Flux RSS

Progiciels

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2426 documents trouvés, affichage des résultats 1 à 10.

Les 10 documents suivants >


(21/02/2013 09:43:12)

Annuels Capgemini 2012 : le cap des 10 milliards d'euros franchi

Dans la foulée de la fermeture de la bourse, Capgemini a annoncé hier soir des résultats financiers annuels jugés plutôt satisfaisants par Paul Hermelin, son PDG. Le chiffre d'affaires de la SSII française a dépassé en 2012 la barre des 10 milliards d'euros, à 10,3 Md€, avec une croissance de 5,9% à taux de change et périmètre courants, qui se limite toutefois à 1,2% à taux de change et périmètre constants. Malgré le fait que la demande se soit un peu ralentie sur l'année, « les résultats sont en avance par rapport à nos guidances et au consensus des analystes », a fait remarquer le dirigeant. La marge opérationnelle est elle aussi au-dessus des engagements, à 7,7% du chiffre d'affaires malgré les difficultés de la filiale néerlandaise (et à 8% avant amortissement des actifs incorporels liés aux acquisitions). Le quatrième trimestre a été un peu moins bon, mais le ratio prises de commandes sur chiffre d'affaires y a atteint 1,16 (contre 1,07 sur l'année).

Paul Hermelin met par ailleurs en avant le montant de la trésorerie nette qui s'élève à 872 millions d'euros au 31 décembre 2012, soit plus du double qu'un an plus tôt. « Cela s'explique par une très bonne génération de free cash flow au 2e semestre, de 496 M€ », a indiqué le dirigeant. Un résultat dû aux paiements anticipés de clients anglo-saxons au 2ème semestre à hauteur d'environ 100 M€. « Fort de cette belle performance, le dividende est maintenu à un euro par action, au même niveau qu'en 2011 », a précisé le PDG.

Quatre axes pour 2013 : cloud, CRM axé social, big data, mobilité

Sur 2013, Capgemini va poursuivre l'enrichissement de son portefeuille d'offres dans quatre domaines : l'orchestration des services cloud, la transformation de l'expérience client avec les outils de réseaux sociaux, la Business Intelligence avec un axe big data (en 2012, la SSII a généré 500 M€ avec la BI, soit +16%) et la mobilité, notamment avec l'offre co-développée avec SAP.

Le groupe français constate une demande des clients européens sur les services offshore. « Nous appliquons les mêmes méthodes de travail onshore et offshore », a souligné Paul Hermelin, avant de rappeler la très bonne position de Capgemini sur le test applicatif et de citer parmi les clients importants gagnés en 2012 à l'international le ministère américain de la sécurité intérieure. Il y a davantage de contrats globaux sur lesquels « Capgemini est capable de suivre ses clients mondiaux », a par ailleurs indiqué hier Paul Hermelin.

L'Amérique du Nord progresse de 16,4%

Le chiffre d'affaires de la région Amérique du Nord a progressé de 16,4% en 2012. Ce marché pèse désormais 20% du CA total de la SSII, contre 18% en 2010. Capgemini continue à être le premier acteur européen, avec 72% de son CA réalisé sur cette région. Quant aux marchés en développement, ils représentent maintenant 8% du total contre 2% il y a deux ans.

Résultats 2012 Capgemini
Cliquer ici pour agrandir l'image

Concernant la répartition par activités, l'intégration de systèmes reste le premier métier du groupe. Son chiffre d'affaires, en progression de 3,5%, pèse plus de 40% du total. Cette activité a enregistré « une croissance à 2 chiffres en Amérique du Nord et dans les pays nordiques », a précisé Aiman Ezzat, le nouveau directeur financier de Capgemini en poursuivant sur l'infogérance qui représente 40% du CA, « en augmentation de 0,5%, avec une décroissance au Royaume-Uni plus que compensé par la croissance en Allemagne et dans les pays nordiques ». Le taux de marge de l'activité, 7,6%, est « quasiment stable par rapport à 2011 ».

Baisse des revenus sur Sogeti et le conseil

En revanche, le chiffre d'affaires de Sogeti (15% du total) a enregistré un recul de 1,3% (à périmètre constant), « lié à l'activité en France et au Benelux, avec un taux de marge opérationnel en léger repli à 10,4% contre 10,9% en 2011 », a indiqué Aiman Ezzat lors de la conférence téléphonique des résultats. Enfin, c'est le chiffre d'affaires du conseil (les 5% restants) qui a été le plus impacté en 2012 avec une baisse de 3,6%. Cela reste néanmoins l'activité la plus rentable du groupe avec un taux de marge de 11,2%.

En France, le chiffre d'affaires a progressé de 2% à périmètre courant mais il est en retrait à périmètre constant, à cause des résultats du conseil et de Sogeti. Le taux de marge opérationnelle recule aussi. Enfin, le directeur financier signale aussi la variation du taux de crédit impôt recherche, modifié en 2012 (il sera reversé plus tard). Sur le Benelux, les revenus, en baisse de 11,7% sur l'année, se sont néanmoins stabilisés entre le 3e et le 4e trimestre.

Un frein sérieux sur les charges de restructuration

Pour 2013, Paul Hermelin estime qu'en dépit de la baisse du chiffre d'affaires sur le contrat Aspire, avec HMRC, la croissance organique devrait être comparable à celle de 2012. Le free cash flow devrait se situer entre 750 et 800 M€, a indiqué le PDG en précisant que la SSII avait mis un frein sérieux sur les charges de restructuration (moins de 80 M€). « Ce sont de bonnes nouvelles financières », mais sur un marché européen moins tonique comparé à celui des Etats-Unis.

Interrogé sur les rachats possibles en 2013, Paul Hermelin a expliqué que Capgemini ne cherchait pas « à consolider des activités de même nature », mais cherchait des acquisitions qui pourraient accélérer « la transformation du groupe vers de nouveaux business models » et des géographiques comme les Etats-Unis ou les marchés émergents. Historiquement, le groupe vend beaucoup de projets évalués sur un modèle nombre de collaborateurs/jour. La SSII cherche à passer à des modèles économiques sur lesquels les solutions sont vendues à la transaction, comme celui de Prosodie, a expliqué le PDG.

L'importance de l'activité offshore

Sur son activité offshore, Paul Hermelin a par ailleurs affirmé que Capgemini préservait massivement son emploi en France (21 738 personnes) et indiqué recruter 3 600 jeunes diplômés cette année. « Nous spécialisons les collaborateurs français sur des travaux qui demandent une présence locale. Et si nos clients choisissent des fournisseurs indiens, je préfère que ce soit Capgemini plutôt que Tata », a-t-il ajouté en expliquant : « Aujourd'hui, nous perdons contre des fournisseurs indiens à Paris ». Le dirigeant a expliqué qu'en accroissant la présence du groupe en Inde, cela augmentait la compétitivité du groupe et permettait de garder la relation client.
L'effectif offshore de Capgemini atteignait 50 425 personnes à fin 2012 dont 41 019 en Inde. Sur un effectif total de 125 110 personnes (119 707 fin 2011). Le groupe dit avoir recruter plus de 31 000 personnes l'an dernier, dont 54% en offshore. (...)

(10/05/2012 10:58:22)

La BNF et le Centre Pompidou misent sur le web sémantique

Romain Wenz, expert métadonnées de la Bibliothèque Nationale de France (BNF) et Emmanuelle Bermès, chef du service multimédia du Centre Pompidou, travaillent autour d'un enjeu commun : ouvrir un catalogue provenant de divers silos de données à l'internaute. La BNF travaille, sur le site data.bnf.fr, à mettre en place un projet d'Open Data qui fasse le lien entre les archives du site, les livres numérisés via Gallica, ainsi qu'avec la totalité des notices bibliographiques en sa possession.

Pour l'utilisateur, cela passe par une page web qui livre toutes les informations relatives à un auteur ou à une oeuvre. Il s'agit de concaténer et de lier la totalité des données provenant de sites divers ou de différents catalogues pour les rendre plus visibles à la lecture. Pour cela, l'institution passe par une navigation via des pages HTML, réutilisables pour tous via une licence ouverte, mais aussi ouvertes techniquement via le RDF (Ressource Description Framework, ou modèle de description de données).

Trouver la bonne information par hasard

Les pages sont construites automatiquement à partir des informations des différents silos de données, et le but de ce site est, à terme, de devenir une référence utilisée par le plus grand nombre, d'où son ouverture à la réutilisation, même à des fins professionnelles.

Le futur site du Centre Pompidou, prévu pour le second semestre 2012, partage les même besoins et, pour Emmanuelle Bermès, le but des équipes qui travaillent sur le site est de provoquer « la sérendipité de l'internaute et tout est mis en place pour que celui-ci prolonge son expérience sur le site ». La sérendipité étant le fait de réaliser une découverte inattendue grâce à l'intelligence et au hasard. Il s'agit là encore de se servir du web sémantique pour faciliter la mise en ligne d'un modèle commun à tout le catalogue pour l'utilisateur malgré des silos de données divers et variés.

Ce mode d'analyse a donc un usage fort dans les unités ou administrations à consonance culturelle, afin de rassembler les données pour faciliter la visualisation et la navigation vers celles-ci. A l'heure où les recherches s'effectuent via les moteurs de recherche, il présente donc un intérêt certain.

(...)

(07/05/2012 15:34:56)

Sage devient partenaire de Microsoft Azure pour cibler le marché du cloud

L'éditeur britannique Sage a annoncé qu'il travaillerait en partenariat avec Microsoft pour développer ses propres solutions ERP sur la plateforme Windows Azure, son objectif étant d'attirer dans le cloud les Petites et Moyennes Entreprises (PME). Sage se concentrera en premier lieu sur l'Europe avec Sage 200, un pack de gestion de la relation clients (GRC) avec des fonctionnalités BI et financières, en cours de développement au Royaume-Uni et en Espagne.

Les solutions seront compatibles avec Microsoft Office 365 et seront déployées dans des sites pilotes dans les mois à venir. Les produits seront disponibles dans tous les territoires en 2013. « C'est une excellente nouvelle pour nos PME-PMI clientes qui aimeraient profiter des meilleurs avantages offerts par des applications sur site et en ligne. C'est aussi un évènement très important pour Sage, car cela prouve la dynamique de sa stratégie web et la cohérence de sa politique en matière de technologie et de plate-forme », a déclaré Antoine Henry, DG de Sage France, également en charge du marché des PME au sein de Sage Europe.

« Le partenariat avec Microsoft permet de s'appuyer sur davantage de normes, un élément important dans des écosystèmes diversifiés, mais il permet aussi de s'engager plus directement avec toute une gamme de produits Microsoft. Cette approche entièrement centrée sur le PaaS (Platform-as-a Service) nous permet d'accélérer le développement d'applications spécifiques pour nos clients en fonction de leur domaine d'activité, de stimuler la productivité, de réduire les délais de commercialisation et de limiter le chevauchement des tâches ».

Une évolution très prudente vers le cloud

Cependant, Angela Eager, directrice de recherche pour le cabinet d'analystes TechMarketView, n'est pas très convaincue par ce partenariat. Selon elle, cette stratégie ne donne pas le sentiment que Sage va fortement s'engager pour le cloud dans le futur et ni qu'il offrira une large gamme de produits pour le cloud. « Sage reste un acteur prudent. Voilà plusieurs années qu'on attend à ce que l'éditeur fasse une entrée dans le cloud et prenne des engagements en conséquence, mais il ne semble toujours pas avoir le courage de franchir le pas », a déclaré Angela Eager. « Et il en paye le prix : au cours des dernières années, sa croissance au Royaume-Uni a été laborieuse - de l'ordre de 3 à 5% - et nous ne pensons pas que cela puisse changer, à moins d'un changement radical dans sa stratégie ».

Toujours selon Angela Eager, « ce partenariat va pousser Sage vers le cloud, mais l'évolution est lente et l'approche fragmentaire. Sage sélectionne les applications qu'il va rendre disponibles dans le cloud et Azure va y ajouter sa plate-forme de livraison, différente et séparée. Sage a toujours l'air de s'engager à moitié dans le cloud, et il manque à l'éditeur une stratégie cohérente ».

(...)

(03/05/2012 15:30:30)

Teradata rachète eCircle pour mettre en place une plate-forme marketing

S'il se confirme, « le rachat [de eCircle] permettra à Teradata de disposer d'outils supplémentaires dans le domaine du marketing qu'il pourra proposer à ses clients par le biais de canaux multiples, notamment les sites de médias sociaux, » a déclaré Darryl McDonald, vice-président exécutif des applications, du développement et chef du Marketing chez Teradata. « L'entreprise a également l'intention d'intégrer eCircle à ses appliances de base de données et à son SGBD Aster Data », a ajouté Darryl McDonald. « Cependant, eCircle restera disponible sous forme de solution autonome, » a encore précisé l'éditeur.

« L'introduction de solutions marketing dans les applications commerciales est une évolution naturelle pour Teradata, dans la mesure où historiquement, 60 à 70% de ses clients, utilisateurs de ses appliances, ont utilisé ces produits dans ce domaine, » a justifié le vice-président exécutif. Dans ce secteur, Teradata va se trouver en concurrence avec Oracle et IBM, qui ont également commencé à proposer des plates-formes marketing, après avoir acquis ATG pour l'un et Unica pour l'autre. De façon générale, l'objectif est de fournir un ensemble de fonctionnalités qui permettent aux entreprises de délivrer des messages marketing aux consommateurs, de surveiller les réseaux sociaux pour savoir ce qui se dit, et récupérer des données dans un espace de stockage centralisé afin de les analyser.

Un achat devenu nécessaire

« Il y a plusieurs raisons qui expliquent l'intérêt pour Teradata d'acquérir la technologie d'eCircle, y compris pour en faire 'un portefeuille défensif ' », a déclaré dans un blog Rob Brosnan, analyste chez Forrester Research. « Dans ce cas, Teradata peut modestement intégrer eCircle dans Aprimo, mais peut aussi en faire une extension SaaS de son portefeuille d'applications de gestion de campagnes promotionnelles », a-t-il écrit. Mais, selon Rob Brosnan, « Teradata peut aussi incorporer eCircle dans une 'plate-forme audacieuse'. Cette stratégie suppose que Teradata parvienne à combiner les capacités provenant de ses différentes acquisitions - la messagerie numérique d'eCircle, l'analyse Big Data d'Aster Data, la Gestion des Resosurces Marketing (Marketing Ressource Management - MRM) et l'Interaction Management d'Aprimo pour prédire le comportement des clients - en une seule application, plutôt que de proposer un ensemble de produits  disparate ».

Cependant, « la mise en place d'une plate-forme exige aussi de la persévérance », a ajouté l'analyste. « Aujourd'hui, la demande d'une plate-forme unifiée vient plus, mais pas exclusivement, des entreprises moyennes du mid-market que des grandes entreprises. Et Teradata devra probablement faire un effort financier pour soutenir sa plate-forme jusqu'à ce que de gros clients s'y intéressent ». Si l'on s'en tient à d'autres déclarations faites par Darryl McDonald, Teradata pourrait bien choisir cette option. « Souvent, la compétition fait émerger certaines solutions. Quand les clients font de l'intégration, celle-ci est la plupart du temps dispersée » a-t-il dit. «Nous allons pour notre part proposer de l'intégration unifiée, de sorte que le client n'aura pas à la faire lui-même ».

(...)

(03/05/2012 10:09:58)

Lapeyre interroge ses clients au moment du paiement par carte bancaire

Enseigne spécialisée dans l'aménagement de la maison, Lapeyre emploie 3 000 collaborateurs répartis sur 135 magasins en France. Comme tout distributeur BtC, il est très attentif à la satisfaction de ses clients mais voulait pouvoir la suivre simplement, de manière rapide, fiable et flexible sans jamais ralentir le flux clients ou gêner d'une façon ou d'une autre un client.

Pour atteindre cet objectif, le distributeur a choisi de poser une ou plusieurs questions, selon les moments, via le terminal de paiement. Lorsque le client passe en caisse et valide son paiement par carte bancaire, une question lui est alors posée à laquelle il peut répondre par une note de 0 à 9 via le pavé numérique. Le ressenti client est donc désormais mesuré de façon continue.

La solution choisie, Visitors-Book de Jade-i, s'installe sur les terminaux de paiements courants. Après un premier test de juin à septembre 2011 sur quelques magasins, la solution a été déployée nationalement en un mois. Au travers des 400 terminaux de paiement, la solution a d'ores et déjà remonté 135 000 réponses. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)

(02/05/2012 16:08:21)

Impact2012 : IBM traque les crimes avec une solution Big Data

Le pack d'IBM dénommé i2 Intelligence Analysis, est basé sur le logiciel de sécurité acquis l'an dernier suite au rachat de l'entreprise i2. Les institutions judiciaires et les services chargés de la sécurité dans les entreprises utilisent le logiciel i2 pour détecter des activités frauduleuses ou abusives en examinant les logs de données opérationnelles. Analyst's Notebook, le logiciel de recherche criminelle de l'éditeur, est capable d'afficher un diagramme visuel mettant en évidence les liens possibles entre des personnes, des lieux ou d'autres facteurs. Une vingtaine de langues sont prises en compte, dont le français.

Selon un article publié au moment du rachat de l'entreprise, i2 comptait plus de 4 500 clients dans 150 pays et affirmait que 12 des 20 plus grandes banques commerciales utilisaient son logiciel. La police de Boston et le système juridique pénal de Orange County, en Californie, partagent leurs données criminelles via la plateforme Coplink d'i2. L'armée américaine a acheté pour 9,6 millions de dollars une licence pour utiliser Analyst's Notebook avec son système de partage des données Distributed System Common Ground - Army (DCGS-A) au sein de l'armée. L'entreprise de défense Northrop Grumman a intégré Coplink d'i2 dans un système qu'il fournit à la Marine américaine pour pister des informations criminelles provenant de sources multiples.

Une solution intégrée aux technologies d'IBM

À l'automne dernier, IBM avait indiqué qu'il associerait la technologie i2 avec son propre logiciel de collecte, d'analyse et d'entreposage de données. Et l'annonce faite hier est un exemple de ce que Big Blue envisage de faire. Selon la firme, le pack lancé hier va apporter des fonctions puissantes de visualisation et d'analyse, couplées avec des systèmes avancés d'accès aux données. Les clients vont pouvoir gérer et traiter leurs informations en moins de temps et consacrer plus de temps à l'analyse.

Par ailleurs, i2 effectue:

 - L'analyse par association, l'analyse de réseau, l'analyse des liens, l'analyse temporelle et géospatiale, et l'analyse statistique. À partir de là, i2 élabore une photographie complète, révélant les relations, les modèles et les tendances dans les données. Ce qui devrait faire gagner du temps et accroître l'efficacité.

- L'analyse des réseaux sociaux et les techniques d'analyse quantitative, lesquelles combinent théories de l'organisation et modèles mathématiques pour mieux comprendre et cibler la dynamique des groupes, des réseaux et des organisations.

I2 comporte encore :

- Des fonctions de travail collaboratif qui permettent  à des groupes de travailler ensemble sur des affaires. Cela inclut le partage, le travail d'équipe, et la communication inter-et intra-organisationnelle. Cela devrait contribuer à résoudre les enquêtes plus rapidement.

- Une connectivité avancée et multi-source, des capacités de recherche simultanée pour automatiser et accélérer le lourd processus de collecte, de classement et d'enrichissement des données.

- La recherche dans les données non structurées à l'aide de fonctionnalités de recherche puissantes pour ratisser large et en profondeur et s'assurer qu'aucune donnée ne manque pour le travail d'investigation et l'activité opérationnelle.

- L'exploration en temps réel des renseignements, de façon à constituer un environnement extensible, évolutif et collaboratif en soutient de l'analyse opérationnelle, qui permet une prise de décision plus rapide et plus motivée.

 [[page]]

Le pack i2 Intelligence Analysis comprend enfin :

- i2 Analyst's Notebook va permettre aux agences gouvernementales et aux entreprises privées d'optimiser au mieux la valeur des nombreuses informations qu'elles collectent. L'objectif est de découvrir et de partager des renseignements permettant d'identifier, de prévoir et prévenir des activités criminelles, terroristes, et frauduleuses.

- i2 Analyst's Notebook Connector pour ESRI: celui-ci intègre les fonctionnalités d'i2 Analyst's Notebook avec les capacités du serveur ESRI ArcGIS pour aider à la prise de décisions opérationnelles en temps voulu et en toute connaissance de cause. i2 Analyst's Notebook Connector pour ESRI permet d'accéder à des services de cartographie disponibles sur des environnements Esri Server. Celui-ci est compatible avec plusieurs outils de cartographie et d'analyse géospatiale qui servent à effectuer des analyses géospatiales essentielles sans avoir besoin de  recourir à des analystes spécialisés dans les systèmes d'informations géographiques (SIG). Cela permet également à ces équipes de mener des analyses géospatiales plus approfondies. L'accès en self-service à ces données riches disponibles sur des serveurs ESRI (ils donnent accès à des cartes de base, à des fonctions de couches dynamiques, et des services SIG) directement à partir d'i2 Analyst's Notebook permet aux analystes d'avancer plus vite dans leurs recherches en profitant plus rapidement de certains renseignements. « Cela contribue à accroître la productivité du processus d'élaboration du renseignement, » a déclaré IBM.

- i2 Information Exchange i2 for Analysis Search for Analyst's Notebook permet à i2 Analyst's Notebook de se connecter à différentes sources de données distribuées, d'effectuer une recherche unique à travers ces multiples ressources, et de rapporter des informations dans i2 Analyst's Notebook pour la visualisation et l'analyse.

- i2 Information Exchange for Analysis Search Services SDK permet un accès sécurisé à de multiples sources de données, quel que soit leur type ou leur localisation, à travers des environnements informatiques hétérogènes. Il fournit un ensemble d'outils de développement et de la documentation, pour créer, étendre et personnaliser les composants de services Web et i2 Information Exchange i2 for Analysis Search for Analyst's Notebook.

- i2 Analyst's Notebook Premium s'appuie sur les capacités d'i2 Analyst's Notebook avec un référentiel d'analyse locale et des fonctionnalités de gestion des données améliorées, le repérage de l'information, plus des fonctions de cartographie, adaptées aux volumes croissants de données structurées et non structurées. « L'ajout d'un référentiel d'analyse locale pour i2 Analyst's Notebook et les nouvelles fonctionnalités de gestion des données améliorées, le repérage de l'information, la cartographie et la gestion graphique complètent l'offre pour les analystes qui ont besoin d'avoir accès à de plus grands volumes de données, en plus des données graphiques fournies avec i2 Analyst's Notebook », a encore déclaré IBM. Selon Big Blue, cette version de Notebook va permettre aux utilisateurs d'importer de plus gros volumes de données depuis des fichiers de données structurées à l'aide de l'assistant Visual Importer, qui permet aux utilisateurs de visualiser et d'analyser rapidement des types de données très divers, y compris les dossiers d'appels téléphoniques, les transactions financières, les logs des adresses IP des ordinateurs et des données judiciaires extraites des téléphones mobiles.

- i2 Intelligence Analysis Platform offre un environnement évolutif et collaboratif qui permet un partage du renseignement opérationnel et une prise de décision plus rapide et plus éclairée.

- i2 Fraud Intelligence Analysis permet d'apporter de nouveaux éclairages sur la base de données plus disparates, plus vastes et plus complexes, de façon à faciliter l'enquête, à bloquer et à prévenir la fraude. Fraud Intelligence Analysis permet de transformer des quantités massives de données et apparemment sans liens, en données intelligentes utiles pour la prise de décision. L'outil permet aussi de présenter les résultats d'une manière facile à comprendre », a déclaré IBM. i2 Fraud Intelligence Analysis peut être utilisé comme application d'identification de la fraude et de solution d'analyse autonome, des situations pour lesquelles il n'existe actuellement aucune solution autre que « manuelle ». i2 Fraud Intelligence Analysis peut également être déployé en conjonction avec d'autres produits de la maison pour l'analyse prédictive, la gestion des identités, les règles relatives aux processus opérationnels et la gestion des cas.

- i2 iBase est une base de données serveur SQL complète qui permet le travail collaboratif entre équipes d'analystes pour la collecte, le contrôle, et l'analyse des données provenant de sources multiples dans un environnement sécurisé. Il permet aussi la diffusion des résultats sous forme de renseignements susceptibles de donner lieu à une action en support à des opérations de renseignement.

(...)

(02/05/2012 10:44:52)

Une solution SaaS pour assurer le partage des documents techniques chez l'Urbaine de Travaux

Partie du Groupe Fayat (18 000 collaborateurs, 3 milliards d'euros de CA), l'Urbaine de Travaux génère un chiffre d'affaires annuel de 170 millions d'euros à 60% dans les travaux publics et à 40% dans la construction de bâtiments sur tous les continents au travers de 120 filiales autonomes. Pour ses chantiers, l'entreprise doit échanger et partager de grandes quantités de documents volumineux, techniques (plans AutoCAD, notices, plannings...) ou non (photographies d'avancement de chantier, bordereaux...). Beaucoup de ces documents sont, de plus, confidentiels. Enfin, les responsables de chantiers ne sont pas des informaticiens et doivent disposer des informations utiles de la manière la plus simple possible.

Pour atteindre ses objectifs de façon plus efficace qu'avec des échanges de supports physiques, la société a eu recours à une solution de stockage, partage et collaboration en ligne en SaaS, iExtranet d'Oodrive. Cette solution propose un viewer en ligne pour les principaux formats utilisés (AutoCAD, PDF, OpenDocument, OpenXML...) et facilite les mises-à-jour, les copier-coller, etc. Chaque document peut, de plus, être protégé par un cryptage et partagé selon les désirs de son administrateur propre. Le coût du projet n'a pas été révélé. (...)

(30/04/2012 12:02:43)

Mission sur Mars : la NASA teste ses batteries avec l'outil XLfit d'IDBS

La NASA a utilisé le logiciel d'IDBS pour analyser des centaines de milliers de données et prévoir les besoins en énergie de sa mission spatiale sur Mars programmée en 2012. Lors de cette mission, un Rover, nommé «Curiosity», sera déposé sur la planète Mars. Celui-ci devra effectuer les analyses chimiques d'échantillons prélevés dans le sol pendant au moins 687 jours, afin de déterminer si l'environnement de Mars a été ou pourrait être propice à la vie.

Le Rover « Curiosity » transportera deux fois plus d'instruments que ses prédécesseurs, notamment des caméras, un spectromètre à rayons X et des détecteurs de rayonnements radioactifs. Pour être sûr que son générateur fournira suffisamment d'énergie aux batteries pour tenir la charge pendant toute la période de la mission, en tenant compte de son poids et des températures extrêmes, la NASA a utilisé le logiciel XLfit d'IDBS pour effectuer ses tests.

Anticiper la durée de vie des batteries sur Mars

Andy Vines, responsable produit chez IDBS, a expliqué pourquoi il était important d'anticiper les besoins des batteries. Utilisées par la NASA depuis une quarantaine d'années, ces batteries fonctionnent par désintégration de radio-isotopes qui génèrent de la chaleur, laquelle est ensuite transformée pour fournir de l'énergie. « L'état de ces batteries est essentiel, parce que la mission elle-même va avoir lieu dans des conditions extrêmes. En cas de chaleur ou de froid extrême, une batterie normale se décharge complètement ou tombe définitivement en panne », a-t-il déclaré. La NASA a réalisé plusieurs expériences pour exposer la batterie à différentes conditions. « Les chercheurs ont collecté des données sur la tension en sortie et sur l'efficacité de la batterie ». Cependant, l'agence spatiale américaine n'a pas pu tester toutes les configurations qui peuvent se présenter sur Mars, cela aurait demandé des milliers d'expériences.

Grâce à XLfit, la NASA a pu extrapoler les données sur la tension pour estimer ce qui se passerait dans des zones qui n'ont pas été testées. L'agence spatiale a utilisé un modèle mathématique pondéré par un coefficient, qui a permis aux chercheurs de prédire le comportement de la batterie dans certaines conditions. « Ils avaient bien récolté des milliers de données pendant leurs expériences, mais ce n'était pas suffisant. Ils avaient besoin d'extrapoler la durée de vie de la batterie en utilisant ces données », a déclaré Andy Vines. « Et il fallait que leurs prévisions tiennent sur au moins 680 jours, ce qui demandait effectivement d'ajuster la courbe réalisée à partir des données. Après ça, ils ont pu disposer de tous les paramètres dont ils avaient besoin et ont pu voir comment fonctionnerait l'alimentation en énergie ».

Nécessaire de passer de 32 à 64 bits

XLfit tourne dans Microsoft Excel, mais apporte des capacités de calcul mathématique et statistique supplémentaires. Le logiciel est généralement utilisé avec une version 32-bits d'Excel, mais étant donné la quantité de données que devait analyser la NASA, IDBS a dû transformer son logiciel pour le rendre compatible avec une version 64-bits du tableur de Microsoft. « La version 32-bits n'était pas assez puissante pour analyser les groupes de données collectés. Nous avons pu développer une version 64-bits de XLfit pour la NASA en moins d'un mois, pour apporter des capacités de calcul beaucoup plus grandes », a ajouté le responsable produit d'IDBS. La version 64-bits de Microsoft Excel permet de faire passer le nombre de lignes par feuille de calcul de 65 546 à plus d'un million, et le nombre de colonnes de 256 à 16 384.

(...)

(26/04/2012 10:30:12)

Optic 2000 choisit Microsoft Dynamics AX 2012 pour repenser son SI

Le groupe Optic 2000 dispose de 1 850 magasins (coopérative, franchises et succursales) en France et en Suisse sous les enseignes Optic 2000, Lissac et Audio 2000. Il y distribue des produits d'optique ou d'aide à l'audition pour un chiffre d'affaires de 1,166 milliard d'euros. Pour accroître son efficacité et la qualité du service rendu par la DSI avec des coûts les plus limités possibles, le groupe a choisi de refondre son système d'information pour unifier dans toutes les enseignes les fonctions d'achats, de gestion des stocks et des tarifs ainsi que les fonctions spécifiques comme la gestion des ordonnances et des tiers-payeurs. La multiplicité des outils en place ne répondait en effet plus aux attentes du groupe.

Après un appel d'offres, le groupe a écarté les solutions spécifiques au métier optique et a choisi une solution généraliste, Microsoft Dynamics AX 2012, adaptée aux contraintes du secteur. La pérennité de la solution, sa solidité, son adaptabilité, son ergonomie et sa facilité d'administration et de maintenance ont été des critères de choix majeurs. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)

Les 10 documents suivants >