Flux RSS
Poste de travail
4981 documents trouvés, affichage des résultats 1411 à 1420.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(06/04/2010 09:22:33)
300 000 iPad vendus le 1er jour
Le lundi 5 avril, Apple a annoncé avoir vendu plus de 300.000 iPad le premier jour de commercialisation, soit le samedi 3 avril. Rappelons que les ventes de l'iPhone 3G avaient été d'un million d'exemplaire le premier jour et que l'iPhone premier du nom avait demandé 74 jours pour passer la barre du million ! Un succès relatif puisque les chiffres de l'iPad comprennent les précommandes, les ventes dans les Apple Store et chez les revendeurs agréés. Depuis plusieurs mois , et avec l'aide complaisante des médias, Apple a habilement orchestré le lancement de sa tablette internet.
Les premiers possesseurs d'iPad ont téléchargé dès le premier jour, plus d'un million d'applications sur l'App Store et plus de 250.000 livres numériques sur iBookstore.
Illustration IDG NS, D.R. (...)
Acheter un iPad ? 20% des Français intéressés selon une étude
A la veille du lancement de l'iPad aux Etats-Unis (samedi 3 avril), et à quelques semaines de son arrivée en France (fin avril), un sondage réalisé par Opinion Panel évalue l'intérêt de ces appareils hybrides (mi-netbook, mi-smartphone) auprès des consommateurs français. Ainsi, sur 550 personnes interrogées, 20% déclarent envisager d'abandonner leur PC portable pour passer à la tablette numérique. Sept personnes sur dix pensent par ailleurs que l'iPad sera populaire auprès des consommateurs. 11% sont prêts à payer 500 euros ou plus, tandis que 31% sont disposés à payer entre 300 et 400 euros. Les tarifs en France de l'iPad ne sont pas encore connus, mais l'appareil devrait être proposé à un prix plancher tournant aux alentours des 500 euros.
Parmi les personnes qui ne veulent pas acheter d'iPad, 37% trouvent que l'ordinateur portable reste plus performant, 28% n'en voient pas l'utilité, et 28% sont prêts à attendre le lancement d'un iPad de deuxième génération, mieux équipée que la première. Le nouveau produit phare d'Apple est également jugé trop cher pour ce qu'il propose (40% des réponses). Enfin, environ 30% des sondés ne sont pas sûrs de bien connaître l'utilité de l'iPad. 16% pensent qu'il s'agit d'un iPod, 3% que c'est un téléphone mobile, et 12% ne savent du tout ce qu'est l'iPad.
Ce sondage a été réalisé pour Kelkoo par la société Opinion Panel auprès de 550 personnes, interrogées entre le 17 et le 30 mars 2010. (...)
SAP lance son outil collaboratif StreamWork
Comme prévu, SAP vient d'annoncer la disponibilité générale de son outil de collaboration en ligne, désormais baptisé StreamWork. Le logiciel a été accessible pendant plusieurs mois en version bêta, d'abord privée, puis publique, début février. Il y a presque un an maintenant que SAP a mentionné pour la première fois, sous le nom de Constellation, cette application de prise de décision en groupe, alors en gestation. Livrée en bêta publique sous l'appellation « 12Sprints », faisant référence à la méthode de développement agile Scrum, le logiciel vient donc de se voir définitivement nommé. « StreamWork » veut évoquer la fluidité. Le nom souligne la vocation de l'outil à fournir à une équipe géographiquement dispersée un espace en ligne pour avancer sans à-coup et sans entrave sur des sujets de toute nature, exigeant une prise de décision documentée et argumentée.
« Ce peut-être la sélection d'un packaging pour un produit, donne en exemple David Meyer (photo), vice-président senior, responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, basé en Californie, dans la Silicon Valley. Ou encore, le choix d'une date et d'un lieu pour un événement. On travaille avec l'outil comme on le ferait autour d'un tableau blanc », nous a-t-il expliqué le mois dernier, à l'occasion d'un déplacement en Europe, au Cebit de Hanovre. Différentes méthodes et matrices (Swot*, notamment) sont proposées aux personnes participant à la réflexion, afin de peser le pour et le contre des solutions suggérées, en fonction de leurs inconvénients et avantages respectifs. Chacun donne son avis, en direct, et l'historique des conversations et des échanges est conservé.
« Ce logiciel n'est pas concurrent de Google Wave, mais complémentaire, considère David Meyer. Ce que nous voulons avant tout, c'est respecter la façon dont les gens travaillent. Nous ne voulons pas contrôler mais faciliter les choses, les rendre possible ».
La version payante offre plusieurs niveaux de sécurité
Librement utilisable dans sa version bêta, StreamWork va se maintenir dans une version gratuite, la Basic Edition. Celle-ci est limitée à cinq activités ouvertes (auxquelles on pourra inviter tout participant), à 250 Mo de données stockées par utilisateur et à un historique d'un an sur les dossiers fermés. Ce produit d'appel permet en revanche de collaborer sans limite aux activités ouvertes par d'autres groupes. Il autorise aussi l'ajout de méthodes supplémentaires, de commentaires et de fichiers.
Quant à l'édition dite professionnelle, on peut s'y abonner pour un an, en France, au prix de 96 euros (110,4 euros TTC) par utilisateur. Elle permet d'ouvrir jusqu'à cent activités personnelles, de disposer d'un espace de stockage de 5 Go et de conserver jusqu'à deux années d'activités déjà bouclées. Cette version dispose surtout de fonctions de sécurité à appliquer à différents niveaux (par utilisateurs et par groupes).
[[page]]
David Meyer, qui a supervisé le projet 12Sprints, a rejoint SAP/BusinessObjects il y a un peu moins de deux ans, après être passé chez Plumtree, acquis par BEA Systems, qu'il a quitté après son rachat par Oracle. « Marge Breya [vice-présidente exécutive et directeur général de SAP/BO pour la plateforme décisionnelle] m'a convaincu que je pourrais diriger un projet à la manière d'une start-up en intégrant SAP », confie-t-il. 12Sprints a démarré en s'appuyant sur le code des applications BusinessObjects On Demand, outils décisionnels en ligne [récemment livrés dans une nouvelle version]. « J'ai demandé à pouvoir développer en utilisant les méthodes agiles, on ne pouvait pas faire autrement. Mais Business Objects travaillait de toutes façons sur ce mode depuis des années ».
La toute première version bêta de l'outil a été livrée en avril 2009. Les premières prises en main se sont faites par un groupe restreint d'entreprises, chaque utilisateur au sein de ce cercle étant en mesure d'inviter qui il souhaitait dans la boucle. « Nous avons eu un profil Facebook sur l'outil 12Sprints avant même que l'identité de ses développeurs soit connue et que l'on sache qu'il s'agissait de SAP », indique David Meyer. Entre mai et novembre 2009, une liste blanche précisait le nom des entreprises autorisées à participer au test. Il suffisait d'en faire partie pour y accéder.
L'utilisateur peut porter son contexte SharePoint dans StreamWork
La bêta privée arriva début décembre. On y accédait sur invitation. « Vous pouvez facilement créer une activité. Que vous utilisiez MS SharePoint ou un outil de wiki, vous pouvez en porter le contexte dans 12Sprints [désormais StreamWork], explique David Meyer. On peut aussi y présenter des PowerPoint et les accompagner immédiatement de commentaires. Il y a eu une adoption rapide du produit pendant sa phase bêta. Les meilleurs jours, nous avons pu avoir entre 500 et 1 000 inscriptions. Bien sûr, les niveaux d'activité sont différents, certains utilisateurs sont très actifs, d'autres se sont juste enregistrés. Fin février, il y avait plusieurs milliers de personnes qui utilisaient l'application. »
Certains éditeurs américains ont déjà développé des fonctionnalités complémentaires au logiciel. Evernote, par exemple, qui propose un outil de prise de notes, permet d'intégrer ces contenus à une activité StreamWork. Scribd, de son côté, utilise sa technologie d'affichage de documents pour offrir la lecture de fichiers Word et Excel directement dans l'environnement StreamWork.
Google renforce la sécurité de Gmail pour les entreprises
Baptisé 'Google Message Security', ce service est fourni par Postini, la firme de logiciel rachetée par Google en 2007, pour 625 millions de dollars. Cette application payante permet aux entreprises de faciliter la gestion de leur messagerie, et surtout d'en améliorer la sécurité. Ne nécessitant aucune installation, Google Message Security est paramétrable via une interface web, qui permet aux entreprises de régler elles-mêmes, en temps réel, leur niveau de protections anti-spam, en choisissant les expéditeurs, les destinataires, les termes et les types de pièces jointes à bloquer, ou à autoriser. Les messages sont ensuite scannés automatiquement, et répartis dans les différentes boîtes de messageries. De cette manière, les envois à risques n'entrent jamais en contact avec les réseaux des entreprises. Les emails jugés suspects sont placés en quarantaine, une liste détaillée est régulièrement transmise aux utilisateurs pour les informer des risques évités, les courriels filtrés restent consultables. La totalité des messages sont archivés, et un moteur de recherche avancée y est intégré.
Google Message Security fait aujourd'hui partie de la suite Google Apps Premier, les entreprises peuvent y souscrire directement depuis Internet, moyennant la somme de 8 € par utilisateur et par an, pour la version uniquement sécuritaire. La mouture comprenant l'archivage complet des emails est facturée 17,50 € par utilisateur et par an, comptez enfin 31,50 € pour une conservation de 10 ans. Les établissements d'éducation et organisations à but non-lucratif peuvent bénéficier de remises à partir de 250 utilisateurs.
Les informations détaillées de cette solution sont disponibles à cette adresse : http://www.google.fr/postini/
(...)(01/04/2010 16:36:53)
AMD gagne des parts de marché au détriment d'Intel
« Au dernier trimestre 2009, AMD détenait 12,1% du marché des microprocesseurs au niveau mondial, soit 1,6 % de plus qu'à la même période en 2008, » fait remarquer iSuppli. AMD affiche également un gain de 0,28% de part de marché sur le trimestre précédent. Les succès de l'entreprise sont d'autant plus remarquables qu'ils semblent se faire au détriment de son grand rival, Intel.
Toujours selon iSuppli, au quatrième trimestre 2009, Intel couvrait 80,6% du marché des microprocesseurs au niveau mondial, en progression légère de 0,1% par rapport au troisième trimestre de 2009, mais en baisse de 1% comparé à la même période en 2008. « Si l'on considère l'exercice complet de l'année 2009, la situation en parts de marché était un peu plus équilibrée avec AMD, Intel récoltant respectivement deux dixièmes et trois dixièmes de 1 % de part en 2009 comparé à 2008, » a déclaré Matthew Wilkins, analyste chez iSuppli. «C'est une évolution intéressante parce que les prix de vente moyens des ordinateurs ont considérablement diminué au cours de l'année 2009, en particulier pour les ordinateurs portables. Ainsi, le fait que AMD et Intel aient pratiquement maintenu leurs parts de marché au niveau annuel montre qu'aucun des deux fournisseurs n'a été très affecté par la chute des prix. Cela signifie également que ni Intel, ni AMD ne pourront tirer parti de cette situation, » a t-il dit.
Les analystes du secteur sont optimistes et pensent que le marché des processeurs bénéficiera d'une reprise en 2010, peut-être même qu'elle mettra fin aux turbulences économiques que ce marché a subi ces dernières années. Fin janvier, le cabinet d'analystes IDC indiquait que la livraison de processeurs pour PC au dernier trimestre de 2009 confirmait que le marché était sur le chemin de la reprise. Sur la base de ces résultats, IDC a déclaré avoir ajusté sa prévision de croissance pour ce qui concerne la livraison de processeurs dans le secteur informatique à 15,1% pour 2010, comparé à 2009. L'automne dernier, Gartner prédisait déjà que les recettes de la vente de semi-conducteurs feraient un bond en 2010, après une baisse de plus de 10% en 2009, annonçant même qu'elle atteindrait les 255 milliards de dollars dans le monde, soit une hausse de 13% par rapport à 2009 et un retour quasi équivalente à ce qui avait été observé en 2008.
(...)| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |