Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 9571 à 9580.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(15/12/2009 16:29:25)
Microsoft s'offre des outils d'automatisation des processus IT pour le cloud
Pour renforcer ses outils de gestion des environnements virtualisés, Microsoft vient de racheter l'éditeur canadien Opalis Software. Installé à Toronto, celui-ci a développé des logiciels d'automatisation des processus IT, Opalis Integration Server, qui viendront compléter les capacités de gestion des datacenters de la suite d'administration System Center de Microsoft, pour les environnements physiques, virtuels et de cloud computing. Brad Anderson, vice président de la division Management & Services de Microsoft, explique sur l'un des blogs TechNet de l'éditeur que les logiciels d'Opalis facilitent la tâche des équipes informatiques en automatisant les processus IT complexes avec l'objectif de réduire les coûts d'administration et les temps d'intervention. « C'est particulièrement important pour nos clients qui mettent en place des environnements virtuels très automatisés et évolutifs. » Et de citer Gartner qui prédit qu'en 2010, au moins 50% des tâches d'automatisation et de workflow autour des infrastructures de serveurs virtualisées s'appuieront sur des outils de type 'Run Book Automation' (RBA). Opalis, distribué en France par 2SI Systèmes Distributeur exclusif des logiciels Opalis en France, la société française 2SI Systèmes explique que ces outils permettent d'automatiser les tâches récurrentes techniques ou métiers, au travers de scénarios construits sans codage, via une interface graphique. Sur l'Hexagone, 2SI Systèmes revendique quelque 150 implémentations de l'offre : surveillance d'applications critiques ou métiers, de serveurs de fichiers, de circuits d'impression, de bases de données, de sites Web... Selon Brad Anderson, Microsoft aurait retenu Opalis parce que ses logiciels sont simples à utiliser et à déployer et qu'ils donnent rapidement des résultats. Ces outils s'intègrent déjà avec la suite System Center et ils vont permettre à cette dernière de s'interfacer avec d'autres infrastructures logicielles, notamment celles de CA, BMC et HP. L'offre comprend des workflows prépackagés pour les tâches les plus courantes de l'administration d'un datacenter : automatisation du guide d'exploitation, gestion du cycle de vie d'une machine virtuelle, prise en charge des tickets d'incident. Une majorité de clients d'Opalis seraient aussi des utilisateurs de System Center, assure Brad Anderson. L'éditeur canadien va continuer à assurer la maintenance de sa base installée. Rappelons par ailleurs que Microsoft a annoncé la semaine dernière qu'il fusionnait ses divisions Windows Azure et Windows Server. (...)
(15/12/2009 12:42:31)Le très haut débit mobile 4G arrive en Suède
L'opérateur nordique TeliaSonera a donné lundi 14 décembre, à Stockholm, le coup d'envoi du premier réseau mobile haut débit de quatrième génération (4G). Cette technologie, appelée à remplacer progressivement le réseau 3G actuel, offre des vitesses de transmission pouvant aller jusqu'à 100 Mbits/s, soit dix fois plus que les réseaux existants actuellement sur le marché. Réalisé en collaboration avec l'équipementier Ericsson, le premier réseau commercial 4G est basé sur la technologie LTE (Long Terme Evolution). Ce standard, pour lequel la Commission européenne prévoit d'investir 18 millions d'euros en 2010, doit favoriser par ses débits élevés le développement de nombreux usages liés à la téléphonie mobile, comme la télévision mobile, la visioconférence, le téléchargement de données ou l'envoi et la réception de mail à pièces jointes. Une offre limitée à Stockholm pour commencer "La nouvelle ère du haut débit mobile est ouverte aujourd'hui. Avec la LTE, appelée aussi 4G, l'expérience du haut débit sur mobile va atteindre des niveaux inégalés jusqu'à présent", a déclaré Carl-Hendric Svanberg, PDG d'Ericsson. "La vitesse de la LTE apporte un accès haut débit avec une fluidité absolue". Dès à présent, les habitants de Stockholm clients chez TeliaSonera peuvent accéder à la LTE via des offres commerciales incluant des clés 4G fournies par le fabricant sud-coréen Samsung. En France, la 4G fera l'objet d'expérimentation poussée dès 2010. L'opérateur Bouygues Telecom a récemment annoncé un partenariat avec l'équipementier en télécommunications franco-américain Alcatel-Lucent pour tester le réseau 4G dans certains sites de l'ouest de la France. (...)
(15/12/2009 11:47:18)4e licence mobile : Free sera fixé le 18 décembre
L'Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep) a indiqué lundi 14 décembre que le résultat de la procédure d'appel à candidatures pour l'attribution de la quatrième licence mobile sera annoncé ce vendredi 18 décembre, dans la matinée. Seule la société Free Mobile, filiale du groupe Iliad, s'est portée candidate pour devenir le quatrième opérateur de téléphonie mobile en France. Iliad, qui s'était déjà vu refuser l'accès au marché de la téléphonie mobile en 2007, a cette fois de grandes chances de l'emporter. La maison mère du fournisseur d'accès à Internet Free devra débourser la somme de 240 millions d'euros pour rejoindre Orange, SFR et Bouygues Telecom, alors que la licence était facturée 619 millions d'euros lors de son premier échec il y a deux ans. Iliad a récemment fait savoir que son objectif, s'il devenait quatrième opérateur, serait de proposer aux consommateurs des offres plus simples, plus innovantes, et surtout, moins chères. (...)
(15/12/2009 11:06:48)AppFabric, pierre angulaire de l'intégration logiciels et services pour Microsoft
« Microsoft a plus de clients pour son serveur d'intégration que ses deux principaux concurrents réunis. » Responsable de l'équipe de développement de Biztalk, Balasubramian Sriram a entrepris avec quelques collègues une grande tournée pour porter partout dans le monde la bonne parole de Microsoft en matière d'intégration d'applications. Passées les autocongratulations d'usage (plus de 10 000 clients, dont 9 des 10 plus grands opérateurs américains, 81% des entreprises du Global 100, 23 des 27 gouvernements de l'UE...), l'étape française de ce « Business integration roadshow », tenue au début du mois au siège de la filiale française, a permis de mieux cerner la stratégie de Microsoft, et surtout d'apprécier le témoignage de nombreux clients. Evoqué lors de la dernière PDC (conférence pour les développeurs professionnels) de Los Angeles, AppFabric a tenu la vedette de cette rencontre. Présenté comme un serveur d'applications (nom de code Dublin), il devient le socle d'exécution des applications .Net, aussi bien sur Windows Server que dans le cloud, sur Windows Azure (cf. schéma). Microsoft, qui avait longtemps laissé entendre qu'il n'avait pas besoin d'un serveur d'applications, Windows et la CLR (le runtime de .Net) remplissant le rôle, a fini par virer sa cuti. Une évolution logique, finalement : IBM avait eu en son temps la même réaction au sujet des ESB (Bus de services d'entreprise), avant de finalement sortir le sien. Dans le cas de Microsoft, explique Balasubramian Sriram, il s'agit de faire converger, ou à tout le moins de fédérer les différents outils d'intégration, de communication et de gestion de flux (Biztalk, Windows Communication Foundation et Windows Workflow Foundation). Pour Eric Ortiz, chef de produit Biztalk pour Microsoft France, cela va simplifier le travail des intégrateurs : « Le développement va devenir de la composition de services, il n'y aura plus besoin de développer son propre conteneur. » Au final, le but est de fournir une plateforme invitant les entreprises et les développeurs à adhérer sans effort aux principes des SOA (Architectures orientées services), dans une approche tactique, bottom-up (partant du bas). Une offre intimement liée aux serveurs et aux services SQL et Windows Comme souvent chez Microsoft, le bénéfice d'une offre est conditionné au fait que le reste de la gamme soit utilisé : Visual Studio 2010 pour développer, Windows Azure et SQL Azure pour héberger applications et données dans le cloud, Windows Server et SQL Server pour héberger applications et données sur son serveur et profiter des fonctions de MDM (Master data management, gestion des données de référence), etc. Balasubramian Sriram ne voit pas vraiment de différence avec ce que ses concurrents proposent en la matière : « Nous proposons aussi du MDM ou du CEP [Complex event processing, traitement des événements complexes, NDLR], simplement il faut considérer l'ensemble de notre offre. Les autres éditeurs vous vendront une suite. Nous faisons la même chose, mais en nous appuyant davantage sur les partenaires pour proposer des solutions de bout en bout. » Plusieurs des clients ayant accepté de témoigner ce jour-là ont validé l'intérêt de la démarche. Pour ces organisations de taille moyenne, faire reposer la solution d'intégration sur des produits Microsoft permet de réduire sensiblement le niveau de complexité et le temps d'appropriation des technologies par les équipes. Le tout étant bien sûr de pouvoir intégrer des applications et des technologies hétérogènes. Comme Oracle qui avait fait témoigner la SNCF sur l'utilisation de Fusion Middleware pour connecter mainframes et terminaux Windows, Microsoft a invité à s'exprimer l'Unesco, sur la façon dont l'agence connecte ses bureaux à l'étranger au progiciel SAP du siège, à Paris. Témoignages de l'Unesco, la Fnac, JM Bruneau... [[page]] Obligée de se conformer aux nouveaux standards de comptabilité publique avant la fin de l'année 2009, l'Unesco a choisi de centraliser certainement opérations à Paris, mais sans perturber les habitudes des bureaux locaux, étant donné l'importance de l'historique et du nombre d'utilisateurs (dont beaucoup ne font pas partie de l'organisation). Le projet a ainsi démarré avec le bureau de Brasilia, « le plus représentatif ». Son application Web pour passer des contrats avec des consultants externes et effectuer le suivi des paiements compte en effet quelque 3 000 utilisateurs. « Une réécriture n'était pas envisageable, étant donné le planning serré, et l'impossibilité de faire de la conduite de changement avec 3 000 personnes. Il fallait donc reconduire les processus existants de façon transparente pour les utilisateurs et sans impact sur les temps de réponse. » Avec l'aide de la SSII Sword, la DSI de l'Unesco s'est appuyée sur un Biztalk Adapter Pack pour exposer les données et processus SAP sous forme de services Web. Pour les bureaux disposant déjà d'un frontal Web, comme celui du Brésil, tout transite dorénavant vers Paris. Pour les bureaux n'ayant pas d'informatique propre, le siège propose portail, conçu avec Infopath et Sharepoint, qui utilise de la même façon les services Web exposés par Biztalk. Bien sûr, reconnaît-on à l'Unesco, l'offre d'intégration de SAP, Netweaver, a été étudiée. « Mais Biztalk était plus intéressant du point de vue coût, et offrait des possibilités d'intégration de systèmes plus larges. » Biztalk remplace eGate de Sun SeeBeyond à La Fnac Le témoignage de la Fnac a aussi mis l'accent sur le côté centralisé mais ouvert de Biztalk. Les échanges entre magasins et site Web étaient assurés jusqu'à présent par eGate, l'offre de SeeBeyond reprise par Sun, aujourd'hui plus supportée. L'enseigne a mis en oeuvre un grand nombre de connecteurs, dont la plupart étaient « inclus en standard », vers de l'Oracle, du CICS, etc. Le fait d'éliminer les déploiements sur les systèmes partenaires au profit d'une solution centralisée apporte plusieurs avantages : une architecture plus découplée offrant plus de flexibilité pour faire évoluer les applications, la possibilité d'instaurer des règles centrales de routage des messages, et enfin la capacité de déployer la solution sur une ferme de serveurs virtualisés afin d'assurer évolutivité et montée en charge. Velocity, .Net 4.0 et AppFabric en avant-première chez JM Bruneau Chez JM Bruneau (mobilier et fournitures de bureau en VPC), Biztalk est même au coeur de la refonte du système d'information, suivant les préceptes des SOA. L'entreprise a fait partie du programme d'adoption en amont de Dublin (et de la version 4.0 de .Net, par la même occasion). Elle en a profité pour exposer ses différents systèmes (catalogue, gestion de la relation client, marketing, service après-vente, etc.) sous forme de services, connectés à un bus unique par Communication Foundation. Tous les échanges passent donc par là, et sont orchestrés avec Biztalk et Workflow Foundation. Ayant fait le choix du tout Microsofot, JM Bruneau a même poussé le vice jusqu'à mettre en oeuvre Velocity, la technologie de cache distribué en mémoire de Microsoft, concurrente d'Oracle Coherence ou de memcached. Plusieurs versions sont déjà sorties, mais jusqu'à présent uniquement en CTP (Community technology preview, réservée aux partenaires pour leurs expérimentations). « On le teste depuis plus d'un an, et ça marche très bien », a confié Philippe Lacroix, de la SSII Expertime, qui est intervenue sur le projet. La « vague AppFabric », comme l'appelle Balasubramian Sriram, déferlera en 2010. Peu ou prou en même temps que Visual Studio 2010, .Net 4.0, et les versions R2 de Biztalk Server 2009, SQL Server 2008 et Windows Server 2008. (...)
(14/12/2009 17:12:37)Grand emprunt : 4,5 Mds d'euros pour le numérique
Le rapport Rocard/Juppé avait suggéré 4 milliards d'euros pour le numérique. Ce sont 4,5 milliards qui lui seront finalement consacrés. La rallonge de 500 M€ est attribuée au développement des usages et des contenus innovants qui récolte 2,5 Md€. Deux autres milliards contribueront à équiper la France en infrastructures propres à déployer le très haut débit (correspondant à des débits d'environ 100 Mb/s avec un minimum de 50 Mb/s), soit un investissement équivalent à ce que proposaient les deux anciens premiers ministres.
Ces sommes vont être investies dans un fonds national pour la société numérique, établissement public qui relèvera du Premier ministre, via le secrétariat d'Etat chargé de l'Economie numérique. Plusieurs autres ministères seront associés à la gouvernance de ce fonds, parmi lesquels, en particulier, l'Industrie, l'Aménagement du territoire, la Culture et la Santé.
750 M€ pour numériser le patrimoine culturel
Comme à son habitude, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'état chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, a très vite propagé ces informations sur Twitter ce matin, dans le sillage de la conférence sur l'emprunt national donnée par Nicolas Sarkozy, président de la République. NKM a précisé un peu plus tard, par communiqué, que l'essor des usages et des contenus passerait, notamment, par la numérisation du patrimoine culturel, à laquelle 750 M€ seront dévolus, et par la réalisation d'infrastructures numériques 'en nuage', plus couramment nommées 'cloud computing'. Il est prévu que ces initiatives s'appuient sur des partenariats public-privé comme le réclamaient notamment les opérateurs. Le fonds servira aussi à financer, sous formes d'avances remboursables, des projets de recherche (associant là aussi public et privé) portant sur l'e-santé et sur les réseaux intelligents pour le transport et l'énergie.
Dans le cadre du déploiement du très haut débit, une partie des 2 Md€ sera réservée à des prêts ou garanties d'emprunt aux opérateurs, ainsi qu'à des subventions aux projets de couverture dans les zones peu denses (prenant appui sur les collectivités locales). Il est également prévu de bâtir un partenariat public/privé pour déployer un satellite qui doit apporter ce service d'ici 5 ans à 750 000 foyers en zone rurale.
19 Md€ pour l'enseignement supérieur, la formation et la recherche
Le numérique arrive en cinquième place derrière les quatre autres priorités de l'emprunt national : l'enseignement supérieur et la formation, qui se voient attribuer une enveloppe de 11 Md€, la recherche (8 Md€), les filières industrielles et les PME (6,5 Md€) et le développement durable (5 Md€). Au total, le montant de l'emprunt atteint 35 Md€, ce qui correspondrait à 1,8% du PIB estimé pour 2010 dans le projet de loi de finances.
Pour le financer, l'Etat fera appel au marché à hauteur de 22 Md€ par l'intermédiaire de l'Agence France Trésor. Les 13 Md€ restants viendront du remboursement des fonds propres prêtés par l'Etat aux banques lors de la crise financière, montant 'sanctuarisé' à la Banque de France.
Une dotation de 5 Md€ répartie entre 10 campus
Le financement attribué à l'enseignement supérieur doit doter 5 à 10 campus d'excellence. L'opération Campus bénéficiera de 5 Md€ répartis entre dix projets de remise aux normes à Aix/Marseille, Bordeaux, Condorcet (Paris Aubervilliers), Grenoble, Lyon, Montpellier, Paris, Saclay, Strasbourg et Toulouse. Les signatures de contrats de partenariats public-privé devraient intervenir d'ici un an, précise l'Elysée. Les premiers travaux devraient commencer dans la foulée. Saclay, qualifié de plus important campus scientifique et technologique européen, est particulièrement mis en avant. Le réseau de recherche Digiteo qui s'y est installé, a récemment fait un bilan. Il regroupe 1 300 chercheurs permanents et 500 doctorants et a co-financé 50 projets depuis sa création, en 2006.
Entre 2001 et 2005, l'investissement dans les technologies numériques aurait contribué à 60% de la croissance française, selon le dossier publié ce matin par l'Elysée sur les priorités de l'emprunt national. L'effort est resté cependant bien en deça des investissements réalisés dans les pays « les plus avancés de l'OCDE », et aurait conduit à un manque à gagner de 300 000 emplois sur les 800 000 recensés dans le secteur. (...)
Les caractères accentués entrent dans .eu
Depuis le 10 décembre 2009, l'Eurid (European Registry of Internet Domain Names), l'organisme chargé de gérer les noms de domaine en Europe, accepte d'enregistrer des noms de domaines internationalisés ou IDNs (Internationalised Domain Names). Comme l'indique le site de l'Eurid (www.eurid.eu), "les IDNs sont des noms de domaine contenant des caractères non ASCII. On y trouve par exemple le å suédois, le ü allemand, le ș roumain, ainsi que l'ensemble des caractères des alphabets utilisés pour le Grec et le Bulgare. Cette adaptation est particulièrement importante pour le .eu car, nombre des 23 langues officielles de l'Union Européenne "utilisent des alphabets contenant des caractères non définis par la norme ASCII." Cette transformation était donc, attendue car elle permet aussi à ces Européens d'utiliser le web dans leur propre langue. Une nouvelle ruée vers les noms de domaine Du coup, en quelques heures, l'Eurid a procédé à près de 40.000 enregistrements. Selon le principe du "premier arrivé, premier servi," les Allemands ont été les plus rapides, devant les Tchèques, les Français, les Luxembourgeois, les Polonais, les Belges, les Anglais - dont la langue n'est pourtant pas la plus riche en accents - les Grecs et les Suédois. La règle des 63 caractères maximum reste de mise. Cette restriction est importante à vérifier. En effet, les accents, convertis en chaîne Ace, la même technologie que celle utilisée par le DNS pour identifier l'adresse IP cachée derrière le nom de domaine, occupent plusieurs caractères. Le site de l'Eurid dresse un tableau de l'ensemble des caractères autorisés avec leurs équivalents Unicode (utile pour le décompte de caractères). Il dispose aussi d'un WhoIs, un moteur de recherche qui vérifie la disponibilité du nom souhaité. (...)
(14/12/2009 14:12:58)Les réseaux sociaux Twitter, Facebook et MySpace attirent moins d'internautes
La fréquentation des réseaux sociaux montre des signes d'essoufflement. Selon le site Compete.com, spécialiste de la mesure du trafic sur le Web, le nombre d'internautes aux Etats-Unis se connectant aux sites Twitter, Facebook et MySpace a diminué en novembre par rapport aux mois précédents. Selon les chiffres de Compete.com, qui ne prend en compte que le trafic Web aux Etats-Unis, le nombre de visiteurs uniques sur Twitter a diminué de 2,43% en novembre par rapport à octobre. Il s'agit de la troisième baisse mensuelle consécutive pour le site de micro-blogging. Les visites totales (nombre de connexions) sur Twitter ont même baissé de 7,24% le mois dernier. Même constat pour MySpace, dont la fréquentation a reculé de 2,64% en novembre 2009 par rapport au mois précédent. En un an, le nombre de visiteurs uniques sur ce site a plongé de 13,88% aux Etats-Unis (56,41 millions en novembre 2008 contre 48,58 millions en novembre 2009). Pour Facebook, le plus populaire du trio des réseaux sociaux, la baisse est moins importante. Le nombre de visiteurs uniques a reculé de 0,47% entre octobre et novembre à 128,33 millions, tandis que le nombre de connexions a augmenté de 3,51% dans le même temps. Sur un an, la fréquentation du nombre de visiteurs de Facebook et Twitter aux Etats-Unis reste en très forte augmentation : +546% pour Twitter, et +159% pour Facebook. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |