Flux RSS
Poste de travail

4981 documents trouvés, affichage des résultats 1381 à 1390.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(15/04/2010 14:18:21)
Les ventes mondiales d'ordinateurs en hausse, les PC redécollent
Hewlett-Packard reste le leader du marché, mais les fabricants asiatiques (Acer, Lenovo, Asus) réalisent une véritable percée grâce notamment aux petits PC portables. Selon Gartner, il s'est vendu 84,34 millions d'ordinateurs dans le monde au cours des trois premiers mois de l'année, contre 66,22 millions sur la même période en 2009. Soit une croissance de 27,4% sur un an, alors que le cabinet d'études marketing tablait sur une croissance de 22%. Pour Mikako Kitagawa, analyste chez Gartner, ces résultats sont en partie liés aux bonnes ventes d'ordinateurs professionnels. Dans les marchés matures (Europe de l'Ouest et Etats-Unis), les entreprises ont profité de la sortie de Windows 7, fin 2009, pour entamer le renouvellement de leur parc d'ordinateurs.
Sur les parts de marché, HP affiche 18,2% au premier trimestre (contre 19,3% au 1er trimestre 2009). Le fabricant américain est désormais talonné de près par la firme taïwanaise Acer, qui a vu ses ventes progresser de 54% en un an. Spécialisé dans les PC portables et les netbooks à bas prix, Acer s'adjuge 14,2% de parts. Suivent le fabricant texan Dell (12,1% de parts de marché), le fabricant chinois Lenovo (8,3%), l'autre fabricant taïwanais Asus (5,5%), dont les ventes ont plus que doublé en un an, et Toshiba (5,5%).
[[page]]
Dans la zone EMEA (Europe, Moyen Orient, Afrique), les ventes de PC ont augmenté de 24,8% au premier trimestre à 27,13 millions d'unités. Acer domine les ventes (21,3% de parts), devant HP (20,4%), Dell (9,2%), Asus (8,1%) et Toshiba (5,7%). Aux Etats-Unis, les ventes d'ordinateurs ont augmenté de 20,2% en ce début d'année à 17,44 millions d'unités. HP est en tête (25% de parts de marché), devant Dell (23,4%), Acer (15,6%), Toshiba (8,6%) et Apple (8%).
IDC souligne le retour de l'ordinateur fixe
Si l'étude du Gartner privilégie indifféremment PC fixe, notebook et netbook, le cabinet IDC constate que les ordinateurs fixes sont de nouveau en croissance. Traditionnellement en recul depuis le développement des ordinateurs portables, le marché du PC fixe retrouve des couleurs aux Etats-Unis et dans les pays émergents à travers les ordinateurs all-in-one.
Le cabinet avait prévu une croissance de 1% sur ce segment de marché, mais au final, l'augmentation des ventes est comprise entre 6 et 7% sur un an.
LotusLive d'IBM s'enrichit avec SalesForce.com, Skype et UPS
« Depuis des années au sein de LotusLive, nous avons parlé de la collaboration dans notre travail quotidien » souligne Sean Poulley, vice-président du la collaboration dans le cloud. Aujourd'hui, dans cet espace de travail, « nous intégrons plusieurs fonctionnalités provenant d'autres sociétés » ajoute-t-il.
Il rappelle qu'IBM n'a pas vocation à intégrer directement des centaines d'applications, mais que le groupe met à disposition des API ouvertes, facilitant le développement par les clients et les partenaires d'applications en mode SaaS dans LotusLive. Par contre, les clients de ces services hébergés devront s'acquitter de licences complémentaires à chaque service intégré.
Parmi les services qui fonctionnent nativement au sein de LotusLive, on peut citer le logiciel de téléphonie sur Internet, Skype, mais également le service de gestion de relation client de Salesforce.com et enfin Silanis, outil de signature électronique. D'ici à la fin de l'année, le service de traçabilité des colis UPS sera aussi imbriqué dans la suite collaborative. IBM a renforcé les éléments linguistiques, en prenant en charge le danois, le finnois, le norvégien et le suédois.
Big Blue en a profité aussi pour lancer une version de LotusLive à 7 dollars par mois et par utilisateur, comprenant le réseau social et les e-mails.
IDF Pekin : Android sur Atom et processeurs Sandy Bridge en vue
Dans la capitale chinoise, les journées IDF (Intel Developper Forum) ont été l'occasion pour le fondeur de dévoiler quelques informations. La première concerne le portage du système d'exploitation de Google, Android, sur des smartphones équipés de processeurs Atom. Pour Renee James, responsable du groupe logiciels et services d'Intel, a expliqué « nous souhaitons assurer la compatibilité de tous les OS pour les terminaux sous Atom ». L'objectif est de concurrencer ARM, qui domine le marché des puces à destination des smartphones. Les processeurs Intel sont élaborés sur une architecture x86, alors que ceux de ARM évoluent sur RISC (reduced instruction set computer). Cette différence est importante pour la mise en place des OS. Intel est résolument offensif sur le sujet, même si lors du forum, aucune date, ni plus de détails n'ont été annoncés sur ce projet.
Des puces Sandy Bridge en orbite
Lors de l'évènement chinois, Intel est revenu sur la dernière famille de microprocesseurs, connus sous l'appellation Sandy Bridge. Ils seront mis en production à la fin de l'année 2010 et s'adresseront aux PC fixes et portables, mais pas aux serveurs, selon David Permutter, chef du groupe architecture des processeurs. Leur commercialisation est attendue au début 2011.
Cette famille de processeur a été élaborée à partir de la seconde génération de la technologie High-K metal gate produite en 32 nanomètres. Sandy Bridge intègre plusieurs coeurs, un contrôleur mémoire, un sous-système de cache et la sixième génération de circuit graphique, le tout sur une seule puce. Cette dernière embarquera les instructions Advanced Vector Extensions, une technologie qui améliore les performances de l'ordinateur en matière de traitements vidéo, photo et audio. Ces processeurs devront remplacer les Nehalem (400 millions d'unités vendues à date), qui étaient les premiers à utiliser High-K metal gate.
Intel ne se repose pas sur ses lauriers et travaille dès à présent sur une nouvelle ligne de microprocesseurs, sous le nom de code, Ivy Bridge, qui seront gravés en 22 nanomètres.
Google convie 400 CIO pour promouvoir Docs 2.0
Le temps où Google admettait que ses Docs ne possédaient pas la sophistication ou les fonctionnalités de Microsoft Office, appartient au passé. Désormais la suite bureautique en ligne est construite pour pouvoir supporter des améliorations rapides et importantes explique Anil Sabharwal, chef de produit chez Google Enterprise. « Pour les Docs 2.0, nous avons créé une base technologique entièrement nouvelle qui nous permet d'être innovant plus rapidement. »
Pendant longtemps, Google a surtout vanté les capacités collaboratives que son modèle SaaS (Software-as-a-Service) apporte à Docs. Mais la suite bureautique manque de fonctionnalités, empêchant les entreprises de l'utiliser comme une alternative possible à Microsoft Office. En particulier, les utilisateurs se sont plaints des difficultés de mise en forme des documents dans le traitement de texte, les forçant à exporter des fichiers Docs vers MS Office pour résoudre des problèmes de pagination et de réglage de marges. Jusqu'à présent, seule la composante Gmail de Apps a réussi à s'imposer comme une alternative viable aux plateformes de messagerie MS Exchange ou IBM Lotus Notes. Pour ne pas rester un simple outil de complément sur le web, Google entend maintenant pousser Docs pour vraiment concurrencer MS Office.[[page]]Ainsi, Google a annoncé des améliorations des fonctions de mise en forme dans son application de traitement de texte Docs, y compris une meilleure «fiabilité» lors de l'importation et de l'exportation de documents vers et depuis Microsoft Office. L'amélioration des réglages de marges et des taquets de tabulation, un meilleur traitement d'image et une amélioration de la gestion des commentaires dans le document sont également annoncés. L'éditeur de traitement de texte gèrera aussi ce que Google appelle l'édition collaborative en temps réel, ce qui signifie qu'un groupe d'utilisateurs pourra suivre « caractère par caractère » les changements effectués par l'un d'eux sur un document partagé. D'autant que, autre nouveauté, une fenêtre de discussion permet aux collaborateurs de communiquer en direct via la messagerie instantanée.
Le tableur disposera d'une barre de formule pour éditer les cellules, de même que des fonctionnalités de remplissage automatique et de glisser-déposer. L'outil de dessin permettra aussi aux utilisateurs de travailler ensemble en temps réel. Enfin, les documents de ces versions revisitées du traitement de texte, du tableur et de l'outil de dessin seront modifiables simultanément par 50 collaborateurs au plus, et, d'une manière générale, Docs sera aussi, grâce à sa nouvelle infrastructure, plus rapide. A noter cependant, même si ce ne sera que temporaire, que Google prévoit de désactiver la technologie Gears en mode hors connexion de Docs à partir du 3 mai, pour la rétablir dès que celle-ci pourra fonctionner en HTML 5. Les outils Gmail et Calendar continueront eux à utiliser Google Gears.
Déplacer l'usage de la bureautique vers le cloud
Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research, qualifie les améliorations apportées à Docs de nécessaires et progressives, sans les juger exceptionnelles. « Ce sont des fonctionnalités que tout le monde attend de ce genre de produits. Elles ne rendent pas les Docs plus utiles que Microsoft Office au point de s'y substituer, » dit-elle. « Néanmoins, ces mises à jour font de Docs une alternative plus crédible à MS Office, et peuvent favoriser Google dans sa campagne de promotion de ses applications en environnement Cloud dans l'entreprise, » ajoute t-elle. « Avec son modèle, l'objectif de Google est d'amener les gens à déplacer leur usage des applications bureautiques vers le cloud. Et plus ses outils seront attractifs, plus Google aura d'arguments pour convaincre les entreprises et les institutions, » poursuit Rebecca Wettemann. Google espère en effet que ses Apps, déjà principalement adoptées par les petites entreprises, gagneront en popularité auprès des grandes organisations. Notamment son édition Premier, dont la licence a été fixée à 50 dollars US par utilisateur et par an, qui, en matière de mode de gestion, de sécurité et de caractéristiques, apporte aux départements informatiques des entreprises ce dont ils ont besoin.
[[page]]Google soutient que ses Apps, développées depuis l'origine sur une architecture informatique Cloud, sont la meilleure alternative - la moins onéreuse aussi - aux plateformes collaboratives et bureautiques traditionnelles de Microsoft, IBM et Novell, d'abord conçues pour être installées chez sur les serveurs des clients. Mais ces fournisseurs réaménagent également leurs logiciels pour tirer parti du modèle Cloud. « Il est important et significatif de voir Google continuer à améliorer ses Docs, a déclaré Ted Schadler, analyste chez Forrester Research. « Google continue d'investir dans ce produit et n'a pas l'intention de le laisser en l'état. Le modèle Cloud lui permettra d'innover plus rapidement, » a-t-il dit. « Ces améliorations régulières vont se poursuivre et accompagner la volonté de faire entrer Docs et Apps dans l'environnement d'entreprise, même si Docs n'est pas encore au même niveau de fonctionnalités que Microsoft Office, » a t-il ajouté.
Les CIO ne cherchent pas forcément à lâcher Office
« Je ne vois pas cela comme une stratégie de remplacement, mais plus comme une stratégie d'augmentation, » précise encore Ted Schadler. « Les CIO et les responsables informatiques ne désirent pas forcément se débarrasser de Microsoft Office. Ils recherchent des solutions aux problèmes de leurs salariés/utilisateurs qui ne sont pas suffisamment bien résolues par Office. L'un d'entre eux, et il est de taille, concerne les fonctionnalités collaboratives au sein de l'entreprise. » En tant que tel, Docs procure aux entreprises une suite bureautique qui facilite la collaboration entre les salariés. « Ils remplacent les échanges par emails et le va-et-vient de multiples fichiers qui restent stockés sur leur PC. Docs offre donc une meilleure solution. »
« Le déménagement des données de leurs serveurs vers les machines de fournisseurs de services Cloud comme Google reste la grande préoccupation des entreprises », avance Rebecca Wettemann. La firme de Mountain View devra probablement répondre à cette question épineuse, lors de sa conférence Atmosphere cloud computing, à laquelle elle a convié près de 400 CIO. Au-delà de l'annonce des améliorations apportées à Docs, Google a prévu de mettre en avant quelques hauts responsables pour répondre à ses invités, y compris Bradley Horowitz, vice-président Gestion produits chez Google, Mario Queiroz, VP Gestion produits Android, Marissa Mayer, VP, chargée de la recherche Produits et Expérience utilisateurs, et Dave Girouard, président de Google Enterprise. Prendront également la parole, Alan Eustace, VP de l'ingénierie et de la recherche, Jeff Huber, VP senior de l'ingénierie et Vint Cerf, promoteur attitré de l'Internet chez Google. Enfin, ce panel sera complété par Marc Benioff, président-directeur général de Salesforce.com et de Vogels Werner, CTO d'Amazon.com.
(...)(13/04/2010 13:56:05)
Nec Computers se fond dans Nec France
L'opération est le résultat d'une stratégie menée par le groupe Nec à l'échelon mondiale qui vise à « l'intégration de son savoir-faire » dans les domaines de l'informatique, des réseau et des télécoms. Elle permet à Nec France de se trouver en possession d'une offre assez complète comprenant donc le portefeuille de la division IT Platform Solutions (serveurs, stockage, logiciels et PC virtualisés) et ses gammes historiques de solutions d'infrastructures télécoms pour les opérateurs, de produits d'affichage et de projecteurs. « Les besoins des entreprises en solutions globales deviennent de plus en plus importants. Or, Nec est un des rares industriels dans le monde à disposer de toute la palette de solutions qui permettent d'aller vers la convergence », indique Michel Lignon, le président de Nec France.
IT platform Solutions reste axée sur la vente indirecte
En interne, on appelle cette stratégie de mise en place d'un guichet unique le « ONE NEC Business Model ». Pour la concrétiser complètement, Nec France doit encore former notamment ses commerciaux sur l'ensemble de ses offres. Des groupe de travail internes ont été constitués afin de définir la façon dont cette évolution doit être opérée. « Les équipes issues de Nec Computers poursuivront les efforts qu'elles ont déjà entrepris », tient à préciser Michel Lignon. Ce qui signifie concrètement que la politique de distribution mise en place par Nec Computers va perdurer et se renforcer au sein de Nec France.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |