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(26/01/2009 12:43:25)

Oracle adapte Tuxedo aux spécifications SCA

Désormais disponible en version 10g R3, le vénérable moniteur transactionnel Tuxedo continue son adaptation aux architectures orientées services (SOA), entamée avec BEA, cette fois sous l'égide d'Oracle. Pour la première mise à jour de Tuxedo depuis le rachat de BEA il y a un an, Oracle confirme en effet l'orientation services Web prise par BEA avec sa technologie Salt (Services architecture leveraging Tuxedo). Le but de Salt est d'exposer des fonctionnalités du moniteur transactionnel sous forme de services, afin de les inclure dans une SOA. La version 2.0 de Salt, présentée en octobre 2007, s'ouvrait aux services bi-directionnels, et supportait le protocole WS-Security. Avec Tuxedo 10g R3, Oracle ajoute le respect des spécifications SCA (Service component architecture) dont le but est d'établir un modèle de référence pour le développement de produits destinés à s'insérer dans des SOA, afin de faciliter l'intégration entre les produits de différentes provenances. Elaboré par 18 éditeurs dont Oracle, SCA a été soumis à l'Oasis au printemps 2007, et est désormais régi par l'organisme de standardisation. Oracle a par ailleurs fait en sorte d'intégrer au mieux Tuxedo avec le reste de son portefeuille de produits middleware, notamment la suite de gestion des identités et Clusterware, son offre pour 'clusteriser' les applications. Dans tous les cas, Oracle semble rester fidèle à sa promesse : Tuxedo continue d'évoluer, mais sans présenter de dépendances à d'autres produits ou technologies Oracle. Tuxedo était un des joyaux du portefeuille de BEA. Fin 2007, alors que BEA faisait en sorte qu'Oracle augmente son offre, Massimo Pezzini, expert en middleware chez Gartner, soulignait que Tuxedo n'avait pas d'équivalent chez Oracle. Et quelles que soient les vertus des derniers serveurs d'applications Java, les moniteurs transactionnels restent inégalés pour ce qui est de supporter des nombres de transactions très élevés avec des temps de réponse satisfaisants. (...)

(23/01/2009 17:49:17)

Annuels Cegid : Le chiffre d'affaires porté par les acquisitions

En tenant compte des rachats des éditeurs VCSTimeless et Civitas, en septembre dernier, pour ajouter de nouvelles offres métiers à son portefeuille de logiciels de gestion, l'éditeur lyonnais Cegid enregistre une progression de 6,6% sur le chiffre d'affaires (79,1 M€) de son quatrième trimestre fiscal, clos le 31 décembre dernier. A périmètre constant, en revanche, le chiffre d'affaires recule de 6,2% sur un an. De la même façon, sur l'ensemble de l'exercice, le CA (248,2 M€) progresse de 2,9% à périmètre courant (compte tenu des acquisitions), mais enregistre -1,1% à périmètre constant (sans les rachats). Les résultats définitifs de l'exercice seront communiqués le 2 mars prochain. Cegid doit principalement la progression de 6% enregistrée sur les 110,6 M€ de ses ventes de licences et de services d'intégration (hors revenus provenant des contrats récurrents), au secteur des PME (+16%) et à ses solutions de gestion des ressources humaines (+13%). Quant au chiffre d'affaires des contrats récurrents, il s'est élevé à 112 M€ (+6,3%, ou +3% à périmètre constant) sur l'exercice, grâce, notamment à l'augmentation de 8% des revenus provenant des contrats « on demand » (Software as a service), représentant un portefeuille de 120 M€. (...)

(23/01/2009 15:48:01)

Autonomy rachète Interwoven pour 775 M$

L'éditeur britannique Autonomy, spécialisé dans les solutions de recherche, de catégorisation et de compréhension contextuelle des données non structurées, va racheter l'Américain Interwoven, éditeur de solutions de gestions de contenus Web, pour 775 M$. Cette acquisition devrait être finalisée au cours du second trimestre. Ensemble, les deux sociétés rassemblent 2 000 salariés et constituent un portefeuille de 20 000 clients, parmi lesquels 1 200 cabinets d'avocats. Parmi les points forts de l'offre d'Autonomy figurent les solutions d'archivage dites de « e-recovery », c'est-à-dire permettant de mettre en place des procédures de conservation légale des documents afin de pouvoir les retrouver et les produire en cas de litiges. Les technologies développées par Autonomy sont par ailleurs mises à profit dans les applications de recherche à l'échelle de l'entreprise, de gouvernance de l'information, de gestion des risques, ou encore dans le cadre de projets de gestion des connaissances (Knowledge management), au sein de centres d'appels ou même, associées à la gestion de processus métiers. Le rapprochement avec Interwoven est pertinent à plus d'un titre. D'une part, l'éditeur racheté a lui aussi développé des solutions de gestion du cycle de vie des documents jusqu'à leur archivage légal. D'autre part, l'autre pan du portefeuille applicatif est centré sur la gestion des contenus Web, domaine dans lequel peuvent s'appliquer les outils de recherche d'Autonomy. Récemment, Interwoven a complété son catalogue avec une offre de ciblage adaptatif des contenus Web, Optimost Adaptive Targeting. Celle-ci permet d'effectuer des tests multi-variables en combinant divers éléments d'une page promotionnelle sur le Web (photos, slogans, couleurs, dispositions des logos) afin de déterminer la meilleure combinaison perçue par les internautes et d'obtenir le meilleur taux d'achat. Avec le rachat d'Interwoven par Autonomy, le nombre de spécialistes du WCM (gestion de contenus Web) indépendants se réduit encore. Un marché sur lequel on trouve toujours l'Américain Vignette, notamment. (...)

(23/01/2009 14:07:15)

Le patron de Microsoft pessimiste sur les perspectives économiques

S'adressant hier aux analystes financiers suite à l'annonce par Microsoft du premier plan de restructuration de son histoire, le PDG de l'entreprise, Steve Ballmer, a indiqué qu'il percevait dans les actuelles conditions économiques un réétalonnage complet, impliquant qu'on ne retrouverait probablement pas la prospérité des dernières années. Il considère qu'en période de recul, on reconstruit à partir d'un stade antérieur. « L'économie se rétracte et, ensuite, on repart d'un niveau plus bas, a t-il déclaré lors d'une conférence téléphonique, ce jeudi. Nous ne nous attendons pas à un rebond ». Le patron de Microsoft, peu optimiste, considère qu'il faudra attendre un an ou deux pour que l'économie s'améliore. L'éditeur devrait donc maintenir ses priorités et poursuivre sa politique de réduction de coûts sur le long terme. Mais, en dépit d'un plan de réorganisation qui se soldera par la suppression de quelque 5 000 postes (au marketing, ventes, finances, juridique, ressource humaines et informatique), la firme de Redmond entend renforcer ses équipes dans des domaines qu'il juge stratégiques, comme la recherche et le développement : « Malgré les suppressions de postes annoncées hier, nous comptons nous entourer de plusieurs milliers de collaborateurs dans des domaines comme la recherche, car nous y voyons une occasion incroyable de faire du bon travail », a t-il précisé, en tentant de mettre l'accent sur des points positifs tout en étant réaliste sur les effets de la crise économique actuelle. Croissance à deux chiffres sur SharePoint, OCS et Dynamics CRM [[page]] Parmi les points positifs de ce second trimestre plutôt décevant, Microsoft souligne, dans sa division Business (4,88 Md$ de chiffre d'affaires), les bonnes performances (croissance à deux chiffres du revenu) de son portail Office SharePoint, de sa solution de communication unifiée Office Communications Server et de son offre de gestion de la relation client Microsoft Dynamics CRM (customer relationship management). Sa division Servers & Tools (serveurs, outils associés et maintenance) affiche également une croissance à deux chiffres pour le 26ème trimestre consécutif, sur un chiffre d'affaires de 3,74 Md$. En outre, sa ligne de recettes publicitaires, longtemps considérée comme un point faible, a augmenté de 7% au cours du second trimestre, malgré la stagnation globale de la division Online Services Business qui a réalisé 866 M$ de chiffre d'affaires (contre 863 M$ l'an dernier). Malgré ces points forts, le tableau est plutôt sombre pour Microsoft : le marché est trop volatile pour que l'entreprise puisse donner des prévisions pour le reste de son année fiscale qui se terminera fin juin. Les ventes de la console de jeu Xbox 360 se sont bien portées au cours du dernier trimestre, grâce à près de 6 millions d'unités écoulées. La division Entertainement de Microsoft affiche un chiffre d'affaires de 3,18 Md$ sur le trimestre. En revanche, d'autres secteurs ont souffert. Le marché des PC, du fait de son ralentissement, a ainsi fait régresser de 8 % le chiffre d'affaires de la division Client de Microsoft (3,98 Md$ de chiffre d'affaires, contre 4,33 Md$ sur le 2e trimestre fiscal de l'an dernier). En outre, l'accueil de Vista a été mitigé et le Californien aurait pu profiter davantage du succès rencontré par les netbooks (une partie d'entre eux étant livrés sous Linux). (...)

(23/01/2009 12:23:25)

Gartner : cinq prédictions pour la BI d'ici 2012

Les applications de Business Intelligence (BI), figurent parmi les dix technologies clés listées par Gartner pour l'année 2009. Autour de ces outils, le cabinet d'études a établi en complément cinq prédictions pour les quatre prochaines années. Des prédictions qui prennent en compte le fait que les entreprises vont chercher dans les logiciels de BI et de gestion de performance (CPM ou EPM pour corporate ou enterprise performance management) la capacité d'optimiser le pilotage de leur activité et de mieux contrôler leurs coûts, tout particulièrement en cette période de crise économique. Première prévision : d'ici à 2012, plus de 35% des 5 000 plus grandes entreprises internationales vont régulièrement avoir des difficultés à prendre des décisions motivées et pertinentes sur des évolutions importantes de leur activité et de leurs marchés. Le ralentissement économique les contraint à s'adapter constamment, repenser leurs stratégies et communiquer de façon transparente sur leur activité. Malheureusement, Gartner estime que la plupart d'entre elles n'ont pas déployé les processus et les outils qui leur permettraient d'être vraiment réactives aujourd'hui. Pour Bill Hostmann, vice-président recherche chez Gartner, il faut que les responsables informatiques ayant une forte culture de la gestion de l'information créent une équipe spécifique au sein de leur direction pour répondre aux besoins d'analyse des opérationnels. Les directions métiers vont accroître leurs investissements dans la BI Deuxième prévision : en 2012, les directions métiers vont contrôler au moins 40% du budget consacré à la BI. Même si les DSI excellent dans la mise en place des infrastructures BI, les utilisateurs métiers ont perdu confiance, selon le Gartner, dans la capacité que ces directions ont à fournir aux opérationnels les informations dont ils ont besoin pour prendre des décisions. Ce sont les directions métiers qui pilotent les analyses et les initiatives de gestion des performances, souvent en s'appuyant sur des tableurs pour créer des tableaux de bord. Elles vont accroître leurs investissements dans les applications analytiques, en y incluant les outils de CPM/EPM, les fonctions d'analyse marketing en ligne, ainsi que l'analyse prédictive qui permet d'optimiser les processus en amont et pas seulement d'en analyser les résultats. Toutefois, avertit Nigel Rayner, vice-président recherche chez Gartner, en réalisant leurs investissements de façon indépendante par rapport aux DSI, ces directions métiers risquent de créer des silos d'information distincts qui limiteront l'analyse croisée, augmenteront la complexité et rallongeront les délais de mise en oeuvre des changements. Pour éviter cette situation, Gartner suggère que les DSI incitent les opérationnels à utiliser les applications existantes et préconisent l'achat d'applications analytiques packagées qui « minimisent l'impact de fonctions isolées ». Fonctions SaaS, mode collaboratif et applications composites [[page]] Troisième prédiction : en 2010, 20% des entreprises auront recours à des applications analytiques métier fournies en mode SaaS (software as a service). Kurt Schlegel, vice-président recherche chez Gartner, conseille aux directions informatiques de collaborer avec les utilisateurs métiers pour identifier les indicateurs liés à leur activité afin de les inclure dans leur portefeuille de fonctions BI. L'objectif étant d'intégrer dans l'entrepôt de données internes les informations obtenues avec les applications analytiques SaaS. Quatrième prédiction : en 2009, on verra émerger une forme de prise de décision en mode collaboratif qui s'appuiera sur des solutions combinant les outils de réseaux sociaux et les plateformes BI. Les DSI les plus futées, glisse Gartner, y trouveront un moyen d'exploiter la vague d'intérêt pour ce mode de collaboration informelle plutôt que de se borner à promouvoir un processus de décision du haut vers le bas de la hiérarchie. Enfin, selon la cinquième prédiction de Gartner, en 2012, un tiers des applications analytiques liées aux processus métiers seront fournies au travers d'applications composites proposant directement les fonctions d'analyse dans les applications opérationnelles. A côté des plateformes BI globales qui proposent de couvrir tous les cas de figure, le cabinet d'études suggère de recourir à des fonctions 'best-of-breed' permettant d'effectuer des requêtes et d'appliquer des métriques ou de produire des graphiques directement depuis l'application opérationnelle. (...)

(23/01/2009 11:27:28)

Sopra choisi pour déployer Chorus dans l'enseignement public

Après les affres du projet Accord 2, l'Etat a mis en oeuvre un progiciel de gestion budgétaire unique baptisé Chorus et basé sur SAP. Le projet est piloté par l'AIFE (Agence pour l'Informatique Financière de l'Etat) mais doit être déployé dans l'ensemble de l'administration d'Etat (à la différence d'Accord 1 réservé à l'administration centrale). Sopra vient de remporter le marché de ce déploiement pour les ministères de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche au niveau de l'assistance opérationnelle, de la formation et de l'assistance au démarrage. La SSII a noué pour l'occasion un partenariat avec le cabinet Bearing Point. Chorus succède à Accord « 1bis », baptisé « Palier 2006 », qui n'appliquait que les normes comptables basiques de la LOLF (Loi Organique sur les Lois de Finances). Le nouveau progiciel permettra d'appliquer « l'esprit » de la LOLF en matière de contrôle de gestion publique. Le déploiement de Chorus est particulièrement complexe dans les administrations concernées puisqu'elles sont très décentralisées, avec des implantations géographiques nombreuses, y compris outre-mer pour 3 000 utilisateurs. Le contrat porte sur un montant compris entre 6 et 10 millions d'euros et une durée de 18 mois. (...)

(21/01/2009 15:41:07)

L'Efrei forme une soixantaine de chômeurs aux métiers de la BI

Période de crise ou pas, les entreprises sont toujours demandeuses d'outils qui les aideront à mieux analyser leurs activités. Mais les spécialistes de la BI (Business Intelligence- informatique décisionnelle) sont trop peu nombreux pour répondre à l'augmentation de la demande. Pour inverser la tendance, l'Efrei (Ecole française d'électronique et d'informatique) a décidé d'assurer la formation d'une soixantaine de demandeurs d'emploi à ces métiers avec le concours de Pôle emploi (qui réunit désormais Assedic et ANPE) et de l'éditeur d'outils analytiques SAS. Le programme est ouvert à tout demandeur d'emploi inscrit, ayant droit à l'Are (Aide de Retour à l'Emploi) et possédant. une expertise métier et/ou informatique. Les candidats - de niveaux Bac+2 (BTS DUT - DEUG), Bac+3 et 4 (Licence - Maîtrise) ou Bac+5 (DESS - DEA - Grande école - pourront postuler en envoyant lettre de motivation et CV par courriel à l'adresse topp@efrei.fr. Entièrement prises en charge par les ex Assedic, les sessions démarreront à partir du mois prochain à raison de 430 heures sur trois mois. A la clé, une place en SSII Les participants pourront intégrer une équipe projet d'une des SSII partenaires dès la fin du programme : Business & Decision, Umanis, Sopra group, Lincoln, Odesys, Groupe HLi, Acane Consulting ou Micropole Univers. Les salaires bruts iront de 30 à 40K€/an, suivant l'expérience et la formation initiale. (...)

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