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(06/03/2012 17:20:30)
SAP annonce une version OnDemand de Business One
Chez SAP, la fièvre du cloud se propage jusqu'à Business One, cette suite intégrée pour petites entreprises entrée au catalogue il y a dix ans. Sur le Cebit de Hanovre, l'éditeur a mis l'accent sur la prochaine disponibilité de la version OnDemand du produit, sur la base d'une tarification mensuelle. Contrairement à ce qu'il fait avec l'autre suite intégrée pour PME, Business ByDesign, ce n'est pas lui qui héberge Business One OnDemand. SAP s'appuie ici sur des partenaires certifiés qui assurent l'hébergement. Ce matin, l'éditeur a communiqué le nom de six d'entre eux parmi lesquels le Français itelligence, l'Espagnol Seidor, le Tchèque Versino et l'Américain Virtustream, mais aussi Hungarian Telecom et Singtel, basé à Singapour.
PME, un marché relativement inexploité sur le SaaS
Avec Business One OnDemand, SAP dit vouloir proposer aux PME une offre de gestion complète et facile à exploiter en ligne, mais surtout, mise à disposition à un coût prévisible. L'éditeur cite Ray Boggs, vice-président d'IDC, qui estime que les petites entreprises constituent encore un marché relativement inexploité pour les solutions hébergées proposées en mode SaaS (software as a service). « Les clients peuvent vouloir choisir un modèle de déploiement dans le cloud ou le combiner avec leurs installations sur site et ne pas devoir investir en une seule fois », explique SAP dans un communiqué. Il rappelle aussi que ce mode de fonctionnement permet de ne pas recruter de ressources IT en interne.
Business One regroupe des fonctions financières et comptables, de gestion de la production et des stocks, de gestion des relations avec les clients (CRM), de prise en charge des achats. Il inclut aussi des outils de reporting. Sa version OnDemand sera exclusivement disponible via son écosystème de partenaires.
La semaine dernière, c'est Cegid, l'un des principaux éditeurs français de solutions de gestion pour PME, qui annonçait avoir choisi le cloud privé d'IBM pour y migrer l'offre SaaS qu'il propose déjà depuis plusieurs années.
La solution de gestion d'archives Documentum va équiper l'OMC
La nouvelle solution de gestion de l'OMC, basée sur le module Records Manager de la gamme de produits EMC Documentum, devra remplacer toutes les applications existantes. Elle aura pour fonction de gérer les documents d'archives électroniques et physiques de l'OMC.
EMC Documentum Records Manager (RM) est une solution de gestion des documents d'archives qui offre des fonctions de sécurité et de classification des archives. Combiné avec d'autres module d'EMC Documentum, elle permet d'assurer la traçabilité des archives, de procéder à leur classification manuelle ou automatique, de gérer le versement des archives électroniques comme celui des archives papier ou des microfiches, de définir les périodes de rétention selon la nature de l'archive et enfin, d'automatiser leur destruction à la fin de la période de rétention. Cette solution devrait être mise en service d'ici la fin 2012.
Un portail unique pour les fournisseurs d'Osram
Osram est un fabricant de solutions d'éclairage (lampes, LED, etc.) présent commercialement dans 150 pays et industriellement dans 16 grâce à ses 41 000 collaborateurs et pour un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros. Pour optimiser ses relations fournisseurs, il a décidé d'opter pour une nouvelle solution d'e-sourcing avec une refonte associée des procédures au niveau européen.
Parmi les fonctions nouvellement implémentées, les fournisseurs peuvent s'auto-enregistrer et l'entreprise peut organiser des enchères dynamiques, le tout via un portail unique multinational au niveau européen. Au bout de trois mois d'usage, ce nouveau portail associé aux nouvelles procédures a permis, selon l'entreprise, de réaliser déjà de sérieuses économies sur les achats. Le portail a été construit autour des solutions de l'éditeur Synertrade, les modules eAuction et eRFX de ST6. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Cegid choisit le cloud privé d'IBM pour son offre SaaS
C'est une mutation purement technologique et un évènement dans le développement du SaaS en France. Cegid, proche de Microsoft ou d'Orange sur de nombreux dossiers (*), vient de signer avec IBM France pour un cloud privé. Cegid disposait pourtant de sa propre plate-forme. Mais les moyens financiers nécessaires à un éditeur pour se développer en SaaS (software as a service) n'étant plus à sa mesure, Cegid a décidé de choisir un partenaire et opté pour IBM, ses capacités d'hébergement et sa sécurité.
Actuellement, le SaaS chez Cegid représente 30 000 utilisateurs, sur un total de 400 000 auxquels s'adresse l'éditeur. C'est 20 000 TPE, 650 grands comptes et ETI, 350 collectivités locales. Ces clients ne seront pas touchés par l'accord signé entre Cegid et IBM, l'opération promet d'être transparente pour les utilisateurs. Un an a été nécessaire aux deux parties pour finaliser le projet. La migration des applicatifs se fera en milieu d'année 2012. Cegid va arrêter son contrat avec l'hébergeur redondant qui doublait sa propre plate forme issue de CCMX (**). Il proposera des services en SaaS sous le nom de « nuage Cegid ».
IBM France au plus haut niveau
Du côté d'IBM France, l'initiative est suivie au plus haut niveau, puisqu'Alain Bénichou en personne, le Pdg, a présenté l'accord aux côtés de Jean-Michel Aulas, président de Cegid, et de Patrick Bertrand. « Pour des infrastructures complexes, il faut se préparer, souligne Alain Bénichou, nous avons investi 300 millions de dollars en 2009, en datacenter et en infrastructure de cloud, sur le marché français. Nous sommes prêts, avec, je n'hésite pas à le dire du made in France, une offre franco-française, faite par IBM France. Même l'électricité est française, même si elle est plus chère qu'ailleurs », lance le patron d'IBM France, toujours un peu provocateur. « Le cloud, c'est investir dans le béton, certains veulent se le faire payer par l'Etat, car la facture est conséquente. Nous, nous avons investi en propre ».
Alain Benichou, PDG d'IBM France (crédit photo : D.R.)
Autre point clé, celui de la sécurité. Un point vital pour les clients comme pour les prestataires en SaaS. Selon Alain Bénichou, cinq points sont importants : l'identité des personnes, celle des données, des applications, la sécurité des réseaux, celle des infrastructures serveurs. « Cet aspect sécurité est d'autant plus crucial pour nous que nous travaillons essentiellement avec des experts comptables et des collectivités locales », souligne Jean-Michel Aulas, c'est un critère prioritaire pour nos clients et la clé du développement du SaaS. »
Jean-Michel Aulas, président de Cegid (crédit photo : D.R.)
Un triple objectif pour Cegid
Pour les dirigeants de Cegid, un triple objectif est tenté : satisfaire les actionnaires en valorisant le développement de la société sans investissement trop lourd ; s'adosser à un partenaire de premier plan pour consolider les offres en SaaS, conquérir de nouveaux clients et amplifier son avantage par rapport à ses concurrents ; se développer à l'international où Cegid a toujours été timide.
Quant aux concurrents de Cegid, pour aller dans le Saas, ils devront mettre le prix, c'est-à-dire se doter en propre d'une infrastructure ou nouer un accord avec un partenaire de type IBM. Le défi est de taille. Cegid et IBM ont négocié pendant un an, le projet prend du temps, et Cegid avait déjà une forte expérience du SaaS et avant lui de l'ASP (**). Cet accord devrait permettre à Cegid de tenir ses rivaux un peu plus à distance.
(*) Cegid intègre de longue date ses solutions avec les outils Microsoft, plus récemment l'offre en SaaS de Cegid est disponible sur Business VPN d'OBS.
(**) Au mois de juin 2004, Cegid rachetait son concurrent français CCMX, outre la complémentarité des offres, l'opération lui apportait une plateforme d'hébergement. On parlait à l'époque d'ASP et non pas de SaaS. Cegid développait ensuite des offres, Cegid Sourcing, puis Cegid on demand, sur ses différents secteurs d'activité. En mode SaaS, ces applications représentent une part de plus en plus importante de son chiffre d'affaires : 16,3 M€ en 2010, 20 M€ en 2011.
(...)
Microsoft et Hortonworks vont relier Excel à Hadoop
Microsoft travaille à la mise au point d'un connecteur qui permettra aux utilisateurs d'Excel de télécharger et d'analyser des données provenant de Hadoop. Cette fonctionnalité pourrait ouvrir à un public plus large la plate-forme de traitement de données disponible en Open Source. Le développement est réalisé en collaboration avec Hortonworks, une spin-off de Yahoo, qui propose une distribution de Hadoop avec un support commercial. « Cette annonce est importante, parce que Microsoft ouvre potentiellement Apache Hadoop à des millions de nouveaux utilisateurs », a déclaré Eric Baldeschwieler, co-fondateur et directeur technique d'Hortonworks. « Ce sont aussi plusieurs millions d'utilisateurs PowerPivot pour Excel qui vont bientôt pouvoir exploiter les capacités d'Apache Hadoop à partir d'un logiciel qu'ils connaissent bien. »
Le développement de ce connecteur est l'un des nombreux projets Open Source en relation avec Hadoop que Microsoft et Hortonworks ont annoncé mardi lors de la conférence O'Reilly Strata Data, qui se tient cette semaine (28 février-1er mars) à Santa Clara, Californie. L'an dernier, les deux entreprises avaient conclu un partenariat pour adapter Hadoop à l'écosystème Windows. Microsoft et Hortonworks travaillent également ensemble pour élaborer un framework JavaScript, qui permettra aux programmes JavaScript d'explorer les données de Hadoop. Il collaborent aussi sur une série de patchs pour le noyau Hadoop qui doit permettre au logiciel de tourner sur Windows Server.
Connecteur et bibliothèque bientôt en Open Source
Le connecteur est une interface ODBC (Online Database Connector) qui interagit avec Hadoop par l'intermédiaire du système d'entreposage de données Hive. Les utilisateurs pourront analyser les données téléchargées depuis Hive dans Excel, en utilisant des outils comme PowerPivot pour Excel. « Le pilote ODBC de Microsoft pour Hive a été construit pour connecter plus facilement Excel, PowerPivot et d'autres outils Microsoft à Hadoop (via Hive) », a déclaré par mail Shaun Connolly, vice-président, stratégie d'entreprise, d'Hortonworks. Il explique que sa société et Microsoft veulent mettre cette technologie en Open-Source afin qu'elle soit largement disponible et utilisée par la communauté Apache Hadoop. Le développement du framework JavaScript suivra le même chemin, a indiqué Shaun Connolly.
Microsoft a construit la plate-forme centrale pour ses propres produits et Hortonworks la modifiera pour permettre une utilisation élargie. « Pour l'instant, ni le connecteur, ni le framework Javascript ne sont disponibles, mais ils seront livrés prochainement en version open-source », a déclaré le vice-président de Hortonworks. Microsoft a déjà fait un pas pour intégrer Hadoop dans son écosystème puisque l'éditeur propose un connecteur Hadoop pour SQL Server. Il offre également la connectivité à une instance de Hadoop - actuellement en version développeur - sur son service cloud Azure.
Oracle détaille à son tour sa stratégie pour Taleo
SAP ayant présenté la semaine dernière sa feuille de route pour SuccessFactors, l'offre de gestion des ressources humaines en SaaS qu'il a rachetée, Oracle n'a pas tardé à expliquer ce qu'il comptait faire avec Taleo, offre concurrente en cours de rachat.
Il s'agit pour chacun d'eux de transactions significatives. Pour acquérir ces spécialistes de la RH dans le cloud, SAP a déboursé 3,4 Md$ et Oracle propose de payer 1,9 Md$ pour récupérer Taleo. Ce dernier va lui apporter des applications de gestion du recrutement et de l'accueil des employés. Oracle pourra les vendre à sa base installée ou à des entreprises qui n'utilisent pas encore ses logiciels. Taleo lui amènera des équipes qui connaissent le marché du SaaS (software as a service), ce qui renforcera sa pertinence dans ce domaine. SAP récupère des avantages similaires avec SuccessFactors.
Analyse prédictive pour retenir les hauts potentiels
Vendredi dernier, Mark Hurd, président d'Oracle, a déclaré au cours d'un webcast que lorsque l'acquisition de Taleo serait réalisée, Oracle disposerait de l'offre la plus large dans le cloud. L'offre rachetée se raccorde directement à l'application Fusion HCM (Human Capital Management) dans le cloud, a-t-il ajouté.
Oracle veut offrir à ses clients une suite complète d'applications RH qui comprend des fonctions de BI embarquées, de réseau social et de mobilité, a confirmé Thomas Kurian, vice-président exécutif, responsable du développement produit chez Oracle. Il explique comment les produits de Taleo vont fonctionner avec les solutions maison. Les clients pourront « organiser, prévoir et rechercher leurs ressources de façon optimale ». Ils accéderont à l'analyse prédictive pour identifier les collaborateurs à haut potentiel qui risquent de quitter l'entreprise. Pour les retenir, ils pourront combiner le recours aux outils de Taleo et d'Oracle permettant de gérer les plans de carrière et les rémunérations.
Taleo sera intégré dans Oracle Public Cloud
Pour la partie gestion du recrutement et accueil des employés dans l'entreprise, ce sont les logiciels de Taleo qui seront mis en avant par Oracle, selon la présentation de Thomas Kurian. Pour les logiciels de gestion de la performance, l'éditeur prévoit en revanche d'unifier l'offre de Taleo et la sienne en un seul produit et de proposer à tous les clients une mise à jour uniformisée. Taleo sera intégré dans le cloud public d'Oracle sur lequel fonctionne son offre Fusion HCM. Cela apportera aux applications de Taleo des capacités supplémentaires de gestion des identités et des données, ainsi que d'autres fonctions analytiques, a expliqué Thomas Kurian.
A plusieurs reprises, les responsables d'Oracle ont souligné que Taleo Business Edition, qui s'adresse à de plus petites entreprises, continuera à être proposé et maintenu. Ils entendaient ainsi rassurer les clients sur cette version de l'offre dans la mesure où Oracle insistait surtout sur la façon dont la version Enterprise de Taleo allait se combiner avec ses propres produits, a expliqué Lisa Rowan, analyste d'IDC, à nos confrères d'IDG News Service.
Thomas Kurian a aussi insisté sur le fait qu'il serait toujours possible d'exploiter ces logiciels de gestion du talent avec d'autres suites RH que celle d'Oracle. Cela reflète l'inquiétude de l'éditeur de perdre les clients qui utilisent actuellement Taleo avec les applications RH de concurrents comme SAP, estime l'analyste d'IDC.
Oracle livre Exalytics et se prépare à affronter HANA de SAP
Moins de cinq mois après l'annonce d'Exalytics, Oracle livre son serveur dédié aux applications analytiques. C'est le dernier produit en date dans sa famille d'appliances spécialisées (qui comporte déjà Exadata et Exalogic). Sur le marché, Exalytics va entrer en concurrence avec la solution HANA de SAP. L'une comme l'autre ont recours à une technologie « in-memory » qui porte les données à analyser en mémoire afin d'augmenter les performances de traitement.
C'est seulement en octobre que l'offre Exalytics a été dévoilée par Larry Ellison, sur sa conférence OpenWorld 2011. Le délai avec lequel elle a été mise sur le marché a donc été relativement court. Oracle a également annoncé une mise à jour de sa suite décisionnelle OBIEE (Business Intelligence Foundation Suite), optimisée pour l'appliance Exalytics. Cette dernière utilise OBIEE avec une version de la base de données in-memory TimesTen ajustée pour les traitements analytiques. L'ensemble fonctionne sur une plateforme matérielle spécialisée incluant un serveur Sun Fire équipé de 1 To de mémoire vive et exploitant des processeurs Xeon E7-4800 d'Intel rassemblant 40 coeurs. La connectivité entre les éléments combine des liaisons Infiniband à 40 Gb/s et Ethernet à 10 Gb/s. Les machines peuvent être chaînées ensemble pour en augmenter la puissance.
A partir de 164 700 dollars sans le logiciel
Exalytics dispose aussi de fonctions de cache in-memory qui permet au fil de l'eau de déterminer quelles informations doivent être gardées en mémoire pour optimiser la performance. Selon Oracle, les tests réalisés (notamment chez les clients) ont montré des applications de reporting et de tableaux de bord fonctionnaient jusqu'à 100 fois plus vite sur Exalytics.
La tarification de l'offre a été communiquée le mois dernier assez discrètement. Dans un document mis à jour le 10 janvier, on pouvait découvrir que le modèle Exalytics In-Memory Machine X2-4 était listé à 135 000 dollars, dans la configuration décrite plus haut, auxquels s'ajoutent 29 700 dollars pour le support annuel et autres coûts. Toutefois, les différents logiciels nécessaires à son fonctionnement augmentent sensiblement son prix. Un expert a confié le mois dernier à nos confrères d'IDG News Service que le prix d'une machine Exalytics complètement équipée devrait sans doute atteindre les 3 millions de dollars, après prise en compte des remises accordées sur le logiciel.
SAP ne communique pas publiquement de prix pour HANA. Les systèmes sont vendus par différents partenaires assurant la partie matérielle, dans une gamme de configurations incluant l'édition Edge pour les PME annoncé au début de ce mois.
Guerre des mots entre Oracle et SAP
Alors qu'Exalytics se focalise sur les applications d'analyse, HANA est également destiné à des traitements transactionnels, en conjonction avec le produit phare de SAP, la Business Suite (ERP et applications périphériques). Malgré tout, la concurrence entre les deux produits risque d'être acharnée, si l'on se réfère à la guerre des mots à laquelle les deux éditeurs se sont déjà livrés.
En octobre déjà, Sanjay Poonen, l'un des responsables de SAP, avait publié une tribune critique sur Exalytics après sa présentation par Larry Ellison. Il y affirmait que l'offre d'Oracle reposait sur une architecture dépassée, trop coûteuse pour ce qu'elle cherchait à réaliser.
La semaine dernière, c'est un responsable d'Oracle qui a posté à son tour un billet de blog vengeur sur HANA. Aussitôt taclé par un tweet de Vishal Sikka, directeur technique de SAP, dénonçant les mensonges et les informations dénaturées qu'il contenait. Le billet de blog d'Oracle a depuis été supprimé.
Pour mieux gérer ses achats, UniH.A. a choisi la solution en mode SaaS
Le groupement de coopération sanitaire (GCS) Uni.H.A regroupe 54 établissements hospitaliers ou hospitalo-universitaires français dont il est, en quelque sorte, une centrale d'achats coopérative. Ce GCS a réalisé pour 1,5 milliard d'euros d'achats en 2011 sur les 7 milliards d'euros réalisés par l'ensemble de ses membres. Il souhaitait développer une gestion de ses achats plus professionnelle, formalisée et reliée à la logistique afin de générer des gains de productivité.
A l'issue d'un appel d'offres, Uni.H.A a choisi de se doter de la plate-forme de gestion des achats en mode SaaS de Hubwoo. Celle-ci est basée sur les modules sourcing, CLM et SRM de SAP auxquels s'ajoutent des modules propres de gestion de catalogues et de gestion de paiements. 14 des membres d'Uni.H.A utilisaient la solution AchatPro rachetée par Hubwoo. Ils vont basculer sur la nouvelle offre SAP dès 2011. L'ensemble des membres d'Uni.H.A basculeront sur la nouvelle plate-forme dans les mois à venir. (...)
Microstrategy renforce l'utilisation de sa BI sur mobile
Pour enrichir l'exploitation mobile de ses outils de Business Intelligence, Microstrategy a livré avec la dernière version de son offre une série de fonctionnalités permettant d'exploiter plus confortablement et plus efficacement ses outils sur les tablettes et smartphones. Son application Microstrategy Mobile, déjà disponible pour l'iPad sur iTunes, l'est désormais aussi sur l'Android Market (pour Android 2.1 à 3.2). Elle permet de visualiser les données de l'entreprise via des tableaux de bord et des graphiques dynamiques.
Parmi les améliorations apportées par la version 9.2.1m de l'offre de Microstrategy en utilisation mobile, l'affichage se modifie et redimensionne ses contenus en fonction de la rotation du terminal. Des contenus supplémentaires peuvent être ajoutés par widgets. On dispose de la fonction « pincer pour zoomer » pour agrandir le rapport ou le document. S'ajoutent à cela la prise en charge des transactions mobiles hors ligne, ainsi qu'un suivi de la qualité du réseau qui informe les utilisateurs de la bande passante réseau disponible. Le logiciel supporte les fonctions d'authentification SSO de Siteminder (de CA). Pour naviguer dans un document de plusieurs pages, il suffit de taper au bord de l'écran pour feuilleter rapidement le rapport. Un widget affiche des événements et différents détails dans une frise chronologique (timeline) à laquelle les utilisateurs pourront se référer pour effectuer des comparaisons dans le temps. Par ailleurs, sur les terminaux sous iOS, il est possible de mettre en oeuvre les fonctionnalités d'accessibilité telles que VoiceOver.
En mode déconnecté, les utilisateurs pourront préparer des transactions qui seront mises en attente pour la prochaine connexion. Enfin, avec le widget Multimedia, on peut se connecter à des systèmes de gestion de fichiers comme WebDAV et SharePoint pour récupérer des données multimédias dans l'application mobile.
Microstrategy Mobile sur iPad
Une solution décisionnelle sur base AS/400 chez Rautureau Apple-Shoes
Créé en 1870 en Vendée, Rautureau Apple-Shoes fabrique et distribue des chaussures haut de gamme sous plusieurs marques (Free Lance, Jean-Baptiste Rautureau, Pom d'Api...) dont, pour la moitié de son chiffre d'affaires, pour l'export. Les 240 collaborateurs de l'entreprise génèrent un chiffre d'affaires de 40 millions d'euros par an auprès de 1500 clients de 40 pays en s'appuyant sur un réseau de 37 boutiques (dont 3 en Suisse et Belgique, 3 magasins en ligne et un magasin d'usine).
Le système d'information de l'entreprise repose sur un AS/400. Mais la création du compte d'exploitation analytique nécessitait la ressaisie d'information sous tableur Microsoft Excel pour un travail mensuel de 3 à 4 jours. Cette modalité n'étant pas satisfaisante, Rautureau Apple-Shoes a cherché une solution alternative évitant toute ressaisie mais permettant de croiser des informations de plusieurs sources, le tout sans investissement en infrastructure.
Une solution sur AS/400
Après appel au marché, la société a choisi la solution MyReport de Report One, intégrée par Ouest Décision. La solution choisie est installée sur AS/400 et utilise la base de données DB2/400. Elle permet d'exporter des données vers des tableurs comme Excel ou OpenOffice. La distribution des rapports peut également être automatisée.
Mise ne place en moins de deux mois, tout compris, la solution est destinée à voir son périmètre s'étendre au delà du seul contrôle de gestion, notamment vers la gestion commerciale et la prévision de production. Elle a d'ores et déjà permis d'économiser les 3 à 4 jours mensuels de ressaisies et de retraitements comme c'était l'objectif. Les rapports sont désormais suivis au quotidien. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)
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