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(29/09/2010 13:24:07)

Une taxe sur les télécoms pour financer la fibre optique

Citant les propos d'Hervé Maurey, sénateur de l'Eure, le quotidien économique La Tribune précise qu'une taxe directe sur les abonnés serait préférée à une taxe supplémentaire sur le chiffre d'affaires des opérateurs. Cette taxe serait semblable à celle que paient actuellement les consommateurs lors de l'achat d'un appareil électrique pour financer son recyclage.

"Avec 65 millions d'abonnements à l'ADSL et à la téléphonie mobile, la contribution s'élèverait à un peu moins de 10 euros par an et par abonné" indique La Tribune. Cela permettrait de dégager la somme nécessaire pour financer le chantier national de la fibre optique, dont le coût est estimé à 30 milliards d'euros.

Par ailleurs, le ministère de l'Economie a décidé il y a quelques semaines de relever à 19,6% la taxation sur les offres "triple play" (Internet, téléphone, télévision), qui bénéficiaient jusque-là d'une TVA réduite à 5,5% sur la moitié du montant. Les opérateurs devraient répercuter cette hausse sur la facture de leurs clients. Le surplus est évalué entre 2 et 3 euros par mois par abonnement.

(...)

(27/09/2010 16:48:17)

La FCC ouvre le dividende numérique au super WiFi

De quoi s'agit-il exactement ? La technologie sans fil actuelle autorise beaucoup de souplesse, mais reste encore très limitée. Certes, il est appréciable de pouvoir accéder à son réseau ou de se connecter à Internet sans avoir besoin d'être assis à son bureau ou attaché à un câble. Mais, il suffit de s'éloigner un peu, de changer de pièce, pour que le signal s'affaiblisse. Or, le dividende numérique apportera des réponses à ces problématiques, car il possède trois qualités essentielles: une capacité spectrale importante, une meilleure réception indoor et des débits plus rapides.

La plupart des routeurs sans fil actuels ne parviennent pas, loin s'en faut, à couvrir la surface d'un terrain de football. En général, une diffusion qui atteint quelques centaines de mètres est considérée comme acceptable. Le « super wifi » pourrait améliorer la portée des équipements à plusieurs kilomètres au lieu de plusieurs mètres. Par ailleurs, l'un des principaux facteurs limitant la portée de la transmission sans fil actuelle est la sensibilité aux obstacles. Même si le signal peut théoriquement voyager sur des centaines de mètres, il suffit d'un ou deux murs sur le trajet pour altérer la qualité du signal. Au contraire, cette bande de fréquence « White Space » compris entre 50 et 700 MHz autorise une meilleure pénétration des murs et autres obstacles, comme cela a été le cas pendant des décennies pour la diffusion des signaux de télévision.

Augmentation des débits et rationalisation des équipements


Enfin, le réseau WiFi 802.11 avec le standard n peut transmettre des données entre 160 et 300 Mbits. C'est certes nettement plus rapide qu'avec les normes 802.11b ou 802.11g précédentes, mais c'est moitié moins que les 400 à 800 Mbits que l'on pourrait atteindre dans la future bande de fréquences. A long terme, ces réseaux devraient fournir des débits beaucoup plus élevés que ceux offerts par la technologie 3G actuelle ou même par la 4G.

En matière d'équipements, ce standard de réseau sans fil aboutira à une réduction du nombre de points d'accès. Ainsi, Microsoft qui expérimente déjà le super WiFi sur son campus de Redmond, a remplacé des milliers de hotspots sans fil par deux uniques routeurs WiFi compatible « white space ».

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(24/09/2010 14:17:04)

Dell recrute son responsable réseau chez Cisco

Le constructeur informatique texan a annoncé la nomination de Dario Zamarian au poste de vice président et directeur général de la division « Réseau ». A ce titre, il supervisera l'ingénierie, la conception, le développement et le marketing de tous les produits et solutions réseau de Dell. Auparavant, il a passé 6 années au sein de Cisco Systems en tant que vice président  de la branche « Systems and Network Management » et vice président et directeur général de la division « Security Management ».

Un signal fort


Cette nomination est un signal que Dell entend bien devenir un acteur important dans le domaine du réseau. S'il ne représente que peu de part de marché sur cette activité, il a signé des accords de reventes avec Juniper Networks, Brocade et Aruba. Dell dispose également de sa propre gamme de produit réseau, baptisé « Power Connect ».

« Les produits réseaux étaient considérés par Dell comme une commodité, mais avec la virtualisation et le cloud computing, l'activité réseau est devenue un élément critique des architectures convergentes dans les datacenters » explique Jon Oltsik, analyste pour Entreprise Strategy Group et d'ajouter « avec cette nomination, Dell acquiert une expertise importante dans le réseau et sa gestion sur ce type d'architecture ».

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(23/09/2010 13:10:34)

Qualcomm détaille la technologie sans fil Peanut

Qualcomm a développé une technologie radio à courte portée, baptisée Peanut moins gourmande en énergie que les connectivités ZigBee, Bluetooth et Ultra Wideband. Matt Grob, vice-président senior de la recherche et du développement chez Qualcomm a expliqué lors du Congrès Emtech@MIT 2010 que « Peanut pourrait être utilisé pour les communications radio dans des architectures électroniques embarquées de type Body Area Network (BAN), qui permet une diffusion sur une distance allant de quelques centimètres à quelques mètres. Peanut pourrait également couvrir la surface d'une pièce » et d'ajouter « le système nécessiterait une puissance d'une fraction de milliwatt, mais les données se pourront se déplacer à grande vitesse ». Dans sa présentation de Peanut, le responsable a affirmé que cette technologie sans fil était capable de fournir suffisamment de puissance pour permettre à des applications datas, voix et audio de fonctionner à quelques mégabits par seconde, y compris pour la vidéo.

Des usages variés


Voilà quatre ans que Qualcomm travaille à développer la technologie Peanut, a t-il déclaré dans une interview, « elle devrait être prête pour un déploiement commercial d'ici un an. » Mat Grob a précisé que cette connectivité pourrait être utilisée de plusieurs manières différentes, par exemple dans les appareils destinés à renforcer la vigilance au volant. « Le système pourrait permettre d'isoler le conducteur, et pas les passagers, du réseau sans fil actif dans l'habitacle d'un véhicule, pour l'empêcher de dicter des textos ou de téléphoner, » a t-il déclaré. Le principal avantage de Peanut serait sa faible consommation en énergie comparé à d'autres liaisons radio à courte portée comme le Bluetooth et Zigbee, utilisés dans de nombreuses applications, par exemple pour faire communiquer entre eux des dispositifs de surveillance, ou encore des écouteurs associés à des téléphones mobiles ou les autoradios connectables à des téléphones. « Qualcomm travaille sur un grand nombre de projets différents, » a encore déclaré Matt Grob, précisant que la plus grande part de son budget de recherche et de développement est consacré aux communications 4G sans fil, y compris le LTE (Long Term Evolution) Advanced, future norme de l'internet mobile ultra rapide.

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(21/09/2010 17:19:15)

Polémique sur les futures antennes de Free Mobile à Paris

Rappel des faits. En janvier dernier, Free Mobile, filiale du groupe Iliad, la maison mère de l'opérateur Free, a été officiellement reconnu comme nouvel mobile de France suite à l'attribution de la quatrième licence mobile par le régulateur des télécoms (Arcep) un mois plus tôt. Afin de constituer son réseau et lancer ses offres commerciales, attendues avant la fin 2011, le nouvel entrant doit procéder à l'installation de ses antennes-relais. En deux ans, Free Mobile aura l'obligation de couvrir au moins 25% de la population française, puis 75% d'ici à 2015.

A Paris, où quelque 300 antennes Free Mobile devraient voir le jour, l'arrivée du quatrième opérateur est mal accueillie. Les élus Verts et l'association Robin des Toits dénoncent l'exposition accrue des habitants aux ondes électromagnétiques. Ils reprochent également à la Ville de Paris l'autorisation des ces installations, qui devra être prononcée en délibération au Conseil de Paris à la fin du mois.

Un déploiement d'antennes toléré par la mairie de Paris

Dans un communiqué, la mairie de Paris juge cette controverse "malvenue", et rappelle qu'elle n'a sur ce point aucune marge de manoeuvre, "dès lors que l'Etat a autorisé un quatrième opérateur". Elle a obligation de "traiter celui-ci dans les mêmes conditions que les trois autres". En ne passant pas cette délibération, la Ville de Paris indique qu'elle serait condamnée, "ce qui ne ferait que différer d'à peine quelques semaines l'autorisation délivrée à Free".

Enfin, la mairie souligne avoir "demandé et obtenu" de la part de Free Mobile la signature d'une charte de la ville sur la téléphonie mobile, et des engagements supplémentaires afin d'éviter le déploiement d'antennes à proximité des crèches, des écoles, et l'abaissement le plus important possible du seuil d'exposition des usagers. Les trois premiers opérateurs, Orange, SFR et Orange ont fait l'objet à plusieurs reprises de plaintes pour des antennes représentant un danger sanitaire pour les habitants. Dans certains cas, les opérateurs ont été condamnés à procéder au démantèlement de leur antenne.

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(14/09/2010 17:43:29)

Cisco ajoute une brique service à son offre datacenter

Après UCS, système informatique unifié, les commutateurs centraux (Unified Fabric), Cisco ajoute une brique service, avec Unified Networks Services. Pour l'équipementier américain, ce dernier doit fournir certains services sur des éléments physiques ou virtuels. Il a dévoilé deux de ces services. Le premier concerne une appliance virtuelle de sécurité (Virtual Scurity Gateway) qui place des règles de sécurité au niveau de la machine virtuelle, mais également sur le VLAN et plus généralement au sein du datacenter. Cette solution est proposée de manière logicielle dans l'offre Nexus 1000V dans un premier temps. L'autre service se dénomme vWAAS (virtual Wide Area Application Services) et se définit comme une appliance virtuelle d'optimisation du WAN. Elle fonctionne avec les hyperviseurs ESX/ESXi de VMware et les serveurs x86. Cette solution accélère et améliore dans des environnements cloud la délivrance des applications. Elle sera disponible à la fin de l'année 2010. Cisco entre en concurrence avec des sociétés comme Riverbed, qui ont dévoilé ce type de services pendant l'été .

Des annonces hardware


Sur la partie Fabric, Cisco a présenté la deuxième génération de la gamme Nexus 5000. Le switch Nexus 5548 comprend 48 ports où chaque port peut être configuré soit en Ethernet ou en Fiber Channel. Ce commutateur peut se combiner avec le Nexus Fabric Extender 2224TP autorisant la mise en place de serveur de moindre densité par rack.

Dans le domaine des blades, Cisco étoffe sa gamme UCS avec le B230 M1 qui comprend des processeurs Intel Xeon 6500/7500. L'accent a été mis sur l'évolutivité de la capacité mémoire (32 emplacement DIMM pour une capacité maximale de 256 Go), la virtualisation du poste de travail et les performances avec l'intégration possible de SSD.

Le prix de ces différents éléments n'a pas été dévoilé.

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(14/09/2010 11:18:24)

Juniper en passe d'acquérir Trapeze Networks

Selon plusieurs sources de l'industrie du WLAN, Juniper pourrait annoncer l'accord dans les deux prochaines semaines. L'équipementier organise une Journée des analystes jeudi 23 septembre et il réserve habituellement des annonces importantes lors de cet événement. Il n'a pas voulu faire de commentaires sur cette information, ni Belden qui détient Trapeze Networks.
Plusieurs sources anonymes de concurrents de Trapeze ont indiqué que Juniper les avait approchés avant de faire son choix. « Il y a 3 mois, Juniper a rencontré les différents fournisseurs pour évaluer leur taille, les technologies utilisées, les marchés adressés, etc » explique l'un d'eux et d'ajouter « nous avons trois sources différentes qui nous ont indiqué que la décision de rachat de Trapeze avait été prise ».

Une start-up prometteuse

Belden a acquis trapèze fermée en 2008 pour 133 millions de dollars pour ajouter à son portefeuille de produits les contrôleurs WLAN. Il  a tenté de se positionner comme un fournisseur de connectivité filaire (ADSL, câble et fibre optique) et sans fil, mais plusieurs sources soulignent la faible capitalisation de cette acquisition.

Trapeze a été l'une des nombreuses start-up qui a développé le concept de « switch WLAN», donnant aux points d'accès léger WiFi, via un contrôleur central une sécurisation du réseau. Les clients peuvent ainsi se déplacer de manière transparente. Il disposait d'une part de marché de 2,2% en 2009, selon le groupe Dell'Oro, derrière Cisco, Aruba, Motorola, HP, Meru et Alcatel-Lucent.


Au moment de l'acquisition par Belden, Trapeze avait généré 56 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2007 et avait recruté 4 000 clients. Ses produits ont également été vendus en vertu d'accords OEM auprès de 3Com, Enterasys, et Nortel.

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(10/09/2010 11:50:27)

Michael Borman devient PDG de Blue Coat

Le spécialiste la distribution d'applications en réseau  (ADN) a annoncé la nomination de Michael Borman au poste de PDG, succédant ainsi à Brian Nesmith, qui reste dans la société au poste de CTO. Avant d'être nommé PDG d'Avocent Corporation, une société de développement de systèmes de commutation rachetée par Emerson Electric en décembre 2009, Michael Borman a passé 30 années au service d'IBM, à différents postes de direction senior, en charge des produits et ventes à l'international, et a dirigé Blue Martini Software, un éditeur de systèmes de vente automatisés.

Le dirigeant a expliqué dans une conférence téléphonique, ne pas vouloir changer la stratégie de Blue Coat, qui est centrée sur la sécurité et l'amélioration des performances des applications sur le réseau. (...)

(09/09/2010 17:23:56)

HP lance un microserveur pour les petites entreprises

HP a annoncé la sortie prochaine d'un serveur d'entrée de gamme pour les petites entreprises et dont le package contiendra des fonctionnalités avancées malgré le bas prix. Le ProLiant MicroServer s'avèrera donc, pour ces sociétés, être une alternative moins onéreuse, ou même un complément des blades ou des serveurs en rack, selon McLeod Glass, directeur marketing de la section Servers and Software chez HP. Ce bundle comprendra donc une micro-tour de 26,7 x 26 x 21 cm, soit la moitié de la taille des serveurs d'entrée de gamme habituels, afin de pouvoir potentiellement le glisser sous un bureau. Il centralisera les opérations et données d'un petit réseau, les utilisateurs accédant alors à des fichiers partagés sécurisés par la machine. Il sera par ailleurs doté de moins de composants, réduisant la consommation électrique d'autant, et son prix de départ sera de 330 dollars, soit environ le même prix qu'un PC classique, précise McLeod Glass.

HP a positionné ce produit dans une catégorie appelée « microserveurs », inédite à leur catalogue, qui devrait, selon le directeur marketing, être une énorme opportunité économique pour le constructeur. Il affirme qu'environ 1,7 million d'entreprises achèteront leur premier serveur dans les cinq prochaines années, et que ce microserveur devrait répondre aux besoins des petites sociétés.

Garder de la place pour les disques durs

Ce produit est configuré de sorte à avoir les attributs à la fois d'un serveur mais aussi d'un ordinateur de bureau traditionnel. Il est équipé d'un processeur AMD Athlon II double coeur cadencé à 1,3 GHz que l'on trouve en général sur les PC, mais inclut aussi plus d'unité de stockage et des capacités de gestion à distance qui en font un véritable serveur. La carte mère est conçue par HP, et le boitier peut accueillir quatre disques durs SATA, pour un total potentiel de 8 To de stockage. La mémoire vive peut quant à elle atteindre 8 Go, tandis que les capacités de gestion à distance sont activables via une carte insérée dans le port PCI Express. Il comprend aussi une fonctionnalité qui détecte et corrige les erreurs durant les transmissions de données. Ce microserveur tombe du coup plus dans la gamme des serveurs que dans celle des PC, explique Richard Fichera, analyste chez Forrester. « Il semblerait qu'ils intègrent toutes les extensions de la gamme de serveurs ProLiant de HP, et ils devraient donc s'insérer sans encombre dans un environnement serveur ProLiant préexistant ».

Une catégorie encore en pleine définition

Les fournisseurs de matériels avaient déjà mentionné le concept de microserveur par le passé. Intel avait présenté un prototype capable de concentrer un maximum de capacités dans un petit package peu gourmand en énergie durant son Developper Forum de l'an dernier. La catégorie des microserveurs a jusqu'alors été difficile à définir d'après Reuben Miller, analyste chez IDC. Les concepteurs se focalisaient en effet sur la puissance plus que sur les capacités de stockage. L'analyste indique que le SeaMicro SM10000 pourrait tomber dans la même catégorie que le micro serveur de HP, puisqu'il est composé de 512 processeurs Intel Atom à faible consommation sur des cartes mères de la taille d'une carte de crédit. Il est conçu pour inclure le moins de composants possibles afin de gagner de la place et de réduire, ici aussi, l'électricité utilisée, tout comme le serveur Mini d'Apple équipé de deux disques durs.

Le produit de HP n'est peut-être pas classable sous la définition classique des microserveurs, mais il pourrait amener une autre définition à la catégorie, selon Reuben Miller. « Il a tout de même quelques fonctionnalités serveur, suffisantes pour les petites entreprises ». Il explique que ce pourrait être une première étape pour ces sociétés, les aidant à construire un environnement serveur jusqu'à ce qu'elles soient prêtes à investir dans des blades ou des racks d'entrée de gamme.

McLeod Glass n'a pas souhaité préciser si de prochains modèles de ce microserveur seront fournis avec des processeurs Intel. Le ProLiant MicroServer disposera, dans tous les cas, soit de Windows Server 2008 soit de Linux 5 Red Hat Enterprise lors de sa mise sur le marché.

Crédit Photo : HP

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