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Poste de travail
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(03/02/2005 18:13:33)
Microsoft pousse Office comme plate-forme de développement
Cherchant à conforter sa position sur les postes de travail alors que la menace des OS Linux se renforce, Microsoft souhaite positionner Office de plus en plus comme une plate-forme de développement. Un mouvement de nature à renforcer un peu plus l'emprise d'Office sur le marché des suites bureautiques dans les grands comptes. A l'occasion de sa première Office System Developer Conference, qui se tient de mercredi à vendredi à Redmond, Microsoft a présenté un arsenal d'outils de développement, dont une mise à jour des outils Visual Studio pour Office.
L'objectif de Microsoft est, semble-t-il, de profiter de sa position de force pour tenter d'imposer Office comme l'interface standard d'accès aux données de l'entreprise. Le géant de Redmond espère faire d'Outlook ou d'Excel des frontaux pour les grands progiciels de gestion intégrés (PGI) et outils de gestion de la relation client (GRC), accentuant un peu plus la dépendance des grands comptes envers ses outils.
L'un des exemples mis en avant par Microsoft est le projet Elixir, un outil qui permet aux commerciaux de la marque d'accéder aux données de GRC de Siebel depuis Outlook. Les développements sur Elixir pourraient être mis à la disposition des clients de l'éditeur dans les prochains mois. Dans son effort pour attirer les développeurs vers Office, Microsoft dispose du soutien de partenaires comme Salesforce.com. Le spécialiste des applications de GRC hébergées a créé un kit de développement baptisé "Sforce Developer Program for the Microsoft Office System", qui rassemble tous les outils nécessaires pour bâtir des applications permettant d'accéder à ses services depuis Office.
Selon Microsoft, la conférence Office System Developer a attiré 800 participants en provenance de 40 pays. Un chiffre somme toute modeste par rapport aux autres conférences développeurs organisées par l'éditeur. Mais la conférence n'est que le coup d'envoi d'une série d'événements au cours desquels Microsoft entend prêcher la bonne parole autour d'Office. (...)
Apple lance des Powerbook plus rapides et moins chers
Apple Computer a annoncé hier une modeste mise à jour de sa gamme de portatifs professionnels Powerbook, portant la fréquence maximale de 1,5 GHz à 1,67 GHz. Tous les nouveaux modèles annoncés par la firme à la pomme profitent d'une configuration renforcée avec notamment 512 Mo de mémoire en standard, des puces graphiques plus performantes (GeForce 2 Go 5200 pour le Powerbook 12" et ATIRadeonMobile 9700 pour les 15 et 17"), des graveurs de DVD 8x (pour les modèles "SuperDrive"), ainsi qu'Airport 802.11g et Bluetooth 2.0 en standard.
Apple a aussi amélioré l'ergonomie de son trackpad avec une fonction permettant de naviguer rapidement dans de longs documents en utilisant deux doigts au lieu d'un seul. Enfin, les nouveaux modèles sont dotés d'un capteur de mouvement permettant de ranger les têtes de disques durs en cas de chute du portable, afin de protéger les données, une fonction similaire à celle déjà intégrée par IBM dans certains ThinkPad.
Autre bonne nouvelle pour les utilisateurs de Mac, les nouveaux Powerbooks sont plus économiques que les anciens. Le Powerbook 12" est ainsi vendu à partir de 1 279 ¤ HT, tandis que le 15" est disponible à partir de 1 670 ¤ HT. Le fleuron de la gamme, le PowerBook 17" est quant à lui vendu à partir de 2 256 ¤ HT. (...)
Microsoft mise sur la baisse des prix pour doper les ventes des Tablet PC
Microsoft veut faire sortir les ventes de Tablet PC de l'ornière et mise pour cela sur la baisse des prix de ces appareils. Les principaux constructeurs de ces ordinateurs convertibles en tablettes électroniques, Acer et Toshiba, devraient ainsi faire chuter leurs prix d'environ 25 %. Selon Microsoft, on devrait ainsi trouver des Tablet PC à des prix compris entre 1 500 et 1 600 $ dès le printemps. Seul bémol : les nouveaux Tablet PC « économiques » seront un peu moins puissants et un peu plus lourds que leurs équivalents haut de gamme.
Comme le souligne un analyste d'IDC, le prix n'est toutefois qu'un facteur de l'échec des Tablet PC : personne ne sait vraiment comment vendre ce type de produits et il lui manque sa « killer-app ». Le marketing effectué autour des Tablet PC n'est pas vendeur. Microsoft, s'il veut réellement lancer cette gamme de produits, devra sans doute y adjoindre des efforts de communication pour les sortir de leur niche. (...)
Microsoft change le nom de son Windows XP sans Media Player
Microsoft ne nommera pas sa version de Windows XP dépourvue de son lecteur multimédia Windows Player, « Windows XP Reduced Media Edition ». Cette décision fait suite aux critiques de la Commission européenne. Celle-ci a imposé l'an passé à l'éditeur de diffuser en Europe une version allégée de Windows XP pour favoriser la concurrence dans les lecteurs et codecs multimédias. Selon le porte-parole de Microsoft, Jim Desler, le nom de Windows XP Reduced Media Edition est respectueux « de l'esprit des compromis que nous avons acceptés ». Et d'assurer que l'éditeur « travaille actuellement avec la Commission à des noms alternatifs ».
A travers cette vigilance, la Commission européenne veut s'assurer que Microsoft ne fera rien qui puisse détourner les consommateurs de son Windows XP allégé. Selon un porte-parole de la Commission, interrogé par IDG News Service, l'éditeur « ne doit rien faire qui rende cette version moins attractive ».
Un système qui n'attire pas les constructeurs
Et, manifestement, les inquiétudes de la Commission sont justifiées. Ainsi, Dell, HP et Fujitsu-Siemens, trois des quatre principaux constructeurs de PC en Europe, n'ont pas prévu de commercialiser d'ordinateur avec Windows XP dépourvu de son lecteur multimédia. IBM prévoit quant à lui de conduire des tests avant toute décision et Acer n'a pas répondu aux questions d'IDG News Service.
HP et Fujitsu-Siemens invoquent "l'effort commercial supplémentaire" que nécessiterait la commercialisation de cette nouvelle mouture de Windows. Un argument qui laisse dubitatif face au système de commande en ligne du premier. Mais les deux constructeurs estiment que les consommateurs ne s'y intéresseront pas, surtout si la version allégée et la version normale sont au même prix.
Si la décision de la Commission peine à avoir un impact immédiat, elle risque cependant d'avoir des conséquences à long terme. Microsoft a dû ouvrir certaines interfaces à des concurrents et pourrait y réfléchir à deux fois avant d'intégrer de nouvelles technologies à son système d'exploitation. L'éditeur y a déjà intégré un pare-feu sans qu'aucun éditeur tiers ne s'en émeuve mais peut-être n'en sera-t-il pas de même pour des filtres antispams généralisés à Outlook Express, un antispyware ou encore un antivirus. (...)
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