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Recrutement

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(25/05/2007 16:59:40)

Un bon cru 2006 pour l'emploi et les salaires des jeunes diplômés

La livraison 2007 de l'étude annuelle sur l'insertion des jeunes diplômés publiée par la conférence des grandes écoles (CGE) ne fait que confirmer le retour actif des chargés de recrutement sur les campus. Parmi les promos 2006 des écoles d'ingénieurs et de gestion, 85% des diplômés ont trouvé employeur dans un délai de quatre mois (contre 80% pour la précédente promo), dont 82% dans les deux mois (76% l'an dernier), c'est-à-dire juste après s'être accordé un mois de vacances avec le diplôme en poche. Pour 79% d'entre eux, il s'agit d'un contrat à durée indéterminé. Le CNE a encore moins de prise que l'an dernier: 1,3% contre 2% lors de l'enquête 2006. La moyenne des salaires d'embauche est également en progression de plus de trois points: 31 910 euros cette année, contre 30 900 euros l'an dernier. Des résultats plus détaillés de l'étude feront l'objet d'une présentation à la presse le 12 juin. Un rapide tour des plans d'embauche de sociétés du secteur informatique montre que cette priorité accordée à l'accueil de sang neuf n'est pas l'apanage des seules grandes SSII. Par centaines, Accenture, Astek, EDS, Sodifrance, Micropole-Univers, Net2S, SCC, Resadia, Solucom, Teamlog... regarnissent leurs rangs de jeunes recrues. Il y a aussi les petits contingents : Mega, Netfective, Advyso, Smile, Ooodrive, Soltim-Proval, Seriacom, JNC Diffusion qui visent quelques dizaines de recrues en renfort. Retour en régions Pour assurer cette relance (du business et de l'embauche), la tendance est au retour en régions. Avec des campagnes orchestrées au niveau national comme l'opération portes ouvertes de Teamlog qui s'est tenue cette semaine simultanément à Lannion, Lyon, Grenoble, Rennes, Nantes et à Paris. Ou carrément ciblée sur une localisation, comme JNC Diffusion qui promeut les solutions et services de sécurisation des données sur un axe Bordeaux-Toulouse-Montpellier-Marseille. Des campagnes ponctuées de rendez-vous marquants comme la « garden party » organisée ce vendredi 25 mai par Solucom en quête de 250 jeunes recrues, ou le marathon de blog emploi vidéo organisé par Adecco Ingénierie (le 11 mai) parallèlement au marathon Shell Eco (compétition entre véhicules qui consomment le moins possible), ou plus classique, l'inauguration d'agences promises à un fort développement dans l'année, comme l'ont fait récemment Smile à Lyon, SCC ou Niji à Lille, Umanis avec l'ouverture d'un centre de services à Tours (une neuvième localisation pour cette société qui compte 800 personnes). Des relations écoles-entreprises re-dynamisées Les salons et forums refont le plein, d'employeurs et de jeunes candidats, y compris pour les doctorants comme en témoigne l'opération Déclic (Doctorants-Entreprises, Combinons les initiatives de chacun) de ce jeudi 24 mai à Sophia Antipolis (organisé par l'ADSTIC et l'ADSFA, deux associations de thésards en informatique et en sciences fondamentales et appliquées). Et en amont, les relations écoles-entreprises retrouvent du peps. Certaines écoles en profitent pour conforter des dispositifs qui commencent à faire leurs preuves en matière de facilitation de l'insertion, comme le livret numérique de l'étudiant (IAE de Caen) au travers duquel le futur diplômé affine son itinéraire d'étudiant et son projet professionnel. Ainsi pour la deuxième rencontres R2E organisée du 30 mai au 1er juin à Maffliers (Val d'Oise), une cinquantaine d'écoles (15 écoles d'ingénieurs, 35 écoles de commerce) et six universités délèguent leurs chargés de relations entreprises et responsables de services carrières pour débattre avec leurs correspondants dans le monde professionnel. Au programme de ces journées concoctées par Keljob et Hobsons, les aménagements de l'offre de stages, un focus sur les partenariats exemplaires, l'aide apportée aux étudiants pour le choix de l'employeur, les actions menées à l'encontre de la discrimination à l'embauche, le financement de ces initiatives. (...)

(24/05/2007 16:35:25)

Plus de 20% des offres d'emploi sur le Web sont destinées à des informaticiens

« Historiquement, les informaticiens sont les premiers à avoir trouvé des emplois par le biais d'Internet car ils sont connectés toute la journée. Depuis 7 ans, Option Carrière a travaillé à augmenter les référencements et à cette heure, ce sont donc 643 711 offres « monde » dans le domaine « ingénieurs et techniciens » et 843 487 offres dans celui de l'informatique et des télécoms qui sont proposées aux internautes, sur 7 millions d'offres en ligne », indique Jean-Benoît Andrieu, DG d'Optioncarriere.com. Un moteur de recherche permettant de voir plus de 30 000 offres en informatique en France Ces chiffres permettent à la fois de se renseigner sur la concurrence et sur les profils demandés dans les différents pays. De plus, ils montrent l'importance des annonces en Europe dans le secteur informatique, car il y a presque un million d'offres (509 137 « informatique et télécoms » et 404 093 « ingénieurs et techniciens ») contre 1,5 million dans le monde. La part des pays de l'Est (intégrés à l'UE) est importante : 11 397 offres d'emploi en informatique et télécoms en Pologne, contre 12 974 en France et 7 752 en Allemagne. L'Irlande, de son côté, reste un Eldorado avec 15 168 références en informatique et télécoms, 19 135 en « ingénieurs et techniciens ». La France tire son épingle du jeu avec tout de même 17 606 offres (contre 4 447 seulement en Allemagne, soit quatre fois moins) qui semblent confirmer, une fois encore, la bonne santé du secteur. « Nous constatons une augmentation depuis 18 mois environ », souligne Jean-Benoît Adrieur. Le site optioncarriere.com indique encore 11 658 offres en « ingénieurs et techniciens » et 15 735 en « informatique et télécoms » sur l'ensemble de l'Asie, soit des chiffres comparables à ceux de la France. Ce qui ne veut pas dire que le fantasme asiatique de l'off-shore n'existe pas, mais peut-être que les offres d'emploi passent moins qu'en Occident par le canal Internet. Enfin, l'un des grands vainqueurs des propositions d'emploi par Internet dans le secteur informatique est l'Amérique du Nord : 260 740 offres « informatique et télécoms » (dont 227 513 aux USA) et 138 026 « ingénieurs et techniciens » (dont 115 577 aux USA). Une piste à envisager pour ceux qui voudraient une expérience à l'étranger ou qui ne trouveraient pas leur bonheur en France ou en Europe. En savoir plus Optioncarriere (...)

(23/05/2007 16:50:23)

Emploi : l'optimisme l'emporte pour trois informaticiens sur quatre

Sans surprise, comme en 1999-2000, dans le petit monde des SSII, le turnover des informaticiens tutoie de nouveau les 20%. Plus étonnant, alors que la mémoire du précédent cycle de relance puis de crise est encore fraîche, pour trois informaticiens sur quatre, l'optimisme est de mise, non seulement pour cette année, mais au moins pour les cinq années à venir. Telle est l'ambiance, somme toute réconfortante, qui émane du sondage réalisé en ligne en avril-mai par la société Novatris pour le compte de l'organisateur de salons les jeudis.com. Un constat teinté néanmoins d'une certaine lucidité. Car si 74% des professionnels interrogés, Paris-Province et tous âges confondus, considèrent cette année 2007 comme particulièrement favorable pour l'emploi et propice à la mobilité, ce sont évidemment les plus jeunes (88% de la tranche d'âge 20-30 ans) et les plus qualifiés (80% des bac+4/+5) qui se montrent les plus confiants. Parmi les bac+2/+3, le taux d'optimistes est de 60%. De même, pour les cinq années à venir, parmi les quadragénaires, c'est 50/50 : le camp des sceptiques est aussi fourni que celui des optimistes. 70% prêts à bouger Mais pour l'instant, l'heure est à la mobilité retrouvée. Selon ce sondage sollicitant des professionnels actuellement en poste, dans 70% des cas, ceux-ci se déclarent être en veille ou en recherche active d'emploi. « Et ce, sur un marché porteur, où les professionnels du service informatique, notamment, visent une croissance équivalente à trois fois celle du PIB. Rien d'étonnant à ce que les plans d'embauche des SSII, regonflés par le turnover et la relance économique, soient les premiers à être repartis en flèche depuis deux ans », constate Cédric Barbier, directeur associé des jeudis.com. Signe, selon lui et selon le sondage d'opinion, que les mentalités changent légèrement, à la question concernant les motivations mises en avant pour changer d'employeur, trois-quarts des personnes interrogées indiquent en premier l'intérêt du poste. Le salaire vient en second (pour 70%) et les conditions de travail ou la localisation du poste bien après (environ 40%). « Les beaux projets, auxquels on se donne à plein, le travail bien fait, cela reste encore et toujours la marotte des informaticiens », constate Cédric Barbier. Avec, là encore, une pointe de lucidité dans toutes les tranches d'âge : la prise en compte du fait que les informaticiens (et leurs compétences) vieillissent plus vite que d'autres catégories de cadres techniques. Au titre de frein à l'évolution de carrière, voire à la mobilité, 54% des professionnels interrogés citent en premier l'âge. Et pour 88% des quadragénaires, c'est déjà une réalité. Le manque de formation continue est le deuxième frein mentionné (pour 47% de l'échantillon), à peine plus marquant que le fait d'avoir un profil trop spécialisé (46%) ou un niveau de diplôme insuffisant (46%). (...)

(23/05/2007 16:01:35)

Accenture recrute sur Second Life

Après les rendez-vous d'embauche festifs, dans les bistrots ou sur les stades, ou les rencontres furtives du «speed dating », Accenture est la première société high tech à tester les entretiens d'embauche virtuels sur Second Life. Du 18 au 22 juin, les avatars d'une dizaine de managers de la filiale française de la société de services informatique accueilleront sur rendez-vous les avatars des candidats dûment inscrits pour des entretiens individuels d'une vingtaine de minutes en moyenne. L'état-major d'Accenture France se fait fort de se lancer dans cette opération pilote pour l'Europe sur la foi du deuxième rang occupé par les Français en termes de présence active sur Second Life (104 000 participants). Les 200 postes ouverts à cette campagne d'embauche sont ceux, parmi les 850 recrutements prévus dans les trois mois à venir, destinés à des profils expérimentés du conseil en technologie: consultants SAP, techniques et fonctionnels, consultants en architecture orienté services (SOA) ou en solutions d'architecture customisée, ingénieurs d'études en informatique décisionnelle ou en intégration d'applications (EAI) ou spécialistes Java/J2EE. La démarche pour les candidats potentiels consiste à s'inscrire gratuitement sur un site ouvert pour la circonstance: accenture-secondlife.com. Une vidéo de démonstration y sert actuellement de guide. Une fois validée, l'inscription donne lieu à un mail de confirmation du rendez-vous, avec un lien à utiliser à l'heure dite. Cette première prise de contact pourra donner lieu à un autre rendez-vous bien réel cette fois comme dans le contexte classique d'une procédure de recrutement. (...)

(22/05/2007 18:14:51)

Lyon, capitale de l'emploi en avril

Monster organise des rencontres à Lyon entre le 29 mai et le 2 juin, en vue d'accompagner les entreprises de la région, dans leur dynamique croissante de recrutement. La raison de cette réactivité est simple : selon l'indice Monster de l'emploi, un fort accroissement des offres a été constaté au premier trimestre 2007 dans la région Rhône-Alpes. Sur les derniers mois, elle a dépassé le nombre de recrutements en Ile-de-France, en particulier dans le domaine de l'ingénierie. Cette hausse a été la plus forte en avril 2007, mais confirme une tendance : sur les douze derniers mois de l'année, l'index Monster de cette région ressort en hausse de 15 points. Dans le cadre de ce « roadshow pour l'emploi à Lyon », une flotte de voitures aux couleurs de Monster, sillonnera les lieux de forte affluence de la ville, tels que les places des Terreaux, des Cordeliers, Bellecour, Jules Ferry ou encore la Gare SNCF. « C'est la première fois qu'une opération d'une telle envergure est menée », indique Olivier Cailleaux, responsable Monster sur le Sud et la région Rhône-Alpes. Des brochures seront distribuées afin que les personnes intéressées puissent dynamiser leur recherche d'emploi sur Internet en Rhône-Alpes et se rendre visible par les recruteurs locaux sur Monster et sur Internet. « L'objectif est d'aller à la rencontre des Lyonnais et des candidats des autres régions, qui voudraient découvrir un bassin d'emploi très dynamique. Nous souhaitons les sensibiliser aux nouvelles opportunités professionnelles en Rhône-Alpes, accessibles sur Internet et liées au fort développement économique local. Dans l'informatique par exemple, de grosses SSII parisiennes ont leur filiale bien implantée dans notre région. Et la dynamique est porteuse puisque des rachats sont faits en ce moment et drainent des opportunités d'emploi. » Avec l'aide de Monster, les Lyonnais continueront-ils sur leur excellente lancée d'offres d'emploi en devenant la capitale des Gaules au second trimestre 2007 ? (...)

(21/05/2007 18:03:52)

60% des entreprises IT risquent d'être mises à mal par la chasse aux talents

Trop peu d'entreprises du secteur TIC ont dores et déjà pris la mesure du défi que représentent le changement des comportements au travail et l'embauche de la nouvelle génération de cadres correspondant à ce changement. Selon l'analyse du Gartner, présentée au symposium de Barcelone (du 20 au 23 mai), six employeurs sur dix du secteur informatique et télécoms s'exposent à de sérieuses déconvenues et au risque de contre-performance économique dans les cinq à dix ans à venir, du fait de s'être mal préparé à la chasse aux talents. Car celle-ci relève de concepts émergents trop peu pris en compte jusqu'à présent dans les politiques de recrutement. A commencer par le fait que, d'ici à 2015, cette génération montante de salariés passera 80% de son temps de travail dans des processus de collaboration, souvent mondialisés, mettant en action des équipes virtuelles réparties sur divers continents. Parallèlement, les cadres de ces équipes seront amenés à «capitaliser» les apports de modalités de travail de plus en plus individualisées avec, notamment, les possibilités de télétravail et les nouvelles pratiques de socialisation passant par les blogs et autres réseaux sociaux. Comme le souligne Diane Morello, analyste et vice-présidente du Gartner, les entreprises sont tenues d'adapter leur démarche de communication et de marketing sur un marché de l'emploi marqué par six tendances fortes : 1)l'importance - pour les salariés - de la référence à leurs pairs (marketing viral) ; 2)la chasse aux talents qui se mondialise ; 3)la diversité des modalités d'emploi possibles ; 4)l'individualisation de l'approche des éventuels candidats à l'embauche; 5)la mobilité croissante des talents; 6)le fait qu'entre entreprises leaders et outsiders, l'écart se creuse aussi, et surtout, sur le plan de l'embauche de cadres aptes à soutenir les mutations en cours. (...)

(18/05/2007 13:34:12)

L'alternance, une piste pour les travailleurs handicapés

L'Agefiph (Fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées) a beau multiplier les démarches, les personnes handicapées souffrent toujours d'ostracisme lorsqu'elles sont en recherche d'emploi. Certes, les employeurs sont probablement plus sensibilisés qu'autrefois à cette forme de discrimination. Pourtant, à l'instar de François Samson, DRH d'Asterion France (spécialisé dans la gestion de la chaîne de traitement du document d'entreprise), une démarche volontariste suffirait à développer l'emploi des personnes handicapées. « Nous employons 13 collaborateurs reconnus handicapés sur nos sites de Caen, Carquefou, Fontenay-sous-Bois, Lyon et Saint-Denis. Ils occupent des postes compatibles avec leur handicap : des activités de numérisation, de mise sous pli manuelle, d'édition ou d'informatique. Nous avons également régulièrement des stagiaires car Asterion a signé des accords avec des associations et des sociétés d'intérim pour favoriser leur présentation dans notre société. » Seul « hic » relatif : les salariés reconnus Cotorep ne le mentionnent pas forcément dans leur CV. « Lorsqu'ils déposent leur candidature chez nous, ils ne doivent pas hésiter à le dire, car nous voulons vraiment intégrer des nouveaux collaborateurs sur tous nos métiers », insiste le DRH d'Asterion. L'alternance comme tremplin pour l'emploi Les exemples comme celui d'Asterion sont malheureusement encore trop rares, même si les chiffres plaident plutôt en faveur d'une prise de conscience se traduisant sur le terrain : selon l'Agefiph, les entreprises recrutaient 7 000 personnes handicapées par an en 1987, contre près de 110 000 en 2005. Ce flux entrant est cependant compensé par les 100 000 départs de salariés handicapés qui, chaque année, quittent leur emploi (majoritairement pour cause de départ à la retraite). Une solution : l'alternance, qui permet à la fois d'acquérir des connaissances théoriques et une expérience pratique en entreprise. L'Agefiph croit beaucoup à ce modèle qui permet au salarié de s'implanter en douceur au sein d'une structure, en dépassant les craintes d'un recruteur qui ne possède pas forcément la même démarche éthique qu'Asterion. Et le message semble passer : dix grandes entreprises dont Air France, Areva, IBM ou Thales proposent des contrats en alternance à des candidats handicapés. Et pour convaincre davantage employeurs et futurs collaborateurs, l'Agefiph lance des nouvelles newsletters : pro (état des lieux des dernières mesures et avancées en matière d'emploi), pour les entreprises et pour les personnes handicapées. Sur le même sujet Handimanagement : des futurs managers sensibilisés à la question de l'emploi des personnes handicapées Deux sites pour faciliter l'emploi des personnes handicapées (...)

(18/05/2007 13:33:09)

Teamlog se met au diapason de la décentralisation

Il aura fallu quelques années d'intenses efforts en matière de décentralisation, mais le monde informatique parvient peu à peu à rattraper le retard des régions sur Paris. Dernier exemple : Teamlog (société spécialisée dans le conseil, l'intégration de systèmes et l'infogérance) a annoncé le recrutement de 750 collaborateurs cette année. Elle organise la semaine prochaine des « journées portes ouvertes » dans six villes de France (Grenoble, Lannion, Lyon, Nantes, Paris et Rennes). Lors de cette rencontre, les candidats auront la possibilité d'assister à des conférences (l'informatique et les marchés financiers, la monétique, les nouvelles perspectives pour la sécurité des systèmes d'information, l'Open Source, le métier de consultant) ou à des ateliers plus techniques (la mobilité, l'architecture n-tiers, le SI portail, la 3D, la TV 2.0...). En outre, ils pourront découvrir des démonstrations de projets en cours ou rencontrer des managers. Cette rencontre directe avec une entreprise en phase de recrutement est une initiative intéressante, qui permet de multiplier les pistes d'embauche avant l'été. Elle permet également de mettre en relief sa candidature dans des régions où l'emploi informatique est parfois plus rare qu'en région parisienne. Enfin, en cherchant à rendre moins anonyme les CV et en proposant des horaires adaptés aux personnes en poste (rencontres organisées en début de soirée), Teamlog propose une approche du recrutement qui devrait être examinée par ceux qui peinent à trouver la perle rare. Sur le même sujet - Ouverture des inscriptions pour participer au 15ème salon des ingénieurs - Recrutements de cadres : excellentes prévisions dans l'ouest et en Midi-Pyrénées (...)

(16/05/2007 17:22:39)

Galileo recadré : 150 000 emplois de haute technicité en question

Galileo pourrait-il être un nouveau Concorde ou un remake des derniers déboires d'Airbus ? Sans que les choses soient annoncées de manière aussi explicite, la décision du Commissaire européen aux transports, Jacques Barrot, de taper du poing sur la table pour tenter de recadrer les différents partenaires de l'aventure Galileo montre surtout la grande inquiétude face à un système qui fait preuve d'une immense ambition technologique... à la mesure de son incroyable capacité à se saborder, en étant incapable de respecter un cahier des charges pourtant connu depuis plusieurs années. La promesse des 10 000 à 15 000 emplois prévus sur la région toulousaine sera-t-elle tenue ? « Galileo, qu'est-ce que c'est ? C'est un projet de l'ampleur d'Airbus ou de l'ampleur d'Ariane. C'est-à-dire que c'est un vrai grand projet européen (...), un moyen de mobiliser l'ensemble des forces des pays européens sur un véritable projet industriel et un projet qui apportera des services à nos populations. Il s'agit de mettre en orbite 30 satellites qui permettront d'avoir, au niveau européen, un système de localisation indépendant de celui des Etats-Unis. Il s'agit de préparer une multitude de retombées en termes industriels et en termes de services aux entreprises et à la population. C'est donc un enjeu considérable », avait déclaré le ministre français des Transports, Dominique Perben, le 6 décembre 2005 à l'Assemblée nationale. Une centaine d'emplois était prévue dans un premier temps sur le site toulousain ; ils devaient drainer des PME ayant misé sur la navigation par satellite. En outre, 150 000 emplois sur 20 ans, dont 10 000 à 15 000 pour la seule région toulousaine, avaient été évoqués à Bruxelles. C'était alors une excellente nouvelle pour la Ville Rose qui l'avait emporté face à Munich, Rome et Barcelone pour accueillir le siège du concessionnaire de Galileo. Mais dix-huit mois plus tard, cette référence à Airbus et l'inquiétude manifeste de Jacques Barrot posent plusieurs questions : ce « nouveau départ » pour Galileo n'est-il pas trop tardif ? N'y a-t-il pas un risque de dérive financière ? Combien d'emplois seront réellement créés ? Et à quelle échéance ? Car si Jacques Barrot devait proposer aujourd'hui de faire appel aux fonds publics pour financer 4, 18 ou 30 satellites (cette dernière option, préconisée par le Commissaire européen, concerne la totalité de l'infrastructure Galileo), entraînant une incontestable augmentation des investissements dans le projet, la concurrence, non seulement avec le GPS mais également avec des projets russes et chinois aussi ambitieux que Galileo, s'est intensifiée depuis 2005. Aux décisionnaires de ne pas se tromper et ne pas transformer le rêve européen en cauchemar : Galileo compte aujourd'hui quatre ans de retard sur son programme. Sur le même sujet : - Galileo : vers un financement totalement public (...)

(16/05/2007 17:15:21)

Sopra Group et l'Esiee créent une « chaire d'entreprise » autour du génie logiciel

Sopra Group (conseils et services en technologies de l'information) vient de signer un accord avec l'Esiee (Ecole supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique) et l'ISTM (Institut supérieur de technologie et management, situé sur le même site et avec le même DG que l'Esiee). Le partenariat entérine la création d'une « chaire d'entreprise », un concept issu du monde du management et du commerce, autour du thème : « le génie logiciel ou comment maîtriser le développement des applications. » Les étudiants en dernière année de cursus de majeure informatique doivent en effet être préparés à intégrer des équipes projets au sein des SSII au terme de leur formation. Une expérience avec Sopra n'est pas négligeable sur le CV, même s'il s'agit de cours dans un cadre académique et non pas d'un stage. De son côté, un acteur majeur comme Sopra a tout intérêt à se faire connaître dans les écoles, à montrer ses méthodes de travail et également à « pré-sélectionner » sur place les futurs diplômés qui constituent un vivier de talents que se disputent aujourd'hui nombre de recruteurs. A partir de septembre 2007, des intervenants de Sopra Group animeront donc 30 heures d'enseignement théorique et pratique au sein de l'Esiee. « Cette chaire d'entreprise est une première et nous espérons mettre au point d'autres partenariats avec Sopra Group. Nous avons également un accord avec IMB. Il s'agit d'une unité de formation intitulée « infrastructures des systèmes d'information », au sein du cursus ingénieur. Ce partenariat a été signé en novembre et il sera reconduit à la rentrée prochaine », conclut Albin Morelle, responsable des relations entreprises à l'Esiee. Sur le même sujet : - Les partenariats entre entreprises et universités/écoles d'ingénieurs se multiplient (...)

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