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(18/04/2007 10:41:33)

Salesforce livre un kit pour développer des applications Internet riches

Salesforce vient d'annoncer, en partenariat avec Adobe, la disponibilité d'Adobe Flex Toolkit for Apex, un ensemble d'outils de développement destiné à bâtir des applications Internet « riches » pour la plateforme Salesforce. Cette dernière propose des fonctions de gestion de la relation client (GRC) à exploiter à partir d'une connexion Web, suivant le modèle de commercialisation désormais connu sous l'acronyme SaaS (software as a service) qui désigne la fourniture de logiciels en ligne, sur abonnement. On parle aussi de modèle « on-demand » (logiciels fournis « à la demande »). Les applications développées avec Adobe Flex Toolkit for Apex ont donc vocation à être proposées sur le catalogue AppExchange qui répertorie l'ensemble des solutions certifiées par Salesforce. Comme tous les logiciels proposés sur AppExchange, elles s'exploiteront donc en mode hébergé sur la plateforme Salesforce sur le modèle on-demand. Avec Flex, les développeurs construiront des logiciels ressemblant à ceux que l'on destine généralement à des postes de travail, mais disponibles à partir d'une connexion Internet. « Ces applications exploiteront la technologie Flash et pourront, par exemple, inclure des outils graphiques d'analyse de données », explique Adam Gross, vice président marketing de Salesforce pour l'activité développeurs. L'ensemble des outils, gratuit, permet d'accéder aux interfaces de programmation (API) Apex Web services. En revanche, les développeurs devront se rapprocher d'Adobe pour acquérir les outils de développement Flex, a précisé Adam Gross. Salesforce propose également des outils pour Ajax (Asynchronous JavaScript and XML) mais considère que Flex conviendra mieux aux développeurs, en offrant par exemple des composants graphiques, notamment pour réaliser des graphes sectoriels. Un objectif ambitieux autour de sa communauté de développeurs Depuis plusieurs mois, Salesforce ne cache pas sa volonté d'agrandir dans d'importantes proportions la communauté des développeurs indépendants qui travaillent autour de sa plateforme de développement et d'hébergement d'applications « on-demand ». Au début de cette année, l'éditeur a recruté à cet effet René Bonvanie, un vétéran de l'industrie du logiciel qui a notamment contribué à renforcer la communauté des développeurs d'Oracle (ODN). « Mon objectif est d'atteindre le millier d'applications d'ici un an autour de Salesforce, et de réunir 100 000 développeurs dans notre communauté ADN (AppExchange Developer Network) », confiait récemment René Bonvanie lors d'un entretien avec lemondeinformatique.fr. Et en février dernier, Marc Benioff, PDG de Salesforce, n'hésitait pas à défier Microsoft en se disant prêt à devenir un fournisseur de plate-forme de développement de tout premier plan. (...)

(17/04/2007 16:34:19)

Oracle lance AIA, son offre d'applications composites

Oracle s'est officiellement lancé sur la voie des applications composites. L'éditeur a annoncé AIA (Application integration architecture) à la conférence utilisateurs Collaborate '07, à Las Vegas. Le principe d'AIA est de fournir des processus prêts à l'emploi sous forme de packs, s'appuyant à la fois sur l'offre progicielle d'Oracle et sur son middleware Fusion. C'est donc très proche de ce que SAP propose depuis longtemps avec ses xApps (ou Cross Apps) : relier divers modules fonctionnels, à l'aide notamment d'un outil de gestion des processus métier (BPM) et d'un bus de services (ESB) afin de construire des applications dites composites, collant davantage aux besoins des clients. « Cela a la même ambition, confirme Lionel Dubreuil, responsable marketing techno pour les applications chez Oracle France. Sauf que pour nous, les applications composites peuvent s'appuyer sur notre offre, celle de nos partenaires mais aussi sur toutes les applications que nous avons rachetées. » Lionel Dubreuil explique par ailleurs qu'AIA s'inscrit dans la stratégie d'évolution des produits qu'Oracle avait déjà annoncée. De fait, avec toutes ces technologies à intégrer (Oracle a procédé à plus de 20 Md$ d'acquisitions en un peu plus de deux ans), seule l'option SOA (architecture orientée services) est valable : exposer des fonctionnalités en tant que services, et orchestrer ces derniers à l'aide d'un outil de BPM. L'effort d'intégration qu'Oracle doit réaliser se situant alors au niveau de la définition des objets métier des applications. A partir du moment où les différentes applications partagent un vocabulaire XML, il est possible de recourir à un référentiel commun et d'assembler les services reposant sur ces objets. Oracle souligne que les clients comme les partenaires peuvent ainsi réaliser leurs propres applications composites, tout reposant sur des standards. De même, le recours à XML permet de mettre à jour les applications tout en conservant la personnalisation des objets métier. Dans sa présentation aux Etats-Unis, Oracle a même employé la notion de « sustainable integration » (intégration durable). Oracle veut faire d'AIA une opportunité pour les partenaires Un pack AIA fournit les outils nécessaires à la réalisation et à la personnalisation de l'intégration d'un processus métier. Une licence AIA comprend notamment l'outil Aris pour la modélisation des processus métier, et un droit d'utilisation de la SOA Suite. Néanmoins, rares seront les clients qui n'ont aucun élément middleware en interne. « Un client qui aurait déjà fait un choix tiers pourra utiliser son produit, mais ne bénéficiera pas du côté 'prêt à l'emploi', commente Lionel Bubreuil. Nous avons déjà des clients qui utilisent notre offre BPEL [le moteur d'exécution des processus métier, NDLR] avec un autre ESB. » Il est cependant légitime de penser qu'il sera plus simple d'utiliser le moteur BPEL d'Oracle avec un ESB tiers, plutôt que l'inverse. Les packs AIA pourront aussi être utilisés pour se connecter à des services fournis par des applications non-Oracle. Un appel du pied d'Oracle envers les éditeurs et SSII, appelées à constituer, comme pour SAP, un écosystème. « Les partenaires pourront développer leurs propres objets, venant en complément de l'offre Oracle ou s'y substituant, explique Lionel Dubreuil. Par exemple pour intégrer du Salesforce à la place de Siebel OnDemand ou du back-office SAP à la place du nôtre. » Les deux premiers packs livrés sont justement des processus reliant le progiciel E-Business Suite d'Oracle à son offre de gestion de la relation client Siebel CRM. Les suivants viendront entre autres compléter l'intégration de Siebel avec ses offres de facturation et de gestion de la distribution, mais aussi avec des modules de l'offre JDEdwards EnterpriseOne. (...)

(16/04/2007 15:27:23)

Microsoft recrute des partenaires pour fournir des logiciels en ligne

Microsoft démarre aujourd'hui un programme à destination des hébergeurs de services sur Internet. L'objectif est de les aider à constituer des offres permettant à des éditeurs indépendants de proposer leurs logiciels en ligne, en mode SaaS (software as a service). Dans ce programme, baptisé Centre d'incubation SaaS, Microsoft fournit l'infrastructure et les services qu'un hébergeur peut offrir à des éditeurs pour les aider à transformer leurs applications en solutions SaaS, a précisé Michael van Dijken, l'un des responsables marketing de Microsoft. Ce faisant, l'éditeur regroupe en fait un ensemble de solutions qu'il proposait déjà aux hébergeurs mais qu'il formalise afin de développer l'offre SaaS de ses partenaires éditeurs. Microsoft veut en effet contribuer à mettre en contact les hébergeurs avec les intégrateurs et les éditeurs qui ont rejoint son réseau de partenaires et développé des logiciels autour de son offre. Déjà quatre hébergeurs partenaires en Europe Côté infrastructure, le programme Centre d'incubation SaaS de Microsoft comprend un bundle logiciel appelé Microsoft Solution for Windows-based Hosting for Applications (incluant les produits Windows Server, SQL Server, Microsoft Operations Manager et Microsoft Provisioning System). Il comporte également des exemples de scripts pour faciliter la mise en place d'offres SaaS et des prestations de conseil. Ces prestations consisteront à accompagner les hébergeurs dans leur approche des éditeurs, tant sur la compréhension du marché SaaS que sur les opérations de marketing. Microsoft a déjà signé des accords avec huit hébergeurs, quatre aux Etats-Unis (Opsource, Affinity Internet, NaviSite et Wizmo) et quatre en Europe (NTT Europe Online, 7global, Siennax et Visionapp GmbH). Parallèlement, Microsoft a également annoncé la deuxième phase de son programme « SaaS On-Ramp », lancé en novembre dernier. Celui-ci propose des licences à prix réduit aux éditeurs souhaitant permettre l'exploitation de leurs logiciels en ligne. Désormais, ces éditeurs peuvent se procurer ces licences à prix réduit chez tous les hébergeurs partenaires du programme et plus uniquement auprès de Microsoft. Il est prévu que le programme SaaS On-Ramp se poursuive jusqu'en 2008. Un modèle qui se développe concrètement Les logiciels commercialisés sur le modèle SaaS sont installés chez un prestataire externe et non pas dans l'entreprise. Accessibles aux utilisateurs à partir d'une connexion Internet, les logiciels sont ainsi fournis aux utilisateurs comme un service, et payés sur la base d'un abonnement mensuel ou annuel. Le prestataire héberge les applications sur des serveurs installés dans des locaux sécurisés et gère l'ensemble de l'infrastructure matérielle (disponibilité et maintenance des serveurs, sauvegarde des données, procédures de sécurité...). La maintenance du logiciel est assurée par l'éditeur qui, selon les cas, peut être aussi l'hébergeur. Microsoft, notamment, s'apprête à proposer sous cette forme son application de gestion de la relation client (GRC) Dynamics Live CRM, après l'avoir redéveloppée afin qu'elle puisse être partagée en ligne. Ce mode d'usage des applications se développe désormais, après avoir vaincu de nombreuses réticences de la part des entreprises qui ont longtemps rechigné à stocker leurs données hors de leurs murs. Il présente l'avantage de soulager les départements informatiques de la gestion interne des serveurs et des applications. Un modèle qui convient autant à la grande entreprise qu'à la petite PME. Un acteur comme Salesforce.com, dans le domaine des logiciels de GRC, a exclusivement basé son activité d'éditeur sur ce modèle. Sa base installée compte aujourd'hui 640 000 utilisateurs. Plus récemment, Google a également lancé Google Apps, une suite bureautique à exploiter en ligne qui, en France, intéresse un groupe comme Essilor. En s'investissant résolument sur ce marché, Microsoft témoigne de l'intérêt du modèle et de ses perspectives de développement. (...)

(12/04/2007 18:15:16)

Dataflux accélère la qualification des informations

Représenté en France depuis le début de cette année par le biais d'un partenariat avec l'intégrateur Solveo, Dataflux vient d'annoncer le lancement de CDI Accelerator, un module d'accélération des processus de qualification des données clients, à mettre en oeuvre dans le cadre d'un projet de CDI (Customer Data Integration). Filiale à 100 % de SAS Institute qui en a fait l'acquisition en 2000, l'éditeur Dataflux est spécialisé sur la gestion de la qualité des données. Les solutions qu'il développe permettent de construire des référentiels offrant, pour l'ensemble des applications de gestion utilisées dans une entreprise, une vue unique et cohérente des données se rapportant aux clients, aux fournisseurs ou aux produits. « Le module CDI Accelerator résulte d'une capitalisation du savoir-faire de Dataflux, explique Grégoire Leynaud, président de Solveo. Il regroupe sous une forme packagée un ensemble des traitements standards ayant déjà été mis en flux dans des entreprises clientes afin d'obtenir une vue à 360° des données sur les clients, c'est-à-dire une vision transversale aux différentes applications exploitées. » CDI Accelerator va en particulier permettre d'identifier les qualités et les défauts d'un patrimoine de données par l'intermédiaire d'états, de comptes-rendus et de tableaux de bord pré-packagés. Rappelons que les solutions de Dataflux couvrent les différents domaines de la gestion des données : le profilage (analyse des données), la qualification (reconstruction et correction), l'intégration et l'interconnexion entre les différentes sources, l'enrichissement des données avec des informations extérieures et, enfin, le contrôle de l'intégrité des données dans le temps. Ce type d'outils est particulièrement en vogue en ce moment, avec le développement des projets de MDM (Master Data Management) visant à constituer des plateformes centralisées de données de référence. « Des référentiels qui peuvent être logiques et pas obligatoirement physiques », rappelle Grégoire Leynaud, de Solveo. (...)

(12/04/2007 17:19:51)

Sage renforce ses solutions métier en rachetant Pro-Concept

L'éditeur britannique Sage, spécialiste des applications de gestion (comptabilité, gestion commerciale, progiciel de gestion intégré, solutions métiers), et familier des opérations de croissance externe, vient d'annoncer le rachat du Suisse Pro-Concept SA, éditeur d'une solution de gestion verticale pour les activités de mécanique de précision. Pro-Concept réalise un chiffre d'affaires de 14 millions d'euros avec 150 salariés. Son offre vise les moyennes et les grandes entreprises. L'éditeur compte 400 clients, principalement en Suisse romande. Ce rachat n'aura pas d'impact sur l'activité française de Sage puisque c'est la filiale Suisse du groupe britannique qui va gérer ce nouvel entrant. A noter que Pro-Concept dispose tout de même en France d'une filiale d'une vingtaine de personnes (principalement centrée sur la R&D) et d'une dizaine de clients. L'éditeur possède également une filiale et une vingtaine de clients en Chine. Par cette acquisition, Sage poursuit le renforcement de ses solutions métiers. L'application de gestion développée par Pro-Concept s'adresse à des secteurs tels que l'horlogerie, la microélectronique et plus généralement, la production et l'assemblage industriel. En France, Sage a également renforcé sensiblement son catalogue de solutions métiers au cours des dernières années, notamment avec des acquisitions comme Elit Group, en juillet 2006, un éditeur spécialisé dans les progiciels de gestion pour les métiers du transport, de la logistique et de l'agroalimentaire frais. En septembre 2005, Sage avait déjà acquis Cogestib et ses solutions de gestion destinées à la distribution automobile. (...)

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