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(07/01/2011 10:36:57)
Alfresco s'impose comme solution GED chez Smatis
La mutuelle a finalement retenu la solution de GED Open Source d'Alfresco, intégrée par SQLI en quatre mois. Elle a notamment apprécié la possibilité de s'interfacer avec les outils Kodak autant que de gestion des clients et des contrats pré-existants ainsi que de migrer l'ensemble des documents déjà dématérialisés. De plus, l'ergonomie du système a permis de diminuer de 30 à 40% le temps d'acquisition d'un document par rapport au système antérieur de dématérialisation. Le coût du projet n'a pas été précisé.
Une messagerie unifiée hybride à la Fédération Française de Gymnastique
Bruno Jacquetin se souvient : « nous avons reçu des propositions d'un peu tous les types : un gros serveur Microsoft Exchange installé chez nous, ou bien hébergé, etc. Nous avons choisi la solution qui était la plus intéressante en termes de tarif et la moins contraignante du point de vue de l'administration. » Déployer un Microsoft Exchange pour plus de 2000 comptes aurait été à la fois inutile, complexe et cher.
La Fédération Française de Gymnastique a opté pour une solution mixant Microsoft Exchange pour les comptes en ayant l'usage et Alinto Pro pour tout le monde. L'ensemble est hébergé chez Alinto. Techniquement, Alinto Pro est le serveur de messagerie mais Microsoft Exchange vient y récupérer les données pour les comptes pour lesquels il est paramétré. Les aspects collaboratifs sont gérés dans Microsoft Exchange. Les boites POP/Imap, dont les identités et titulaires sont très variables dans le temps, sont crées et administrées via une interface web par le RSI. A l'inverse, les comptes Exchange, plus stables mais aussi plus complexes à gérer, sont administrés par Alinto.
Le coût de la solution repose sur un modèle de forfait au nombre de comptes par an. Elle a été déployées en production mi-décembre 2010.
Bilan BI 2010 : L'analyse de données a le vent en poupe
Les éditeurs de solutions décisionnelles cherchent à les rendre de plus en plus accessibles pour les mettre entre les mains du plus grand nombre d'utilisateurs, sans devoir recourir systématiquement aux équipes informatiques. Les interfaces se font plus intuitives ou s'appuient sur des outils familiers, comme Excel. Les analyses se font 'en mémoire' pour accélérer les temps de réponse.
Au printemps dernier, Gartner évaluait que les solutions décisionnelles avaient représenté en 2009 un marché mondial de 9,3 milliards de dollars, en progression de 4,2% par rapport à l'année précédente. Un marché qui regroupe d'une part les plateformes de BI (business intelligence) comprenant les outils de requête sur les données, de reporting et d'analyse (soit plus de 64% du marché selon le cabinet d'études), et d'autre part les suites de gestion de la performance (CPM) et les applications analytiques.
IDC, de son côté, vient de livrer une étude qui évalue à 7,5 milliards de dollars en 2010 le seul marché des outils de BI. Selon l'analyste Dan Vesset, celui-ci a crû de 13,9% sur le premier semestre de l'année, à 3,9 milliards de dollars (logiciels de requête, de reporting et d'analyse). Certains marchés, l'Inde en particulier (+44%, 23,6 millions de dollars sur ce premier semestre) ont contribué à cette forte augmentation. Dans les cinq prochaines années, IDC voit l'Amérique latine progresser au rythme moyen de 14% sur ces solutions.
Analyse sémantique et prédictive
Les principaux offreurs de solutions restent SAP/Business Objects, SAS, Oracle, IBM/Cognos et Microstrategy, suivis d'acteurs tels qu'Actuate, Tibco/Spotfire et Qliktech, notamment. Dans le domaine du datawarehouse figurent des spécialistes comme Teradata. Dans cette catégorie, IBM et EMC se sont offerts cette année deux 'pure-players' du secteur des entrepôts de données. Le premier a racheté Netezza et le deuxième, Greenplum. Quant aux acteurs de la BI en Open Source, ils poursuivent leur percée. Un acteur comme Pentaho vient d'ouvrir un bureau en France.
Les analyses se font sur des volumes de données de plus en plus importants. Les grands fournisseurs renforcent donc leurs réponses dans cette direction. SAP qui travaille depuis plusieurs années sur les technologies « In Memory » a livré au début de ce mois sa solution HANA, qui permet d'interroger en quasi temps réel ses données de production. Parmi les évolutions pressenties, l'analyse sémantique et l'analyse prédictive continuent également à se développer, entre autres pour tirer parti des énormes quantités de données non structurées stockées sur le web (dans les réseaux sociaux notamment, pour des applications de gestion de la relation clients). Enfin, la BI n'échappe pas à la loi de la mobilité. L'arrivée de l'iPhone et, désormais, de l'iPad, amène la plupart des acteurs à proposer des offres pour consulter ses rapports ou explorer ses données depuis ces terminaux mobiles.
Les articles publiés en 2010 sur le sujet :
- Le 25 février 2010 : SAP lance des outils de BI en ligne pour les utilisateurs occasionnels
- Le 26 février 2010 : R&D - Un algorithme pour doper l'analyse de données
- Le 12 mars 2010 : Accéder aux rapports BIRT depuis son iPhone
- Le 21 avril 2010 : Le loueur de voitures Avis recourt à l'analyse prédictive
- Le 23 avril 2010 : Le marché de la BI a crû de 4,2% en 2009
- Le 23 avril 2010 : Microsoft lance PowerPivot et hisse le décisionnel dans Excel avec SQL Server
- Le 20 mai 2010 : SAP promet l'analyse en temps réel pour tous ses clients
- Le 28 mai 2010 : IBM prépare des offres analytiques basées sur Apache Hadoop
- Le 22 juin 2010 : Applications de BI : des outils spécifiques perdurent, montre Forrester
- Le 7 juillet 2010 : EMC acquiert Greenplum
- Le 7 juillet 2010 : Oracle lance sa suite décisionnelle OBIEE 11 g
- Le 23 août 2010 : Appliances analytiques - Teradata, en forme, reprend les actifs de Kickfire
- Le 6 septembre 2010 : BI en Open Source - Des écarts entre versions gratuites et premium
- Le 7 septembre 2010 : SAS simplifie l'utilisation de l'analyse prédictive
- Le 9 septembre 2010 : DOSSIER Business Intelligence - L'avenir s'annonce sans nuages
- Le 16 septembre 2010 : La suite BI d'Actuate en route vers le cloud
- Le 20 septembre 2010 : IBM rachète Netezza pour 1,7 milliard de dollars
- Le 24 septembre 2010 : Teradata et Cloudera s'associent
- Le 8 octobre 2010 : SAP montre un prototype mêlant BI et réalité augmentée sur iPad
- Le 25 novembre 2010 : HP en quête d'acquisitions dans la BI ?
- Le 1er décembre 2010 : SAP lance HANA, sa solution d'analyse haute performance
- Le 7 décembre 2010 : BI en Open Source - Pentaho ouvre un bureau en France
- Le 20 décembre 2010 : Le développement de la BI nécessite une transformation culturelle selon le Gartner
- Le 21 décembre 2010 : Microsoft propose Dryad, outils de traitement des 'Big Data'
- Le 22 décembre 2010 : Teradata s'offre l'éditeur de logiciels marketing Aprimo
Illustration : QlikView sur iPad (crédit photo : QlikTech) (...)(21/12/2010 14:43:23)
Plusieurs applications Oracle débarquent sur EC2 d'Amazon
Le passage à EC2 rend le logiciel PeopleSoft beaucoup plus accessible aux petites et moyennes entreprises. Il vient s'ajouter à un ensemble de déploiements entrepris récemment par Amazon pour faciliter l'adoption du Cloud par les petites entreprises. Par exemple, la semaine dernière, Amazon a annoncé la disponibilité d'un outil permettant l'importation des images de disque virtuel VMware existantes pour être exécutées ensuite dans le cloud. Pour l'instant, seul Windows Server 2008 SP2 est supporté, mais d'autres systèmes d'exploitation seront ajoutés progressivement. Les entreprises peuvent utiliser le service d'import soit comme sauvegarde d'urgence de leur infrastructure virtualisée, soit comme étape de transition vers le cloud pour limiter au maximum les difficultés et la reconfiguration.
Nul doute que l'entrée de PeopleSoft dans le cloud sera surveillée de près par Salesforce.com, qui domine actuellement le marché du CRM, un service qu'elle a toujours proposé en mode hébergé. Toutes les nouvelles offres de Cloud sont disponibles sous forme d'Images Machine Amazon (AMI) préconfigurées, et prêtes à l'emploi pour une activation immédiate, même si, à l'avenir, les clients pourront aussi créer des versions personnalisées des installations et les télécharger sur EC2. Le tarif de location horaire pour ces nouvelles images s'incrit dans la catégorie Grande instance (Large instance) de mémoire, et varie entre 50 centimes et 2 dollars en fonction des besoins du client. A noter que le compteur s'arrête lorsque les machines sont éteintes ou si leur activité est suspendue pendant la nuit. Les clients peuvent utiliser les licences Oracle pour les instances EC2 du logiciel, ce qui laisse effectivement aux administrateurs IT le choix de faire, pour le même prix, une installation sur site ou dans le cloud. Il n'est pas non plus nécessaire aux clients du service Oracle Support ou Amazon Premium Support d'acheter un support technique supplémentaire, puisque ces contrats leur permettent d'obtenir l'aide dont ils ont besoin.
Flexibilité et réduction des coûts
Les avantages de l'utilisation de PeopleSoft sur EC2 sont multiples. Par exemple, la mise en place d'une nouvelle installation est maintenant à la fois immédiate et gratuite, sans nécessiter l'achat de matériel ni même avoir des connaissances spécialisées. Une approche cloud sous-entend aussi que tout déploiement sera accessible de n'importe où dans le monde avec la garantie d'une grande fiabilité. Les coûts d'une maintenance future seront aussi considérablement réduits.
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Toutefois, l'exécution d'applications CRM et ERP sur EC2 pose quelques questions, dans la mesure où ces applications sont habituellement installées sur les serveurs sur le site du client et que, généralement, les employés y accèdent en local. L'accès à des applications sur un réseau local est aussi beaucoup plus rapide que via un service cloud sur Internet. Cela dit, une instance de ces applications sur EC2 peut avoir un intérêt pour une entreprise très décentralisée, notamment dans le cas où la majorité de ses employés travaillent à partir de succursales ou depuis leur domicile.
Une conversion lente
Il a toujours été possible d'exécuter un logiciel PeopleSoft sur EC2, mais à titre seulement officieux, dans le cadre d'un projet « do-it-yourself » notamment. En effet, jusqu'à présent, Oracle ne recommandait l'utilisation d'EC2 que pour le développement et le test, même si Oracle Database Enterprise Linux, WebLogic, et divers d'outils de développement étaient officiellement disponibles pour cette plate-forme depuis quelques temps.
Aujourd'hui, la grande différence vient du fait qu'Oracle a certifié PeopleSoft pour une utilisation sur EC2, ouvrant ainsi l'accès à des options de support. Certes, Larry Ellison, le PDG d'Oracle, a toujours été sceptique vis à vis du cloud, le qualifiant même de phénomène de mode en 2008. Mais, cela n'a pas empêché son entreprise de commercialiser ses propres offres, comme l'Exalogic Elastic Cloud, ou même d'entreprendre un roadshow international pour vanter l'utilité du cloud computing. De même, la semaine dernière, Oracle a annoncé Cloud Office, une suite bureautique en ligne, similaire à Google Docs, mais payante.
ERP : Microsoft connecte son offre Dynamics NAV à CRM Online
Microsoft livre en France la R2 de Dynamics NAV 2009, le progiciel de gestion intégré qu'il propose aux entreprises à partir de 20 personnes et jusqu'à 1 000 employés (lorsqu'il s'agit de filiales de grands groupes). L'éditeur table sur une migration rapide de ses clients vers cette version, en particulier ceux qui ont déjà installé le SP1 (service pack 1), précise Virginie Garlasain, chef de produit ERP.
L'offre Dynamics NAV, qui compte 2 200 clients en France (80 000 dans le monde) et une trentaine de revendeurs actifs sur le territoire, bénéficie d'une approche verticale sur cinq secteurs d'activité : services, vente au détail, secteur public, industrie, distribution. Une verticalisation qui s'opère quelquefois à un niveau très fin, souligne la responsable produit. L'application, qui peut être hébergée et « consommée en ligne » via les partenaires de Microsoft, est assortie de différentes options tarifaires (acquisition de la licence, ou mode SaaS -software as a service).
Une avancée notable de la R2 concerne l'intégration avec Dynamics CRM, l'application de gestion de la relation client autour de laquelle Microsoft fait grand bruit en ce moment. Il compte en effet concurrencer Salesforce.com avec la version cloud de cette offre de CRM. Désormais, l'éditeur propose son propre connecteur entre cette dernière et Dynamics NAV. « Il sera fourni gratuitement aux clients sous contrat de maintenance récent », précise la filiale française. Il permettra de synchroniser les données entre l'ERP et les deux versions de l'offre de CRM (sur site et en ligne).
Un client d'accès unique
Avec le client RoleTailored, Microsoft avait adapté l'interface de son application Dynamics NAV 2009 aux différents métiers de l'entreprise (à la suite d'une étude menée auprès de plus de 200 clients). « L'écran d'accueil de l'application est un véritable tableau de bord », souligne la responsable produit. Il rassemble un aperçu des activités, des indicateurs de performances, des alertes et des liens d'accès rapides vers d'autres écrans.
« Les principales nouveautés de la R2 ne sont pas forcément les plus visibles ». Ainsi, cette version conserve maintenant le bénéfice du client RoleTailored, quelle que soit la façon dont l'utilisateur se connecte à l'application : en local, depuis un poste distant relié au siège par une connexion Internet à haut débit, ou encore, sur un mode itinérant, en passant par le web. Dans les trois cas, « on accède au serveur distant via la même interface », indique Virginie Garlasain en estimant cette solution moins complexe que celle proposée par Citrix Systems, ou même Terminal Services. Une option qui pourra notamment intéresser les partenaires hébergeurs de Dynamics NAV. L'application peut être déployée en mode hébergé ou sur site avec la technologie Application Virtualization (App-V) de Microsoft. 
Tout en facilitant la mise à jour des postes clients, celle-ci présente aussi l'avantage de conserver les capacités de croisement entre l'application de gestion et les fonctions apportées en local par Windows ou par la suite bureautique Microsoft Office.
Visualisation interactive des données
Parmi les autres améliorations de la R2 figure un accès rapide aux fonctions de l'ERP à partir du bureau Windows 7 (par l'intermédiaire de 'Jump Lists'). 
Une fonction de visualisation interactive, Tree Map, apporte à l'utilisateur de l'ERP une fonction d'analyse des données que l'on pourra manipulera sans formation préalable, assure l'éditeur. Elle pourra servir, par exemple, à identifier rapidement les clients ayant le chiffre d'affaires le plus important et offrant la meilleure rentabilité (illustration ci-dessus). Par ailleurs, Dynamics NAV 2009 R2 dispose maintenant d'une fonction de planification interactive de stocks, pour éviter le surstockage ou les ruptures. « C'est une fonction que l'on trouve habituellement dans des outils spécialisés sur la planification », a souligné la responsable produit.
Enfin, le progiciel se complète d'un service de paiement hébergé qui permettra de gérer des transactions de paiement sécurisées depuis Dynamics NAV. Celui-ci n'est pas encore disponible en France, mais Microsoft est actuellement en négociation pour agréer des fournisseurs dans l'Hexagone. Ce service multicanal pourra être utilisé depuis différents sites marchands ou centres d'appels.
Illustrations (crédit : Microsoft)
Le développement de la BI nécessite une transformation culturelle selon le Gartner
Un nombre croissant d'entreprises recourent à certains outils décisionnels clefs - comme la modélisation et les services de support - pour aider les employés, les gestionnaires et les cadres à prendre les bonnes décisions dans une situation commerciale donnée, explique le cabinet Gartner.
«Traditionnellement, la BI était généralement utilisée pour exploiter les données historiques, et comme un outil de planification et de prévision pour un nombre relativement restreint de personnes dans une organisation qui s'appuie sur les données existantes pour planifier l'avenir », souligne Patrick Meehan, analyste au Gartner. Il poursuit en indiquant que la modélisation des scénarios futurs a permis «d'examiner le bienfondé de nouveaux modèles d'affaires, de nouveaux débouchés et produits, et de créer une culture d'opportunités ». Les travailleurs peuvent non seulement voir l'avenir, mais souvent le créer, a également déclaré Patrick Meehan.
Le Gartner précise encore qu'utiliser l'information pour développer des idées intelligentes pour améliorer les performances de l'entreprise est un défi majeur, et met en évidence trois initiatives qui utilisent la BI pour créer des « entreprises intelligentes» :
- Concentrer les efforts décisionnels pour fournir la bonne information aux bonnes personnes. Développer des pratiques en BI permettant de relier horizontalement des partenaires extérieurs et des clients. Pour maintenir la stratégie sur la bonne voie, la BI doit répondre à tous les niveaux organisationnels de l'entreprise : du personnel à la direction.
- Changer les mentalités pour apporter plus de réponses aux bonnes questions. Améliorer l'impact des « décisions importantes ». Une attention constante sur un ensemble très limité de questions sur les affaires en cours permet de mieux guider les utilisateurs vers les décisions qui ont un impact maximal sur la stratégie et les objectifs commerciaux.
- Créer des équipes de projet en fonction des informations nécessaires. La constitution des équipes ne repose pas seulement sur les personnes qui sont à l'origine des données, mais aussi sur les intérêts du département où les informations ont été générées. Il est nécessaire de briser les silos de propriété des données pour favoriser la circulation de l'information de haut en bas. Cela créera des décisions possédant «plus d'impact». Les décisions avec le plus d'impact n'existeront jamais dans l'isolement, précise le Gartner.
Citrix veut acquérir Netviewer
La branche service en ligne de Citrix vient de contracter avec Netviewer pour discuter de son acquisition. Cette société européenne qui dispose de présence en France, Royaume-Uni, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Italie et en Espagne, etc. propose des outils en mode SaaS de collaboration en ligne, mais aussi de webconférence. A la fin de la procédure, les différents produits feront partie de la gamme de Citrix Online. Soumise aux conditions de clôture d'usage, la transaction devrait être finalisée au début de l'année 2011. Aucun montant n'a été par contre dévoilé.
(...)(17/12/2010 12:34:10)Afficher sous SharePoint les idées cartographiées avec MindManager
Mis à profit pour cartographier des idées, élaborer une stratégie ou planifier un projet, le logiciel MindManager peut être utilisé lors de réunions de travail ou à l'occasion de brainstorming (définition d'objectifs, succession des étapes avec éléments associés -notes, feuilles de calcul, liens hypertextes...). Par l'association visuelle des informations, l'outil sert aussi à faire avancer la réflexion et suggérer de nouvelles idées.
Cette solution de productivité est éditée par MindJet qui revendique à son sujet 1,5 million d'utilisateurs dans le monde. Pour étendre le nombre de personnes susceptibles de visualiser et d'interagir avec les cartes réalisées, l'éditeur vient d'annoncer le produit MindManager MapShare. Celui-ci s'adresse aux utilisateurs du logiciel collaboratif SharePoint (2007 ou 2010), de Microsoft. Il permet d'afficher les cartographies réalisées avec MindManager sans disposer de ce dernier sur son poste. Le stockage des cartes est centralisé sur le serveur SharePoint sans qu'il soit nécessaire de convertir les fichiers dans un autre format. La consultation se fait à partir d'un navigateur web. 
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Les utilisateurs à l'origine des cartographies MindManager (issues de présentations, de notes de réunions, etc.) peuvent ainsi les partager au sein d'équipes élargies qui accèdent dès lors aux contenus dynamiques, notes et liens hypertexte insérés. En complément du lecteur de cartes MapShare Viewer, l'offre comprend le composant WebPart Viewer à partir duquel l'administrateur de SharePoint intègre les fichiers sur le site. Les fonctions de workflow du logiciel de Microsoft pourront être utilisées pour valider et annoter les cartes.
MindManager MapShare est disponible en français, anglais et allemand. Il est vendu 4 000 euros HT par serveur pour la première année.
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