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2191 documents trouvés, affichage des résultats 2011 à 2020.
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(10/01/2005 18:17:20)
VMWare commence à diffuser ACE, son environnement sécurisé
VMWare vient d'entamer la distribution de la première version commerciale d'ACE, son environnement sécurisé d'exploitation d'ordinateurs personnels sous Windows.
ACE, ou Assured Computing Environment, peut être préconfiguré et installé sur des PC sous Windows par des administrateurs système qui souhaitent maîtriser l'environnement logiciel et matériel de leurs utilisateurs. ACE permet à l'administrateur de définir les périphériques dont l'accès est autorisé et même restreindre les possibilités de personnalisation de l'interface utilisateur.
VMWare a diffusé publiquement une bêta de son logiciel en septembre dernier. ACE peut être commandé en ligne sur le site de VMWare depuis le 21 décembre dernier à partir de 995 dollars pour quatre utilisateurs. Chaque licence supplémentaire est facturée 99 dollars. (...)
IBM rachète SRD, un spécialiste de la gestion d'identités
IBM a annoncé vendredi 7 janvier l'acquisition de Systems Research & Development (SRD), une société basée à Las Vegas spécialisée dans la gestion d'identités. SRD développe des outils d'analyse permettant par exemple de corréler les informations connues sur un individu pour en tirer des associations. A l'origine conçu pour l'industrie des casinos afin de détecter les tricheurs ou escrocs, le logiciel peut désormais être utilisé pour d'autres applications comme la vérification du passé de candidats à un emploi ou l'identification des clients à forts potentiels pour un hôtel - l'éditeur compte ainsi parmi ses clients des sociétés comme MGM Mirage, Mandalay Bay Resort Group, Cendant, Target, et le Département de la Défense américain.
Les logiciels de SRD fonctionnent avec DB2 mais aussi avec les SGBD de Microsoft et Oracle. Ils seront intégrés dans la division "data management" de Big Blue. Il est à noter qu'un des investisseurs dans SRD n'est autre qu'In-Q-Tel, le fonds d'investissement de la CIA. (...)
Foundstone dévoile SiteDigger 2.0, pour prévenir la propagation de données sensibles sur Internet
Foundstone (filiale de McAfee) annonce la version 2.0 de SiteDigger, outil censé repérer les contenus confidentiels des entreprises (données financières, mots de passe, ou profils d'employés), susceptibles d'être exposés publiquement sur Internet. L'application extrait les informations récoltées à l'issu de requêtes passées sur le moteur de recherche Google. Pour cela, via l'API Google, il scanne dans les données pré-indéxées (notamment dans les pages « cachées ») du n°1 des moteurs de recherche, pour y repérer les données sensibles.
Selon l'éditeur, la version 2.0 est désormais capable d'extraire jusqu'à 800 types d'informations différentes, contre 150 pour la version précédente.
Founstone SiteDigger 2.0 est téléchargeable gratuitement depuis le site de l'éditeur. (...)
Le W3C relance Internationalization Activity et élève Smil 2.0 Second Edition au rang de recommandat
Le W3C réactive son activité liée à l'internationalisation (i18n) et à la localisation (l10n), via trois groupes de travail. Yves Savourel (de la société Enlaso) présidera The Internationalization Tag Set (ITS) Working Group, en charge de la partie technique (notamment la création d'attributs et d'éléments de nouveaux DTD).
Les deux autres groupes de travail, The Internationalization Core et The Internationalization Guidelines, Education & Outreach, seront respectivement dirigés par Addison Phillips (de WebMethods), et Richard Ishida (W3C).
L'objectif du W3C : coordonner et proposer toutes techniques, conventions et guides pour la promotion des standards W3C, toutes langues et cultures confondues.
En parallèle à cette annonce, le consortium vient de passer au rang de recommandation le standard Smil 2.0 Second Edition (Synchronized Multimedia Integration Language), qui est censé autoriser le contrôle d'applications multimédias. Pour autant, il ne s'agit pas d'une refonte du standard. Le W3C corrige ici quelques bogues de la première édition. (...)
La polémique enfle autour de la hausse de l'abonnement téléphonique
La demande par France Télécom d'augmenter le prix de l'abonnement téléphonique n'en finit pas de soulever des protestations. L'opérateur aimerait ainsi faire passer son coût de 13 ¤ actuellement, à 15,50 ¤ en 2007. Selon France Télécom, cette augmentation se justifie par les frais occasionnés par le service universel (cabines téléphoniques et annuaires) et ne constitue qu'un alignement sur les tarifs des opérateurs européens. Pour faire passer la pilule, l'opérateur promet en contrepartie une baisse de 26 % des tarifs des communications d'ici à 2008 et assure que « tout le monde s'y retrouvera ».
Une opinion qui ne semble pas faire l'unanimité. En effet, après l'association des consommateurs UFC Que Choisir, Free s'est lancé dans la mêlée en écrivant une lettre de protestation au Président de la République. Le FAI dénonce cette augmentation comme un frein à la bonne mise en place de la concurrence. De son point de vue, le revenu engendré par la hausse de l'abonnement ne serait qu'une rente déguisée pour France Télécom dont la situation financière est désormais correcte. Free va plus loin dans sa lettre puisqu'il propose des solutions pour permettre une accélération du dégroupage. Free demande une baisse du tarif de dégroupage total à 6 ou 8 ¤ contre 10,50 ¤ actuellement. Le FAI estime également que les frais de création de ligne pourraient être largement diminués - aujourd'hui, ces frais se montent à 78 ¤.
L'Afors Télécom, l'association qui regroupe plusieurs opérateurs alternatifs, s'est jointe au concert des protestations en écrivant au Premier ministre. Elle s'oppose à la hausse sans « remise à plat complète de l'économie de l'accès permettant le développement d'alternatives concurrentielles viables ». Enfin Cegetel a fait savoir, par la voix de son directeur général Olivier Huart, que cette augmentation est tout simplement « grotesque » puisque sans contrepartie pour les opérateurs alternatifs. Le gouvernement doit prendre sa décision d'ici fin janvier. Si ce délai est dépassé, ce sera l'ART qui aura alors le dossier en charge. (...)
Microsoft lance son antispyware et annonce un outil d'élimination des virus
Comme nous l'annoncions mercredi, Microsoft a officiellement dévoilé hier une version bêta de son logiciel de lutte contre les programmes espions (spywares). Windows AntiSpyware est téléchargeable sur le site Web de Microsoft pour les utilisateurs disposant d'une licence légitime de Windows (2000, XP ou Server 2003). Parallèlement, Microsoft a promis l'arrivée pour le 11 janvier d'un outil d'élimination des virus et autres chevaux de Troie, un outil qui sera remis à jour mensuellement. L'objectif de ce logiciel n'est pas de remplacer un antivirus - il n'empêche en effet pas les attaques - mais d'aider les utilisateurs à désinfecter une machine attaquée. (...)
(07/01/2005 18:20:52)EBay devient le plaque tournante du recyclage informatique
Le site d'enchère numéro un, EBay, ainsi que quelques poids lourds de l'industrie informatique s'allient autour du programme Rethink, pour promouvoir le recyclage des vieux PC et des matériels informatiques usagers. Cet élan écologiste est notamment soutenu par Intel, HP, Gateway, IBM, et Apple, chez les constructeurs, et Ingram Micro et UPS chez les revendeurs. L'US Postal Service, US Environmental Protection Agency et la Silicon Valley Toxics Coalition auraient par ailleurs rejoint le programme.
Selon EBay, "Rethink" est censé informer les consommateurs sur les moyens existants de recyclage du matériel informatique usager, et surtout sur les ressources mises en place par EBay pour y parvenir. Rappelons au passage qu'en Californie, l'Electronic Waste Recycling Act de 2003, vient d'entrer en vigueur. Ce dernier prévoit une taxation (Electronic Waste Recycling Fee) pour le recyclage de certains produits, tels que les écrans ou les portables. (...)
ADSL : la CGT dénonce les problèmes de la LiveBox tandis que Free passe son ADSL 2+ à 20 Mbit/s
Dans un communiqué publié hier, la CGT PTT constate que la LiveBox de Wanadoo, censée "donner accès à Internet, au téléphone sur IP et à la télé ne rend pas les services attendus". Le syndicat remet aussi en cause la précipitation de l'opérateur dans le lancement commercial, les problèmes d'approvisionnement, la formation cruellement insuffisante des téléconseillers qui se traduisent par une "insatisfaction tant de la part de ceux qui en font l'acquisition que de la part des collègues des assistances technique et commerciale". Enfin, la CGT pointe du doigt la délocalisation par Wanadoo d'une partie de ses centres d'assistance au Maroc et la fermeture de centres français comme raison de la baisse de qualité des hot-lines payantes (0,35 centime ¤/mn) du FAI.
Wanadoo pris de cours
Jusque-là largement plébiscité pour la qualité de ses services, Wanadoo a connu une vague de problèmes depuis le mois de novembre, date de la montée en charge des ventes de la LiveBox, le terminal qui sert de support à ses offres de convergence internet/téléphonie/vidéo. Si, de l'avis général, l'appareil fonctionne bien pour ce qui est de sa partie routeur Internet et borne d'accès Wi-Fi et Bluetooth, de nombreux clients rencontrent des problèmes avec le service de téléphonie IP associé à la LiveBox, Wanadoo Phone. Lors de son lancement, le service technique de Wanadoo s'est retrouvé noyé sous les appels et n'a simplement pas pu faire face. Au début du mois de novembre 2004, il n'était ainsi pas rare de devoir tenter une vingtaine d'appels avant d'avoir le droit de patienter pour parler à un opérateur. Et encore fallait-il alors faire vite : la politique du support technique de Wanadoo est de couper la communication après 30 mn, que le problème soit résolu ou non.
Harcelés par des clients excédés, les téléopérateurs du FAI ont fini par craquer et se mettre en grève pour exiger de leur employeur qu'il règle ses soucis techniques, plutôt que de les livrer en pâture, sans réelle solution, aux clients mécontents.
La téléphonie sur IP, plaie des FAI
A la décharge de Wanadoo, le FAI n'est pas le seul a rencontrer des problèmes avec la téléphonie sur IP et avec son terminal multimédia. Free doit lui-aussi faire face aux critiques de certains abonnés confrontés un service téléphonique capricieux : ligne qui ne répond pas, service intermittent, qualité du son insuffisante, services techniques injoignables ou incompétents... Les pionniers de la téléphonie sur IP doivent parfois s'armer de patience en attendant que les FAI parviennent à faire fonctionner sans souci ce que tout le monde considère aujourd'hui comme le plus basique des services de communication : le téléphone. (...)
CES : Microsoft abandonne les marques PocketPC et Smartphone
A l'occasion du CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas, le n°1 du logiciel Microsoft a annoncé qu'il souhaitait abandonner progressivement les marques PocketPC (son OS pour PDA) et Smartphone (téléphone mobile), au profit de Windows Mobile. Elle deviendra ainsi l'enseigne unique pour catégoriser les solutions mobiles de l'éditeur de Redmond. Selon lui, les marques devraient disparaître d'ici un an ou deux, « le temps de fusionner les technologies ».
De son côté, le consommateur ne disposera plus de référence Microsoft dédiée, soit aux téléphones mobiles, soit aux PDA. Pour les distinguer, l'éditeur de Redmond mise désormais sur les fonctionnalités inhérentes des appareils mobiles. Il travaillerait par ailleurs en collaboration avec les fabricants pour les aider à rebaptiser leurs produits. Notamment HP, qui utilise la marque PocketPC pour commercialiser son iPaq. (...)
Responsable Sécu, le métier qui "rapporte"
Les « pro » de la sécurité ont un job en or : la croissance du métier frise les 14 %, annonce notre confrère "Network World", rythme devant se poursuivre au moins jusqu'en 2008 (ndlr : des affirmations semblables ont été faites pour la profession de Webmestre avant l'éclatement de la bulle). Les chiffres avancés sont tirés d'une étude réalisée par la société soeur IDC, laquelle conduisait cette enquête pour le compte de l'organisme de certification ISC2 (l'Information Systems Security Certification Consortium). Bref, en 2008, l'on comptera 2,1 millions de spécialistes sécurité, contre 1,3 million actuellement. Mieux encore, les espérances d'amélioration du plan de carrière sont à l'image de cette situation quasi euphorique. Les quelque 5400 RSSI et assimilés provenant de près de 80 pays interrogés dans le cadre de cette étude espèrent, dans 97 % des cas, une amélioration notable de leur situation actuelle. Ronds de jambe de la part des "chasseurs de têtes", avancements rapides, salaires de plus en plus élevés, primes à la certification, le "métier" se porte bien, ceux qui le pratiquent sont recherchés, voire courtisés. C'est le moment de demander une "petite augmentation". (...)
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