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(23/02/2009 17:24:09)
Le mode SaaS n'est pas toujours moins cher, rappelle Gartner
Les directions informatiques ne doivent pas partir du principe que le mode SaaS (software as a service), qui fournit le logiciel en ligne contre un abonnement, est moins cher que la licence classique qui s'installe dans l'entreprise. Un petit rappel bienvenu de Gartner, qui explique qu'il y a eu autour du SaaS une bonne dose de « battage » ayant pu conduire les entreprises à se faire de fausses idées sur le sujet. Ainsi si ce mode est moins coûteux pendant les deux premières années de son utilisation, puisqu'il n'y a ni licence à payer ni matériel à acheter, le coût total de possession sur cinq ans pourrait être moins élevé avec les solutions dites « on-premise », c'est-à-dire installées en interne. Pour faire ce calcul, Gartner prend en compte la dépréciation du matériel d'un point de vue comptable. Engageant à adopter un point de vue réaliste sur le SaaS, Robert DeSisto, vice président de Gartner, met en garde : « Ce qui est préoccupant, c'est que certaines entreprises déploient ce type de solutions en s'appuyant sur de fausses hypothèses. » Le paiement à l'usage est rarement une réalité, selon Gartner Dans un rapport listant les cinq assertions les plus communes autour du Saas (Fast checking : The five most-common SaaS assumptions), Gartner avertit par exemple que ces applications en ligne ne sont pas nécessairement plus rapides à mettre en oeuvre que des solutions plus classiques. Si les fournisseurs indiquent généralement 30 jours comme délai normal de mise en route, certains logiciels requièrent jusqu'à sept mois, indique par exemple le rapport. Les entreprises se trompent encore quand elles pensent qu'elles seront facturées à l'usage, poursuit Gartner. « Dans la grande majorité des cas, les clients ont été amenés à signer des contrats pré-établis comportant une redevance fixe. » Attention aussi aux idées reçues dans l'autre sens Mais, par ailleurs, le rapport de Gartner note que les entreprises peuvent aussi sous-estimer le mode SaaS. Nombre d'entre elles ont ainsi l'impression qu'elles ne pourront pas intégrer le logiciel en ligne avec leurs applications internes ou leurs sources de données ; alors que ces données peuvent être au départ chargées vers l'application SaaS, puis mises à jour régulièrement, ou mises à jour en temps réel au moyen de services Web. En outre, rappelle Gartner, il ne faut pas oublier que les applications SaaS peuvent être personnalisées et qu'elles ne se limitent plus depuis longtemps à des fonctions de base. (...)
(23/02/2009 15:01:21)SAP reprend les outils de plateforme en ligne de Coghead
SAP vient d'acquérir les droits de propriété intellectuelle du Californien Coghead qui proposait jusqu'au 18 février une plateforme et des outils de développement pour bâtir et exploiter des applications de gestion en ligne. L'éditeur allemand figure déjà depuis deux ans, par le biais de SAP Venture, au capital de cette société créée en 2003. Il devrait utiliser cette infrastructure hébergée pour ses besoins internes dans un premier temps, selon l'un de ses porte-parole. Récemment, Coghead avait prévenu ses clients qu'il prévoyait d'arrêter son service en ligne pour des raisons économiques, mais sans mentionner, alors, l'accord signé avec SAP. Dans les prochaines semaines, ce dernier devrait en dire un peu plus sur la façon dont il compte exploiter la technologie acquise, mais il n'a pas, pour l'instant, l'intention de la vendre sous forme de service commercial. L'éditeur dit également travailler pour aider les clients de Coghead à effectuer une transition de leurs applications vers de nouveaux hébergeurs sans interruption de service. Un environnement pour élaborer des applications Web et les mettre à disposition en ligne La plateforme de Coghead s'adressait aux éditeurs indépendants, développeurs et départements informatiques auxquels il fournissait un environnement de conception graphique pour élaborer des applications Web et les mettre à disposition en ligne : environnement de développement « drag and drop » basé sur Flex, d'Adobe, fonctions de workflow pour modéliser des processus métiers, interface de programmation REST et outils 'Coglets' pour l'intégration avec d'autres applications Web. Enfin, l'éditeur Coghead s'est appuyé sur le cloud d'Amazon EC2 et les services qui lui sont associés, AWS (Amazon Web Services). C'est l'une des nombreuses plateformes en ligne qui se sont multipliées à côté des Salesforce.com, Google et Microsoft Azure, ou encore d'autres acteurs plus petits comme Caspio, Californien lui aussi. Plusieurs d'entre eux proposent maintenant aux utilisateurs de Coghead des offres intéressantes pour migrer vers leur infrastructure. Pour le PDG de RunMyProcess, le marché existe malgré la faillite de Coghead « Coghead était une des start-up emblématiques du marché du Saas/PaaS/Cloud », commente Mathieu Hug, PDG de Runmyprocess.com étonné par cette « surprenante nouvelle de la faillite » de cette société puis de son rachat par SAP. Editeur d'une solution de BPM en mode SaaS, Runmyprocess.com voyait Coghead se positionner comme un concurrent. Son rachat est-il un avertissement pour toutes les plateformes fournies comme un service et les entreprises qui les utilisent ? Mathieu Hug ne le pense pas. « D'une part, le marché existe, nous le sentons émerger nettement depuis trois à quatre mois, mais lancer un business 'as a service' est un travail de longue haleine et la crise actuelle n'aide pas, analyse le dirigeant. D'autre part, le rachat par SAP prouve la valeur de ce type d'offre, même si SAP était déjà partie prenante de Coghead par le biais de SAP Venture. (...) Cela prouve aussi que le SaaS, les PaaS ou le cloud sont sans équivoque la prochaine étape majeure de l'évolution de l'informatique. » Pour Michael Coté, analyste pour le cabinet Redmonk, la technologie de Coghead semble bien convenir à SAP si l'on en juge par la popularité qu'elle a acquise au sein de la communauté de développeurs de l'éditeur allemand. (...)
(19/02/2009 17:04:51)Delphi et JBuilder accessibles à la demande
Les nostalgiques des outils de développement de Borland tels que Delphi ou JBuilder vont pouvoir se réjouir : Embarcadero, qui les a rachetés en mai 2008, les propose en ligne, au sein d'une offre de distribution originale. Embarcadero All-Access inclut tous les outils de développement et de gestion de bases de données de l'éditeur, l'accès à ce portefeuille (plus de quarante en comptant les éditions différentes des logiciels) étant soumis au paiement d'une seule licence. L'éditeur a prévu quatre niveaux de membres, du Bronze (pour les développeurs ou administrateurs de bases de données isolés) au Platinum (pour les architectes et autres responsables de projets d'entreprise). Selon le niveau de membre et le type de licence retenu (au développeur nommé, au jeton...), chacun pourra puiser dans ce portefeuille les produits qui le concernent. La principale innovation est cependant seulement en train de se mettre en place. Embarcadero prévoit de rendre l'ensemble de ses outils accessibles en utilisation à la demande, directement depuis le Web, grâce à sa technologie InstantOn. D'ici à fin 2009, tous les outils devraient pouvoir ainsi s'utiliser sans installation en local. Embarcadero avait obtenu Delphi, C++ Builder ou encore JBuilder lors du rachat - pour 23 M$ - de Codegear, une entité autonome où Borland avait regroupé ses outils de développement. L'éditeur de JBuilder s'était rendu à cette solution après avoir vainement tenté de les vendre en 2006. Confronté au succès grandissant d'Eclipse, Borland avait décidé de concentrer ses efforts sur le marché de la gestion du cycle de vie des applications. (...)
(19/02/2009 12:55:51)L'éditeur français Oslo Software reçoit 740 000 euros du réseau Finaréa
Créé en 2001, l'éditeur lyonnais Oslo Software vient d'obtenir un financement de 740 000 euros du réseau Finaréa pour renforcer ses équipes commerciales autour de sa solution Dreams (Dynamic resource allocation and management suite) et poursuivre son développement en France et à l'international. Sa technologie complète les outils de gestion de processus métiers (BPM) et de gestion des événements complexes (CEP) par l'allocation des ressources humaines ou matérielles à des tâches, de façon dynamique et en temps réel, en fonction des contraintes et de la prise en compte d'événements imprévus. Sa solution est en particulier mise en oeuvre par les industriels qui veulent améliorer leur qualité de service ou réduire le délai de mise sur le marché de leurs produits. Oslo Software a également développé des solutions adaptées à l'optimisation des processus dans les centres d'appels ou dans les services d'assistance aux utilisateurs. Réseau Finaréa, axé sur les petites enterprises Le réseau Finaréa met en relation des investisseurs avec les entrepreneurs de petites structures. Il a également vocation à accompagner les choix stratégiques des petites entreprises auquel il apporte ainsi un soutien financier. A son comité d'investissement figurent notamment Paul Henri Bénoit, chargé du financement des entreprises au Conseil régional d'Ile-de-France, et Marie-Claude Taillandier, responsable du crédit aux entreprises au sein d'Oséo. En septembre dernier, Oslo Software, co-fondé et dirigé par Emmanuel Gonon, avait déjà levé 2,7 M€ auprès de Script Capital, Capitalaira et NGI. Egalement directeur technique de la société, Emmanuel Gonon a été l'an dernier finaliste du prix du jeune dirigeant organisé par Ivy Executive Search, cabinet de recrutement de cadres exécutifs. (...)
(17/02/2009 18:14:48)Analyse textuelle : SPSS classifie les réponses libres des questionnaires
Dans la gamme de solutions d'analyse textuelle de l'éditeur SPSS, le logiciel Text Analysis for Surveys est destiné à accélérer le traitement des réponses libres des questionnaires, notamment dans le domaine de la gestion de la relation client (CRM). L'application vient de sortir dans une version 3.0, qui peut analyser les réponses dans six langues (anglais, français, allemand, espagnol, néerlandais et japonais). En recourant à la technologie de traduction linguistique Language Weaver, il est même possible de traiter jusqu'à trente langues. Text Analysis for Surveys permet d'automatiser la classification des remarques (sentiments positifs ou négatifs) exprimées dans les commentaires des enquêtes de satisfaction, recueillies par les centres de contacts lors d'échanges avec les clients, ou bien encore, pourquoi pas, récupérées sur les forums de sites Web consacrés à des produits. Généralement, l'analyse de ces commentaires doit être recodée pratiquement à la main et, de toutes façons, confiée à des professionnels. « C'est un processus coûteux et non réutilisable », souligne Eric Martin, responsable produit chez SPSS France. Le logiciel mis au point par SPSS permet d'identifier les grands thèmes abordés dans les réponses libres et de créer des catégories de façon automatisée, sans qu'il soit nécessaire de lire ces commentaires et de les ressaisir mot à mot. S'il s'agit d'un questionnaire soumis aux clients d'un hôtel, par exemple, les catégories créées pourront s'appliquer à la situation géographique, l'accueil, la chambre, la restauration, etc. Text Analysis for Surveys recourt à différentes techniques de traitement du langage naturel comme l'extraction multilingue de concepts, l'analyse sémantique, la classification basée sur les statistiques, ou encore l'analyse des liens utilisés dans les textes. Cette dernière permettra de faire la distinction entre « jolie chambre » (opinion positive) « mais accueil détestable » (opinion négative). La version 3.0 du logiciel est livrée avec quelques dizaines de catégories prédéfinies pour traiter des enquêtes de satisfaction destinées à des clients ou à des employés, ou s'appliquant à un produit. Un nouvel outil d'assistant guide l'utilisateur dans la création des nouveaux projets. Le prix de l'application démarre à 4 000 euros. (...)
(17/02/2009 12:53:38)Informatica acquiert des solutions de gestion du cycle de vie des données
Avec le rachat d'Applimation qu'il vient de finaliser, l'éditeur Informatica ajoute à sa plateforme d'intégration de données une suite de gestion du cycle de vie des informations applicatives (ILM, information lifecycle management). Cette suite se compose de quatre logiciels. Le premier, Applimation Informia Archive permet à la fois de réduire la taille des bases de production, en identifiant les données inactives, de se conformer aux règlementations légales (accès aux informations, confidentialité) et de gérer la conservation des données. La suite Applimation Informia Enterprise Data Management comprend aussi les solutions Informia Data Subset et Informia Data On Demand, qui permettent de créer des bases représentatives destinées aux tests applicatifs, ou de répliquer les bases de production à des fins de développement, de formation ou d'assurance qualité. Enfin Informia Secure est destinée à la protection des données sensibles dans de multiples contextes. Quoique très utilisée pour les projets décisionnels, la plateforme d'intégration de données d'Informatica répond aux besoins d'un éventail beaucoup plus large de projets : modernisation du système d'information, déploiement d'ERP, synchronisation de données avec des applications hébergées... L'offre Applimation qui vient d'être acquise inclut notamment un éventail de métadonnées destinées à une centaine de modules applicatifs de l'offre de progiciels d'Oracle et de SAP. (...)
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