et les cycles de renouvellement des consommateurs. Dans les deux années à venir, ces cycles devraient se raccourcir sous le triple effet de l'arrivée de téléphones intelligents, de prix plus agressifs, de contrats d'abonnements plus courts. Les ventes de matériels d'occasion devraient arriver dans les pays émergents. Le Gartner constate également le développement du marché gris à l'initiative des fabricants chinois, ce développement aura un impact sur les prix des téléphones mobiles et sur la part de marché de Nokia. Le Gartner réservé sur les smartphones [[page]] Le Gartner se montre réservé sur les smartphones. Comme tous les cabinets d'étude, il souligne leur percée en nombre d'unités vendues, mais s'interroge sur leur rentabilité pour les opérateurs. Les smartphones représentent 14% des ventes d'appareils mobiles cette année. Toujours en volume, il s'en vend 23,6% de plus qu'en 2008. D'ici 2013, ce segment de marché bondira de 38% par rapport à 2009. Toutefois, les opérateurs veulent associer à ce développement en volume, des tarifs élevés qui intriguent le Gartner. Pour le cabinet d'études, les opérateurs prennent le risque de proposer des tarifs au-delà de ce qui est acceptable par les consommateurs. Les constructeurs doivent s'interroger sur leur modèle économique conclut le Gartner. La croissance facile appartient au passé, même si les smartphones ouvrent de belles perspectives, il faut rester prudent. Les ventes de matériels seules ne suffisent plus, « logiciels, services et contenus sont de meilleurs drivers de croissance que le matériel pour les fabricants de mobiles qui doivent réinventer eux-mêmes leurs modèles économiques s'ils veulent se maintenir au top » conclut Caroline Milanesi, directrice de recherche au Gartner. (...)

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