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Poste de travail
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(14/01/2005 17:25:03)
HP fusionne ses divisions PC et imprimantes
HP regroupe sa division impression, très rentable, avec son activité PC, sous une seule entité baptisée HP Imaging and Personal Systems Group.
Celle-ci est dirigée par Vyomesh Joshi qui était jusqu'à présent vice-président exécutif de la division Imagerie et Impression. Selon certains analystes, ce rapprochement vise à améliorer la rentabilité du groupe et à anticiper la baisse du marché du PC annoncée entre 2006 et 2008. Ce rapprochement interne intervient quelques semaines après la vente de la division PC d'IBM au Chinois Lenovo. (...)
Alcatel s'associe à Microsoft pour la voix sur IP
Alcatel vient de signer un partenariat avec Microsoft pour le développement d'applications permettant de passer des appels téléphoniques directement depuis l'ordinateur de bureau. Concrètement, la division Genesys de l'équipementier va collaborer avec le groupe de développement pour le travail collaboratif en temps réel de Microsoft sur l'intégration de la téléphonie à Istanbul, le logiciel client de la version 2005 du serveur de messagerie instantanée du géant de Redmond, Live Communications Server.
Les fonctions de téléphonies seront assurées par l'autocommutateur de l'entreprise ou un IP-PBX. Les termes financiers de l'accord n'ont pas été communiqués. (...)
Apple enregistre des résultats records
Apple vient de publier un chiffre d'affaires record de 3,49 Md$ pour le dernier trimestre 2004 (son premier trimestre fiscal 2005), assorti d'un bénéfice net, lui-aussi record, de 295 M$. Ces chiffres sont en progression respective de 74 % et de % par rapport à la même période un an plus tôt. Dans un communiqué, Steve Jobs, PDG du constructeur, se dit « excité de présenter les chiffre d'affaires et bénéfice net trimestriels les plus élevés de l'histoire d'Apple ».
Le constructeur doit principalement cette croissance au succès de ses baladeurs audio numériques de la gamme iPod : il s'en est vendu près de 4,6 millions au cours du trimestre écoulé, 525 % de mieux que l'année précédente. Le succès des iPod est tel que ses acheteurs portent un intérêt nouveau aux ordinateurs de la marque. La firme à la pomme a ainsi vendu plus d'un million de Macintosh au cours du dernier trimestre 2004, soit 26 % de plus qu'à la même période de 2003. Depuis quatre ans, la firme à la pomme n'a jamais vendu autant d'ordinateurs personnels en un trimestre. Apple précise que son iMac rencontre un succès particulièrement vif avec 456 000 unités livrées au cours du trimestre pour un chiffre d'affaires de 620 M$.
Pour autant, la direction d'Apple se garde bien, pour le moment, d'établir un lien entre les iPod et une éventuelle prise de parts de marché sur les systèmes embarquant Microsoft Windows. Néanmoins, le constructeur estime, sur la base d'informations remontées par ses revendeurs, capturer de nouveaux utilisateurs.
Pour le trimestre entamé, Apple prévoit un chiffre d'affaires de 2,9 Md$. (...)
MacWorld : Apple lance un Mac à mois de 500 euros
Apple a décidé de revenir sur le marché de l'entrée de gamme en annonçant hier un nouveau Macintosh économique ainsi que des versions de son iPod à base de mémoire flash. Après plusieurs années de concentration sur le milieu et le haut de gamme, Apple a retrouvé la santé financière est peut désormais se permettre de réattaquer de façon frontale le marché des PC, avec un nouveau modèle vendu à partir de 499 ¤. Objectif : séduire les utilisateurs de PC à la recherche d'une machine de remplacement, mais aussi offrir une machine abordable aux utilisateurs de Mac à la recherche d'un second poste. Accessoirement, l'iMac mini devrait aussi être un excellent poste bureautique économique pour les entreprises converties au Macintosh
Bien évidemment, Apple ne pouvait pas faire comme tout le monde et sa dernière création, l'iMac Mini se distingue radicalement de tous les micro-ordinateurs du marché par un design ultra compact. La machine, à base de processeur G4 à 1,25 ou 1,4 GHz, se présente sous la forme d'un pavé aux arêtes arrondies. Le tout mesure 16cm x 16 cm x 5 cm, soit à peine plus qu'une pile de 6 ou 7 boites de CD-Audio. Si la compacité est un atout, un autre avantage de la machine devrait être son silence. La puce utilisée par l'iMac mini est en effet le très économe G4, un processeur utilisé dans les portables de la marque et qui ne nécessite pratiquement aucun refroidissement.
Côté équipement, Apple reste fidèle à son concept de machine prête à l'emploi mais non évolutive. Pas de connecteur PCI interne ni de possibilité de bidouille interne de la machine mais un équipement de base équilibré, qui suffira à 90 % des utilisateurs. L'iMac mini embarque ainsi en standard un contrôleur graphique ATI Radeon 9200, 256 Mo de mémoire, un disque dur de 40 ou 80 Go, un lecteur de DVD/graveur de CD-RW, deux ports USB, un port Firewire, un port Ethernet 10/100, un port modem et une sortie VGA/DVI pour un moniteur externe. Le tout est livré avec Mac OS X 10.3 préinstallé, la suite multimédia iLife 5.0, l'intégré Appleworks ainsi que quelques jeux et utilitaires. En option, la machine peut recevoir une carte Wi-Fi Airport Extreme (802.11g), un module Bluetooth et un convertisseur VGA/vidéo pour brancher la machine sur une télévision.
Il est à noter que l'iMac mini est fourni sans clavier ni souris ni écran. Apple explique ce choix par le fait que nombre des clients potentiels, utilisateurs de Windows ou de Mac OS X, disposent déjà de claviers et souris USB ainsi que d'un écran. Il leur suffit donc d'acquérir l'iMac mini et de l'installer en lieu et place de leur unité centrale actuelle. Ceux qui souhaitent acquérir l'iMac mini comme seconde machine, devront en revanche faire l'acquisition de ces périphériques. En tirant les prix, un iMac mini avec écran TFT 17 pouces, clavier et souris USB, devrait donc coûter un peu moins de 800 ¤ TTC, soit le prix d'un entrée de gamme Dell Dimension 2400 équipé d'un processeur plus véloce (Pentium 4 à 2,8 GHz) mais sans logiciel multimédia et dépourvu de carte graphique avancée. (...)
Yahoo rend disponible une bêta de son outil de recherche pour PC
Après Microsoft et Google, c'est au tour de Yahoo de lancer son outil de recherche pour PC, baptisé, sans surprise, Yahoo Desktop Search. L'outil repose sur une technologie licenciée à la société X1 Technology. Au total, près de 200 formats de fichiers différents sont supportés : parmi les plus utilisés, Microsoft Office (Word, Excel, Powerpoint, ainsi que les messages Outlook et leurs pièces jointes ), PDF, Photoshop (Adobe), HTML et TXT, ainsi que les MP3.
Côté ergonomie, l'interface détaille chaque fichier dans un e fenêtre de prévisualisation, et propose également un panel d'actions (supprimer, imprimer, trier et envoyer par mail) à appliquer. Yahoo indique que la lecture des fichiers audio et vidéo peut s'effectuer depuis l'interface, sans outils tiers. Enfin l'utilisateur peut choisir quel type de fichier il souhaite indexer. A noter que cette version, actuellement en bêta n'indexe pas les messages e-mails issus d'Eudora, Foxmail, ou même Thunderbird.
Yahoo entend par la suite interfacer Desktop Search avec les autres services de la marque, notamment le Webmail et le gestionnaire de contacts en ligne. (...)
Opera disponible en bêta pour Linux
L'éditeur norvégien Opera Software annonce la disponibilité d'une version bêta pour Linux de son navigateur. Pour l'heure, pas de numéro de version, mais Opera confie que cette version dépasse, au regard de ses avancées technologiques la prochaine version logique du navigateur - l'éditeur travaille actuellement sur une version 7.60. Rappelons qu'Opera Software a déjà sorti une bêta pour Windows, référencée 8.0b1 (uniquement en anglais).
Techniquement, la version bêta Linux embarque les mêmes fonctionnalités que la version Windows : lecteur RSS, la Start Bar, ainsi que le blocage de pop-up. L'éditeur n'indique toutefois pas, si la version Linux embarque le module de commande vocale, Embedded ViaVoice.
Selon Opera Software, la version finale devrait être disponible courant 2005. (...)
Microsoft lance son antispyware et annonce un outil d'élimination des virus
Comme nous l'annoncions mercredi, Microsoft a officiellement dévoilé hier une version bêta de son logiciel de lutte contre les programmes espions (spywares). Windows AntiSpyware est téléchargeable sur le site Web de Microsoft pour les utilisateurs disposant d'une licence légitime de Windows (2000, XP ou Server 2003). Parallèlement, Microsoft a promis l'arrivée pour le 11 janvier d'un outil d'élimination des virus et autres chevaux de Troie, un outil qui sera remis à jour mensuellement. L'objectif de ce logiciel n'est pas de remplacer un antivirus - il n'empêche en effet pas les attaques - mais d'aider les utilisateurs à désinfecter une machine attaquée. (...)
(07/01/2005 18:12:24)CES : Microsoft abandonne les marques PocketPC et Smartphone
A l'occasion du CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas, le n°1 du logiciel Microsoft a annoncé qu'il souhaitait abandonner progressivement les marques PocketPC (son OS pour PDA) et Smartphone (téléphone mobile), au profit de Windows Mobile. Elle deviendra ainsi l'enseigne unique pour catégoriser les solutions mobiles de l'éditeur de Redmond. Selon lui, les marques devraient disparaître d'ici un an ou deux, « le temps de fusionner les technologies ».
De son côté, le consommateur ne disposera plus de référence Microsoft dédiée, soit aux téléphones mobiles, soit aux PDA. Pour les distinguer, l'éditeur de Redmond mise désormais sur les fonctionnalités inhérentes des appareils mobiles. Il travaillerait par ailleurs en collaboration avec les fabricants pour les aider à rebaptiser leurs produits. Notamment HP, qui utilise la marque PocketPC pour commercialiser son iPaq. (...)
Microsoft abandonne le développement de Windows XP pour Itanium 2
Microsoft vient de mettre un terme à ses projets de portage de Windows XP sur plate-forme Itanium 2. Cette démarche met un terme aux espoirs d'Intel de voir un jour sa plate-forme conquérir le marché des stations de travail.
Le géant de Redmond explique ce choix par son intention de concentrer ses efforts sur le développement de Windows XP pour les stations de travail embarquant des processeurs 32 bit à jeu d'instructions étendu 64 bit, tels que les processeurs Opteron 64 bit d'AMD.
Intel a lancé sa plate-forme Itanium il y a maintenant plus de sept ans dans l'espoir de remplacer progressivement l'architecture IA-32 en construisant son avenir autour du 64 bit. Initialement, le fondeur, voyait son architecture Itanium - dont le premier-né fut le Merced - dans toute l'informatique personnelle et professionnelle. Et ainsi de la présenter en mars 2000 lors d'une conférence de développeurs de jeux vidéos. En juillet de la même année, Dennis Goo, directeur des solutions pour médias numériques d'Intel, vantait les mérites de la plate-forme pour les producteurs de contenus multimédias numériques. Pour déchanter rapidement.
Un an plus tard, à l'Intel Developer Forum 2001 de San Jose, Intel se limitait déjà à souligner la fiabilité de sa plate-forme pour les serveurs, poussant le Pentium 4, les Xeon et l'Hyper-Threading pour le poste de travail. En 2002, lors du lancement de l'Itanium 2, le fondeur insistait sur la dimension "marque de choix" du processeur pour "des serveurs et des stations de travail haut de gamme" tout en estimant que sa plate-forme deviendrait la référence "dans les centres de calcul de haut niveau".
Pragmatique, Dell avait déjà décidé d'abandonner la production de stations de travail Itanium en février 2002. Il aura fallu deux ans et demi de plus à HP pour lui emboîter le pas. L'abandon de Windows XP sonne le glas de tout espoir de retour de l'Itanium sur ce marché et la consécration de la stratégie d'AMD avec son jeu d'instruction x86 étendu AMD64. Ironie, cette consécration est telle qu'Intel a dû manger son chapeau et accepter de cloner dans ses Xeon, les extensions 64 bit imaginées par son concurrent. Seule consolation, Intel reste largement leader du marché des processeurs 64 bit, mais avec une technologie qu'il n'a pas inventé... (...)
AMD World : une conférence développeurs autour du monde AMD
Après des années de guérilla en marge de l'Intel Developer Forum, AMD a finalement décidé d'organiser sa propre conférence développeurs, AMD World, qui devrait se tenir au deuxième trimestre 2005 à Las Vegas ou Phoenix. Selon une source proche d'AMD, l'objectif du fondeur est d'organiser sa conférence au moment du lancement officiel par Microsoft des versions 64 bit de son système d'exploitation Windows.
L'année écoulée a particulièrement bien réussi à AMD qui a réussi à se faire une place au soleil dans le monde des serveurs avec sa ligne de processeurs 64 bit Opteron. En misant sur l'extension à 64 bit du jeu d'instruction x86, AMD a réussi à faire dérailler les plans d'Intel et à marginaliser l'Itanium, désormais relégué à la niche des grands serveurs d'entreprises et des grands clusters de calcul. Le fondeur a de plus pris une confortable longueur d'avance sur son rival, contraint de retoucher ses puces Xeon pour les rendre compatibles avec son jeu d'instruction AMD64.
A ce jour, trois des plus grands vendeurs de serveurs de la planète (HP, IBM et Sun) ont inscrit l'Opteron à leur catalogue et l'intérêt pour la puce va croissant. AMD World pourrait être l'occasion pour AMD de mettre en avant son avance technologique, mais aussi de présenter les futures évolutions de ses puces. Le fondeur devrait en effet présenter vers la même époque ses premières puces bicoeurs Opteron, avec près de six mois d'avance sur les futurs Xeon bicoeurs. (...)
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