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(20/03/2012 10:00:55)
Pour suivre ses ventes dynamiquement, Pilot a choisi Qlikview
Spécialiste des instruments d'écriture (stylos, feutres...), la société Pilot est présente dans plus de 100 pays. La distribution de ses produits suit un réseau complexe de revendeurs. L'entreprise avait donc besoin de suivre aisément et avec une grande agilité ses performances commerciales. Pour cela, le classique cube OLAP alimenté par des vues de son PGI montrait ses limites en termes d'agilité, surtout que la restitution était réalisée au travers de Microsoft Excel.
L'entreprise a donc déployé un décisionnel léger connecté directement sur le PGI, en l'occurrence Qlikview de Qliktech. Le nouveau décisionnel est capable de traiter les ventes par produits, pays et clients avec un suivi temps réel. Les utilisateurs peuvent multiplier les ajustements par eux-mêmes et changer d'axes d'analyse en cours de route, voire indiquer des critères de filtrage qui se propage d'onglet en onglet. Malgré tout, il reste possible d'exporter vers Excel de façon simple.
Enfin des rapports standards sont produits quotidiennement au format PDF avant diffusion dans l'entreprise par les canaux appropriés. L'outil décisionnel devrait être étendu à l'ensemble de l'Europe et à d'autres fonctions, comme la logistique par exemple afin de suivre au plus juste les stocks. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Un serveur vocal interactif en mode SaaS au centre Pompidou
Le Centre National d'Art et de Culture Georges Pompidou, rue Beaubourg à Paris, est une institution culturelle vouée à la création moderne et contemporaine associant les arts plastiques, le théâtre, la musique, le cinéma, la littérature... Cet établissement culturel reçoit en moyenne 900 appels téléphoniques par jour pour obtenir toutes sortes d'informations pratiques sur ses expositions et performances. Devant la croissance du flux d'appels entrants, l'équipe de six téléconseillers ne suffisait plus à la tâche.
Le Centre Pompidou a donc choisi de déployer un serveur vocal interactif (SVI). Après appel d'offres, l'établissement a choisi une solution SaaS afin de se concentrer sur son métier, point qui a été particulièrement apprécié. En l'occurrence, il s'agit de celle proposée par Diabolocom.
Une navigation par reconnaissance vocale
Le prestataire a conçu en moins de trois mois l'ensemble du paramétrage du service, en particulier l'arborescence de choix pour les appels entrants qui peut aboutir sur un annuaire des collaborateurs de l'établissement. La navigation dans l'arborescence s'effectue par reconnaissance vocale.
Installée en janvier 2011,la solution aurait selon le fournisseur un taux de reconnaissance des commandes vocales de 90%. Les appels non-reconnus sont dirigés vers les téléconseillers. Le service est disponible en Français et Anglais. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Pour se développer en Europe, la banque Pictet & Cie a choisi Avaloq Banking System
Pour des raisons d'efficacités et d'économie d'échelle, ces filiales européennes sont opérées à partir de l'infrastructure existante de Pictet, à Genève qui contrôle déjà l'entité juridique suisse. A la fin de ce nouveau déploiement, ce ne sont pas moins de 2200 salariés de la banque qui utiliseront cette solution.
Peu à peu, l'Avaloq Banking System sera mis en oeuvre dans la plupart des filiales et succursales internationales de la banque. La prochaine étape sera la migration de filiales situées en Asie.
Pour Peter Winsch, Chief Information Officer de Pictet & Cie, ce sont l'architecture flexible et la technologie avancée qui ont conduit au choix de cette solution: «A l'origine, nous avons choisi Avaloq comme plateforme bancaire, car elle nous fournit la flexibilité nécessaire pour couvrir nos besoins spécifiques et sophistiqués. De par cette flexibilité et la capacité de configurer et opérer de multiples entités juridiques sur la base d'une seule instance du système, l'Avaloq Banking System a joué un rôle important en nous permettant de soutenir progressivement l'activité de nos filiales internationales de façon optimisée, en créant des synergies avec notre infrastructure basée à Genève.»
(...)(14/03/2012 10:41:45)Lexmark renforce ses services d'impression gérés avec Brainware
Le fournisseur de solutions d'impression Lexmark vient de racheter pour 148 millions de dollars l'entreprise BDGB et sa filiale américaine Brainware. Cette dernière est spécialisée dans la dématérialisation de documents et la capture de données avec la plateforme Brainware Distiller, ainsi que dans les solutions de recherche d'entreprise avec Globalbrain. Cette acquisition vient renforcer les services d'impression gérés de Lexmark. Elle intégrera Perceptive Software, division indépendante de Lexmark qui développe notamment les logiciels de gestion de contenus d'entreprise ImageNow et les outils de gestion de processus métiers Perceptive BPM.
Brainware indique que ses logiciels sont utilisés par plus de 2 000 entreprises dans les secteurs de la santé, de l'industrie, des services financiers, de la distribution d'énergie et des nouvelles technologies. L'éditeur était déjà partenaire de Perceptive Software. (...)
Les entreprises plutôt satisfaites de leur ERP, selon un rapport de Panorama
Entre janvier et décembre 2011, le cabinet de conseil américain Panorama Consulting Solutions a recueilli les témoignages de 246 entreprises ayant mené un projet d'ERP dans 64 pays (un peu moins d'un tiers des répondants se situaient en Amérique du Nord*). De façon classique, ce sont principalement des modules de comptabilité/finances, de gestion des ventes/commandes/stocks et de paie/RH qui ont été installés. S'y ajoutent des modules de CRM, de gestion d'entrepôt, de production et de planification avancée.
Si la majorité des entreprises ayant répondu à l'enquête (81%) s'est déclarée globalement satisfaite de la solution ERP choisie, le niveau de satisfaction se réduit dès lors que les questions se précisent. « Les entreprises se font à elles-mêmes un grand tort si elles croient que la sélection du logiciel est la partie la plus difficile et que toutes les capacités du produit pourront être exploitées rapidement dès lors qu'elles ont effectué le bon choix », rappelle Panorama Software. « Le fait est que la plupart des ERP sont solidement conçus et personnalisables et qu'ils peuvent être ajustés pour s'adapter à la plupart des activités. C'est au moment de la mise en oeuvre que les taux de satisfaction commencent à baisser ». Près de 60% des répondants se disent satisfaits (ou très satisfaits) de la mise en oeuvre du fournisseur, ainsi que des fonctionnalités et de la facilité d'utilisation. En revanche, ils ne sont que 40% à le dire pour la documentation fournie par le vendeur et pas davantage à être satisfaits de la flexibilité avec laquelle les changements peuvent s'effectuer dans le logiciel.
Une gestion du changement toujours difficile
Plus de 40% des répondants ont indiqué qu'ils avaient dû modifier leurs processus métiers pour s'adapter aux fonctionnalités de l'ERP, contre 27% ayant personnalisé l'ERP pour qu'il se conforme à leurs processus. Panorama montre que, lorsque certains processus métiers constituent un facteur différentiant pour l'entreprise, c'est le logiciel qu'il faut pouvoir adapter pour protéger cet avantage compétitif.
Le rapport du cabinet montre également que la gestion du changement reste un point délicat. Selon les réponses collectées, 63% des entreprises ont rencontré des difficultés dans ce domaine, jugeant cette étape difficile (48%), voire très difficile (15%). Panorama rappelle que ces questions doivent être soulevées très tôt dans le déroulement du projet pour limiter les dépassements de coût et de délais et prévenir les échecs de mise en oeuvre. Le cabinet souligne la nécessité de mettre à plat les processus métiers et d'identifier les domaines qui vont être modifiés afin d'éliminer les imprévus. Ce « blueprint » aide les entreprises à déterminer quels sont les rôles qui seront modifiés et à quel moment communiquer auprès des salariés concernés.
Le sponsoring des dirigeants reste primordial
Le soutien de la direction au projet reste primordial. Selon Panorama, 29% des répondants à l'enquête menée ont indiqué qu'ils n'avaient pas bénéficié de l'engagement de cadres dirigeants. Une situation qui augmente sensiblement les risques d'échec. A l'inverse, un fort sponsoring de la direction, une modélisation adaptée (blueprint) et un plan de formation ciblé des utilisateurs contribuera à minimiser les difficultés pendant la mise en oeuvre. Pour cette dernière, 34% des entreprises disent avoir choisi un « big bang » (la mise en production de l'ERP se fait d'un seul coup à l'échelle de l'entreprise ou de plusieurs départements), tandis que 24% ont choisi une approche par modules, 13% par zones géographiques et 10% par départements de l'entreprise. Les 20% restants ont misé sur une approche hybride.
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Le rapport de Panorama indique par ailleurs que 57% des entreprises ont supprimé totalement l'accès à l'ancien système de gestion après la bascule tandis que 43% ont maintenu un accès parallèle après la mise en production. Le cabinet fait remarquer que la seconde solution peut créer des problèmes de résistance au changement.
La mise en place d'un ERP est un projet coûteux. Il est donc important d'en comprendre les bénéfices financiers et les délais dans lesquels ils seront obtenus. Si les gains potentiels n'ont pas été identifiés, il sera difficile de mesurer l'impact financier global. Panorama Consulting souligne l'intérêt d'établir un retour sur investissement. Les deux bénéfices le plus souvent cités par les répondants avec la mise en place de l'ERP concernent la disponibilité de l'information (75%) et l'interaction améliorée à travers l'entreprise (60%). Ils évoquent aussi une meilleure interaction avec les clients (35%) et les fournisseurs (23%), une réduction des dépenses opérationnelles (35%) et des coûts de la IT (31%). Dans l'ensemble, 50% des entreprises sondées disent avoir réalisé plus de la moitié des bénéfices prévus et 44% moins de la moitié (dont 17% en ayant réalisé moins de 30%).
Un budget respecté pour 33% des répondants
Le budget a été respecté pour 33% des répondants et dépassé pour 56% (de plus de 50% pour 6% d'entre eux), généralement en raison de l'extension du périmètre initial du projet. C'est une amélioration par rapport à l'enquête « 2011 ERP Report » faisant apparaître un dépassement pour 74% des projets en 2010, note le cabinet de consultants. En 2011, 10% des répondants disent par ailleurs n'avoir pas atteint le budget planifié. En général, les dépassements tournent autour de 2 millions de dollars pour des projets atteignant en moyenne 10,5 millions de dollars. Un investissement recouvré par 70% des répondants, en un à cinq ans, ou au-delà selon les cas. En revanche, près de 30% disant n'avoir pas récupéré les coûts du projet ERP. Une situation liée à l'analyse de rentabilité, estime Panorama. Ces entreprises ne sont pas en mesure d'identifier où et quand elles vont récupérer leur investissement si elles n'ont pas identifié les gains de productivité dès le départ. Cela peut aussi être la conséquence d'attentes irréalistes compte tenu des délais et du budget impartis.
Côté délais, justement, 38% des répondants déclarent avoir été dans les temps et 8% plus rapides que prévus. Les autres ont dépassé leurs prévisions de délais de 25% à plus de 50%.
Pour plus de la moitié des entreprises, les ERP ont été installés sur site (on-premise). Pour 21% il s'est agi d'infogérance traditionnelle. Mais 16% ont tout de même misé sur une solution en SaaS (software as a service). Près de 40% des répondants ont ajouté à l'entreprise des développements réalisés par des tierces-parties (éditeurs indépendants, VAR...). Enfin, pour 21% des entreprises, l'ERP a été fortement personnalisé. Mais pour la majorité (70%), il l'a été assez peu et pas du tout pour 11%.
(*) Les entreprises ayant répondu à Panorama évoluent dans surtout dans l'industrie, les services, le BTP, les transports, la communication, le commerce de gros, la finance, l'assurance et le secteur immobilier.
SAP présente son appliance in-memory HANA à ses clients français
SAP France passe aux choses sérieuses avec HANA. Cette appliance, qui associe la technologie logicielle de l'éditeur à une infrastructure matérielle apportée par des partenaires constructeurs (HP, IBM, Siemens, Fujitsu...), vient donner un énorme coup d'accélérateur à l'analyse d'importants volumes de données montées en mémoire vive. Une performance permise par la baisse de coût importante sur le prix des mémoires vives au cours des années et les avancées technologiques. Les temps de réponse des applications décisionnelles s'en trouvent très sensiblement réduits, quelquefois de façon spectaculaire. Les clients en production font état de performances multipliées par 1 000, 10 000, ou davantage. Mais, bien au-delà des applications de Business Intelligence, SAP a l'ambition de mettre HANA au service de l'ensemble de ses applications de gestion et, à terme, de l'imposer en lieu et place de la base de données. L'éditeur mise énormément sur cette solution promue par Hasso Plattner, l'un des co-fondateurs historiques de la société, qui l'a présenté pour la première fois en mai 2009.
Ce matin, à Paris, les équipes françaises de SAP ont déroulé les apports de la solution à plusieurs dizaines de clients. Avec HANA, « SAP revoit la pile logicielle classique telle que vous la connaissez et la simplifie en mettant tout en mémoire », a rappelé Jean-Michel Jurbert. « Ce n'est pas seulement une base de données en mémoire mais une plateforme applicative in- memory pour des données venant d'autres systèmes que SAP ».
Provimi n'était pas satisfait des performances de BW
Les utilisateurs de la solution de datawarehouse BW figurent parmi les premiers clients à pouvoir profiter des bénéfices de HANA. C'est le cas de Provimi, invité ce matin à expliquer de quelle façon l'installation de l'appliance a amélioré ses temps de réponse. Un projet mené tambour battant en trois semaines. Ce spécialiste mondial de la nutrition animale (racheté par Cargill) gère 67 usines dans le monde. Il a uniformisé sa gestion autour de SAP (modules MM, SD, FI, COPA, logistics et applications VIM, GRC, Quality Management et CRM). Avant HANA, la chaîne de reporting qu'il avait mise en place s'appuyait sur BW comme source d'information principale. D'un point de vue plus stratégique, la direction de Provimi utilise BPC [Business Planning & Consolidation], logiciel de planification et de consolidation financière.
Mais tout le monde accède aux mêmes valeurs de stocks quels que soient les outils que l'on utilise, qu'il s'agisse de BW, d'ECC [les modules de l'ERP] ou de BPC, il n'y a qu'une vérité », explique Jean-Charles Valette, directeur du contrôle de gestion de Provimi. Le projet lié à BW visait à répondre aux questions du management et à détecter de nouvelles tendances dans le business pour réagir rapidement et gagner des parts de marché. « Mais nous n'en avions pas tiré les bénéfices escomptés, relate Jean-Charles Valette. Il nous fallait parfois cinq minutes pour récupérer les résultats d'une requête (et il fallait généralement enchaîner une vingtaine de requêtes). En clôture mensuelle, nous perdions également beaucoup de temps. L'état des stocks et des commandes n'était pas disponible en temps réel. De plus, nous avions mis du temps pour installer BW et nous devions passer par la IT pour disposer de nouveaux indicateurs clés ou adapter nos requêtes à d'autres demandes ».
Des temps de réponse tombés à 5 ou 10 secondes
Provimi gère 100 millions de données dans SAP. La société savait qu'en les exploitant bien, elle pouvait récupérer des informations « colossales » pour prendre des décisions. « En octobre, nous sommes allés à Walldorf [siège de l'éditeur en Allemagne]. Trois jours plus tard, SAP nous a montré ce qu'ils pouvaient faire avec nos données », poursuit Jean-Charles Valette. Un environnement de test est développé avec une quinzaine de dimensions. « C'était déjà très rapide, nous obtenions des réponses en 5 à 10 secondes. Nous avons décidé de mettre HANA en place ». Ce qui s'est fait avec l'appui de Capgemini. « En trois semaines, nous avions un pilote live ».
Le 13 octobre 2011, l'appliance arrive dans le datacenter de Provimi, quinze jours plus tard, toutes les tables de production utiles étaient dans HANA. Les premiers utilisateurs de HANA (douze personnes) donnent un feedback immédiatement positif, appréciant notamment l'interface conviviale de Business Objects Explorer (BOE). Les résultats ne se font pas attendre. Provimi réussit à la fois à générer des revenus et à réduire ses coûts. Le directeur du contrôle de gestion explique comment des niveaux de stocks anormalement élevés ont pu être identifiés, ce qui a permis de les réduire de 2 millions d'euros.
« Nous attendons aussi de gros bénéfices sur notre clôture mensuelle, avec un objectif de trois jours ouvrés, ce que ne permet pas notre chaîne de reporting pour l'instant », ajoute Jean-Charles Valette. « Nous sommes encore en phase de pilote dans HANA, il y a encore à développer. » Jusqu'à peu, par exemple, il n'était pas possible de disposer de données consolidées dans une monnaie de référence. « Nous allons faire dans HANA des traitements que nous ne pouvions pas envisager dans BW ». Mais HANA n'a pas encore toutes les fonctions actuellement accessibles dans BW. En complément, Capgemini explique que HANA a été mis en place sur BPC, la réplication s'effectuant dans l'appliance en temps réel depuis ECC, le reporting étant réalisé sur cette base.
En frontal de l'appliance HANA, le logiciel d'exploration des données BO Explorer offre une interface facile à manipuler (source : https://www.experiencesaphana.com/community/try)
Jive applique son logiciel de réseau social au CRM
D'ici la fin du mois, Jive Software sortira une version de son logiciel de réseau social pour l'entreprise spécialement adapté au service à la clientèle. Ce sera le premier d'une série de produits spécialisés que l'éditeur prépare pour réaliser des tâches et des fonctions spécifiques en milieu de travail. Le produit, appelé Jive Social Customer Service Solution, comprend l'intégration native avec des applications CRM/GRC (Customer Relationship Management/Gestion de la Relation Client), des outils de « Case Management » et de surveillance des médias sociaux, l'accès mobile, plus des fonctionnalités inspirées de l'univers du jeu, et destinées à faciliter leur usage.
Selon les responsables de Jive, l'objectif est d'offrir un outil immédiatement fonctionnel, capable de fournir les résultats attendus, de manière à réduire le temps passé en interne à personnaliser et à préparer le logiciel. Le produit intègre des composants de produits Jive existants, comme sa plate-forme phare de réseautage social pour l'entreprise Jive Software Social Business (SBS). Le futur logiciel comprend tout ce qui est nécessaire pour faire fonctionner la solution, si bien que les entreprises n'auront pas besoin d'acheter d'autres produits Jive pour en profiter. De plus, comme les autres produits Jive, cette application de service à la clientèle peut-être étendue et intégrée à un logiciel tiers via une API.
Des capacités de surveillance des réseaux sociaux
L'aspect « jeu » a été ajouté pour séduire les utilisateurs finaux. Quant aux capacités de surveillance des réseaux sociaux, elles vont permettent aux entreprises de contrôler leur page Facebook et leur compte Twitter afin de savoir ce que leurs fans disent dans les commentaires postés via l'interface Jive (une fonction que propose déjà SalesForce avec Radian6). L'objectif, comme avec n'importe quel logiciel de service à la clientèle, est d'aider les entreprises à réduire le nombre d'appels téléphoniques au support technique, de réduire les temps de résolution des problèmes et de mieux satisfaire le client.
Selon des informations publiées sur son site Internet, Jive prévoit semble-t-il de décliner le principe de son logiciel Social Customer Service Solution en proposant d'autres produits sur mesure pour les intranets sociaux, le marketing et les ventes. Les produits seront interopérables, de sorte que les entreprises qui achèteront plusieurs produits pourront collaborer et partager leurs données entre différents départements. Aux États-Unis, le produit sera vendu à un prix de base démarrant à 70 000 dollars.
(...)(08/03/2012 11:38:06)L'AMRAE publie son panorama des outils de gestion des risques
L'Association pour le Management des Risques et des Assurances de l'Entreprise (AMRAE)vient de publier la quatrième édition annuelle de son Panorama des Systèmes d'Information de Gestion des Risques réalisée avec le soutien d'Accenture. Cette étude vise à proposer une comparaison des différents logiciels du marché destinés aux gestionnaires de risques. Elle est offerte aux adhérents de l'AMRAE et sera prochainement disponible en PDF sur le site web de l'association. L'association annonce une version anglaise pour d'ici un mois.
30 outils sont décrits au travers d'autant de fiches. Chaque fiche reprend les coordonnées de l'éditeur, un descriptif succin de celui-ci (effectif, intensité de la spécialisation dans la gestion des risques, capacité à mener du conseil...), une couverture des axes fonctionnels et des axes techniques par le produit considéré et quelques points forts à retenir. La couverture des axes est distinguées selon qu'elle est en standard, grâce à un paramétrage, grâce à un développement spécifique ou pas du tout.
Une synthèse bienvenue
Par rapport à l'édition 2011, le principe reste celui du questionnaire auto-administré envoyé à chaque éditeur mais plusieurs répondants ont été retirés ou ajoutés. Ainsi, trois éditeurs sont sortis du panorama faute d'avoir répondu dans les temps. Deux ont changé d'identité suite à des rachats (RVR Systems par Devoteam et IDS Scheer par Software AG). Enfin, onze éditeurs entrent cette année dans le panorama dont LexisNexis, Oracle et RSA.
Une synthèse de l'état du marché est issue d'une moyenne des notes obtenues par chaque éditeur. La cartographie des risques, la documentation et les imports/exports de données restent des points forts. Par contre, même s'il y a une légère amélioration par rapport à 2011, la gouvernance des risques, le reporting et l'intelligence économique demeurent des points faibles. Les éditeurs ont désormais tendance à rendre certaines fonctionnalités paramétrables plutôt que figées en standard.
L'AMRAE insiste sur le fait que son panorama vise à permettre à chacun de trouver l'outil le plus approprié dans son contexte particulier, pas à faire un classement absolu des solutions. (...)
Pour dématérialiser son administratif, l'UCF-CI BTP a recours à Itesoft
L'Union des caisses de France Congés Intempéries Bâtiment Travaux Publics (UCF-CI BTP) fédère 31 caisses depuis 1937 au service de 220 000 entreprises et artisans et 1,6 million de salariés du BTP. En charge de l'indemnisation des Congés Intempéries entre autres missions, elle gère chaque année 20 millions de pages de documents déclaratifs et 3 millions de chèques ou de coupons. Pour fluidifier ses processus, améliorer la productivité et la traçabilité tout en garantissant une réduction des délais et un bon retour sur investissement, l'UCF-CI BTP souhaitait dématérialiser ses procédures.
Comme quatre caisses affiliées utilisaient déjà une solution Itesoft, l'UCF-CI BTP a choisi cette solution (qui donnait satisfaction) pour elle-même et l'ensemble des caisses. La couverture fonctionnelle du produit a été un critère déterminant. Le projet va être progressivement mis en oeuvre jusqu'en 2017. La solution intègre à la fois la dématérialisation des documents entrants et leur traitement au travers d'un workflow de GED. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)
Pour traiter ses courriers entrants, Nanterre a choisi l'outil IrisNext d'Iris
Nanterre, ville de 92 000 habitants dans les Hauts-de-Seine, a lancé un plan de modernisation des services publics en 2006 qui se poursuit à ce jour. Dans ce cadre, la ville vient de se doter d'un traitement dématérialisé des courriers entrants et sortants.
En effet, il était nécessaire d'accélérer la circulation des courriers entrants tant à l'attention des fonctionnaires que des élus mais aussi le traitement de ces courriers. De plus, la ville souhaitait disposer d'un outil d'analyse des courriers entrants afin de saisir les grandes tendances qu'on peut y trouver tout en garantissant une cohérence des réponses avec la politique voulue. Enfin, il s'agissait de faciliter l'archivage sécurisé des documents autant que la consultation rapide de tout élément archivé.
Pour atteindre ces objectifs, la ville s'est dotée d'une solution IrisNext d'Iris. 100 000 courriers seront à terme numérisés sur site puis insérés dans un workflow de traitement pour 2 500 utilisateurs. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
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