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(06/12/2007 09:14:45)
Les clients anglais d'Oracle satisfaits des produits mais pas du support
Satisfaits de la technologie et des logiciels d'Oracle, les utilisateurs britanniques le sont moins quand il s'agit du support fourni par l'éditeur sur ses produits. C'est ce qu'indique l'enquête menée cette année, auprès de 600 personnes, par le club des utilisateurs Oracle du Royaume-Uni (UK Oracle User Group). Ce sondage révèle qu'un utilisateur sur cinq se plaint de la qualité du service fourni par le centre de support globalisé d'Oracle. La proportion de ces insatisfaits a plus que doublé par rapport à l'an dernier, passant de 7 à 17% des répondants. Ce qui semble poser un problème, c'est le faible niveau d'expression en anglais des équipes de support qui travaillent dans ces centres externalisés, souligne Ronan Miles, président du club des utilisateurs britanniques. Pour contrebalancer ce point négatif, il signale que les outils de support fournis en ligne par Oracle sont unanimement appréciés par ceux qui y ont recours. « Toutefois, seule la moitié des utilisateurs s'en sert et on peut se demander pourquoi l'autre moitié ne le fait pas ». Insatisfaction sur le mode de vente de licences Le président du club britannique a rappelé qu'en revanche le niveau de satisfaction sur les produits Oracle a augmenté, ajoutant que l'éditeur devrait être content de voir que ses efforts sur la qualité de ses logiciels semblaient payer. Mais il a enchaîné sur le deuxième grief important constaté cette année chez les utilisateurs : 32 % d'entre eux se plaignent du mode de vente des licences, contre seulement 15 % s'en déclarant satisfaits (un taux en baisse de 5% par rapport à 2006). Plus que sur le tarif, le motif d'insatisfaction semble surtout porter sur la façon dont Oracle vend ses différentes gammes de produits, séparant les applications des solutions technologiques (base de données, serveur d'application, outils de développement...). Au début de l'année, l'éditeur a scindé en deux ses structures commerciales. Chaque client est donc en contact avec deux forces de vente distinctes, l'une chargée des progiciels, l'autre de la technologie, ce qui ne semble pas convenir à tout le monde. « Je ne comprends pas pourquoi Oracle a pensé que cela pourrait aider ses clients, avance Ronan Miles. Je n'aurais pas procédé ainsi. » L'enquête du club utilisateurs indique par ailleurs un fort taux de satisfaction sur les offres de formation, Oracle University (44% de sondés satisfaits, +16% par rapport à l'an dernier) et de conseil, Oracle Consulting (54% sont contents de ces prestations et 76% les recommanderaient à d'autres entreprises). (...)
(30/11/2007 18:11:37)Sage France réalise 50% de son CA dans les PME de + de 100 personnes
« Le mid market et les solutions verticales - qui concernent directement les entreprises de taille moyenne - représentent une part importante de notre chiffre d'affaires », a souligné hier Pascal Houillon, PDG de Sage France, à l'occasion de l'annonce des résultats annuels de l'éditeur britannique (1,713 Md€ de chiffre d'affaires pour Sage Group plc). Sur son année fiscale 2007, échue le 30 septembre dernier, la filiale française aura réalisé plus de 50% de ses 280 M€ de chiffre d'affaires dans les entreprises de plus de cent salariés. Ainsi, Sage France, dont l'image était jusque-là solidement rattachée au marché des petites PME, est enfin parvenue à orienter son activité de façon significative vers des entreprises plus importantes, une ambition poursuivie depuis le début des années 2000 (*). Sur l'exercice, la filiale française affiche une croissance organique légèrement inférieure à celle de sa maison mère (6% contre 7% pour Sage Group). Pascal Houillon l'impute à trois acquisitions importantes réalisées en 2005, en soulignant que cette croissance organique s'établit en fait à +4% pour le premier semestre fiscal et à +9% sur le second semestre. Sur les perspectives de l'exercice qui s'ouvre, le dirigeant est plutôt confiant : « Les changements réglementaires et les réformes dans le domaine social, par exemple sur le suivi des heures supplémentaires ou la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, vont nécessiter la mise en place d'outils plus performants, incluant notamment des fonctions de pilotage avancées. » Le développement des activités d'exportation des entreprises françaises devrait par ailleurs favoriser la vente de solutions de GRC (gestion de la relation client), activité pour laquelle Sage a créé une division spécifique. Toucher 90% d'utilisateurs contre 10 à 15% actuellement Pascal Houillon mise beaucoup sur l'adoption des solutions décisionnelles. Il note que plus de 60% des ventes réalisées sur la gamme Sage 100 se font sur l'édition dite « pilotée », complétée de fonctions exploitant la technologie de Business Objects. « L'utilisation de ces outils se 'démocratise', note le dirigeant. C'est une tendance de fond. Les utilisateurs voudront accéder à des informations gérées dans les logiciels de gestion sans pour autant utiliser ceux-ci. Nous allons nous adresser à 90% des utilisateurs d'une entreprise au lieu des seuls 10 à 15% aujourd'hui concernés par les outils de gestion. » Sur ce terrain, Pascal Houillon table aussi sur l'engouement pour les outils du Web 2.0 qui permettent de personnaliser le poste client et de fournir certaines informations de gestion par l'intermédiaire de « widgets », applications gadgets accessibles sur le bureau du PC. Des « objets évolués » qui peuvent, en outre, être réutilisés par les équipes de développement d'une ligne de produit à l'autre. Rappelons que toutes les applications du catalogue de Sage France sont développées dans l'Hexagone et que la filiale française consacre 20% de ses effectifs (2 500 personnes) aux activités de R&D. Un soutien au recrutement pour ses partenaires[[page]] Sage France, dont le modèle commercial repose sur une distribution indirecte, renforce par ailleurs l'accompagnement de ses partenaires. Au cours des six derniers mois, il a formé et placé 80 personnes dans son réseau de distribution. Entre ses besoins propres et ceux de ses partenaires, la filiale aura besoin d'un millier de personnes dans les mois à venir, dont les deux tiers pour son réseau. « Nous avons lancé un programme d'accompagnement sur le recrutement », explique Pascal Houillon, en précisant que deux tiers des personnes sont recherchées pour des postes de consultants, les autres postes concernant plutôt des profils commerciaux. Sage France a par ailleurs signé deux partenariats, l'un avec le courtier d'assurance AON, pour permettre à son réseau de bénéficier d'une couverture de responsabilité civile, l'autre avec SVP pour fournir à ses partenaires (souvent des PME) des réponses sur les questions fiscales et légales. (*) Pour tirer son activité vers le mid-market, Sage France a successivement lancé le développement de la Ligne 1000, aujourd'hui Sage 1000, racheté Concept, acquis Adonix (fin 2005) et son PGI X3 pour entreprises de taille moyenne, puis recruté Christophe Letellier, ancien directeur général de PeopleSoft France, à la tête de sa division Moyennes et Grandes Entreprises. En septembre dernier, Sage a également pris 70% de l'éditeur de logiciels financiers XRT. (...)
(30/11/2007 12:47:21)SAP autorisé à lancer son offre d'achat sur BO
SAP a annoncé qu'il avait obtenu l'ensemble des approbations réglementaires pour lancer son offre de rachat sur Business Objects. Rappelons que l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés a annoncé le 07 octobre dernier son intention d'acquérir, pour 4,8 Md€, l'éditeur français de solutions décisionnelles. Le 06 novembre dernier, les autorités antitrust américaines ont donné leur accord pour cette opération suivies, le 27 novembre, par les autorités antitrust européennes. L'éditeur a également reçu, le 22 novembre, l'approbation du ministère français des Finances, ainsi que celle de l'Autorité des marchés financiers (AMF), le 27 novembre. SAP s'apprête donc à lancer son offre de rachat de Business Objects le 04 décembre prochain, en France et aux Etats-Unis. Celle-ci doit se clore le 10 janvier 2008 en France et cinq jours plus tard aux Etats-Unis. L'Autorité des marchés financiers (AMF) et Euronext Paris doivent publier le calendrier des opérations. Dans son projet d'offre publique d'achat, l'éditeur allemand rappelle que Business Objects opérera en tant qu'entité distincte au sein du groupe SAP. Il est également précisé que ni SAP ni BO n'envisagent de restructuration significative à l'issue de cette offre. Sous réserve de sa réussite, John Schwarz, actuel dirigeant de BO, continuera d'exercer la fonction de directeur général de la société et devrait être nommé membre du directoire de SAP. L'éditeur allemand indique également que Doug Merritt, responsable des utilisateurs professionnels chez SAP, rejoindra la société, sous la responsabilité de John Schwarz. Comme SAP l'avait également annoncé en octobre dernier, son conseil de surveillance a l'intention de proposer la nomination de Bernard Liautaud, fondateur et président du conseil d'administration de BO, « en qualité de membre du conseil de surveillance de SAP AG lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires de SAP AG ». D'ici là, Bernard Liautaud occupe une fonction de conseiller, sur les aspects de stratégie et d'intégration, auprès d'Henning Kagermann, président du directoire de SAP AG. (...)
(28/11/2007 17:17:07)SAP met en place une politique d'évolution progressive
Très dynamique et clamant haut et fort son indépendance, le groupe des utilisateurs britanniques de SAP a organisé les 26 et 27 novembre derniers à Birmingham sa conférence annuelle à laquelle 600 personnes ont assisté (*). Alors que les utilisateurs britanniques de SAP seraient parmi les plus lents à mettre à jour leur progiciel de gestion, ils réclament une simplification des politiques de licence de SAP. Les dirigeants de la filiale britannique de SAP n'ont pas annoncé de révision de cette politique, mais ils ont déclaré avoir reçu le message.
"Enhancement packages"
Au cours d'une émouvante cession d'auto-critique, SAP UK a aussi reconnu avoir eu une attitude "un peu condescendante" envers ses clients. Travers que la filiale affirme s'employer à rectifier depuis un an déjà. Quant à la réticence à mettre à niveau sa version du PGI, SAP souligne qu'elle est un handicap d'autant plus important que ERP ne devrait plus être revu de fond en comble. "Il n'y aura pas d'ERP 7", a affirmé Martin Riedel, en charge des mises à jour chez SAP UK.
L'ère des grandes refontes tous les 18 mois serait donc achevée. A la place, SAP met en place une politique de "package" (les "Enhancement packages") qui porteront sur l'ajout de nouvelles fonctionnalités. Les corrections de bogues et les mises à jour réglementaires se trouveront dans des « Support packages ».
(*) Fondé en 1988 et fort de 400 entreprises adhérentes, le groupe britannique d'utilisateurs SAP revendique une totale indépendance vis-à-vis de cet éditeur depuis deux ans. (...)
Dell va revendre les Google Search Appliances
Une première : Google autorise un constructeur, Dell en l'occurrence, à commercialiser ses boîtiers de recherche, les Google Search Appliances (500 000 documents) et le modèle Mini (50 000 documents, pour PME). Rappelons que Google utilise depuis 2006 une base de serveur Dell PowerEdge 2950 pour construire ses Search Appliances. Pour l'instant, cet accord de distribution ne concerne que les Etats-Unis. Par ailleurs, IBM et Yahoo, unis depuis un an pour distribuer gratuitement leur logiciel de recherche en entreprise IBM OmniFind Yahoo Edition, annoncent la disponibilité de la deuxième version de cet outil. (...)
(28/11/2007 09:44:00)Le gouvernement inaugure Isis, son intranet sécurisé
Laurent Wauquiez (secrétaire d'Etat porte-parole du gouvernement), Francis Delon (Secrétaire Général de la Défense Nationale auprès du Premier Ministre) et Didier Lombard (PDG de France Télécom) ont annoncé le 27 novembre 2007, l'inauguration officielle de l'Intranet sécurisé interministériel pour la synergie gouvernementale (Isis). Son objectif est de permettre le transfert des informations à haute confidentialité dans toutes les circonstances, y compris en cas de crise grave où les infrastructures civiles seraient inopérantes, mais aussi au quotidien. La maîtrise d'oeuvre est assurée par le groupe France Télécom (Orange Business Services notamment) et la maîtrise d'ouvrage par le SGDN (Secrétariat Général de la Défense Nationale) dans le cadre d'un contrat classé (sans véritable appel d'offres pour des raisons de secret défense). Le budget du projet est de 12 M€ pour la création d'Isis et de 1,5 M€ par an pour sa maintenance. Issu d'un projet concernant uniquement la gestion des crises et datant de 2004, Isis a été mis en place ces derniers mois et est aujourd'hui opérationnel auprès de 200 postes, soit 400 utilisateurs répartis sur 10 sites parisiens ou en proche banlieue. A terme, plusieurs milliers d'utilisateurs sont concernés dans toute la France, tous devant traiter des informations classifiées (par exemple : « secret défense ») ou très sensibles : hautes autorités, gouvernement, centres opérationnels militaires... Isis a été testé avec la création du livre blanc sur la Défense Nationale. Pour en savoir plus, lire l'article sur www.cio-online.com (...)
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