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(07/06/2006 18:06:22)
Microsoft prévoit une R2 de Biztalk Server 2006 dopée au RFID pour 2007
Microsoft a détaillé la feuille de route de Biztalk Server 2006, serveur d'intégration de processus métiers (BPM - Business Process Management) de la marque, lancé en mai dernier. A l'image des autres produits de la marque, Biztalk subira un lifting mi-2007, avec la sortie d'une version R2. Plus importante amélioration vantée par Microsoft, le tant attendu support des technologies RFID. L'éditeur de Redmond a par ailleurs misé sur l'ouverture, en livrant à la fois l'API de sa plate-forme ainsi qu'un framework pour faciliter, puis adapter, les développements verticaux, tant matériels que logiciels. Avec pour objectif de les relier, en temps réel, aux processus métiers de chaque client ainsi qu'à leur back-office. Pour cela, la plate-forme devrait fournir un ensemble de règles métiers et de gestionnaire d'événements. En ce sens, Biztalk Server 2006 R2 devrait désormais supporter en natif les protocoles d'échanges EDI (electronic data interchange) et AS2 (Applicability Statement 2), pour faciliter les liaisons, toujours dans la chaîne logistique, entre partenaires et fournisseurs. Enfin, Microsoft indique également avoir renforcer le support de certaines technologies WinFX, prochainement intégrées à Office 2007 et Vista. Notamment, Windows Workflow Foundation et Windows Communication Foundation (WCF), la couche service web de Vista. Plus concrètement, Biztalk 2006 R2 fournira, selon l'éditeur de Redmond, un framework, au dessus de Windows Communication Foundation, pour le développement de connecteurs spécifiques. Notons qu'en 2005, ">Microsoft voyait en Biztalk, une fois couplé à WCF - à l'époque Indigo - une alternative à l'ESB. Aucune tarification ni modèle de licence ne sont pour l'heure disponibles. Les versions de tests, dont la date de sortie n'a pas été communiquée, resteront accessibles aux partenaires à travers le programme Technology Adoption Program (TAP). (...)
(06/06/2006 17:34:22)VMware refond son offre de virtualisation
La riposte de VMware à la démonstration technologique effectuée par Microsoft lors de WinHEC 2006 n'aura pas tardé. Hier, la société a dévoilé une refonte complète de son offre de virtualisation de serveur couplant la nouvelle mouture de son hyperviseur VMware ESX Server 3.0 à de nouveaux outils d'administration. Leader historique du marché de la virtualisation de serveurs x86, VMWare doit faire face à la montée en puissance de concurrents comme Microsoft ou Xen Source, dont les hypervisuers sont en cours d'intégration, respectivement avec les grandes distributions Linux et avec Windows. Conscient de la menace que représente une telle intégration pour son hyperviseur ESX Server, VMware a décidé de prendre le chemin des bundles à valeur ajoutée en créant trois packages différenciés associant ESX Serveur à ses différents outils d'administration et de gestion de ressources. Tous sont commercialisés sous l'appellation VMware Infrastructure 3. L'approche est intéressante car elle permet à l'éditeur de segmenter son offre tout en rendant plus accessibles ses outils d'administrations, des outils qui à terme devraient faire la vraie valeur de son environnement de virtualisation. En haut de gamme, VMware propose VMware infrastructure 3.0 Enterprise, un package qui réunit les fonctions de VMware ESX Server 3.0, Virtual center 2.0, Vmotion, Virtual SMP (désormais jusqu'à 4 CPU logiques par machine virtuelle) ainsi que le système de gestion de fichiers de l'éditeur.Le tout est appuyé par de nouveaux outils de gestion de ressources, de haute disponibilité et de backup de données. Cette mouture entreprise de la suite de l'éditeur est commercialisée au prix de 5750 $ par serveur, un prix très attractif puisque l'ancien VMware ESX Server seul était proposé au prix de 5000 $ En milieu de gamme, la version standard de la suite est dépourvue des fonctions les plus avancées, mais incorpore tout de même ESX Server 3.0, Virtual SMP, Virtual Center 2.0 et le système de gestion de fichiers maison, le tout pour 3750 $. Enfin pour les petites installations, VMware propose une mouture à prix cassé de son offre, VMware infrastructure 3.0 Starter, qui combine ESX Server 3.0 et Virtual Center pour 1000 $. Il est à noter que les fonctions de stockage en réseau de cette mouture sont limitées au seul support du NAS et d'iSCSI, alors que les autres moutures supportent aussi les SAN Fiber Channel. VMWare Infrastructure 3.0 est fourni avec le support officiel de Windows, des principales distributions serveurs Linux et de Solaris x86. Il supporte aussi les fonctions d'assistance à la virtualisation matérielle VT d'Intel et sera mis à jour dans le courant de l'année pour exploiter la technologie de virtualisation Pacifica d'AMD. (...)
(01/06/2006 17:57:11)IBM veut faciliter la facturation des environnements virtuels à l'usage
IBM a annoncé aujourd'hui la disponibilité de Tivoli Usage and Accounting Manager (UAM), un logiciel permettant aux services informatiques de refacturer l'utilisation de serveurs virtualisés en fonction de leur usage réel. Tivoli UAM s'appuie sur les technologies acquises par Big Blue lors du rachat de CIMS Lab en janvier dernier. Au travers d'une interface web, le logiciel permet de suivre en détail l'utilisation des environnements virtualisés par les applications du SI et d'agréger les consommations par services, départements ou division afin de leur refacturer les coûts des environnements virtuels en fonction de l'usage réel qui en est fait. L'outil permet en fait de facturer très finement des environnements qui sont par nature mutualisés. Il fonctionne avec les environnements de virtualisation mainframe d'IBM ainsi qu'avec les outils de VMware. Le support des environnements virtualisés sur plates-formes Unix devrait être ajouté au logiciel dans le courant de l'année. L'outil d'IBM est une alternative aux logiciels proposés par un éditeur comme Evident Software, qui s'est lui aussi fait une spécialité des outils de refacturation de coûts informatiques. Pour ceux qui ne souhaitent pas aller aussi loin, une feuille de calcul Excel produite par Ron Oglesby, un architecte spécialisé dans les outils de virtualisation, permet d'estimer le coût d'une VM sur un serveur virtualisé. L'outil est téléchargeable gratuitement sur le site web d'Oglesby à l'adresse http://www.ronoglesby.com/ article rédigé avec la contribution de Manek Dubash, Techworld et Shelley Solheim, IDG News Service New-York Titre de l'encadré: (...)
(31/05/2006 09:02:55)IBM lancera Tivoli CCMDB le 30 juin
IBM a annoncé la disponibilité pour le 30 juin prochain de Tivoli Change and Configuration Management Database sa solution de CMDB et de gestion de services informatiques. Pour Al Zollar, le nouveau patron de l'activité Tivoli - Zollar a précedemment dirigé Lotus puis la division iSeries d'IBM(ex AS/400), NDLA -, ce nouveau logiciel a pour but "d'améliorer la qualité, l'efficacité et le respect de niveaux de services par les systèmes informatiques tout en améliorant la productivité et le taux d'automatisation de ces systèmes". Conformément à la stratégie définie par IBM, Tivoli CCMDB doit découvrir et fédérer les informations existantes sur le système d'information de l'entreprise au sein d'une base de données unique, rassemblant les informations sur les serveurs et systèmes, les équipements de stockage, le réseau, les middleware et applications. L'objectif est d'aider les équipes informatiques à comprendre les interactions et dépendances entre les différents composant du SI afin d'optimiser leur exploitation et de maximiser les niveaux de services rendus aux clients. Tivoli CCMDB embarque un moteur de workflow chargé de l'interfaçage avec les deux "Process Managers fournis avec le logiciel". L'objectif est de permettre aux administrateurs de modéliser des processus personnalisés pour personnaliser le logiciel en fonction de leurs besoins. Il est à noter qu'IBM espère rendre sa SMDB conforme avec les spécifications en cours de définition avec BMC, CA, Fujitsu et HP avant la fin de l'année. (...)
(31/05/2006 09:00:05)Jet Multimédia rachète Avantis et s'implante en Europe Centrale
Jet Multimédia, spécialiste français des contenus et services pour téléphone mobile, poursuit son développement international en rachetant son homologue polonais Avantis. Ce dernier s'adresse à la fois aux marchés des entreprises et grand public à travers une gamme de services allant du marketing direct aux sonneries et autres fonds d'écran. La transaction, dont le montant s'élève à 9 M€, est réalisée en numéraire, porte sur la totalité du capital et s'accompagnera d'un complément de prix en fonction de l'évolution de l'activité et des résultats des exercices 2006 et 2007 pouvant atteindre 10 M€. Avantis, 8 M€ de chiffre d'affaires et 50 salariés, permet à Jet Multimédia de poursuivre son développement international : "au-delà du marché polonais, nous souhaitons étendre nos activités à d'autres pays d'Europe Centrale et de l'Est, une zone en pleine expansion sur laquelle nous serons le vecteur du développement de Jet Multimédia", explique Wojciech Lukawski, fondateur et président du groupe. L'Europe Centrale manquait en effet à Jet Multimédia, déjà présent dans la partie occidentale et méridionale du Vieux continent. L'éditeur s'était récemment renforcé en Amérique du Sud en acquérant M-Joy. (...)
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