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(20/10/2010 12:47:56)

Office 365, Microsoft unifie ses services cloud

Difficile de s'y retrouver dans les offres en ligne de Microsoft, celles de collaborations ou de communications unifiées. L'éditeur, s'il dispose d'un catalogue riche de services, a décidé de combiner plusieurs de ses services autour d'une même marque plus fédératrice, Office 365. Cette dernière regroupe la version Online 2010 de SharePoint, d'Exchange et de Lync, ainsi qu'Office Web Apps. Par ailleurs « pour la première fois, nous incluons Office Professionnel Plus 2010 (qui comprend la messagerie électronique, vocale , un réseau social d'entreprise, conférence web, extranet, etc.) sur les postes clients par un abonnement mensuel » souligne Laure Goudiard DuMesnil, responsable produits Online Services chez Microsoft. Cette offensive est une réponse au développement des Google Apps et au lancement récent de LotusLive Note d'IBM.

Une offre à la carte selon la taille de l'entreprise


La distinction d'Office 365 est sa modularité en fonction du type d'entreprises ciblées. Ainsi, pour les TPE (de moins de 25 salariés) ou les professionnels, le service coûtera 5,25€ par utilisateur et par mois. Pour mémoire, l'accès à Google Apps en édition Entreprise coûte 50 dollars par an (soit 3,39 euros par utilisateur et par mois). Pour les entreprises de plus grande taille, Office 365 débute à partir de 1,75€ pour Exchange Online et 9€ pour la suite complète. Celles qui souhaitent intégrer Office Professionnel Plus 2010 débourseront 22,75 euros par utilisateur et par mois. A ces produits, il faut ajouter une version à destination de l'éducation, qui remplacera Live@edu, « elle sortira l'année prochaine, mais sans de date fixée pour l'instant » précise la responsable produits. De même, l'ajout de Dynamic CRM Online est prévu en 2011.

Avant d'être officiellement lancé au premier trimestre 2011, Office 365 est disponible en version bêta dans plus de 13 pays dont la France. A la question de savoir s'il y a une limitation pour l'accès à cette version de test, Guillaume Tourres, responsable média souligne « cela devrait concerner plusieurs milliers de clients » sans en préciser le nombre exact et d'ajouter « sur l'offre Dynamics CRM Online, nous avions été obligé de limiter les accès pour prendre en compte les capacités de nos datacenters ».

L'éditeur va aussi s'appuyer sur son réseau de partenaires, comme les opérateurs télécoms ou les revendeurs de solutions cloud, pour déployer Office 365. Guillaume Tourres rappelle qu'aujourd'hui un million de postes sont hébergés dans le cloud.

(...)

(20/10/2010 12:03:14)

Une étude du CXP recense le patrimoine applicatif des entreprises

La  gestion du patrimoine applicatif (GPA) est une question ancienne mais qui revient au goût du jour. « Nos clients insistent sur le sujet dans l'optique d'une optimisation des coûts et d'une meilleure connaissance de ce patrimoine applicatif » nous explique Laetitia Bardoul, auteure de l'étude du CXP sur ce sujet.  Au fil des années, la connaissance de ce patrimoine est devenue complexe et floue pour une entreprise. Les langages utilisés deviennent de plus en plus hétérogènes, les documentations se perdent ou ne sont plus à jour, les compétences en interne changent, certains développements sont réalisées en externe,  bref, l'entreprise perd les différentes ressources nécessaires. Pourtant, les applications métiers sont devenues indispensables dans tous les services d'une  entreprise.

Pour une DSI, le gain serait pourtant appréciable si elle procédait  à une meilleure gestion de son patrimoine applicatif. Elle pourrait connaître le coût réel d'une application, aurait la possibilité de la faire évoluer, de donner une meilleure maîtrise de ses budgets et de son action. Pour l'entreprise, ce serait un meilleur suivi de l'investissement et un meilleur contrôle de la qualité. 

La mise en place d'un suivi de la GPA n'est pourtant pas évidente. Les tableaux de bord sont différents suivant le niveau où ils se situent, celui de la DSI ou ceux des responsables applicatifs ou des contrôleurs qualité. Mais la pression financière est de plus en plus forte sur les DSI.  Et le mouvement devrait s'accélérer. Une nouvelle norme, CISQ (Consortium of IT Software Qualité) va définir de nouveaux standards de qualité logicielle en 2011. Elle remplacera peu à peu la norme ISO 91-26 qui donnait déjà une liste d'indicateurs, mais s'avérait insuffisante.

Une dizaine de grands éditeurs présents

Pour les éditeurs spécialisés et leurs intégrateurs, la perspective est intéressante« C'est encore un marché en voie de développement, avec une dizaine de grands acteurs » note Laetitia Bardoul (*). Des solutions nouvelles apparaissent en Open Source. Le marché n'est pas figé. Une certaine recomposition s'est opérée, avec le rachat l'an passé par MicroFocus de la société Borland et des outils de tests de Compuware.

Dans son étude, le CXP revient sur la notion même de Gestion du patrimoine applicatif. Il cartographie ensuite les différentes solutions présentes. Elles appartiennent à trois mondes différents : le décisionnel (modélisation d'applications, gestion de portefeuille applicatifs, BI), l'analyse applicative (inventaire et cartographie, analyse de la performance et du code, analyse de la qualité applicative, gestion des actifs), la gestion opérationnelle applicative (modernisation applicative, gestion des développements applicatifs, gestion des environnements de développement).

(*) L'étude cite : ASG, Cast, McCabe, Metrixware, MicroFocus, IBM, Speedware, Checkstyle, Metaware, PMD, Polyspace, Planview, Serena.

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(19/10/2010 12:33:19)

SuccessFactors ajoute un outil de calcul RH au cloud

SuccessFactors, le spécialiste des solutions RH on demand, a annoncé la disponibilité d'un outil de calcul au sein des services cloud qui permet aux utilisateurs de comparer des contenus d'analyse provenant de différentes sources, avec les données générées par sa suite logicielle dédiée aux ressources humaines et par d'autres applications SaaS (software as a service). Cette fonction est devenue possible depuis l'acquisition, tout juste révélée, du vendeur danois YouCalc spécialisé en business intelligence. L'achat, dont les termes n'ont pas été rendus public, est le dernier en date effectué par SuccessFactors et fait suite aux acquisitions d'Informer et de CubeTree.

La suite Business Execution Software de SuccessFactors contient déjà un riche éventail de modules couvrant des domaines aussi larges que la gestion des rémunérations, la formation des employés, la gestion des objectifs ou la planification des effectifs. Le nouveau service Calculator permettra aux utilisateurs d'effectuer des analyses de leur activité en temps réel, y compris de simuler des scénarios en combinant différents paramètres, et estimer par exemple le taux de satisfaction des employés en fonction de l'évolution du carnet de commandes de la part de clients potentiels.

Connexion à des bases de données SQL

La technologie YouCalc travaille en mémoire et sait extraire des données en temps réel à partir d'autres systèmes, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire pour les clients de stocker ces données dans un espace particulier. Selon SuccessFactors, qui a déjà construit un certain nombre d'applications analytiques spécialisées pour Salesforce.com, Google Apps, SugarCRM et d'autres systèmes, ces outils sont faciles à utiliser et ne nécessitent pas de mobiliser du personnel informatique. YouCalc peut également se connecter à des bases de données SQL, des serveurs Web, des sites FTP et des services Web via SOAP (Simple Object Access Protocol) et REST (Representational State Transfer).

Pour Ray Wang, analyste chez Altimeter Group, YouCalc est «un outil astucieux pour effectuer l'analyse et la BI au sein du Cloud » et représente «une amélioration notable de la solution proposée par SuccessFactors, en particulier en matière de planification de scénarios et d'outils de prévision. »  « SuccessFactors aurait également pu se tourner vers d'autres vendeurs de solutions de BI en SaaS, comme PivotLink, Birst ou GoodData, » estime-t-il. « La compétition entre vendeurs de solutions de gestion du capital humain (HCM) va sans doute continuer à susciter des partenariats avec ce type d'entreprises, mais leur valeur restera attractive, » a ajouté Ray Wang. « De fait, de nombreux petits acteurs HCM (Human Capital Management) ne disposent pas des ressources financières nécessaires pour réaliser des acquisitions comparables à celle de YouCalc, mais les plus grands comme Taleo et Ultimate Software pourraient emboîter le pas, » a-t-il déclaré. « Aussi, SuccessFactors et Taleo sont elles-mêmes des cibles pour des acheteurs potentiels, » a-t-il ajouté.

Les outils Calculator de SuccessFactors ne sont toutefois pas immédiatement disponibles. Une première version limitée est prévue pour le début de l'année prochaine.

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(19/10/2010 11:59:56)

Ray Ozzie, évangéliste du cloud, quitte Microsoft

L'architecte logiciel en chef de Microsoft, Ray Ozzie, quitte le navire en faisant valoir ses droits à la retraite. Nous n'avons pas de plans pour le remplacer a simplement indiqué le PDG de l'éditeur de Remond, Steve Ballmer, qui a écrit une note aux employés de la société, également publié sur le site Internet maison. Steve Ballmer est resté vague sur la date exacte de départ de Ray Ozzie. Il va rester « un certain temps », pour assurer la transition entre les équipes et les projets en cours explique le PDG de Microsoft. « Pendant cette évolution et avant qu'il se retire, il se concentrera ses efforts dans le domaine plus large du divertissement où Microsoft a de nombreux investissements en cours, at-il dit.

L'éditeur n'a pas l'intention de le remplacer. « Le rôle de l'ASC [Chief Software Architect] était unique et je ne vais pas remplir ce rôle après le départ de Ozzie Ray » précise Steve Ballmer et d'ajouter « il a joué un rôle crucial dans la bascule vers le cloud et nous a correctement positionné pour le succès futur ». Le dirigeant  rappelle la note « Internet Services Disruption » écrite il y a 5 ans et qui « a stimulé la réflexion de la société et a aidé à catalyser nos efforts sur le cloud. » Dans cette note, Ray Ozzie a déclaré que Microsoft avait besoin d'orienter son activité vers un nouveau modèle de services financés par la publicité et les logiciels. « Ce modèle a le potentiel pour avoir un impact fondamental sur la manière dont nous et les autres développeurs fabriquons, livrons et monétisons des innovations ». Azure, la Plateform as a Service (PaaS) de Microsoft, est l'exemple de ce type de produits prôné par Ray Ozzie. Cette orientation s'est ensuite étendue à des versions hébergées de produits tels que SharePoint, Exchange et Office Communications.

Une réorganisation fatale

Mais peu après le lancement d'Azure, la société s'est réorganisée et les destinées de la plate-forme sont passées sous la direction de Bob Muglia, qui s'occupait de l'activité Server et and Tools Business. À l'époque, certaines personnes se demandaient quel serait le rôle de Ray Ozzie dans l'entreprise une fois Azure hors de son contrôle. Il a rejoint Microsoft en 2005 comme agent technique en chef lorsque le géant du logiciel a acquis sa compagnie, Groove Networks. Il était surtout connu à l'époque pour être l'un des créateurs de Lotus Notes. Il a été une grande force de Microsoft, car il était un des représentants de l'époque des spécialistes en informatique, qui ont grandi avec les premiers ordinateurs. Lorsque Bill Gates a démissionné, Ray Ozzie a été logiquement pressenti pour le remplacer comme architecte logiciel en chef.

L'ASC a une fois estimé qu'il avait accumulé 10 000 heures derrière un ordinateur depuis sa deuxième année au collège. Il est né la même année que Gates et ils avaient tous deux connus leurs premières expériences avec l'informatique en utilisant des ordinateurs GE sous Time Sharing.

 

Crédit Photo : D.R

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(15/10/2010 11:10:01)

Les différents canaux et bases de données manquent d'intégration selon Markess

En France, le marché de la relation client est estimé par Markess à 1,69 milliard d'euros pour 2010, il devrait passer à 1,87 en 2012. La croissance annuelle moyenne  se monte à  5,2%. Derrière ces chiffres bruts, le cabinet d'études relève plusieurs tendances. Et d'abord un rééquilibrage entre les différents canaux.
Jusqu'à maintenant, le téléphone est le canal dominant, avec 30% d'entreprises interrogées qui l'utilisent dans leur relation client, suivi du contact « traditionnel » (fax, courrier, face-à-face au guichet), pour 24%, du mail pour 22%, du web (17%), du téléphone mobile (7%). Même si ce dernier sert à envoyer ou recevoir des mails, ou à consulter le web, il est considéré comme un canal à part entière.

Suivre le client sur tous les canaux

En 2012, dans seulement deux ans, ces chiffres se seront modifiés, le téléphone passera à 23% (- 7 points), le « traditionnel » baisse également à 19% (-5 points), le mail progressant légèrement  de 22 à 24, le web de 17 à 24, le mobile de 7 à 10. Bref, les quatre premiers se retrouvent aux alentours de 20%, sans différence accentuée entre eux.  Le multi-canal a rééquilibré les parts respectives de ses différents canaux. Conclusion : l'entreprise doit savoir tout faire, utiliser tous les canaux, en évitant d'orienter son client sur l'un ou l'autre.

Ce client affiche un comportement particulier. L'étude scrute son parcours : le téléphone est encore dominant dans la prise de contact (41% des cas), et surtout dans la réclamation (57%). En phase d'achat, ce canal tombe à 20%. Dans ce cas, c'est le face-à-face qui l'emporte avec  42% des réponses. Les secteurs d'activité procèdent également différemment. La distribution (au sens large) et le secteur public sont les plus novateurs. La banque et l'assurance restant cantonnés à des modes plus traditionnels de contact. Les fournisseurs de solutions informatiques dans ce domaine se trouvent donc face à des secteurs nettement plus matures que d'autres.

Des canaux faiblement ou très faiblement intégrés entre eux

Après la pratique des différents canaux, côté entreprise ou côté clients, l'étude de Markess analyse leur  niveau d'intégration. Les canaux sont faiblement (34% des réponses) ou très faiblement intégrés (26% des réponses) entre eux. 10% seulement des responsables interrogés, les estiment bien intégrés.  Un tel taux de réponses négatives est frappant. Les entreprises présentent visiblement des manques en termes de gestion des données : de qualité de ces données, d'hétérogénéité des systèmes d'information, de fragmentation entre services, sans parler des questions juridiques. « Les entreprises ont beaucoup d'informations qu'elles utilisent très mal » confie un prestataire.

La question de la relation client est donc beaucoup plus complexe qu'auparavant. Si les solutions informatiques existent, l'accumulation de problèmes d'organisation chez les clients, freine leur développement. Plus que la gestion multi-canal, mise en avant ces dernières années, l'étude Markess met en valeur la gestion cross-canal, c'est-à-dire les possibilités de communication entre les différentes bases de données clients et les différents canaux et parle de « gestion des interactions clients cross-canaux ». Ce qui nécessite non seulement des logiciels de GRC mais de grandes capacités d'intégration, d'enrichissement de données, de partage au sein du système d'information ou d'automatisation du contrôle des données.

(*)Etude menée auprès de  128 responsables en entreprises ou dans le secteur public et de 50 responsables chez les prestataires.

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(14/10/2010 17:30:57)

Microsoft fixe un tarif accrocheur pour son CRM Online

Face à un concurrent comme Salesforce.com, qui s'est forgé une incontestable notoriété sur les offres de CRM en ligne, Microsoft dégaine la carte du tarif promotionnel pour attirer l'attention sur sa propre solution dans le cloud, Dynamics CRM Online. Hébergée par Microsoft lui-même et déjà accessible depuis deux ans aux Etats-Unis, cette solution est actuellement en version bêta sur 40 autres pays dont la France. Elle sera disponible au cours du premier trimestre de l'année prochaine dans sa version commerciale basée sur Dynamics CRM 2011.

A son lancement, il sera donc possible de souscrire un contrat de service de douze mois pour exploiter ce logiciel de gestion de la relation client au prix de 31 euros par mois et par utilisateur (34 dollars aux Etats-Unis), soit une réduction de 25% par rapport au prix normal (44 dollars). Cela représente la moitié du prix demandé par Salesforce.com pour la « Professional Edition » de son offre, tarifée 65 dollars. Pour bénéficier de ce tarif pendant un an, il faudra souscrire son abonnement avant le 30 juin 2011 inclus. Au-delà de cette date, Microsoft appliquera le tarif normal.

Vif succès pour le programme bêta

Cette annonce a été faite ce matin à Twickenham par Kirill Tatarinov, vice-président de la division Business de Microsoft, à l'occasion de la première d'une série européenne de trois conférences utilisateurs « Convergence » consacrées aux logiciels de gestion Dynamics. Les deux autres conférences auront lieu à Prague (18-19 octobre) et La Haye (20-21 octobre).

Depuis son ouverture, le programme bêta de Dynamics CRM Online a rencontré un vif succès qui a amené Microsoft à étendre ses capacités d'accueil pour pouvoir répondre à cette demande, a indiqué ce matin Benoît de la Tour, vice-président de Microsoft Business Solutions pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique. Avant de rejoindre Microsoft cet été, Benoît de la Tour a occupé des fonctions équivalentes chez l'éditeur Infor. Il a acquis une expérience de dix-sept ans au sein d'entreprises éditant des logiciels applicatifs.

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(14/10/2010 17:03:58)

Lefebvre Software se dote d'un monsieur cloud et SaaS

Christophe Richer devient directeur des activités « Saas et cloud » de l'éditeur Lefebvre Software. Depuis plusieurs mois, cet acteur du marché développe une stratégie  Saas. Le diriegant ne sera pas tout à fait en terre inconnue. Il vient d'Ares, où il occupait le poste de directeur des opérations. Or, Lefebvre Software vient de reprendre l'offre Arcole d'Ares.

Christophe Richer, 37 ans, avait débuté chez R2i Santé, puis créé un logiciel pour l'analyse des dialyses, avant de rejoindre Ares en 2000. (...)

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