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(02/03/2009 12:43:26)

Netezza acquiert une solution d'audit de données

L'Américain Netezza, éditeur spécialisé dans les solutions décisionnelles, vient d'acquérir Tizor Systems, société du Massachussetts qui développe des logiciels d'audit et de protection des données. Netezza commercialise des solutions packagées de datawarehouse combinant matériel et logiciel (appliances), conçues pour l'analyse d'importants volumes de données -plusieurs teraoctets. L'offre principale de Tizor, Mantra, est également fournie sous forme d'appliance matérielle. La solution permet de surveiller les données sensibles, structurées et non structurées, de communiquer des alertes en temps réel et d'interrompre des activités non autorisées en temps réel. Mantra est notamment utilisé pour de se conformer aux réglementations et dispositions légales, telles que la loi Sarbanes-Oxley. Netezza a ouvert une filiale en France au printemps 2008. (...)

(27/02/2009 17:29:28)

Topaz Bridge conjugue la GRH en self-service de SAP avec Microsoft SharePoint

L'éditeur américain Topaz Bridge a développé nativement pour le portail Microsoft SharePoint une solution d'accès en self-service aux fonctions de gestion des ressources humaines (GRH) de SAP. L'objectif affiché de l'offre Topaz Bridge S2 est de combiner la facilité d'utilisation de SharePoint avec les robustes mécanismes de gouvernance et de sécurisation des données de SAP. La solution s'intègre avec l'offre SAP ESS/MSS (employee self-service/manager self service) en s'appuyant sur les services Web fournis par l'éditeur allemand. Cet accès en self-service doit permettre aux employés de saisir eux-mêmes leurs demandes de congés, de formation ou leurs notes de frais dans l'application de GRH de SAP. Il a donc vocation à être utilisé par l'ensemble des salariés d'une entreprise, souvent déjà familiarisés avec les interfaces de Microsoft ; des utilisateurs qu'il ne sera donc pas nécessaire de former en plus aux outils SAP, de surcroît pour un usage occasionnel de l'outil. En tant qu'application native de SharePoint, Topaz Bridge S2 ne nécessite pas non plus de mettre en place un serveur séparé. Fondé par un zélateur de SharePoint Installée dans l'Etat de Washington, la société Topaz Bridge a été fondée en 2007 par Noam Topaz, un ancien collaborateur de Microsoft chargé d'évangéliser le marché autour de l'offre SharePoint. Elle vient d'annoncer son premier gros contrat avec le groupe pharmaceutique Merck. Ce dernier doit déployer Topaz Bridge S2 dans 84 pays pour permettre à 60 000 employés de mettre à jour leur dossier personnel et professionnel géré par leur direction des ressources humaines sur SAP. Topaz Bridge avait récolté 1,5 M$ lors de son premier tour de table. La société vient tout juste de clore la première tranche d'une deuxième levée de fond qui lui a ramené 2 M$ de plus. Elle ambitionne de lever au total de 5 à 10 M$ à l'issue de ce deuxième tour de table. Bientôt un bureau en Europe Interrogée sur ses implantations à l'international, Topaz Bridge a indiqué qu'il prévoyait d'ouvrir un bureau en Europe au deuxième trimestre de cette année, peut-être à Paris ou près de Walldorf, en Allemagne (où se trouve le siège de SAP). « Nos solutions en self-service Topaz Bridge S2 s'adressent aux grandes entreprises internationales », indique l'éditeur qui souligne que son produit est traduit en dix langues. (...)

(25/02/2009 16:20:53)

Improve se transforme en éditeur de son socle technique de développement

La mue est presque achevée. Improve, dont le nom était synonyme en l'an 2000 d'une société de services spécialisée dans les technologies Java et Internet, devient de plus en plus un éditeur - d'une sorte un peu particulière. Après des soucis financiers en 2003, l'entreprise est de nouveau sur les rails, et affiche pour son année fiscale 2,837 M€ de chiffre d'affaires pour un effectif de 25 personnes, et un résultat net de 148 K€ - ou, « pour être plus juste, précise son PDG Pierre Dubéry, de 53 K€ avant crédit impôt recherche ». Surtout, l'offre Improve Foundations est devenue mature. Initié notamment par Didier Girard (aujourd'hui chez Sfeir), Stève Sfartz (aujourd'hui chez Microsoft) et David Duquesne (qui continue de porter l'offre), ce socle de développement est désormais appuyé par Atos Origin, et des discussions sont en cours avec Bull et Capgemini. Plus de 60 logiciels et outils Open Source intégrés dans le framework Improve Foundations est né de la volonté de fournir aux développeurs un framework prenant en compte toute la partie technique, en s'appuyant principalement sur des outils Open Source existants - plus de 60 logiciels sont ainsi intégrés. Grâce au socle, le développeur n'a pas besoin d'être un champion de J2EE ou de la persistance de données, et il peut se concentrer sur le code métier. Les premières tentatives de commercialiser la solution n'ont guère été couronnées de succès. Mais le socle est désormais proposé sous forme de souscription, et les entreprises commencent à adhérer au principe, explique David Duquesne : « Elles reconnaissent que l'Open Source est quelque chose de génial, mais qui demande beaucoup de temps, en veille technologique et en compréhension. En outre, cela pose des problèmes d'efficacité des développeurs du client, avec les cobolistes, les débutants ou encore les développeurs en offshore... » Autre bénéfice d'un tel socle : cela permet d'harmoniser les développements entre plusieurs prestataires. La garantie d'un support de 5 ans sur la pénultième version Des clients comme les Galeries Lafayette, Renault, le Régime social des indépendants ou encore Monoprix (qui avait commencé à se constituer son propre socle), sont aujourd'hui convaincus. Lorsqu'elle adhère à la communauté, une entreprise bénéficie du socle technique constitué par Improve ainsi que de son code source, « mais aussi d'une équipe à plein temps pour le gérer », insiste David Duquesne. Et comme tout éditeur proposant de l'Open Source, Improve fournit l'assurance d'un support pérenne : la SSII s'engage sur 5 ans pour la version n-1 de son socle. A terme, les activités de prestation, « qui représentaient il y a 6 ou 7 ans 90% du chiffre d'affaires », note Pierre Dubéry, devraient complètement disparaître - sauf s'il s'agit d'assurer le support de socles techniques. L'édition d'Improve Foundations devient prioritaire. A tel point que Pierre Dubéry entend séparer les deux activités d'Improve, pour leur donner plus d'autonomie. En 2010, il y aura donc d'un côté l'édition de progiciels pour le secteur de la santé (qui constitue aujourd'hui 45% du chiffre d'affaires), et de l'autre l'animation de la communauté Improve Foundations. (...)

(25/02/2009 15:10:11)

Le Saas a séduit 61% des entreprises, selon Markess

Le cabinet Markess International s'était intéressé une première fois au SaaS (Software As A Service) en 2006 et il vient de réaliser une nouvelle étude sur le sujet. Entre les deux éditions, le progrès du SaaS est indéniable, même si la généralisation n'est pas encore pour demain. Ainsi, aujourd'hui, 61% des répondants déclarent utiliser des solutions de type SaaS, 23% savent qu'ils ne le font pas et 16% ignorent si ce mode est utilisé effectivement dans leur entreprise. Mais il y a une grande différence entre les profils d'adoptants : les organisations recourant au SaaS sont soit petites (moins de 99 employés), soit grandes (plus de 2000 employés) ; les structures moyennes sont sous-utilisatrices. En moyenne, il y a environ 2,5 applications en mode SaaS dans les organisations interrogées. De 2006 à 2009, le marché du SaaS a crû de 18%, passant de 1,5 à 1,75 Md€. Une nouvelle croissance de 10% est attendue d'ici à 2010. Le secteur public est particulier dans son approche puisque son usage majeur concerne les plateformes de marchés publics dématérialisés. Au delà, le principal usage du modèle SaaS est dans la communication d'entreprise (messagerie, agenda partagé, conférence web, gestion de projets...) pour 38% des répondants, avec une croissance attendue de 12% d'ici à 2010. Les créneaux les plus dynamiques demeurent cependant la GRH (e-paye, e-recrutement...), avec 31% d'utilisateurs et 18% de croissance attendue, et la gestion des relations clients (21% d'utilisateurs et +22% de croissance attendue). Pendant la crise, des croissances à deux chiffres Les logiciels et services employés appartiennent à plusieurs catégories majeures avec, au premier chef, le stockage et la sauvegarde (18% d'utilisateurs, +10%) suivis des services 2.0 (réseau social, blog, wiki... 17% d'utilisateurs, +13%) et de la sécurité (16% d'utilisateurs, +6%). En revanche, le PGI, progiciel de gestion intégré, semble rester trop complexe à mettre en oeuvre de cette façon. Même si le SaaS est par définition en dehors de l'entreprise, le DSI est cependant dans les deux tiers des cas la source de validation technique de la solution et une aide au choix des produits proposés. Les deux tiers des répondants estiment en outre qu'une part croissante de leur budget sera consacrée au SaaS contre 7% qui pensent que le budget va baisser. Dans ce dernier cas, selon Markess International, le SaaS n'est pas réellement réduit mais peut rester à périmètre constant avec une négociation tarifaire ou bien subir les réductions de personnels et donc de nombre d'utilisateurs, base essentielle du coût du SaaS. Parmi les avantages, une amélioration de la productivité et de la collaboration Si, pour la plupart des répondants, le retour sur investissement rapide, la facilité d'accès et la possibilité de développer le travail nomade ou multi-sites sont des motivations à basculer en mode SaaS, ceux ayant déjà opté pour au moins un applicatif SaaS ajoutent l'amélioration de la productivité et du partage collaboratif. Les utilisateurs sont plutôt séduits par l'absence d'investissement initial en licences et dans la possibilité de pouvoir déployer aisément de nombreux produits, même quand les ressources informatiques internes sont limitées. A l'inverse, le principal frein pour l'adoption du SaaS reste la double crainte de la confidentialité et de la disponibilité en tous temps des données et applications. Une autre difficulté tient à la bonne compréhension et même à la connaissance des offres présentes sur le marché, signe qu'il manque des consultants spécialisés sur le créneau. Le prestataire prioritairement contacté lorsqu'une organisation cherche une offre de type SaaS reste en premier lieu un éditeur classique ayant développé une offre de ce type (38% des répondants) et en second lieu des 'pure players' comme Salesforce.com (30%). Enfin, c'est généralement à l'occasion d'une migration applicative que le modèle SaaS est envisagé. (...)

(25/02/2009 11:33:19)

24 heures après la panne de Gmail, Google aurait trouvé la cause

Après la panne qui a affecté les utilisateurs de Gmail partout dans le monde hier matin pendant 2 heures et demi (voire beaucoup plus pour les plus malchanceux), Google vient tout juste d'avancer une explication pour ce qui s'est passé. L'éditeur du service de messagerie gratuit s'est excusé platement et publiquement, a promis 15 jours gratuits aux entreprises utilisant son service payant, mais est longtemps resté coi sur les causes de cette interruption de service. La seule piste disponible était le fait que les utilisateurs de smartphones (Blackberry, iPhone) n'avaient pas eu de problème, « ce qui laisserait penser à un problème d'affichage », avançait-t-on sans grande conviction au service de presse. Acacio Cruz, responsable de la fiabilité du service, a fini par indiquer sur le blog officiel de Google que tout serait parti d'une mise à jour sur un serveur en Europe. Elle aurait créé des « effets de bord », surchargeant un autre datacenter, qui lui-même aurait débordé sur les autres, et ainsi de suite en cascade. L'incident, somme toute banal pour un service applicatif en ligne, prend une ampleur particulière pour deux raisons. D'une part parce que le service compte la bagatelle de 113 millions d'utilisateurs (source ComScore), d'autre part parce que Google est à la pointe du combat en ce qui concerne les applications en ligne, et la fiabilité de ces dernières est un des premiers critères scrutés par les entreprises. Or, Google multiplie tant les services que les avanies ; quelques exemples : bug dans l'agrégateur de flux Google News la semaine dernière ou dans la messagerie instantanée Gtalk en décembre dernier, résultats de recherche pour le moins étonnants fin janvier (on se souvient du lugubre 'Ce site peut endommager votre ordinateur'), Gmail inutilisable à de multiples reprises en août dernier... Toutefois, il faut aussi relativiser : sauf volonté de souscrire l'abonnement Premier, le service est gratuit, il ne coûte pas un liard en personnel ou machines sur site, et un taux d'interruption de service de moins de 9h dans l'année correspond à un taux de fiabilité de 99,9%. Comme le souligne Gartner , le Saas (Software as a service, services applicatifs en ligne) a ses inconvénients mais aussi ses indéniables avantages. (...)

(24/02/2009 15:36:59)

Un SP3 orienté processus pour l'ERP de Unit 4 Agresso

L'intégré de Unit 4 Agresso gagne un 'service pack 3'. Implanté en France sur le secteur public, l'enseignement supérieur et les entreprises de services - banque, assurance, mutuelles, associations et SSII -, l'éditeur Unit 4 Agresso propose autour de son progiciel de gestion Agresso Business World (ABW) des fonctions métiers adaptées à chacun de ses trois marchés cibles.

La version 5.5 de son ERP, basé sur les technologies Microsoft, vient d'être complétée d'une mise à jour (SP3). Celle-ci apporte des fonctions supplémentaires pour modifier les processus. L'utilisateur peut créer lui-même des champs personnalisés - date, texte, montant, case à cocher ou listes de valeurs - qui s'ajouteront aux référentiels maîtres et seront pris en compte dans les extractions de données et les workflows.

Le SP3 permet aussi de placer des liens dynamiques dans l'environnement de travail, ainsi que des boutons pour accéder à des notes et engager une action en contexte. On peut aussi désormais créer des requêtes graphiques qui sont mises à jour en temps réel. L'ERP s'enrichit par ailleurs de quatre modules fonctionnels : gestion des immobilisations, rapprochements bancaires, suivi du recouvrement clients et gestion budgétaire intégrée.

250 clients en France

L'entité Unit 4 Agresso est née fin 2000 de la fusion du Néerlandais Unit 4 et de l'éditeur norvégien Agresso qui a conçu le progiciel intégré ABW. Les équipes de développement du moteur de l'ERP sont toujours à Oslo, secondées par des équipes locales, en particulier en France, pour la localisation et l'ajout des fonctions destinées aux différents marchés. La R&D de l'éditeur compte 650 personnes (dont une quinzaine en France) sur un effectif total de 3 600 personnes (80 en France).

Pour concevoir son offre Agresso Public, qui s'adresse aux établissements publics nationaux (EPN), l'éditeur a transposé les processus de la comptabilité publique sur son ERP ABW. Cette offre devrait être étendue vers les collectivités locales (conseils généraux, notamment). Sur le secteur public, Unit 4 Agresso bénéficie de l'expertise acquise du rachat, en 2004, du Français Fininfor, éditeur de la solution de gestion Harmonie, déclinée à la fois pour les administrations et le secteur privé.

La deuxième solution sectorielle, Agresso Education, vise les enseignements supérieurs privés de formation initiale, et les établissements de formation continue. Elle comporte des modules pour gérer la comptabilité/finance, les ressources humaines, la formation et les relations avec les entreprises, et se complète d'un module vertical pour l'inscription des élèves et le suivi des activités d'enseignement, notamment.

La base installée française de Unit 4 Agresso rassemble 250 clients (200 dans le secteur privé et les autres répartis équitablement entre secteur public et éducation). Une soixantaine de ces clients exploitent toujours l'offre Harmonie.
A noter que l'éditeur a racheté l'an dernier le Britannique Coda afin de compléter son offre d'une solution « best of breed » de comptabilité/gestion financière reconnue sur le marché.

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