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(25/04/2007 12:10:52)

Oracle va racheter Lodestar

Oracle souhaite acquérir Lodestar, un éditeur spécialisé dans les outils d'analyse de charge pour le marché de l'énergie. La déréglementation en cours et l'intérêt pour les économies d'énergie rendent ce secteur très dynamique, d'où l'intérêt de Larry Ellison d'intégrer un produit comme Customer Choice Suite au catalogue de son unité Utilities Global Business. Oracle avait déjà mis pied sur ce marché en mettant la main sur SPL WorldGroup en novembre dernier. Le rachat de Lodestar s'intègre dans le souhait du géant américain des progiciels de se renforcer sur certains marchés verticaux, notamment ceux de l'énergie et des télécommunications. Une stratégie qui s'avère payante en termes de revenus, a estimé Larry Ellison, lors de la publication des résultats de la société le mois dernier. Oracle n'a pas communiqué le montant de la transaction qui devrait être finalisée en mai. Ancienne division de Tasc, un éditeur de logiciels pour le marché de l'administration, Lodestar a acquis son indépendance en 1996. La société, dont le siège est à Peabody dans le Massachusetts, emploie 175 personnes et comptabilise une bonne centaine de clients dans le monde. Selon Oracle, une bonne moitié de ceux-ci compteraient parmi ses clients. (...)

(24/04/2007 18:07:58)

Salesforce ouvre sa plateforme aux autres logiciels

Avec l'annonce de Salesforce Platform Edition, sa nouvelle plate-forme en ligne, Salesforce ouvre aux entreprises l'accès à son langage Apex, à sa technologie d'intégration, ainsi qu'à d'autres outils, sans leur demander pour autant de s'abonner à son application de gestion de la relation client (GRC). Ce faisant, il fournit aux éditeurs indépendants souhaitant développer des applications à exploiter en ligne (sous la forme d'un service - SaaS, software as a service) un cadre qui s'affranchit totalement de la GRC, sa sphère de prédilection. Dans la foulée, il s'apprête donc à concurrencer des éditeurs traditionnels qui n'évoluaient pas sur son marché jusque-là. Et Marc Benioff, président de Salesforce, d'affirmer avec satisfaction que « cette annonce hisse Salesforce au rang de fournisseur de plateforme de développement ». De nouvelles catégories d'utilisateurs En modifiant ainsi la stratégie qu'il avait adoptée depuis la création de la société, Salesforce élargit sensiblement la cible de ses clients. Cette fois, il veut s'adresser aux directions des ressources humaines, aux directions financières, ou encore, aux équipes de recherche et développement, autant de départements qui n'utilisent généralement pas de fonctions de GRC. La nouvelle offre donne également la possibilité d'utiliser les outils de programmation Apex pour personnaliser et intégrer des applications achetées sur AppExchange, la place de marché de Salesforce, toujours sans avoir acquis de licence d'utilisation des applications de GRC. « Jusqu'alors, les clients devaient souscrire un abonnement pour utiliser les logiciels développés par nos partenaires et accessibles sur notre plateforme », rappelle Ariel Kelman, directeur marketing de la plateforme Apex. Ce n'est plus le cas. Quant aux développeurs choisissant de concevoir des applications pour la solution Salesforce, ils bénéficieront de l'importante dynamique générée par l'éditeur. En contrepartie, le choix de la plateforme Salesforce les contraindra à s'adapter au cadre fourni. La version Enterprise de la Salesforce Platform Edition est d'ores et déjà accessible à partir de 50 $ (environ 37 €) par utilisateur et par mois. La version Unlimited revient à 100 $ (environ 74 €), par utilisateur et par mois. (...)

(24/04/2007 17:54:13)

Gestion de contenu Web : SDL International absorbe Tridion

L'éditeur SDL International annonce le rachat de la société Tridion, spécialiste de la gestion de contenu Web, pour 69 M€. L'Anglais SDL International (presque 95 M£ de CA en 2006, soit 140 M€ environ) propose un ensemble de plateformes liées à l'internationalisation (i18n) et au multilinguisme des informations. Il dispose également dans son portefeuille applicatif du logiciel Trados, réputé dans le monde de la traduction professionnelle pour sa capacité de gestion des terminologies. Tridion, quant à lui, développe R5 - son produit phare -, une solution professionnelle de gestion de contenu Web, qui inclut notamment des fonctionnalités de marketing ciblé. La société hollandaise a réalisé un chiffre d'affaires de 21 M€ en 2006. Joint par lemondeinformatique.fr, Erik Aeyelts Averink, vice-président du marketing et du développement chez Tridion, explique que les deux sociétés, déjà partenaires technologiques, partageaient le même type de clients. "Nous vendons tous les deux aux grands comptes ayant des stratégies de contenu internationales. Nous savions également que nos clients respectifs utilisaient nos solutions séparément. R5 était notamment intégré avec les produits de SDL", argumente-t-il. La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée au deuxième trimestre 2007. A terme, Tridion deviendra une division indépendante de SDL. Et devrait, explique Erik Aeyelts Averink, profiter du vaste réseau à l'international de SDL, pour s'agrandir. (...)

(24/04/2007 17:34:14)

CA World : CA intègre Wily en douceur dans son modèle unifié

Un peu plus d'un an après son achat de Wily Technologies, CA a présenté lors de sa conférence annuelle CA World les premiers fruits de cette acquisition. Il s'agit de trois séries d'outils d'administration. CA Application Performance Management, qui combine Wily Introscope et Wily Customer experience manager, gère la performance et la disponibilité des applications, portails et architectures de services (SOA). CA Incident and Problem Management automatise la détection et la résolution de problème liés à la disponibilité et à la performance des applications. Et CA Service Level Management adapte les services de l'entreprise à ses besoins et ses capacités financières. Ces trois produits, qui devraient être totalement intégrés et agrégés dès cet été au reste de la gamme, sont une nouvelle étape de CA dans son Unified Service Model. Celui-ci vise à intégrer sous 18 mois les logiciels en provenance d'éditeurs acquis par CA dans les produits maisons. Et, à terme, à fournir aux clients de CA une interface unique pour gérer leurs services IT. «L'Unified Service Model fournit plus que la connaissance des biens IT disponibles et leurs liens entre eux. Il indique qui a accès à quels services, à quel prix et l'identité des utilisateurs effectifs des services, » explique Ajei Gopal, directeur général Entreprise Systems Management chez CA. Une fois ce modèle totalement en place, CA devrait commercialiser des produits « d'automatisation intelligentes » dans les 12 mois qui suivent. Ces produits se servent de l'identité des différents composants du système d'information - matériels comme logiciels - pour en automatiser la maintenance et l'administration suivant les politiques de l'entreprise. (...)

(23/04/2007 10:49:58)

Business Objects rachètera Cartesis pour 225 millions d'euros

A nos lecteurs : cet article est une mise à jour de l'article publié ce matin. Il comprend des citations de spécialistes de ce marché. Le mouvement de concentration se poursuit sans faiblir sur le terrain des applications de gestion financière et de gestion des performances des entreprises (CPM). C'est au tour de Business Objects de révéler un accord définitif pour l'acquisition de l'éditeur français Cartesis, deux mois à peine après l'annonce du rachat d'Hyperion par Oracle, le 1er mars dernier. Business Objects (BO) indique qu'il réglera l'acquisition en numéraire pour un montant total de 225 millions d'euros, soit environ 300 millions de dollars (pour mémoire, Oracle a racheté Hyperion pour 3,3 milliards de dollars). Il est précisé que le rachat devrait être finalisé sous 90 jours. Un rachat prévisible, selon Priscilla Stanley, consultante spécialiste du marché de l'analyse décisionnelle (Business Intelligence, BI) chez PAC : « Nous avions prévu au moins trois grosses acquisitions dans l'année sur le marché de la BI. Celle de Cartesis constitue la deuxième. A qui le tour ? Dans cette optique, Business Objects lui-même est une cible potentielle de rachat, » fait remarquer la consultante. Plus beaucoup de marge de manoeuvre Pour le spécialiste des outils d'analyse décisionnelle qu'est BO, cette acquisition confirme sa stratégie de développement d'une offre de CPM, clairement rappelée, fin mars, avec l'annonce de la création d'un centre d'excellence autour de ce type de solutions. « Cartesis constituait l'acquisition la plus probable pour Business Objects qui clame vouloir devenir numéro un sur le marché du CPM et qui n'avait pas forcément les moyens organiques d'y arriver. » Pour Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Decision, l'absorption d'Hyperion par Oracle en mars dernier a évidemment accéléré le cours des choses. « Il n'y avait plus beaucoup de marge de manoeuvre pour Business Objects qui s'est même, dans la foulée, retrouvé un peu chahuté en Bourse. » Certes, l'éditeur avait déjà effectué deux rachats dans le secteur du CPM : en juillet 2005, SRC Software, un acteur de la planification et de l'élaboration budgétaire puis, plus récemment, en septembre 2006, ALG Software, spécialiste de la méthode ABC (Activity Based Costing), deux briques que l'on trouve dans les solutions de gestion des performances des entreprises. « Néanmoins, c'était un peu juste pour devenir un grand acteur du CPM, poursuit Jean-Michel Franco. D'autant que Business Objects était le dernier à avoir bougé dans ce domaine. Cela fait déjà plusieurs années que SAS Institute et Cognos ont renforcé leurs offres en rachetant des éditeurs spécialisés sur ces fonctions ; Cognos en reprenant Adaytum et Frango. Plus récemment, SAP a acquis Pilot Software et ses outils de Scorecarding. » Enfin, Microsoft lui-même s'apprête à sortir son offre de CPM. OutlookSoft, l'un des derniers indépendants du CPM A l'instar de celles d'Hyperion, les offres de Cartesis s'adressent aux directions financières. L'éditeur français est spécialisé depuis son origine dans les solutions de consolidation financière (applications destinées aux groupes devant agréger les comptes de plusieurs filiales). En s'appuyant sur son expertise, il a également développé des applications de CPM (gestion prévisionnelle, reporting), ainsi que des outils de gestion des risques et de contrôle de la conformité réglementaire. Il compte 1 300 clients dans le monde pour un chiffre d'affaires estimé de 100 millions d'euros sur les douze derniers mois. « Ils ont acquis une belle compétence dans ces domaines, rappelle Priscilla Stanley, de PAC. Le marché du CPM se développe, il y a une prise de conscience des utilisateurs de la valeur ajoutée qu'apporte ce type de produits. Jusqu'à présent, les entreprises étaient focalisées sur la gestion. Désormais, elles parlent davantage d'analyse et de simulation. C'est une tendance qui s'accentue depuis deux ou trois ans et qui commence à être mature.(*) » Ce que confirme Jean-Michel Franco : « Le CPM est un marché à fort potentiel. Si les utilisateurs qui disposent d'un outil de reporting sont de plus en plus nombreux, en revanche, les phases de budget se font encore souvent sous Excel. Il y a donc énormément de postes de travail à équiper avec, en outre, l'objectif d'amener la planification dans les directions métiers. » Les directions chargées des ressources humaines commencent notamment à se pencher sur ces outils. « Le CPM est un vrai relais de croissance pour les éditeurs, en particulier les sous-segments de la planification et de l'élaboration budgétaire, reconnaît Priscilla Stanley. Ceux qui n'ont pas encore investi ont tout intérêt à racheter l'un des éditeurs qui restent. D'autant que les outils d'analyse prévisionnelle recourent à des algorithmes très compliqués ; il est donc préférable de racheter un acteur de niche. » Sur le marché, les spécialistes qui restent sont toutefois peu nombreux. Outlooksoft, l'un des principaux indépendants du marché du CPM, est très investi dans les technologies Microsoft. Parmi les autres acteurs, citons aussi le Français AS Group, Applix, ou encore, Allshare, un autre acteur Français. Il y a peut-être aussi des opportunités à dénicher parmi les spécialistes de l'analyse statistique comme Kxen. Récemment, dans ce domaine, le Français Coheris a racheté son compatriote Spad. (*) PAC s'apprête à publier une étude sur le marché de la BI en France. (...)

(20/04/2007 17:31:29)

Microsoft et Unisys proposent de tester Exchange 2007 en ligne

Microsoft et Unisys ont décidé de mettre en ligne une version gratuite d'Exchange Server 2007 pour les utilisateurs qui souhaitent tester le produit pendant cinq jours. C'est Unisys qui hébergera sur son site la plate-forme de messagerie - incluant la messagerie unifiée - et de collaboration. La version définitive d'Exchange 2007 est prévue pour le mois de novembre 2007 et devrait inclure Office Communications server 2007. Certains experts affirment que l'éditeur devra alors faire face à un afflux d'utilisateurs. Il faut se rappeler à ce propos qu'un quart des utilisateurs d'Exchange 5.5 avaient migré vers Exchange 2003 en moins d'un an. La version de test proposée par Microsoft et Unisys permettra aux usagers d'accéder aux fonctionnalités d'Exchange sans qu'aucune infrastructure ne soit déployée dans leur réseau. Les responsables d'Unisys estiment qu'ainsi les utilisateurs auront l'opportunité de découvrir les services hébergés de l'entreprise. Celle-ci propose d'ailleurs déjà une version hébergée d'Exchange à ses clients. « C'est une opportunité pour les entreprises de tester Exchange 2007 et ses nouvelles fonctionnalités, ce qu'elles ne pourraient faire autrement sans mettre en place une infrastructure de test assez lourde », estime Nick Parker, directeur général des services et responsable du partenariat avec Microsoft. (...)

(20/04/2007 17:07:11)

Trimestriels SAP : +10 % sur les ventes de licences

Résultats premier trimestre 2007 : Chiffre d'affaires : 2,17 Md€ (+ 6%) Bénéfice net : 310 M€ (+10 %) Sur les trois premiers mois de l'année 2007, l'éditeur de progiciels de gestion intégrés SAP annonce une hausse de 9% de ses ventes de progiciels et de services associés par rapport au premier trimestre 2006. Celles-ci s'élèvent à 1,52 Md€ (+15% à taux de change constant). Le chiffre d'affaires total du trimestre s'établit à 2,17 Md€ (+ 6%). Les ventes de licences seules représentent 563 M€, soit un peu plus du quart du chiffre d'affaires du trimestre, contre 42% pour les revenus de la maintenance, le reste étant généré par le service et le conseil. En augmentation de 10% par rapport au premier trimestre 2006 (+16% à taux de change constant), ces ventes de licences sont réparties de façon presque équivalente en Europe (220 M€, +8%) et sur le continent américain (224 M€, +11%). L'Asie y a contribué à hauteur de 70 M€ (+10%). Quant aux revenus de la maintenance, ils progressent de 8%, à 917 M€. Sur le trimestre, le résultat net de SAP s'élève à 310 M€ (+ 10 %) et son résultat opérationnel à 433 M€ (+ 6 %). Henning Kagermann, président du groupe, pointe les bons résultats obtenus sur l'offre phare, le progiciel de gestion intégré (PGI) SAP ERP, ainsi que sur la plate-forme middleware SAP NetWeaver dont les ventes se sont élevées à 156 M€ (+ 40% par rapport à 2006). Le trimestre a néanmoins été mouvementé pour l'éditeur allemand. Fin mars, il a été ponctué par le départ totalement inattendu de Shai Agassi, président du groupe produits et technologies et principal artisan de Netweaver. Le même mois, Oracle a par ailleurs accusé son rival de s'être introduit illégalement sur ses serveurs pour y télécharger des milliers de logiciels et de données destinés au support client. Les prévisions de SAP pour l'exercice en cours sont inchangées. L'éditeur estime que ses ventes de licences et de services enregistreront en 2007 une progression de 12 à 14% à taux de change constant par rapport à 2006 (+12% en 2006). Rappelons qu'en janvier dernier, l'éditeur a annoncé la préparation d'une nouvelle application de gestion destinée aux PME. Basée sur une architecture SOA, cette solution sera fournie en ligne, comme un service (mode « on demand » ou SaaS, software as a service). (...)

(19/04/2007 18:06:49)

Oracle livrera une suite intégrée de gestion de contenus d'ici douze mois

Quelques mois après le rachat de l'éditeur Stellent et de son offre de gestion de contenus d'entreprise (ECM), en novembre dernier, Oracle précise sa stratégie dans ce domaine. Il a désormais intégré la technologie de Stellent dans sa propre offre de gestion de contenus, l'ensemble faisant partie de sa famille de produits Fusion middleware (qui comprend par ailleurs son serveur d'application, sa solution de gestion des processus métiers - BPM - , ses applications d'analyse de données, son portail, etc.). Sur les douze prochains mois, Oracle prévoit de livrer de nouvelles versions des cinq applications de son portefeuille ECM : Universal Content Management (gestion de différents types de contenus), Universal Records Management (conservation légale des documents), Imaging and Process Management Software (intégration des images dans les processus documentaires), Rights Management (sécurisation et traçabilité des documents) et Content Database. Les trois premiers produits seront rassemblés dans une suite proposant des fonctions intégrées. Une suite qui, selon Oracle, devrait probablement être commercialisée autour de 150 000 $ par processeur. Une offre en gestation depuis juin 2006 C'est en juin 2006 qu'Oracle a commencé à montrer son intérêt pour la gestion de contenus en présentant les premières versions de Content Database et Records Database, deux options complémentaires à sa base de données Oracle Database 10g Enterprise Edition, destinées à récupérer, classer et conserver les contenus non structurés. Les deux produits ont été livrés en septembre 2006. Oracle a placé la gestion de contenus parmi les cinq grands domaines de croissance de son activité, les autres étant la sécurité, l'analyse de données et de performances (Business Intelligence), le calcul réparti (grid computing) et les fonctions de recherche pour l'entreprise. Rappelons que dans le domaine de l'analyse de performances, Oracle a récemment acquis Hyperion. Le volume des contenus professionnels continuant à croître de façon rapide et importante, les entreprises cherchent à mettre en place des outils pour gérer et retrouver à la fois les données structurées et non structurées, documents bureautiques, mais aussi courriels, vidéos, etc. Sur ce domaine applicatif, à côté des fournisseurs qui se partagent l'essentiel de ce marché (IBM, Open Text et EMC*), des acteurs comme Oracle et Microsoft cherchent aussi à se faire une place. Rappelons que le mouvement de concentration du secteur est déjà bien engagé, l'année 2006 ayant vu le rachat de FileNet par IBM, de Hummingbird par Open Text et de Stellent par Oracle. En octobre 2003, EMC avait ouvert le bal en rachetant Documentum. (*) Selon Gartner, IBM détient 28 % du marché mondial de la gestion des contenus d'entreprise (ECM), suivi d'Open Text 22 % et d'EMC (13 %). (...)

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