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(18/01/2011 16:04:50)

L'optimisation WAN bénéficie au cloud computing

Une étude d'Aberdeen Group a constaté que les entreprises qui utilisent des techniques d'optimisation WAN bénéficieront de réduction de coûts. Dans le rapport, « Cloud Services Redefine the Need for WAN Optimization », le cabinet a déclaré que le coût moyen d'utilisation des services réseaux par employé dans un environnement de cloud computing est réduit de moitié par rapport à celui d'un employé sur site. En pourcentage, selon Aberdeen, cela représente une augmentation du coût pour un employé qui utilise le cloud de l'ordre de 3,9%, comparativement à une hausse de 5,8% pour un employé sur site.

En outre, l'étude a montré que l'optimisation des applications est amplifiée quand elle est appliquée à des environnements cloud. Par exemple, le cabinet d'analyse a constaté que ces technologies de type accélération ou compression sur un système de VoIP améliorent de 19% l'application en entreprise, mais de 30% lorsque l'entreprise utilise des services de cloud computing.

De plus en plus d'acteurs combinent optimisation et cloud

De plus, Aberdeen Group constate que l'optimisation WAN serait en mesure d'atténuer certains des risques liés à des domaines tels que la gestion de la complexité du système, la perte de données et la surveillance du réseau. En complément du rapport, on constate que la plupart des constructeurs intègrent dans leurs solutions réseaux des services d'optimisation d'applicatifs. De la même façon, les éditeurs de solutions d'optimisation se tournent vers le cloud, comme le montrent les annonces de Riverbed par exemple.

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(14/01/2011 17:10:17)

La biologie des mouches drosophiles au secours des réseaux de capteurs sans fil

Des chercheurs de la Carnegie Mellon University, de l'Université de Tel Aviv et de l'Institut des sciences Weizmann en Israël ont publié leurs conclusions sur ce sujet dans la revue Science dans un article intitulé: Une solution biologique à un problème fondamental le calcul distribué. Le laboratoire de Tel Aviv a en effet trouvé que la communication entre les cellules nerveuses de la mouche drosophile et les minuscules poils qui leur permettent de ressentir et d'entendre offrent un modèle pour l'amélioration des réseaux. Ziv Bar-Joseph, un des chercheurs a constaté que les cellules du système nerveux de l'insecte parviennent à s'organiser de sorte qu'un petit nombre de cellules servent de leaders et offrent des connexions directes avec toutes les autres cellules nerveuses. Adapté à l'informatique, un petit ensemble de processeurs peut être utilisé pour communiquer rapidement avec le reste des processeurs dans le réseau - ce que les théoriciens appelle un « ensemble indépendant maximal » (MIS). Chaque processeur dans un tel réseau peut de définir comme chef de file ou se connecter avec un processeur leader, mais ceux-ci ne sont pas interconnectés.

Des implications variées


« C'est une solution simple et intuitive, je ne peux pas croire que nous n'y pensions pas il y a 25 ans » a déclaré le co-auteur Noga Alon, un mathématicien et informaticien à l'Université de Tel Aviv et à l'Institute for Advanced Study à Princeton, selon un communiqué publié sur le site web de la CMU. Yehuda Afek, Naama Barkai, Eran Hornstein et Omer Barad sont les autres chercheurs qui ont élaboré cet algorithme de calcul distribué. Ce travail est particulièrement bien adapté pour les réseaux de capteurs sans fil, que l'on trouve par exemple pour la surveillance de l'environnement, où les capteurs sont dispersés dans un lac ou cours d'eau.

De nombreux chercheurs sont sur la piste de solutions aux défis présentés les réseaux distribués, les réseaux de capteurs sans fil en particulier. Hier, des chercheurs du MIT et des universités israéliennes ont trouvé un moyen de contourner les goulets d'étranglement des réseaux ad hoc.

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(13/01/2011 15:26:51)

L'étranglement des réseaux ad hoc en voie de résolution

La semaine dernière, au cours du Symposium on Discret Algorithms 2011 organisé par l'Association of Computing Machinery et la Society for Industrial and Applied Mathematics, Keren Censor-Hillel, un étudiant chercheur post-doctorant au Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et Hadas Shachnai, professeur agrégé en informatique au Technion Israel Institute of Technology, ont présenté leurs travaux de recherche consacrés à la réduction des goulets d'étranglement qui peuvent avoir lieu dans les réseaux ad hoc. Leurs travaux auront probablement des conséquences très importantes dans le développement futur de réseaux de capteurs ad hoc, lesquels sont destinés à être largement utilisés dans les décennies à venir. Alors que les contraintes de coût et les besoins en énergie des processeurs continuent à baisser, il est devenu possible de les intégrer en grand nombre dans des capteurs de faible puissance. Ceux-ci pourraient être utilisés pour surveiller à peu près n'importe quoi, depuis l'activité sismique d'un volcan à la circulation routière.

Par nature, les réseaux ad hoc ne sont gérés par aucun appareil de contrôle, comme un routeur par exemple. En effet, chaque noeud d'extrémité se comporte lui-même comme un routeur, assurant le transfert des données qui lui parviennent ou en générant pour son plus proche voisin. Le design typique des réseaux ad hoc fait que chaque noeud d'extrémité choisit au hasard un autre noeud pour y faire passer ses données. Cette approche vise à garantir que le trafic est réparti uniformément sur tous les noeuds. Et si un noeud tombe en panne, un autre peut prendre le relais. Le problème de cette approche, ce sont les goulets d'étranglement qui se créent lorsqu'un petit nombre de nodes d'extrémité sont chargés de véhiculer l'ensemble du trafic.

Une découverte encourageante mais gourmande

L'algorithme développé par Keren Censor-Hillel et Hadas Shachnai répartit le trafic pour empêcher les engorgements. Dans leur approche, un noeud choisit alternativement un autre noeud au hasard pour chaque donnée qui doit être transportée. Dans le tour intermédiaire, le noeud dirige le trafic non pas au hasard, mais vers un noeud avec lequel il n'a pas récemment communiqué. Pour Alessandro Panconesi, professeur d'informatique à l'Université Sapienza de Rome et expert en analyse des réseaux, cet algorithme apporte « une contribution intéressante » au problème. « Essentiellement, un noeud de ce réseau peut se réveiller et commencer à fonctionner à l'aide de cet algorithme, et si chaque noeud de ce réseau agit de la même manière, cela apporte des capacités de communication à l'ensemble du réseau, » a-t-il commenté dans un communiqué.

Celui-ci émet cependant une réserve : dans sa forme actuelle, cet algorithme est encore trop complexe pour fonctionner avec des outils de calcul simples. Parce que les équipements composant les réseaux ad hoc ont une puissance de calcul limitée et que la durée de vie de leur batterie est restreinte, ils exigent des protocoles réseau très simples. « L'algorithme est très gourmand en termes de quantité d'information à échanger,» a-t-il estimé. Néanmoins, selon lui, la simplification de cet algorithme est tout à fait possible.

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(10/01/2011 16:18:32)

Craquer les mots de passe WiFi avec le cloud d'Amazon

Il y a quelques mois, certains experts en sécurité prédisaient l'utilisation des ressources du cloud pour craquer certains mots de passe. C'est chose faite. Thomas Roth, chercheur en sécurité à l'université de Cologne, a indiqué dans un entretien à nos confrères de Reuters, qu'il a élaboré un logiciel pour casser les protections par mot de passe des réseaux WiFi. L'originalité de la méthode est de se reposer sur les fonctionnalités du cloud d'Amazon qui fournit de la puissance de calcul en location. Grâce à cette prestation sur le mode « force brute », le logiciel est capable d'analyser jusqu'à 400 000 mots de passe par seconde. Le scientifique alerte les utilisateurs donc contre le choix de mots de passe trop simples pour protéger les réseaux sans fils. Pour Amazon, un porte-parole a estimé que cette utilisation des services AWS ou EC2 était contraire au règlement d'usage. Il a cependant indiqué que beaucoup de personnes utilisent le cloud d'Amazon dans un environnement de test, y compris pour des questions sécuritaires. Mais accéder à un réseau tiers avec l'appui du cloud d'Amazon demeure interdit.

Démonstration à la conférence Black Hat

Le logiciel proposé par Thomas Roth doit être présenté à la conférence Black Hat qui se déroule du 16 au 19 janvier prochain à Washington. Celui-ci indique qu'il a réussi à améliorer son programme et 6 minutes sont maintenant nécessaires pour casser le protocole de sécurité WiFI WPA-PSK au lieu de 20 minutes habituellement. En utilisant les ressources d'Amazon, cet exploit ne lui coûte que 4,32 euros. Derrière les effets d'annonce, le chercheur souhaite que les responsables informatiques notamment en entreprise prennent conscience des faiblesses des réseaux sans fils et milite pour une meilleure protection.

 

Crédit Photo: DR

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(05/01/2011 16:33:15)

Qualcomm acquiert Atheros, un spécialiste des composants WiFi

Qualcomm a trouvé un accord pour le rachat du fabricant de puces Atheros pour un montant de 3,1 milliards de dollars, ou 45 $ par action, a déclaré ce mercredi la compagnie du Dr Jacobs. La transaction a été approuvée par les conseils d'administration de Qualcomm et d'Atheros et devrait être finalisée au premier semestre 2011.  En acquérant Atheros, Qualcomm espère élargir l'utilisation de ses produits (LTE, HSDPA+...) au-delà des réseaux cellulaires. Selon une étude du cabinet In-Stat, le marché des hotspot WiFi est ainsi censé passer de 2 milliards de dollars en 2010 à 11 milliards en 2014. Le marché des équipements WiFi augmente de 14% par an et a atteint 680 millions de dollars en 2010.

Si Atheros est bien connu pour ses chipsets WiFi, la société fabrique également des composants reposant sur d'autres technologies, comme le Bluetooth, Ethernet et GPS. Lundi dernier par exemple, Atheros a annoncé la commercialisation d'un circuit intégré basse consommation supportant les interfaces Bluetooth et WiFi802.11n, qui peut être utilisé dans les ordinateurs portables, les netbooks, les PC de bureau et les tablettes. Et comme aujourd'hui, les smartphones doivent être équipés d'un nombre croissant d'interfaces sans fil et mobiles, il est nécessaire de mieux les intégrer pour réduire leur coût de fabrication. 

En 2006, Qualcomm avait déjà acquis Airgo Networks, spécialisée dans les chipsets WiFi, notamment le draft n du WiFi 802.11.

 

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(22/12/2010 10:06:05)

La FFF connecte ses sites distants en VPN et fibre

La Fédération Française de Football (FFF) dispose de 135 sites à travers le territoire national : 2 liés au siège en Ile-de-France (le social et le service communication hébergé dans une agence), 31 ligues et 102 districts. Elle cherchait un nouveau système de connexion datas entre ses sites, un accès Internet partagé et une solution de sécurité managée.

L'amélioration de la bande passante était l'un des critères majeurs de la FFF. En effet, les échanges entre sites sont très nombreux (mails...) et peuvent comporter des éléments très volumineux (supports d'information et de communication, vidéoconférences...).

A l'issue d'une mise en compétition, la FFF a choisi l'offre de VPN/IP associé à du FTTO [Fiber To The Office] proposée par Completel devant celles de deux partenaires officiels de l'organisation sportive. Le FTTO ne concerne que les deux sites parisiens et une dizaine de ligues.

Le contrat, dont le montant n'a pas été dévoilé, a été conclu pour trois ansF

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(10/12/2010 09:58:37)

Fibre optique : les crédits de l'ex-grand emprunt à la rescousse

Cette enveloppe budgétaire sera affectée à 14 projets, dont la moitié a trait au très haut débit (7 projets) dans des territoires en zone blanche. Les sept autres projets vont pour cinq d'entre eux aux énergies renouvelables, pour un autre aux réseaux électriques intelligents, le dernier revient à un projet d'économie solidaire. Les projets très haut débit concernent des raccordements en fibre optique chez l'habitant : à Saint-Lô dans la Manche, en Maurienne (département de la Savoie), Issoire (avec le conseil régional d'Auvergne), Chevry-Cossigny (Seine-et-Marne), Aumont-Aubrac (Lozère), Sallanches (Haute-Savoie) et un septième dont le nom n'a pas été communiqué. Ces sept projets sont considérés comme pilotes et destinés à expérimenter cette technologie dans les zones les moins denses du territoire. François Fillon a indiqué souhaiter qu'ils se déroulent rapidement "pour que nous puissions en tirer les enseignements", avant l'ouverture des guichets de financement au cours du premier semestre 2011. 

Le 1er Ministre, qui fut ministre des Télécoms puis de l'Industrie de 1993 à 1997 a annoncé ces projets lors d'un déplacement à Mortain, lundi 6 décembre, au siège de la société Acome, fabricant de câbles en fibre optique. Il était accompagné de Eric Besson, ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique et de René Ricol, Commissaire général à l'investissement. François Fillon en a profité pour préciser François Fillon en a profité pour préciser à la fois les orientations de l'ex grand emprunt et le rôle des collectivités locales dans le haut débit.

800 projets ont été déposés depuis le mois de juin

L'ex grand emprunt a été revu, sa dénomination paraissant curieuse en période de réduction drastique des dépenses publiques. Le 1er Ministre a donc tenu à redire qu'il n'y avait aucune incompatibilité entre cette réduction des dépenses et les investissements d'avenir. Depuis le mois de juin, et la refonte du grand emprunt, 800 projets ont été déposés. D'ici fin 2011, entre 15 et 20 milliards d'euros seront engagés (sur les 35 prévus).

Concernant le haut débit, François Fillon a d'abord redit que 2 milliards d'euros iraient aux infrastructures et 2,5 milliards aux usages. Pour les infrastructures, l'objectif est de couvrir tout le territoire d'ici 2025 en infrastructure à très haut débit. Le 1er ministre a salué le rôle des collectivités locales, des réseaux d'initiative publique, des schémas directeurs haut débit que nombre d'entre elles ont, ou vont, élaborer. Il a également déclaré : « nous allons devoir imaginer des mécanismes de péréquation ou de solidarité qui soient adaptés pour assurer le déploiement dans les zones les moins denses du territoire ». C'était le chapitre « zones blanches ». Tout cela ne doit pas faire oublier de moderniser les réseaux filaires existants. Dans ce cadre, il s'agit "d'assurer sans attendre un véritable haut débit pour tout le monde", a précisé le Premier ministre. Outre la fibre optique, il faudra "tirer parti des différentes technologies" telles que les réseaux filaires ADSL, le hertzien (réseaux haut débit mobiles) ou le satellite.

Enfin, le 1er Ministre a souligné le lancement de nouveaux appels à projet sur : les logiciels embarqués, la sécurité des systèmes d'information, la numérisation et la valorisation des contenus numériques, les technologies liées à la dépendance.

Photo : François Fillon, premier ministre lors de son déplacement à  Mortain, le lundi 6 décembre (D.R.)
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(08/12/2010 12:22:30)

Reconnaissance vocale, la Ficome veut redynamiser le marché

Le marché de la reconnaissance vocale atteindrait 5 à 6 millions d'euros en France. Une niche. Pourtant tous les éléments sont réunis pour un décollage.  Le message de la Ficome à l'égard de ses adhérents est donc particulièrement net. « Le consommateur en BtoC ne supporte plus les défauts du service client, de signer et ensuite d'être délaissé en cas de problème, note Guy Têtu, délégué général de la Fédération. Ce refus va se ressentir de plus en plus en BtoC. Les services hot line et les services web, le client en revient, il veut un service efficace à partir de l'accueil téléphonique ».

Les solutions existent en matière de reconnaissance vocale. La Ficome en présentait trois, mardi 7 novembre, avec : Conviviance, Phone Design, TLMCOM. « Il faut mettre le doigt en clientèle sur la perte de chiffre d'affaires et d'image de marque avec un mauvais accueil client » remarque Gilles Dubreuil , directeur commercial et associé de Phone Design. « Ne pas parler technologies, prix ou marketing, mais bien de la relation client».

Pourtant, la reconnaissance vocale suscite encore des réticences, même si de grands opérateurs comme l'Armée de terre ou les assureurs mènent des campagnes télévisées incitant à appeler sur des numéros en reconnaissance vocale. « Le public s'habitue, comme il s'est habitué aux guichets de banque », note  Yassin Djaffar, directeur commercial de Conviviance, « il reste encore du chemin à parcourir ». Conviviance  propose un accueil téléphonique, le routage automatique des appels en intégrant la messagerie unifiée. Des solutions vendues en indirect par Groupe Convergence, Résadia ou des intégrateurs agréés ou certifiés.  

Phone Design compte 400 partenaires revendeurs

De son côté, Phone Design propose un studio en marque blanche. En clair, à partir d'un site, la possibilité  de manière très simple de définir la musique, la voix et les textes d'accueil. La société compte 400 partenaires revendeurs : simples apporteurs d'affaires, courtiers (répartis en trois catégories : courtiers gestionnaires, installateurs, installateurs mainteneurs niveau 1), et revendeurs en marque blanche  qui assurent toute la prestation (marketing vente, installation, maintenance niveau 1, facturation, gestion commerciale).

TLM COM pour sa part, travaille beaucoup sur le secteur de la santé, mais aussi en entreprises ou auprès des collectivités. Elle propose la reconnaissance des appels, leur routage en fonction des plannings enregistrés par chacun et par les différents services, des plannings définis à l'avance. A partir de son expérience dans les hôpitaux, TLM COM a synthétisé un véritable « guidelines ».  La perte d'un appel a par exemple toujours une résonance humaine pour des personnels de santé et la solution vocale peut prêter à réticences. TLM COM montre au contraire que le vocal habitue le patient à mieux formuler, par exemple s'il dit IRM la reconnaissance vocale l'envoie sur la radiologie. De même, elle rectifie les mauvaises prononciations de noms propres. Elle peut indexer dans l'agenda des médecins, voire dans celui du patient un rappel automatique 2 jours avant son rdv. La reconnaissance vocale expliquée et maîtrisée entraîne à l'évidence plus de rigueur dans le domaine critique de la santé. Elle entraîne aussi un ROI rapide, en dix huit mois.  Un argument délicat à manier mais important pour les hôpitaux.

La reconnaissance vocale, et derrière elle tout simplement  l'accueil client, ont ainsi besoin d'un nouveau coup de projecteur. Pour les installateurs-intégrateurs comme pour leurs clients. « Imaginez un client dont le responsable maintenance est malade. Il n'a pas les contacts hot line et va essayer d'appeler le standard de l'intégrateur, après 18h ou même 17h30, il n'a personne en ligne. C'est un message téléphonique qui explique la fermeture. En dernier recours, c'est donc bien l'accueil téléphonique qui est sollicité et doit être mis en valeur, chez nos adhérent et chez leurs clients », souligne Guy Têtu.

 

 

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(03/12/2010 11:14:30)

Datacenters : Nextiraone renforce sa collaboration avec Cisco

Premier intégrateur européen à obtenir la certification DCUC (Data center unified computing) sortie cet été, Nextiraone muscle son offre Cisco. « Elle se traduit pour nous par un niveau de formation et d'engagement renforcé avec Cisco, nous explique Philippe Hedde,  directeur général  de Nextiraone France, nous avons formé 60 personnes, 40 commerciaux et 20 architectes réseaux à ce nouveau programme en France». Cet accord, négocié au plus haut niveau entre les deux entreprises s'applique dans six pays : Allemagne, Autriche, Belgique et Luxembourg, France, Grande-Bretagne, Suisse. Il sera étendu en 2011 à tous les pays où Nextiraone est présent, 16 au total.  

L'intégrateur est engagé depuis des années aux côtés de Cisco. Il propose par exemple UCS, unified computing system, qui concerne notamment la virtualisation des serveurs, et compte avec lui plusieurs clients en France, dont la CNAV, la mairie de Drancy, Euratechnologies à Lille et le CHU d'Amiens. Le nouvel accord est un engagement supplémentaire. « Nous allons mettre le datacenter sur le réseau » résume Philippe Hedde. C'est ce nouvel axe que vise Nextiraone  grâce aux technologies Cisco. Jusqu'alors spécialiste des architectures réseaux et de leur maintenance, Nextiraone s'ouvre au monde de la virtualisation grâce aux technologies Cisco, UCS d'abord et maintenant DCUC.  « C'est l'expression d'une transformation majeure de Nextiraone », explique Philippe Hedde.

Nextiraone, lié historiquement à Alcatel-Lucent rééquilibre un peu plus ses relations avec ses deux grands partenaires. Avec Cisco, l'intégrateur est certifié : Data center networking infrastructure, Data center storage networking, Unified communications, Unified communications managed services. Il est également Authorized technology provider, ATP. L'accord est d'autant plus marquant que Cisco est d'abord passé par des intégrateurs informatiques, comme APX ou SCC pour déployer UCS et qu'un intégrateur réseau comme Nextiraone gagne aujourd'hui une place de choix à ses côtés pour la virtualisation.

Illustration : Datacenter avec équipements Cisco UCS et Nexus, crédit D.R.

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