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(16/02/2009 15:17:46)
Esker reçoit le soutien d'Oseo pour la dématérialisation en mode SaaS
L'éditeur français Esker a reçu le soutien d'Oseo, sous la forme d'une avance remboursable de 545 000 euros, pour soutenir le développement d'offres de dématérialisation des flux de documents en mode SaaS (Software as a service). Ces solutions s'adresseront aux entreprises de taille moyenne. L'objectif est de leur permettre, en limitant les coûts d'investissement, de dématérialiser « à la demande » à la fois les documents entrants dans l'entreprise, tels que bons de commande et factures fournisseurs, et les documents sortants (factures, lettres de relance, commandes...). La première de ces offres devrait être livrée cette année. Elle s'appliquera aux factures fournisseurs. Esker précise que le développement de ces solutions mobilisera 25 personnes pendant deux ans au sein de sa R&D. Labellisée Entreprise innovante en 2006, Esker avait déjà reçu en novembre dernier une avance remboursable de 450 000 euros de la part d'Oseo. Cette aide était alors destinée à constituer une offre d' « usines courriers » clé en main. L'éditeur français dispose déjà de plusieurs de ces « usines », dans l'Hexagone, mais aussi en Australie et aux Etats-Unis, pour imprimer, mettre sous pli et expédier des courriers papier envoyés par les utilisateurs de ses logiciels. Des solutions comme FlyDoc ou Esker DeliveryWare proposent en effet aux entreprises d'expédier des courriers papiers depuis leurs logiciels de gestion ou leurs logiciels métiers. En 2008, Esker a réalisé un chiffre d'affaires de 26,63 M€ et se place en 33e position du logiciel français en 2007 selon le classement EuroSoftware. (...)
(16/02/2009 11:47:10)Annuels Cegedim : croissance tirée par les logiciels pour professions de santé
La société Cegedim, spécialisée dans les logiciels et services destinés au secteur de la santé, affiche un chiffre d'affaires 2008 en hausse de 16,6%, à périmètre comparable et taux de change constant, avec 849 millions d'euros de chiffre d'affaires (+12,7% en données publiées). Cegedim possède à la fois une activité purement informatique et une autre de prestations en marketing. L'informatique elle-même comprend une double activité d'éditeur : d'une part, le développement de logiciels de gestion de la relation client (CRM) à destination de l'industrie pharmaceutique -dans ce secteur, il a complété son offre avec le rachat de Dendrite en 2007- et d'autre part, des progiciels de gestion spécialisés pour les professions médicales (pharmaciens, médecins et paramédicaux). Cegedim souligne que son activité d'éditeurs de logiciels pour les pharmaciens, médecins et paramédicaux a enregistré en 2008 une progression à deux chiffres. Dans ce secteur, il poursuit son développement européen, en particulier au Royaume-Uni, en Belgique, en Espagne et en Italie. Selon le classement EuroSoftware publié fin 2008, l'activité d'édition de Cegedim le situe à la cinquième place des éditeurs français de logiciels, derrière Cegid. Mais le groupe compte aussi des activités hors informatique : études de marché pour l'industrie pharmaceutique, publicité sur le lieu de vente pour les pharmaciens, location financière pour ces mêmes pharmaciens. La société déploie également une activité d'assurance. Elle ne dissocie pas, dans ses comptes, l'activité CRM des autres, car elle estime que le CRM est lié aux activités d'études et de bases de données et n'est pas vendu indépendamment. Cegedim communique la répartition de son chiffre d'affaires entre ses trois grandes activités : d'une part, CRM et données stratégiques (58% du CA total), qui a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 492,6 M€, d'autre part l'activité Professionnels de santé qui a généré 250,3 M€ (29,5% du CA total) et, enfin, l'activité Assurances et services (12,5% du CA total), 105,7 M€ (+4,1%). Les chiffres d'affaires de ces trois domaines ont enregistré, en données publiées, une progression de 7,1%, 30,8% et 4,1% (à périmètre constant, la progression s'élève à 11,5%, 36,5% et 3,1%). Les résultats complets du groupe seront publiés le 22 avril 2009. (...)
(12/02/2009 15:26:00)Squid Solutions lève 3 M d'euros sur sa technologie d'analyse des données clients
L'éditeur français Squid Solutions, spécialisé dans la modélisation des données clients, vient de lever 3 M€ pour poursuivre son développement. Son logiciel Nautilus lui permet d'analyser d'importants volumes de données gérées dans les datawarehouses et d'établir des modèles prédictifs pour des besoins métiers, dans des délais sensiblement réduits par rapport aux cycles habituels. A partir de cet outil, Squid Solutions a élaboré un modèle économique qui ne repose pas sur la vente de licences, mais sur une offre de services en mode projet. Celle-ci s'appuie sur Nautilus et sur l'expertise développée par l'éditeur autour de la modélisation de données métiers. Ce modèle, la technologie associée et l'équipe dirigeante ont convaincu les investisseurs, Neptune Technologies et Banque de Vizille, qui ont engagé les 3 M€ sur leurs capitaux propres. Holding familiale, Neptune Technologies est un investisseur industriel qui étend maintenant ses prises de participation aux structures innovantes. Avec Banque de Vizille, qui mise sur des secteurs émergents, l'objectif est d'investir dans la durée pour accompagner la croissance de l'entreprise. Squid Solutions a été créée en 2004 par Adrien Schmidt, l'actuel PDG, Serge Fantino, directeur technique, et Grégoire Pauty, directeur des ventes. Tous trois ont fait leurs armes dans l'analyse des données clients chez SLP Infoware, un éditeur français qui s'était focalisé sur la gestion de l'attrition (fuite des clients), en particulier pour les opérateurs de téléphonie. Il s'agissait alors de détecter dans les bases clients les profils susceptibles de résilier leur abonnement. « Nous y avons acquis une connaissance métier opérationnelle », relate Adrien Schmidt. Créer des jeux de données de façon très rapide Au-delà de l'efficacité du datamining pour donner de l'information aux responsables métiers, les trois fondateurs établissent l'importance de la préparation des données. « Nous avons alors créé des datamarts en fonction des besoins projetés du métier, ce qui permettait, par exemple, de construire des modèles prédictifs des clients susceptibles de partir. Toutefois, en cas de modification de certains paramètres marchés, comme la sortie d'un nouveau téléphone portable, il n'était pas possible d'adapter le modèle dans un délai raisonnable. Il fallait plusieurs mois pour créer un nouveau modèle. » De ce constat est née l'idée de développer une solution permettant de créer des jeux de données de façon très rapide. Démarrant une SAS (société par actions simplifiée) avec 37 000 euros, les trois fondateurs ont spécifié et développé une solution pour répondre à des besoins métiers précis, qu'ils ont pu tester et prototyper sur les entrepôts de données de leurs clients. Dès 2005, le prototype de Nautilus est développé. La start-up est alors soutenue par l'incubateur Paris Innovation. Elle reçoit de Scientipôle Initiative un prêt d'honneur de 60 000 euros qui lui permet d'augmenter ses fonds propres et de présenter un dossier de financement à Oseo. 150 000 euros lui sont accordés, qui sont portés à 190 000 euros lorsque le projet est labellisé auprès du pôle de compétitivité Cap Digital. S'y ajoute une subvention d'environ 5 000 euros du Critt (centre régional pour l'innovation et le transfert de technologie). Un cycle de préparation des données réduit de plusieurs mois [[page]]Le logiciel Nautilus sort en mars 2007 et Squid Solutions prend son envol. Les projets se multiplient ; l'entreprise élargit alors sensiblement le périmètre de son activité en exploitant sa compréhension des bases de données clients et sa capacité à modéliser les données métiers. Squid Solutions travaille avec de gros clients, opérateurs télécoms ou grands acteurs du Web. « Nous intervenons nous-mêmes dans les entreprises pour répondre à des besoins métiers urgents », décrit Adrien Schmidt qui explique que sa société intervient quelquefois sur des données extrêmement sensibles, pour les banques notamment. « Nous ne faisons aucune extraction brute ; tous les calculs sont faits dans la base de données du client, à partir d'une connexion JDBC. C'est en outre plus performant de procéder ainsi puisque l'on optimise en fonction des capacités de la base. » L'éditeur peut intervenir sur toutes les bases relationnelles (Oracle, SQL Server, DB2...), mais il a déjà développé des algorithmes optimisés pour Teradata et Oracle. Avec Nautilus et l'expertise développée par son éditeur, le cycle de préparation des données se trouve réduit de plusieurs mois à quelques semaines. « Nous créons pour les responsables métiers des indicateurs qui ont un intérêt dans la durée et qu'ils vont nous demander de façon récurrente. » Ces modèles prédictifs peuvent être rafraîchis chaque trimestre par Nautilus. Mais l'offre de Squid Solutions peut se décliner de différentes façons et le format du « livrable » peut varier. L'éditeur étudie ainsi plusieurs pistes d'évolution. « Certains clients aimeraient avoir accès à des requêtes sur Internet, donne en exemple Adrien Schmidt. Par ailleurs, les bases de données intègrent de plus en plus de capacités d'analyse en mode natif ce qui permet de lancer des calculs dans la base et nous permettrait ainsi d'utiliser les ressources de la base. » (...)
(11/02/2009 18:11:14)Annuels Dassault Systèmes : La prudence est au rendez-vous pour les objectifs 2009
A l'approche de la fin de l'année 2008, Dassault Systèmes a vu plusieurs de ses clients repousser la signature de leurs commandes à 2009. En conséquence, l'éditeur de PLM (Product lifecycle management) et numéro un du logiciel français s'est vu contraint de publier mi-janvier des résultats provisoires décevants. Du fait de ces reports de contrats, le quatrième trimestre de l'éditeur s'est en effet révélé nettement inférieur à ses objectifs avec un CA de seulement 384,4 M€ non Gaap (+3% par rapport à la même période en 2007 à taux de change constant). A l'annonce officielle des résultats le 11 février, Dassault Systèmes a confirmé ce montant ainsi qu'un chiffre d'affaires 2008 annuel (non Gaap) de 1,338 Md€ en croissance de 8% à taux de change constant. Le bénéfice de 198,0 M€ augmente de près de 11% par rapport à 2007 malgré une chute de 6,5% au dernier trimestre. La marge opérationnelle 2008, elle, représente encore 25,6% malgré une chute de 0,6 point. Bernard Charlès, PDG de l'entreprise, admet : « Nous avons surtout été surpris que cette baisse des ventes se produise en fin de quatrième trimestre. Nous sommes au final un peu au-dessous de la fourchette des objectifs que nous nous étions fixés pour 2008. Ce qui s'est passé, c'est que des clients pour qui la décision de signer ne s'imposait pas ont repoussé au delà du 31 décembre. Heureusement, certains d'entre eux ont finalement signé leur commande en début d'année. » Les ventes de nouvelles licences de CAO Catia, par exemple, après avoir fortement augmenté jusqu'au troisième trimestre ont brutalement ralenti en fin d'année, atteignant finalement une croissance de 10%. Et globalement, les ventes de nouvelles licences ont chuté de 22%. Enfin, si l'action a perdu 10% sur l'année, Bernard Charlès rappelle pour se rassurer que c'est deux fois moins que le Nasdaq ou le CAC40. Le patron de Dassault Systèmes estime néanmoins que son offre peut aider ses clients à faire face à la crise et compte sur ce constat pour remonter la pente. « 2009 s'annonce sous des auspices très difficiles, prévient le PDG. L'industrie est en souffrance dans beaucoup de domaines. Nous pensons pouvoir accompagner les entreprises avec des outils appropriés dans les inévitables changements de portefeuilles produits qu'ils vont devoir mener à bien. Nos produits leur donneront aussi la flexibilité pour restructurer leurs réseaux de fournisseurs dans des conditions acceptables. » 15% du CA dans de nouveaux secteurs industriels Pour se développer, l'éditeur veut aussi s'appuyer sur d'autres cibles que ses clientèles traditionnelles de l'automobile et de l'aéronautique. Il estime déjà à 15% de son CA la part prise par des secteurs qu'il ne ciblait que peu précédemment comme l'énergie, les biens de consommations, le high tech, le textile, les sciences de la vie. Autant d'industries qui sont à même, selon l'éditeur, d'utiliser aussi bien sa simulation, sa gestion de données que sa gestion de portefeuille produits. « Il devrait même être possible d'utiliser notre PLM collaboratif Enovia dans le monde de l'assurance. Nous allons beaucoup nous appuyer sur ces secteurs pour compenser l'absence de croissance de nouvelles licences dans nos secteurs traditionnels. » Pour traverser la crise, Dassault Systèmes compte aussi se développer dans les pays émergents (Amérique du Sud, Russie, Inde, Chine). Par ailleurs, les deux tiers du CA 2008 non Gaap de l'éditeur proviennent de l'indirect. Après sa réorganisation commerciale démarrée en 2006, il a augmenté de 10% les capacités de chacun de ses canaux de ventes (vente directe et par le biais d'IBM, vente indirecte spécialisée PLM, vente indirecte ex-Solidworks), autre levier pour endiguer le ralentissement de la croissance. L'éditeur annonce d'ailleurs avoir gagné 15 000 nouveaux clients en 2008. Enfin, Dassault Systèmes n'échappera pas à certaines mesures d'économie telles que la négociation plus serrée avec ses fournisseurs et ses sous-traitants ou la réduction des déplacements. Pour réduire ses dépenses immobilières, l'éditeur avait déjà regroupé, en 2008, certains de ses laboratoires de R&D redondants. (...)
(11/02/2009 11:00:39)Microsoft fait entrer l'empreinte carbone dans son ERP Dynamics AX
Microsoft ajoute un tableau de bord environnemental à son ERP pour PME Dynamics AX, l''Environmental sustainability dashboard'. Cette nouvelle fonction, gratuite pour les possesseurs du progiciel, fournit un rapport de la consommation électrique et des émissions de gaz à effets de serre de l'entreprise. Les utilisateurs entrent les données dans le logiciel à l'occasion de leurs manipulations habituelles (Microsoft cite l'exemple du paiement de la facture d'électricité) et celles-ci contribueront ensuite au calcul de la consommation énergétique globale de la société. Les types d'informations saisis, tels la consommation d'essence par exemple, sont ceux définis par la Global Reporting Initiative. L'Environmental sustainability dashboard déduit aussi de ces éléments la quantité de gaz à effet de serre émise à l'occasion de cette consommation énergétique. Les calculs tiennent aussi compte de la source d'approvisionnement électrique (unique ou mixée), lorsqu'il est possible de la connaître (nucléaire, hydraulique, charbon, etc.) Pour une empreinte carbone réelle et globale, il faudrait capturer directement les informations de consommation associées à chaque processus de l'entreprise et ce, pour l'ensemble de sa 'supply chain'. Selon Microsoft, le nouvel outil sera capable de récupérer des informations issues de capteurs dans sa prochaine version, et il peut d'ores et déjà gérer la consommation d'autres ressources que l'électricité, comme l'essence ou l'eau. Pour une PME qui, comme le rappelle Microsoft, n'a pas forcément les moyens d'un audit complet de son empreinte carbone, le tableau de bord de Dynamics AX devrait néanmoins constituer un moyen de de réduire celle-ci, et de diminuer du même coup les frais d'électricité et enfin, de s'adapter aux réglementations environnementales actuelles et futures. Reste pour tous les employés à s'astreindre à saisir les informations idoines au quotidien. (...)
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