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Poste de travail
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(19/10/2007 17:20:22)
Sondage flash : les lecteurs en faveur d'un couple logiciel et services en ligne pour la bureautique
Pour la majorité des lecteurs de lemondeinformatique.fr, la bureautique en ligne, comme le modèle proposé par les Google Apps, ne représente qu'un complément des offres desktop, telles qu'Office de Microsoft. 479 internautes (54,4% des répondants) estiment que les offres de services comportant notamment un traitement de texte, un tableur et un outil de présentation, ne sont pas à la hauteur des outils dits "lourds". Pour eux, ces services en ligne ne représentent qu'un plus qui doit enrichir une version installée sur le poste client. C'est la stratégie que prône Microsoft avec son Software + Services, à l'inverse de ceux qui, comme Google, ont opté pour le tout hébergé, pour rivaliser sur le marché de la bureautique. Le reste de nos lecteurs est très partagé. Alors que pour 19,6% (173 répondants) d'entre eux, la bureautique hébergée remplacera à coup sûr les formules pour desktop, les 26% restants (229 répondants) pensent en revanche que cela n'est qu'un histoire de marketing qui, immanquablement, ratera sa cible. Selon ces derniers, la bureautique en ligne n'ira guère au delà de l'annonce marketing. Estimant certainement que les fonctionnalités proposées ne sont que de la poudre aux yeux au regard de ce que peuvent offrir Office, OpenOffice ou StarOffice, voire Symphony. (...)
(18/10/2007 17:16:13)Avec OCS, Bill Gates décrète la mort des PABX
Microsoft vient de lancer officiellement Office Communication Server 2007 (OCS) et son client Office Communicator. Bill Gates en a profité pour prédire la disparition des autocommutateurs privés, alias PABX, qu'il a comparés à des mainframes monolithiques et sclérosés. L'image devrait beaucoup plaire aux fournisseurs telco qui savent au moins à quoi s'en tenir. L'objectif des outils de messagerie unifiée tels qu'OCS est d'intégrer la voix dans le flux d'information numérique géré à partir du poste de travail. L'intégration vise à la fois les couches techniques (réseau, protocole) et applicatives. Un même écran peut donner simultanément accès à plusieurs vecteurs d'échange (voix, messagerie instantanée, vidéo) avec une gestion des présences (utiliser le bon outil pour contacter le ou les interlocuteurs) et du contexte (récapitulatif des informations disponibles dans le système d'information). Bill Gates en a aussi profité pour refaire l'apologie de l'identité unique, clé de voûte d'une communication réellement unifiée. Pour Microsoft, l'intégration de la voix aux autres flux numériques d'information sonne comme le début d'une nouvelle ère. Celle où le logiciel succède au matériel dans le secteur des télécommunications. L'argument maître est le gain de productivité. A raison de 37 minutes perdues par semaine dans les méandres des échanges avortés (appels dans le vide, message déposé puis écouté), on arrive, selon Microsoft, à une semaine gâchée par an. A notre époque où l'on en est à chasser le "temps de latence humain", c'est, paraît-il, beaucoup. Ces gains et les économies d'infrastructure donnent un impressionnant ROI de 500% sur trois ans. L'histoire est en marche avec la promesse d'une intégration des fonctionnalités de communication unifiée à la prochaine version de Dynamics CRM, le PGI maison, et à Duet, le client front-office pour SAP bâti sur la suite bureautique Office. Le détail des produits annoncés - Office Communication Server ( OCS) 2007 : pierre angulaire de la stratégie de communication unifiée de Microsoft, OCS utilise le protocole SIP (Session Initiation Protocol, le protocole de l'IETF pour négocier des sessions multimédias pair à pair) pour gérer la VoIP, la messagerie instantanée (IM) et la vidéoconférence. Ce successeur de Live Communication Server 2005 revient à 2800$ auquel il convient d'ajouter un peu moins d'une centaine de dollars par licence d'accès. La version sans gestion de la VoIP et de la vidéoconférence revient à 500$ pour le serveur et à une vingtaine de dollars par client. - Office Live Meeting : l'outil maison pour tenir des téléconférences et partager des documents. Deux versions sont proposées. L'une, dite Professional Edition, supporte 1250 accès simultanés et garde en mémoire les réunions pendant près d'un an. Elle revient à 15$ par utilisateur. La version dite Standard Edition supporte quinze utilisateurs et est facturée 5$ chacun. - Une mise à jour d'Exchange Server 2007, qui lui permet de gérer les appels téléphoniques et d'intégrer la messagerie vocale à Outlook. - Outre le téléphone logiciel d'Office Communicator, des combinés adaptés sont proposés par Nortel Networks, Alcatel-Lucent, Avaya, Cisco, LG-Nortel, Mitel Networks, NEC-Philips Unified Solutions, Polycom et Siemens. Microsoft commercialise aussi un périphérique, RoundTable. Pour 3000$, cette caméra à 360° pour la vidéoconférence sait zoomer sur le participant qui prend la parole. (...)
(18/10/2007 16:52:44)Marché des PC : HP accroît son avance sur Dell
Après avoir détrôné Dell et pris la première place des vendeurs de PC dans le monde, HP continue, trimestre après trimestre, d'accroître l'écart qui le sépare de son concurrent texan. Les chiffres publiés coup sur coup par IDC et Gartner, s'ils varient légèrement lorsqu'on examine les volumes, illustrent la même tendance : au troisième trimestre 2007, HP a dépassé la croissance moyenne du marché des PC sur tous les continents. Selon IDC, 66,8 millions de machines (PC de bureaux, portables et UMPC) ont trouvé un acquéreur sur la période, soit 15,5% de plus qu'à la même période de l'année dernière. Une croissance due à une forte demande émanant des PME et, surtout, qui continue d'être portée par l'engouement des consommateurs pour les portables. Dell, toujours en train de chercher sa place sur un marché qui lui a glissé des mains, ne peut qu'observer un HP qui, sur son élan, s'arroge 19,6% des ventes mondiales, soit 2,6 points de plus qu'au troisième trimestre 2006. Avec 13,1 millions de PC écoulés sur le trimestre, HP signe une croissance en volume de 33%. C'est nettement plus que le groupe de Michael Dell qui, s'il renoue avec la croissance après trois trimestres consécutifs de baisse (sauf aux Etats-Unis, où ses ventes continuent de reculer), ne peut augmenter ses volumes que de 3,8%. Mais une progression des ventes n'engendre pas nécessairement une part de marché en hausse. Son rythme poussif fait ainsi reculer Dell à 15,2% des PC distribués (16,9% au troisième trimestre 2006). Acer, n°3 virtuel Lenovo complète le podium, le même qu'il y a un an, avec 8,2% des ventes mondiales et un rythme de progression supérieur à celui du marché. Derrière, les constructeurs spécialistes des PC portables profitent de l'amour que leur porte les consommateurs. Et parmi ces acteurs, c'est encore une fois Acer qui s'en tire le mieux. Habitué aux croissances supérieures à 40%, le fabricant ne déroge pas à la règle et voit ses ventes bondir de 59,2% sur un an. Des chiffres qui ne tiennent pas compte de la récente acquisition de Gateway, laquelle place virtuellement Acer à la troisième position des vendeurs. Notons enfin qu'Apple, avec des volumes écoulés en hausse de 15,9%, arrive derrière Dell et HP aux Etats-Unis. La forte croissance du marché mondial devrait perdurer au cours des trimestres à venir, estiment les analystes d'IDC. Elle continuera à profiter de la demande en PC portables, qui promet un excellent dernier trimestre aux constructeurs. « Les prix en baisse, la concurrence acharnée entre les fabricants, et les budgets commerciaux en hausse dans toutes les régions du monde vont maintenir une croissance élevée pendant les prochaines années », explique IDC. La seule ombre qui se profile pourrait venir d'une incapacité des fournisseurs à approvisionner les constructeurs - notamment en batteries et composants liés à l'affichage - qui se traduirait par une limitation des volumes produits et/ou une hausse des prix. Ce serait alors, explique l'institut d'études, les plus petits constructeurs qui en pâtiraient en raison d'un temps d'adaptation plus long (les grands acteurs étant plus facilement à même de moduler leurs lignes de produits). (...)
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