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(09/03/2009 15:43:01)
Annuels Netezza : +39% sur les ventes de datawarehouse
Netezza a bien tiré son épingle du jeu l'an dernier. Le fournisseur américain, spécialisé dans les solutions packagées d'entrepôts de données (appliances de datawarehouses), associant des matériels et des technologies logicielles brevetées, vient d'annoncer une progression de 48% sur le chiffre d'affaires de son année fiscale (échue le 31 janvier 2009). Celui-ci s'établit à 187,8 M$ répartis entre des ventes de produits qui pèsent 76% du total (à 143,5 M$, en hausse de 39%) et un revenu de maintenance en forte augmentation, conséquence naturelle des ventes réalisées : 44,3 M$, soit +87% par rapport à l'an dernier. Sur le quatrième trimestre de l'exercice, le chiffre d'affaires de Netezza s'est établi à 50,6 M$ (+28%), avec une hausse de 70% de la maintenance qui s'est élevée à 12,6 M$. 88 nouveaux clients sur l'exercice Le fournisseur dit avoir gagné 88 nouveaux clients sur son exercice fiscal 2009 dont 22 sur le quatrième trimestre. Il est vrai que Netezza évolue sur un des marchés, le décisionnel, qui peut présenter encore des perspectives de développement cette année puisque les solutions qu'il apporte permettent aux entreprises d'analyser leurs données en profondeur pour améliorer le pilotage et les performances de leur activité. Toutefois, si le fournisseur s'estime en bonne position à très court terme et capable de poursuivre sa croissance quand les conditions économiques le permettront, il reconnaît ne pouvoir faire aucune prévision sur l'année. La semaine dernière, il a racheté la solution d'audit de données de Tizor Systems. Fondée en 2000, la société concurrence des acteurs établis du marché des datawarehouses comme Teradata, Oracle, IBM ou, encore désormais, Microsoft depuis son rachat de Datallegro. Netezza n'est entrée en bourse qu'en 2007. La société a ouvert un bureau en France l'an dernier. (...)
(09/03/2009 15:18:25)IBM facilite la constitution d'entrepôts de données avec Informix
IBM continue de faire évoluer son offre Informix, base de données orientée transactionnel (OLTP, online transaction processing) rachetée en 2001, en apportant à ses clients des outils pour faciliter l'alimentation d'entrepôts de données. L'offre Informix Warehouse Feature, disponible ce mois-ci au niveau mondial, comprend des outils pour préparer les données transactionnelles en vue d'une analyse décisionnelle, celle-ci pouvant se concentrer sur l'environnement Informix ou s'insérer dans une mise en oeuvre plus large impliquant de multiples sources de données. « L'objectif, c'est de ne pas dupliquer les informations puisque nous allons de plus en plus vers du décisionnel opérationnel, explique Isabelle Claverie-Berge, spécialiste de l'offre Information Management au sein d'IBM France. Nous souhaitions avoir une offre de datawarehouse sur Informix, en particulier pour nos clients dans le secteur des télécommunications et de la distribution. » Au-dessus de l'entrepôt de données, les clients pourront utiliser les outils de requête, d'analyse et de restitution de Cognos (racheté par IBM fin 2007). Une composante de l'offre Information Management L'offre Informix est l'une des composantes du catalogue Data Management (gestion des données) d'IBM, lui-même inséré dans l'entité Information Management du fournisseur. Cette dernière se divise en quatre catégories de produits : les bases de données (DB2, mais aussi Informix, SolidDB, une base en mémoire utilisée comme cache des bases relationnelles, U2, base multi-valuée et IMS, base hiérarchique), la gestion de contenus (avec le rachat de FileNet), l'offre Infosphere (ETL, MDM -master data management...) et, enfin, les outils d'analyse décisionnelle et de gestion des performances rassemblés dans l'offre Cognos. Dans l'offre Infosphere figure notamment Metadata Server qui permet de gérer les données de références de bout en bout. (...)
(06/03/2009 17:38:34)Pilotage stratégique de la performance : la solution de SAS se détache selon Yphise
Deux ans après sa première étude sur les solutions de pilotage stratégique de la performance, le cabinet Yphise se penche à nouveau sur cette catégorie d'offres qui aident les entreprises à gérer des objectifs et des transformations à tous les niveaux de son organisation, "des départements aux lignes métiers". Ces produits qui s'appliquaient auparavant aux objectifs financiers s'étendent désormais à des enjeux non financiers ou immatériels, rappelle le cabinet. Les solutions sont alimentées avec des informations provenant de sources diverses, ERP, mais aussi applications de gestion de risques, centre d'appels, courriels clients ou encore données du terrain. En suivant une méthodologie précise, Yphise a retenu quatre produits répondant aux exigences de son processus d'évaluation : Cognos Metric Studio, édité par IBM/Cognos, Microsoft Office PerformancePoint, de Microsoft, SAS Strategic Performance Management, de SAS, et SAP Strategy Management, de SAP. Pour analyser les produits, le cabinet d'études a agrégé quelque 160 critères fonctionnels ou techniques sur quatre axes. Il en ressort que l'offre de SAS, Strategic Performance Management dans sa version 2.4, est celle qui fournit la meilleure couverture du cahier des charges établi par Yphise. Lors de la précédente étude réalisée en 2007 sur les outils de pilotage des performances, le cabinet avait déjà distingué la solution SAS. Définition des indicateurs et suivi de la performance métier dans le temps Plus précisément, le premier des quatre axes d'évaluation concerne la facilité avec laquelle l'entreprise peut définir des indicateurs en fonction de ses objectifs métiers. Le deuxième axe considère l'amélioration des stratégies opérationnelles en lien avec les objectifs (définition de délais, de priorités et de coûts associés aux objectifs, définition et affectation de plans d'action). Le troisième axe s'attache à la capacité de superviser la performance métier dans le temps : il faut en particulier, souligne Yphise, fournir des outils pour alimenter les indicateurs à partir de différentes sources et différents formats de données. Enfin, le quatrième axe du cahier des charges porte sur l'analyse et l'optimisation de la performance métier : un suivi facilité par les tableaux de bord, la gestion des portlets pour diffuser l'information, les capacités de personnalisation, les fonctions de collaboration, les représentations graphiques... Sur chacun de ces quatre axes, la solution de SAS recueille la meilleure évaluation. Yphise énumère notamment l'intégration des objectifs financiers et immatériels dans la gestion de la performance de l'entreprise, un modèle de gestion des stratégies facile à personnaliser qui permet de gérer tout type d'objectifs, des modèles prédéfinis selon divers enjeux (conformité, gestion de risques, métiers)... Le cabinet relève aussi des points forts sur la gestion des actions opérationnelles liées aux objectifs et sur l'alimentation des indicateurs. L'offre de SAP/Business Objects tire parti des outils de Pilot Software Placée en deuxième position, la solution SAP Strategy Management, dans sa version 7, offre cependant une couverture complète du cahier des charges, souligne Yphise. Le précédent rapport du cabinet avait évalué les produits de gestion de performance de Business Objects. Cette fois-ci, la solution étudiée bénéficie de nouveaux atouts : elle dispose des fonctions de Pilot Software rachetée par SAP. Ce dernier a également construit une intégration (jugée intéressante par le cabinet d'études) avec son offre de GRC -governance, risk and compliance. A noter que SAP Strategy Management s'adresse tant aux clients SAP que non-SAP. Sur l'offre de Microsoft, Office PerformancePoint Server version 1, l'évaluation du cabinet d'études montre surtout la bonne capacité à superviser la performance métier dans le temps, ainsi que des capacités avancées sur les autres axes d'évaluation. Cette solution facile à utiliser est livrée avec des assistants. Enfin, si Cognos Metric Studio, version 8.4, fait également apparaître une bonne couverture du cahier des charges, elle n'a, selon Yphise, pas beaucoup évolué depuis la précédente étude effectuée en 2007. Le cabinet tient à souligner ses tableaux de bord et ses fonctions de reporting efficaces et rappelle que le produit met l'accent sur la gestion financière, avec des fonctions spécifiques de gestion de la planification, du budget ou des fonctions analytiques. (...)
(05/03/2009 18:16:26)Cebit 2009 : SAP maintient le cap sur Business ByDesign
SAP a annoncé plusieurs évolutions sur ses ERP (progiciels de gestion intégrés) pour PME, à l'occasion du Cebit (3-8 mars, Hanovre). Les PME représentent aujourd'hui 78% de l'ensemble des clients de SAP dans le monde, a souligné à l'occasion d'un entretien le président de l'activité PME de l'éditeur, Hans-Peter Klaey : « Nous avons une expérience étendue des besoins de ce marché », a-t-il réaffirmé en rappelant que l'offre se décline en trois ERP (Business One, Business All-in-One et Business ByDesign) pour apporter des réponses adaptées en fonction de la taille de l'entreprise, de son organisation et de la nature de son activité. De fait, sur le vaste stand SAP du salon allemand, le nom des trois produits se faisait discret, au profit des solutions élaborées par les partenaires sur ces logiciels, présentées par fonctions génériques (gestion des ressources humaines par exemple) ou par processus métiers. Une version 2.0 en préparation pour Business ByDesign Interrogé sur l'offre la plus récente, Business ByDesign, application de gestion complète hébergée sur le datacenter de SAP, Hans-Peter Klaey confirme que le déploiement de la solution est pour l'instant toujours limité à six pays : l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la Chine et, désormais, l'Inde. Mais il insiste aussi sur l'importance de cette offre pour SAP. L'an dernier, l'éditeur allemand en avait repoussé la disponibilité générale de dix-huit mois. Il maintient son cap, tout en continuant à faire évoluer l'application, en étroite interaction avec les clients qui l'utilisent déjà. A l'automne dernier, une version 1.2 a amélioré les échanges avec MS Excel et ajouté des flux RSS internes. La version 2.0 est en préparation. C'est un souci de perfection qui guide SAP dans sa volonté de ne pas aller trop vite dans la livraison globale de Business ByDesign, affirme Hans-Peter Klaey. Il admet aussi la détermination de l'éditeur à trouver un modèle opérationnel véritablement profitable pour cette application fournie en mode SaaS (software as a service). Critère primordial s'il en est. Des fonctions décisionnelles préconfigurées pour All-in-One Sur le Cebit, SAP a par ailleurs annoncé qu'il allait intégrer dans Business All-in-One des fonctions décisionnelles préconfigurées issues de l'offre Business Objects. Elles permettront d'effectuer des requêtes ad hoc et s'accompagneront de rapports préparamétrés et de tableaux de bord. Ces outils seront disponibles courant 2009, dans un premier temps en Allemagne, aux Etats-Unis et au Brésil. Les autres pays seront livrés plus tard. Des outils de migration des données et un ensemble de bonnes pratiques seront par ailleurs proposés aux partenaires pour accompagner les projets. Toujours sur All-in-One, SAP a perfectionné son configurateur de produit accessible sur le Web (programme Fast Start). Cet outil permet à une PME d'évaluer elle-même la solution correspondant à ses besoins, par processus fonctionnels, afin d'obtenir instantanément une estimation de coût par utilisateur et par mois, le configurateur tenant compte des possibilités de financement. Les fonctions de CRM (gestion de la relation client) sont maintenant prises en compte, ainsi que les offres partenaires. Enfin, concernant le produit Business One, SAP a annoncé une optimisation de la solution avec les serveurs basés sur le processeur Intel Xeon. L'éditeur va encourager ses partenaires OEM à constituer des packages sur cette base. Le premier d'entre eux sera destiné aux entreprises de services et livré par Wortmann et Maringo Computers sur le marché allemand. (...)
(05/03/2009 12:02:26)Open Source Think Tank 2009 : ne pas passer à l'Open Source en commençant par l'ERP
Toujours au coeur de l'Open source think tank qui se tient en Californie, le président du directoire de Nuxeo, Eric Barroca raconte cette fois une discussion animée autour de l'expérience concrète d'une entreprise fictive. Peut-on décider de passer du propriétaire à l'Open Source en commençant par migrer son ERP ? La réponse est clairement « non », même pour de fervents adeptes du libre... A lire sur notre blog Experts. (...)
(04/03/2009 13:07:02)Cebit 2009 : SAP se rallie au développement durable
SAP est monté au créneau sur le thème du développement durable à l'occasion du Cebit 2009, justement placé sous le signe du Green IT. La veille, Arnold Schwarzenegger, gouverneur de la Californie, était invité d'honneur du salon (la France l'était l'an dernier), avait évoqué les technologies vertes pour aider à sortir de la crise. Mardi matin, c'était au tour de Léo Apotheker (photo, crédit IDGNS), co-PDG de SAP, d'invoquer les technologies de l'information et de la communication pour faire face aux grands défis économiques, sociaux, sanitaires et environnementaux. Il a mentionné au passage les millions d'emplois créés dans le monde en lien avec les TIC.
Si elles sont consommatrices d'énergie, les TIC servent aussi à contrôler les processus de fabrication et d'exécution, à produire au plus juste, et contribuent à réduire les dépenses énergétiques et la production de CO2, par exemple en optimisant l'entreposage et le transport des marchandises.
Réduire l'empreinte carbone par employé de 60%
Fournisseur de tels outils d'optimisation, SAP veut aussi être crédible sur le terrain du développement durable en montrant l'exemple. Il vient de s'engager à réduire son empreinte carbone d'ici 2020 : à cette date, il prévoit d'avoir ramené ses émissions de gaz à effet de serre au niveau de ce qu'il produisait en 2000. Un objectif qui revient à réduire de 60% l'empreinte carbone des collaborateurs de SAP, comme l'a détaillé Léo Apotheker.
Depuis quelques mois, l'éditeur allemand s'est donc attelé à mesurer son empreinte carbone. En novembre dernier, il a publié son premier rapport sur le sujet, un document synthétisant des données relatives à la gestion de ses bâtiments, aux déplacements de ses salariés, à ses dépenses en eau et à la gestion de ses déchets. Intention louable, ce rapport étant le premier du genre pour SAP (le prochain sortira en mai), il n'offre pas pour l'instant de possibilité de comparaison avec des informations antérieures. Pour coordonner ses efforts dans ce domaine, l'éditeur a mis sur pied une organisation transversale, à la tête de laquelle il a placé Peter Graf, à la fois responsable des actions de développement durable menées en interne et des solutions du même nom destinées aux clients.
Moins de voyages, plus de téléprésence
" En interne, SAP va agir principalement dans trois directions, » explique Daniel Schmid, responsable des opérations de développement durable. Pour commencer, l'éditeur réduira le nombre des déplacements professionnels qui ont représenté à eux seuls 42% de l'empreinte carbone en 2007 et privilégiera les outils de téléprésence. Ensuite, elle interviendra sur son parc automobile (choix de modèles moins gourmands et moins polluants, actions de sensibilisation des conducteurs...). Enfin, elle taillera dans sa facture d'électricité, tant liée à l'éclairage des bureaux qu'à l'alimentation des datacenters. Pour ces derniers, comme nombre d'autres entreprises, elle aura recours aux technologies de virtualisation. Reprenant un argumentaire déjà rodé chez les analystes et les autres acteurs du marché, SAP rappelle que ce type de démarche n'agit que sur les 2% de CO2 émis par l'industrie informatique (Gartner). A l'instar des autres fournisseurs encore une fois, le numéro un de l'ERP explique qu'il faut aussi agir sur les 98% restants, c'est à dire sur les émissions de CO2 des autres secteurs de l'industrie.
Et bien entendu, pour ce faire, SAP évoque les solutions informatiques à mettre en place pour qu'une entreprise puisse elle-même calculer son empreinte, se mettre en conformité avec la législation, contrôler sa chaîne logistique et déployer des processus de traçabilité. « Sous peu, les entreprises de l'agro-alimentaire par exemple devront indiquer sur leurs étiquettes l'empreinte carbone de chaque produit et le consommateur pourra en tenir compte lors de son choix », souligne Sven Denecken, vice président stratégie pour l'offre ERP. Pour les fournisseurs, le respect de l'environnement ne sera pas seulement vertueux : il se transformera à l'occasion en avantage concurrentiel.
Une solution appliquée à l'environnement, à la santé et aux risques sanitaires
L'éditeur propose déjà des solutions de gestion des risques, permettant aux entreprises de se conformer aux dispositions réglementaires, dans les domaines financiers, de l'environnement ou de la chaîne logistique ; en particulier l'offre BusinessObjects GRC (governance, risk and compliance), mais également au travers de l'offre de gestion SAP Business Suite. « Près de 1 600 clients utilisent à ce jour des fonctions de développement durable intégrées à nos applications », évalue Sven Denecken. SAP a décidé de mettre ces fonctions en avant et de compléter sa démarche par des produits spécifiques. Sur ce terrain, il a annoncé sur le Cebit SAP EHS (Environment, Health, and Safety) Management, une solution développée avec TechniData pour contrôler la mise en place d'une la politique de développement durable. Partenaires depuis 1995, SAP et TechniData ont notamment mis au point une solution pour se conformer au règlement européen Reach (registration, evaluation and autorisation of chemicals) qui s'applique à l'enregistrement des substances chimiques. (...)
Cebit 2009 : Microsoft lance ses services en ligne pour les entreprises françaises
L'offre de services en ligne de Microsoft à destination des entreprises est désormais disponible dans une quinzaine de pays, dont la France, après avoir été lancée aux Etats-Unis en novembre 2008. L'éditeur illustre, avec cette initiative, l'importance qu'il accorde au modèle S+S (software + services), combinant les applications installées et soumises au paiement d'une licence ainsi que les outils accessibles en ligne sur abonnement. Le groupe de Redmond propose ainsi quatre applications dans le cadre de son offre Onlines Services : Exchange (messagerie), Sharepoint (portail collaboratif), Office Communications (communications unifiées) et Office Live Meeting (visio-conférence). Chacune de ces briques peut donc désormais être utilisée en mode Saas (software as a service, service applicatif en ligne) ou installée sur le serveur de l'entreprise, moyennant le paiement d'une licence. Les entreprises optant pour le modèle en ligne devront s'acquitter d'un abonnement mensuel compris entre 2,13 € par utilisateur (pour Office Communications) et 8,52 € (pour Exchange). Celles qui choisiront de s'abonner à l'ensemble des services bénéficieront d'une réduction de 38%, portant la facture totale à 12,78 € par mois et par utilisateur. Parallèlement aux services précités, les utilisateurs bénéficieront de 5 Go de stockage pour Exchange et 250 Mo pour Sharepoint. 18% de marge pour les revendeurs la première année [[page]] Microsoft s'adresse également aux utilisateurs occasionnels, qui ne disposent pas d'un PC en permanence mais souhaitent malgré tout accéder de temps en temps aux services en ligne. C'est par exemple le cas des employés municipaux d'une mairie ou des agents hospitaliers, explique l'éditeur. Pour ce public, Microsoft propose une version allégée de sa suite de services - rebaptisée pour l'occasion Deskless Worker - incluant les outils de messagerie et de collaboration. Le tout pour 2,56 € par mois et par utilisateur. Pour que ces deux offres soient adoptées par les entreprises, Microsoft compte sur la force de persuasion de son réseau de partenaires. Et entend motiver ces derniers en les intéressant aux abonnements qu'ils auront vendus. Ainsi, l'éditeur garanti aux revendeurs une marge de 18% la première année, qui sera suivie par le versement de 6% du montant des abonnements mensuels les années suivantes. Trois grands partenaires sont d'ores et déjà sur les rangs pour commercialiser les offres de services en ligne : Orange Business Sercices, Avanade (co-entreprise entre Microsoft et Accenture) et YouSaas. Microsoft indique que plus de 30 000 entreprises testent actuellement les services en ligne sur le site d'évaluation ouvert depuis la fin 2008 aux Etats-Unis. L'éditeur compte quelque 700 clients, dont une cinquantaine de grands comptes. Parmi eux, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline s'apprête à déployer la solution Online Services pour ses 100 000 salariés et table sur une réduction des coûts opérationnels de 30%. (...)
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