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(27/01/2011 10:51:32)
Petite progression des ventes informatiques en 2010 en France selon GfK
Le baromètre GFK parle d'abord d'un retour de la croissance. Le marché total (produits télécoms + informatique + photos + EGP et leurs accessoires, mais sans les consoles) représente 17,7 milliards d'euros sur 2010. En progression de 0,9% par rapport à 2009, qui enregistrait un recul de 0,9%. Pour rappel, 2008 était à -5,5% par rapport au pic historique de 2007 : 18,7 milliards d'euros. « On est dans un tunnel, entre 17 et 18 milliards d'euros depuis cinq ans » commente François Kipfel, directeur général adjoint de GFK, le marché ne bouge pratiquement pas.
Certaines tendances sont pourtant fortes. Entre produits, avec des variations différentes suivant les segments, les télécoms progressent de 5,6% en 2010, l'informatique de 3,7%, tandis que la photo chute de 4,7% et l'EGP de 1,8%. D'une saison à l'autre, avec un 1er trimestre en légère progression, un mois de mai à +14% du fait de la coupe du monde de foot, la fin de l'année par contre a plongé : -3% en octobre, -6% en novembre, -6% en décembre.
La France se situe parmi les mauvais élèves de la classe européenne, avec 1% de progression (croissance en valeur), quand l'Allemagne est à +6% et le Royaume-Uni à +2%. Cet écart quantitatif se retrouve dans les motivations des consommateurs. Les français achètent toujours plus mais de moins en moins cher : en 2010 ils ont commandé en moyenne 3,3 biens techniques, contre 3,1 en 2009, 3,2 en 2008, mais avec un prix moyen en baisse de 5%, il était en baisse de 4% en 2009, de 3,5% en 2008. Des prix moyens en baisse sur toutes les familles de produits, là encore c'est une spécificité du marché français.
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Les ventes Internet sont plus faibles en France que dans les pays comparables
La distribution affiche des tendances proches de celles des années passées. Les spécialistes représentent 22% des ventes, en baisse de 5%. Les GSS +0,1% à 39% des ventes (et en incluant leurs ventes sur Internet). Les hypermarchés +1% à 27% des ventes (en incluant leurs ventes sur Internet). Les plus fortes progressions se trouvent dans la dernière catégorie, celle des grands magasins et des vendeurs à distance, qui représentent 12% des ventes en progression de 7%. Le canal Internet est plus faible en France que dans les pays comparables : 14% chez nous, mais 20% au Royaume-Uni et 21% en Allemagne.
L'optimisme vient d'autres données. En particulier le multi équipement en matière de PC. Actuellement, 29% des foyers français ont 2 ordinateurs ou plus (contre 15% fin 2007), 53% d'entre eux possèdent 2 télévisions ou plus. L'équipement en PC devrait rattraper celui en télévisions. GFK note également la poussée des tablettes PC. Le marché des PC augmente de 2%, mais de 8% si on ajoute les tablettes. Ces dernières ont représenté, en 2010, 220 millions d'euros, contre 361 pour les netbooks (+15%), 2,4 milliards pour les PC portables (+2%), 850 millions d'euros pour les desktops (pas de progression).
Les tablettes vont peut être commencer à cannibaliser les netbooks et les PC portables. En tout cas la mobilité, sous toutes ses formes, atteint des records. Avec peut être un risque de retour à la baisse des prix. Le consommateur s'oriente également massivement vers les produits de stockage. Une conséquence de sa mobilité. Il fait la fête aux produits télécoms.
Intel travaille sur une technologie bloquant les attaques zero days
Justin Rattner, CTO d'Intel, a expliqué à nos confrères de Computerworld, que des chercheurs internes travaillent sur une technologie de sécurité qui permet d'arrêter toutes les attaques zero-day. Sans donner beaucoup de détails à ce sujet, il espère que les travaux seront publiés cette année. « Je pense que nous avons quelques idées pour changer la donne vis-à-vis des logiciels malveillants », a déclaré le CTO d'Intel. « Nous allons voir un saut extrêmement imprtant dans la capacité des futurs terminaux, ordinateurs, smartphones, tablettes ou les télévisions connectées, à se défendre contre les attaques. »
Il a précisé que la technologie proposée ne sera pas basée sur les signatures, comme le font les spécialistes de la sécurité actuellement. La détection de logiciels malveillants basés sur la signature repose sur la recherche de modèles connus au sein du code malveillant. Cependant, les attaques «zero day» ou de malwares plus complexes n'ont pas de code connu et il est donc difficile de s'en prémunir. « Nous avons découvert une nouvelle approche qui empêche les attaques les plus virulentes. Elle devrait arrêter celles de type zero-day». La technologie comprendra un aspect matériel, sans savoir pour l'instant si une brique logicielle est envisagée.
Fiabilité et avantage concurrentiel
Dan Olds, analyste chez Gabriel Consulting, indique que si cette technologie fonctionne comme Justin Rattner l'explique, il pourrait s'agir d'une avancée majeure pour la sécurité informatique. « Si Intel dispose d'une technologie matérielle qui peut sûrement arrêter les attaques zero-day, ce serait une grande victoire dans la guerre contre les logiciels malveillants », confirme le consultant. « La clé, c'est que ce système doit être fiable. Il doit avoir la capacité de discerner le logiciel légitime du programme malveillant. En résolvant ce problème, cela donnera un avantage concurrentiel à Intel par rapport à AMD. » Il ajoute que la technologie qui repose sur du matériel peut être très intéressante. « La meilleure protection est une combinaison de matériel et de logiciels. La sécurité du matériel peut être plus forte et plus rapide dans certaines situations, mais elle n'est pas aussi souple que les mécanismes purement logiciels. Le grand changement ici, c'est qu'Intel devrait tirer parti des fonctions de sécurité dans le circuit ou le processeur » conclut Dan Olds.
Justin Rattner a déclaré que les chercheurs d'Intel ont travaillé sur cette technologie de sécurité avant que la compagnie ne propose d'acquérir McAfee, spécialiste de logiciel de sécurité, pour 7,68 milliards de dollars. Toutefois, cela ne signifie pas que McAfee serait écarté des travaux menés.
Illustration : Justin Rattner, CTO d'Intel
Crédit Photo: D.R
(...)
Smartphones et PC portables ont animé les ventes technologiques en 2010
Après deux baisses annuelles consécutives, en raison de la crise, le marché français de la high-tech est reparti à la hausse. En 2010, les ventes de produits technologiques vendus dans les circuits de distribution grand public ont représenté quelque 17,7 milliards d'euros (+0,9%). Un niveau semblable à celui enregistré en 2008, mais qui reste tout de même inférieur au record de 2007 (18,7 milliards). « En quantités vendues, les Français ont acheté plus de 100 millions de produits technologiques en 2010, soit une croissance de +6% par rapport à 2009. C'est un nouveau record ! », a commenté Olivier Malandra, Directeur de l'électronique grand public chez GfK Retail & Technology France.
Cette croissance provient essentiellement des produits mobiles (téléphones et PC portables, tablettes tactiles). A noter, la plupart des familles de produits ont vu leurs prix baisser en 2010, souligne le cabinet. Au rayon informatique, les Français ont acheté en 2010 pas moins de 5,1 millions d'ordinateurs portables, dont 1,3 million de netbooks. Un chiffre auquel viennent s'ajouter 435 000 tablettes vendues l'an dernier. Ces ardoises tactiles, véritablement lancées en 2010, se sont surtout vendus en fin d'année (160 000 unités écoulées en décembre). Pour 2011, GfK table sur 6,5 millions d'ordinateurs mobiles vendus en France, dont 1,4 million de netbooks et 1 million de tablettes. Quant aux PC de bureau classique, les ventes sont restées stables, grâce notamment au succès des ordinateurs "All in one" (unité centrale intégrée au dos de l'écran tactile).
Le boom des smartphones
Côté télécoms, les ventes de téléphones portables ont culminé à 24,7 millions d'unités en 2010, soit 1,1 million de plus qu'en 2009 (+4,7%). Dans le détail, les Français ont acheté nettement moins de mobiles classiques (17 millions en 2010 contre 20 millions en 2009), mais deux fois plus de smartphones (7,7 millions contre 3,6 millions). En 2011, GfK prévoit 25,1 millions d'unités, dont quasiment le même nombre de smartphones (11,8 millions) que de mobiles (13,3 millions). Dans les autres segments, les ventes ont également progressé pour les appareils photo grâce à la baisse des prix et au boom des compacts hybrides, les caméscopes avec le succès des modèles de poche, les chaînes hi-fi, emmenées par la mode des docking station pour baladeurs MP3, les systèmes Home Cinéma, les disques durs externes, et les imprimantes.
Selon GfK, le marché français des biens technologiques devraient continuer de croître en 2011, pour se situer entre 17,5 et 18 milliards d'euros. Les TV, notamment les modèles connectés au Web, les smartphones et les ordinateurs mobiles (tablettes incluses) devraient une fois de plus constituer le trio gagnant de l'année.
Crédit Photo: D.R
(...)(26/01/2011 10:30:47)Tibco lance une plateforme sociale taillée pour l'entreprise
Tibco se risque à son tour sur le terrain des solutions de réseaux sociaux d'entreprise, du type de celle que propose Salesforce.com avec Chatter. Sa plateforme, baptisée Tibbr, annoncée fin 2009, vient d'être lancée par l'éditeur à San Francisco. On y retrouve le concept, désormais familier, des flux d'informations. A ceci près qu'au lieu de suivre l'actualité de contacts, les utilisateurs vont suivre des sujets (données, domaines -Fig1 ci-dessous- ou événements -Fig2) qui auront été générés par les applications exploitées dans l'entreprise. Cette solution est disponible à la fois en mode SaaS, comme un service en ligne, et sous la forme classique d'une application à installer en interne.
Pour Ram Menon, vice-président exécutif du marketing de Tibco, cette approche est plus intéressante que de simplement s'attacher à des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt. « Billy qui s'occupe des livraisons à San Diego ne connaît pas Joe qui fait la même chose à Hong Kong. Mais Samsung est leur plus gros client, donne-t-il en exemple. Par conséquent, un sujet intitulé « Livraisons Samsung » pourrait être créé qui afficherait des données provenant du système logistique que ces deux utilisateurs pourraient suivre à travers Tibbr ». 
Fig 1 - Cliquer ici pour agrandir l'image
Tibco a également cherché à améliorer le filtrage des informations. « Les priorités diffèrent : si mon patron publie une information, je veux en être informé en temps réel, explique Ram Menon. En revanche, s'il s'agit d'une actualité sur une campagne marketing, je souhaiterai en être informé le matin, et puis qu'on me l'envoie ensuite sur mon poste. »
La plateforme autorise aussi l'intégration des flux provenant de réseaux sociaux extérieurs à l'entreprise, tels que Facebook. En revanche, la récupération des données ne se fera que dans un sens, afin d'être certain de ne pas laisser sortir des données au-delà du pare-feu.
Fig 2 - Evénements remontant des applications
Support des annuaires d'entreprise
Tibbr se complète d'un framework de flux d'événements qui permettra aux responsables métiers de créer des sujets sans passer par le département informatique. Par exemple, un responsable des ventes peut vouloir créer un fil d'actualité mis à jour à partir des champs de l'application de CRM (gestion de la relation client). La plateforme inclut aussi le support de terminaux mobiles et des capacités d'intégration avec les annuaires d'entreprise LDAP et Active Directory de Microsoft, pour l'authentification des utilisateurs.
Cet ensemble de fonctionnalités est le fruit d'un développement qui s'est révélé finalement plus long que prévu, a confié Ram Menon lors de la présentation de la plateforme. Tibco a livré une première version bêta plusieurs mois après l'annonce initiale. Mais l'éditeur s'est vite rendu compte que plaquer des fonctionnalités popularisées dans le grand public ne fonctionnait pas forcément pour l'entreprise, reconnaît le vice-président marketing monde. « Dans les secteurs industriels très régulés, les clients étaient très réticents à voir leurs conversations très privées flotter dans l'atmosphère. Tibco a donc estimé qu'il fallait en proposer une version à installer en interne. » Mais dès que vous parlez de « on premise », vous retombez tout de suite dans des projets qui s'étalent sur six mois. « Nous avons donc travaillé là-dessus ». En utilisant son expertise middleware, Tibco a développé des méthodes qui permettent à Tibbr de fonctionner sur des systèmes « on premise » en quelques heures, de façon assez comparable avec ce que proposerait une version SaaS, assure Ram Menon.[[page]]L'éditeur s'est également rendu compte que l'offre devrait disposer d'un solide support mobile au moment de son lancement. Tibbr s'accompagne d'applications natives pour les plateformes d'Apple, BlackBerry et sous Android. D'autres doivent suivre. De fait, Tibco pense que si un produit comme Tibbr ne peut pas être mis en oeuvre de façon universelle sur des terminaux mobiles, son adoption ne peut qu'être freinée.
La plateforme a déjà reçu une appréciation positive de l'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, spécialisé depuis de nombreuses années sur les logiciels professionnels. Il trouve que cet outil de collaboration a beaucoup d'allure, surtout venant d'une société dont on n'aurait pas attendu ce style de produits. « C'est l'une des choses qui peut apporter de la pertinence à Tibco en 2011 », estime-t-il. L'aptitude de Tibco à filtrer l'information pour descendre jusqu'à l'information qui sera véritablement utile, c'est le composant crucial de l'offre, selon lui. « Nous sommes submergés par toute cette information », ce qui fait que même un modeste flux d'actualités sur un compte Facebook se transforme rapidement en vraie pagaille, fait justement remarquer Ray Wang.
La SSII Ciber passe de Yammer à Tibbr
L'un des premiers clients de Tibbr est le prestataire de services IT Ciber (8 000 personnes, plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires). La plateforme va être déployée auprès de tous ses salariés, a indiqué Tony Hadzi, président de Ciber pour l'Amérique du Nord. La société va migrer de la plateforme de collaboration Yammer pour passer sur Tibbr, a-t-il expliqué. Yammer a été remarquablement accepté par les salariés, une adoption qui a en outre nécessité peu d'efforts de la part de l'encadrement de Ciber. Comme la société utilisait la version gratuite du logiciel, cette expérience a constitué une façon peu coûteuse de tester l'intérêt du réseau social interne, relate Tony Hadzi.
Le groupe Ciber connaît une période de transformation et poursuit l'objectif de rassembler une organisation jusque-là plutôt fragmentée, explique celui qui est aussi le vice-président exécutif de la société. « Nous avons lancé le concept de réseau social et mon intention d'adopter une approche agnostique. Il s'agissait davantage, pour moi, de restructurer la société et d'utiliser ce moyen comme l'un des outils principaux pour changer l'état d'esprit des équipes sur le terrain et de mes cadres dirigeants ».
Mais, avec le temps, la société a trouvé insuffisantes les fonctionnalités de Yammer. « L'expérience de Tibco dans les solutions d'intégration a constitué un argument de vente pour Tibbr », pointe Tony Hadzi. Yammer constituait davantage une solution ponctuelle, tandis que Tibco proposait un produit pouvant être déployé à l'échelle de l'entreprise. (...)
IBM propose une offre VDI à destination des PME
L'offre Virtual Desktop For Smart Business devrait contribuer à alléger les coûts élevés normalement associés aux déploiements de solutions de virtualisation de poste de travail, a déclaré Dan Cerutti, directeur général de l'unité d'IBM Smart Business Solutions. Dans de nombreux cas, les petites entreprises n'ont pas les compétences de faire face à la complexité de la VDI. Ce plan va permettre aux intégrateurs de proposer une solution facile d'installation, explique-t-il. « Nous avons considérablement simplifié la commande et l'achat de ce type de solutions. Tout est inclus dans le service Virtual Desktop » précise Dan Cerutti.
Le package VDI permettra aux collaborateurs d'accéder à leur environnement bureau sur une grande variété de dispositifs, y compris iPad et clients légers. Ils pourront au choix disposer à la fois des OS Windows (XP, Seven) et Linux (Ubuntu,Red Hat, Novell). L'accès au bureau pourra se faire aussi sans connectivité, par l'utilisation d'une clé USB.
Big Blue ne proposera pas directement cette offre aux clients. Des revendeurs et des intégrateurs spécialisés auprès des petites et moyennes entreprises seront en charge de la commercialisation. Jusqu'à présent, IBM a recruté environ 100 partenaires à travers le monde pour vendre ces produits, explique Dan Cerruti. Les partenaires pourraient installer le matériel et les logiciels sur site du client, ou de le gérer en interne comme un service hébergé. IBM pourrait offrir prochainement le package lui-même comme un service hébergé, indique le responsable.
Hyperviseur serveur et bare metal
La souscription ne nécessite pas de nombre minimum d'utilisateur, mais la durée du contrat est d'un an. Les ordinateurs de bureau sont gérés de manière centralisée, sur les serveurs IBM System X sous SUSE Linux. La virtualisation des postes se fait par le logiciel Verde (Virtual Enterprise Remote Desktop Environment), proposé par Virtual Bridges. Ce système repose sur l'hyperviseur KVM pour le serveur et d'un hyperviseur de type 1 installé sur le client (probablement Xen Client). Le package comprend également Smart Business Foundation, une collection d'outils de gestion de paramétrage et de maintenance.
La configuration standard pour l'utilisateur final consiste à établir quelques « Gold Master » ou instances du système d'exploitation, comprenant plusieurs applications nécessaires pour un ensemble de salariés. Chaque employé aura par ailleurs accès à ses données à caractère personnel, ainsi que ses préférences personnelles comme les signets de leur navigateur. IBM estime que 200 postes de travail peuvent être gérés depuis un de ses serveurs. Le prix de ce service débute à partir de 150 dollars par utilisateur et par an.
Virtual Desktop For Smart Business est la première déclinaison de ce qu'IBM souhaite développer comme offre pré-configurée. D'autres packages seront bientôt proposés pour couvrir la gestion de documents, l'analyse, la collaboration et les applications de CRM, conclut Dan Cerutti.
17 millions de tablettes vendues en 2010
Le cabinet d'études IDC estime dans un rapport que les ventes de tablettes multimédia se sont élevées à 17 millions d'unités dans le monde en 2010. L'iPad d'Apple, lancé au printemps dernier, représenterait à lui seul 90% des ventes. Trois tablettes vendues sur quatre l'an dernier l'auraient été aux Etats-Unis.
IDC évalue à 44,6 millions le nombre de tablettes commercialisées dans le monde en 2011, les Etats-Unis représentant 40% des ventes. En 2012, ce chiffre s'élèverait à 70,8 millions d'unités, selon le rapport.
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