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(03/10/2008 09:13:51)

Informatica conforte son expertise en Europe sur fond de projets qui s'internationalisent

Résolument centré sur son métier d'éditeur de solutions d'intégration de données, Informatica renforce ses équipes en Europe du Sud en rachetant PowerData, son distributeur depuis 1999 sur l'Espagne et le Portugal. Sur l'effectif de 90 collaborateurs, l'éditeur américain reprend en fait trente personnes, engagées sur l'activité de ventes de licences et de services à haute valeur ajoutée (marketing, avant-vente, experts...). Les autres salariés, investis sur les services professionnels, sont transférés vers la société PowerData Solutions qui poursuit de façon indépendante son partenariat avec Informatica.

La filiale Informatica Iberia reportera à Didier Guyomarc'h, directeur général d'Informatica France et vice-président des ventes pour l'Europe du Sud. Cet apport de compétences pourra être mis à profit avec les clients implantés sur plusieurs pays. « Les projets sont de plus en plus internationaux », confirme Didier Guyomarc'h. Il cite en exemple des clients comme la banque espagnole Santander qui a racheté des établissements bancaires aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne, par exemple, ou encore Pernod Ricard, dont les activités IT sont très présentes en Espagne.

Décisionnel, modernisation du SI, référentiels d'entreprise...

En France, Informatica compte 175 clients, répartis de façon assez équilibrée entre les secteurs de l'énergie (environ 25% du chiffre d'affaires), de la banque (environ 20%), des biens de grande consommation (20%) et de l'industrie manufacturière (20%). Depuis un an et demi, la filiale investit plus particulièrement le secteur public (8% du chiffre d'affaires pour l'instant).

La plateforme d'intégration de données d'Informatica est toujours très utilisée pour les projets d'analyse décisionnelle qui représentent un peu moins de 50% du chiffre d'affaires de la filiale française. « Parallèlement aux projets de Business Intelligence qui continuent à croître, l'utilisation des outils d'intégration de données touche un spectre bien plus large », détaille Didier Guyomarc'h. Le dirigeant énumère les migrations de données effectuées dans le cadre de projets de modernisation du système d'information, ainsi que pour la mise en place d'ERP ou de référentiels d'entreprise (MDM, master data management), notamment à la suite de mouvements de fusion/acquisition.

Synchronisation de données et alimentation au fil de l'eau
[[page]] A cela s'ajoutent les opérations de consolidation et de synchronisation de données liées à l'utilisation d'applications gérées à l'extérieur de l'entreprise, notamment en mode SaaS -software as a service (Informatica propose en particulier des services pour les applications en ligne de Salesforce.com). Sans oublier les démarches imposées par les contraintes réglementaires (Sarbanes Oxley, Bâle II...) qui nécessitent aussi le recours à des outils d'intégration gérant, à l'instar de la plateforme d'Informatica, des données structurées, semi-structurées, voire non structurées (PDF, cellules Excel...).

« Notre plateforme a beaucoup évolué ces dernières années, rappelle Didier Guyomarc'h. Les fonctions d'alimentation en temps réel, disponibles depuis plus de trois ans, sont particulièrement utilisées dans la grande distribution. Les clients travaillent sur des volumétries de plus en plus importantes et recourent notamment à des fonctions de CDC -change data capture, permettant une alimentation au fil de l'eau ne prenant en compte que les éléments modifiés. Nous avons également introduit la notion de haute disponibilité, de grid computing et d'orchestration. » Sans oublier, dans le domaine de la gestion de la qualité des données, l'ajout d'outils de résolution d'identité, utilisés notamment pour détecter les comportements frauduleux. Des fonctions complétées en avril dernier, avec le rachat d'Identity Systems. (...)

(01/10/2008 17:11:32)

Oracle achète l'éditeur Advanced Visual Technology

Oracle achète Advanced Visual Technology (AVT), un éditeur de planification d'espace pour détaillants. Le montant de l'opération n'a pas été divulgué. En combinant les logiciels d'AVT avec sa propre suite Oracle Retail, l'éditeur veut aider les commerces à doper leur rentabilité en optimisant leurs installations en magasin. Oracle devrait finaliser cette acquisition d'ici à la fin de l'année. Les employés et la direction d'AVT rejoindront alors les équipes de sa division Retail Global Business. L'entreprise britannique AVT est un partenaire de longue date d'Oracle mais c'est aussi un éditeur certifié SAP, Microsoft et AudoDesk. Oracle n'a pas précisé si ces accords restaient d'actualité. (...)

(30/09/2008 18:06:20)

Les clubs d'utilisateurs de SAP sondent les clients sur le contrat « Enterprise Support »

A la suite de la substantielle modification par SAP des contrats de maintenance de ses applications de gestion, 31 clubs nationaux d'utilisateurs de ces logiciels, regroupés par le SUGEN (SAP User Group Executive Network), mènent de front une enquête auprès des clients de l'éditeur allemand. En France, c'est l'USF qui soumet le questionnaire aux utilisateurs francophones de SAP. Que pensent-ils de la généralisation du contrat « Enterprise Support » qui s'accompagne d'une hausse des tarifs de la maintenance ? Les avis doivent être communiqués par les entreprises avant le 10 octobre 2008. En savoir plus : - Accéder au questionnaire sur le site de l'USF
- Des détails sur le SUGEN (...)

(30/09/2008 16:28:15)

Entrepôt de données HP Oracle : les concurrents réagissent

A côté d'éditeurs comme Teradata, implantés depuis longtemps sur les grands entrepôts de données (datawarehouses), ces dernières années ont vu des acteurs de niche tels que Netezza et Datallegro investir le terrain des appliances décisionnelles (couplant matériel et logiciel) avec des technologies brevetées. Pour certains d'entre eux, la réaction ne s'est pas fait attendre à l'annonce de la 'HP Oracle Database Machine', une solution associant dans le même châssis des serveurs de bases de données et des serveurs de stockage. Par communiqué, Christian Raza, directeur des opérations de la filiale française de Netezza (ouverte en juin dernier), estime ainsi que le produit d'Oracle « n'est rien d'autre que du packaging autour de la base de données traditionnelle Oracle 11g ». Une offre, juge-t-il, conçue pour profiter du secteur en pleine expansion « des appliances décisionnelles dont on nous reconnaît la paternité ». Ce fournisseur américain est effectivement installé sur ce créneau depuis sa création, avec une technologie propre d'alimentation rapide de datawarehouse (streaming analytics) et de traitement massivement parallèle. « Nous sommes partis d'une feuille blanche », poursuit Christian Raza, tant sur le matériel que sur le logiciel, soulignant ainsi qu'Oracle n'aurait fait qu'installer sa base sur un serveur HP. Créer un marché de volume sur les appliances décisionnelles [[page]] Indéniablement, le secteur du datawarehouse bouge. « Datallegro, qui ne fonctionne que sur matériel Bull et Dell, a été racheté par Microsoft cet été, et Sun a fait le chemin inverse avec MySQL », rappelle Jean-Michel Franco, directeur des offres chez Business & Decision. Il y a quinze jours, des rumeurs de rachat par SAP ont fait monter l'action de Teradata. Cette hypothèse qui aurait semblé saugrenue il y a quelques semaines apparaît plausible désormais, évalue cet expert en solutions décisionnelles. Tout cela révèle un sérieux changement du marché et préfigure peut-être de nouvelles consolidations, juge-t-il. L'arrivée d'Oracle sur les appliances décisionnelles montre que les grands éditeurs n'entendent plus laisser les petits acteurs seuls sur ce terrain, souligne Jean-Michel Franco. « Il s'agissait d'un marché de niche, même si Teradata y est depuis longtemps et s'il y a beaucoup de nouveaux entrants, comme Greenplum, Vertica ou Cognito de Neocog. Les grands acteurs vont faire en sorte qu'il se transforme un peu plus en marché de volume. » Pour le directeur des offres de B&D, la solution d'Oracle va cibler les datawarehouses de 5 à 10 To pour lesquels Teradata apparaît trop haut de gamme. Il considère qu'en France, les produits de Teradata et Netezza concernent une trentaine de gros prospects. Et d'ajouter : « Microsoft a bien joué aussi, ils vont approcher les très gros ». Teradata : « Notre cible n'est pas tout à fait la même » Interrogé sur la HP Oracle Database Machine, Michel Bruley, directeur marketing de Teradata France, reconnaît qu'il s'agit forcément d'une offre concurrente, « même si notre cible n'est pas tout à fait la même, pas tant en termes de volumes que d'usage, précise-t-il. Nous cherchons à construire des entrepôts de données d'entreprise couvrant l'ensemble des départements -direction commerciale, marketing, logistique, finance, ressources humaines- pour effectuer des croisements et réaliser des analyses transversales. Ce n'est donc pas tant un problème de volumétrie que de complexité de l'usage. » [[page]] A sa création, Teradata s'est effectivement positionné sur les gros volumes (comme l'atteste d'ailleurs son nom). « Jusqu'à la fin des années 90, il y avait peu de systèmes au-dessus du Téraoctet, rappelle Michel Bruley. En France, nos grands datawarehouses atteignent 10 To comme chez Leroy Merlin, et les très gros gèrent entre 50 et 100 To -chez SFR et IBP, par exemple. Mais à l'étranger, nous en avons constitué d'énormes, dépassant les 200 To, et celui d'eBay monte jusqu'à 1 500 To. » Ce dernier, d'ailleurs, viendra témoigner le 19 novembre, lors de la conférence utilisateurs de Teradata. Par rapport aux datawarehouses qui autorisent des analyses de données sur une fonction de l'entreprise (la gestion de la relation client par exemple), Teradata insiste sur sa capacité à permettre à différents profils d'utilisateurs d'accéder simultanément à un entrepôt d'entreprise, insiste Michel Bruley. « Les uns effectueront de l'analyse standard, tandis que d'autres feront du datamining, éditeront des tableaux de bord préparamétrés ou lanceront des requêtes ad hoc, énumère Michel Bruley. Pendant que d'autres utilisateurs, encore, dans un centre d'appels, par exemple, effectueront du scoring sur des clients et que, dans le même temps, il sera possible de lancer des traitements par lots sur certains types de données. » Des traitements qui requièrent que le système supporte une mise à jour des données en temps réel. (...)

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