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(16/10/2007 14:53:34)

Microsoft dévoile un programme d'interopérabilité pour Office Communication

Présent sur le marché de la téléphonie sur IP d'entreprise avec Office Communications Server (OCS) 2007, Microsoft ne veut pas froisser ses partenaires (Cisco, Avaya, Alcatel, Thomson, Siemen, etc.) dont il est pourtant devenu aujourd'hui le concurrent. Pour entériner le message selon lequel OCS est une surcouche logicielle au réseau télécom existant et non une alternative aux PABX installés en entreprise, il vient de lancer un vaste programme d'interopérabilité avec les acteurs traditionnels de la téléphonie. Baptisée « OCS 2007 Open Interoperability Program », cette initiative a pour objectif de certifier le bon fonctionnement entre les PABX et la solution de messagerie unifiée de Microsoft. Deux modèles d'ISR (Integrated Services Router) de Cisco seraient déjà en cours de certification selon Zig Serafin, directeur général de l'entité Unified Communications de Microsoft. Le programme prévoit trois types de certifications différentes : SIP CSTA (Computer Supported Telephony Applications) qui permet aux utilisateurs de contrôler leurs appels via OCS tout en utilisant un poste téléphonique traditionnel géré par un PABX ; OCS Coexistence, une certification qui permet à l'utilisateur de prendre ses appels sur un client OCS ou sur le poste téléphonique ; et enfin Direct SIP (Session Initiation Protocol) qui prévoit des passerelles entre un PABX IP et OCS, certains départements de l'entreprise pouvant alors être en téléphonie traditionnelle et d'autres en OCS sans qu'il y ait de problème de communication entre les deux. Afin de maintenir ses clients informés, Microsoft envisage la création d'un site dédié sur l'avancement du programme de certification. Une cohabitation forcée Rassurante, cette annonce laisse toutefois certains analystes dubitatifs. Microsoft n'a en effet pas le choix s'il veut imposer OCS sur le marché : la plupart des entreprises ne souhaitant pas remettre en cause leur installation réseau télécom existante, OCS devra donc cohabiter. Et ce d'autant plus que, comme le souligne Brent Kelly, analyste senior de Wainhouse Research LLC, OCS n'est pas encore à la hauteur coté voix pour la téléphonie en entreprise. « Les barrières sont nombreuses, estime de son coté Nora Freedman, analyste chez IDC. L'interopérabilité via SIP est une excellente idée mais cela prendra certainement beaucoup de temps pour y parvenir par SIP est un protocole encore trop nouveau. » (...)

(11/10/2007 15:42:37)

Akamai promet d'accélérer les applications IP professionnelles d'un facteur 5 à 10

Avec IP Application Accelerator (IPA), Akamai propose une solution qui permettrait d'accélérer cinq à dix fois une application IP qui transite par Internet. Fort de son savoir-faire en matière d'accélération de sites Web et de tout ce qui utilise le protocole http, Akamai s'intéresse désormais à l'accélération des logiciels en ligne, de la VoIP, des applications client-serveur, bref, de tout ce qui transite en IP public, mais qui n'est pas du trafic http pur. IPA, qui s'adresse à des entreprises qui disposent déjà de centres serveurs de taille conséquente, repose sur l'installation d'un serveur redondant chez le client et sur l'optimisation des échanges par l'entremise de 2500 serveurs Akamai disséminés de par le monde. IPA utilise SureRoute pour optimiser le routage. IPA réduit aussi les temps de latence et les pertes de paquets. Lors d'une démonstration, un transfert entre le Massachusetts et la Californie a été réalisé avec un temps de latence de 79 ms et sans paquet perdu. Sans IPA, le temps de latence était de 202 ms avec 19% des paquets perdus. Selon Patrice Joffa, spécialiste chez Akamai de la performance des applications, IPA peut servir pour une application IP sécurisée à partager entre fournisseurs et partenaires répartis partout sur le globe, en particulier en Asie et en Amérique du Sud, là où l'Internet public a le plus de défaillance. Le système peut supporter une centaine d'accès simultanés. Le prix de la redevance mensuelle se situe entre 10 000 et 20 000 euros. Akamai propose depuis deux ans des outils d'accélération d'extranet. (...)

(10/10/2007 18:01:32)

En 2010, la plupart des entreprises fonctionneront en VoIP, prédit Idate

Selon un récent rapport d'Idate, centre d'études et de conseil spécialisé sur les secteurs Télécoms, Internet et Médias, le marché de la téléphonie en entreprise a opéré un tournant inéluctable vers la VoIP (Voice over IP, voix sur IP). Dans 3 ans, 70% des lignes des entreprises fonctionneraient en effet déjà sur IP contre seulement 30% en TDM (Time Division Multiplexing), solution de téléphonie traditionnelle en nette régression. Synonyme de réduction des coûts de la facture téléphonique, la VoIP touche aussi bien les grands comptes que les PME. Début 2006, 56% des grands comptes avec déjà basculé vers la téléphonie IP, adoptant des solutions « Full IP » ou « hybrides », mixtes de TDM et de VoIP. Dans les PME, en revanche, elles n'étaient que 12%, mais selon Idate le taux de pénétration est aujourd'hui plus rapide sur ce secteur qui devrait ainsi progressivement rattraper les grands comptes. Cet engouement pour la téléphonie sur IP a bien entendu un impact sur les équipementiers, les intégrateurs et les opérateurs. On devrait en effet assister à une réorganisation du marché. Idate prévoit une baisse de la demande sur les solutions hybrides au profit de plateformes « full IP » composées de PABX IP et de téléphones IP. Les solutions de type Centrex IP (externalisation des fonctions de PABX auprès d'un prestataire) resteront encore marginales. Selon les prévisions les plus optimistes, en 2010 seulement 20% du marché mondial (en nombre de ports) s'intéresserait à cette alternative, la part estimée en Europe étant encore en deçà. Enfin, il semblerait que les solutions Mobile PBX (installation IP appliquée aux périphériques mobiles) soient encore plus boudées : elles ne représenteraient que 10% de marché mondial en 2010. (...)

(09/10/2007 10:56:13)

La RFID, un semi-échec chez Wal-Mart

Retour sur investissement catastrophique, inflation incontrôlée des stocks, coûts d'exploitation prohibitifs... la pilule RFID passe mal chez Wal Mart. Baseline consacre tout un dossier à ce pionnier du RFID dans le domaine de la grande distribution. Les étiquettes « intelligentes » devaient, si l'on en croit les nombreuses analyses et études de cas, supprimer tout risque de rupture de stock, tout en assurant une diminution des immobilisations, grâce à une meilleure gestion en « flux tendu » de tout le « supply chain management ». En fait de réduction, les stocks ont augmenté entre 5 et 9% selon les trimestres. Les coûts d'exploitation eux-même ont subit une inflation très nette par rapport aux années précédentes « sans RFID ». Pourtant, malgré ces cafouillages, « il n'est pas question d'abandonner le projet, le train à quitté la gare, nous ne reviendrons pas en arrière », insiste la Direction. Cette aventure est un véritable « cas d'école », d'autant plus emblématique que Wal-Mart est considéré comme LA plateforme-test pour tous les fournisseurs de spychips. Une plateforme qui a servi de cible aux attaques des associations de défense de consommateurs, des spécialistes du hacking, tel que RFIdiot ainsi qu'aux critiques des lobbies anti-rfid tels que le Caspian. Restons encore un instant dans le domaine des RFID pour rappeler l'existence du projet Open Source européen OpenBeacon.org, qui tente de lancer un maillage constitué de micro-transmetteurs RFID sur 2400 MHz. Espérons que cette initiative, quoique fort louable, ne viendra pas alourdir le niveau de perturbation de cette bande de fréquence déjà fortement surchargée. (...)

(08/10/2007 12:34:39)

Wimax se généralisera en 2009, avant de céder la place à LTE

Selon le cabinet d'études américain spécialisé dans les technologies sans fil ABI Research, Wimax a encore quelques beaux jours devant lui avant toutefois de céder la place à la norme LTE (Long Term Evolution). La bataille pour la technologique des réseaux sans fil de quatrième génération ne fait en effet que commencer. Mais Wimax bénéficie de deux ans d'avance sur LTE, deux années qui font dire au cabinet qu'en 2012, 95 millions d'équipements connectés et 200 millions de périphériques mobiles utiliseront cette technologie. Pour Philip Solis, analyste principal 'mobile broadband' d'ABI Research, les périphériques et services Wimax commenceront en effet à apparaître dès 2008 et se développeront largement à travers le monde dès 2009. L'analyste s'appuie sur l'intérêt des opérateurs pour cette technologie pour donner Wimax gagnant sur les prochaines années. Il mentionne notamment Sprint Nextel et Clearwire en tête, deux opérateurs américains qui bâtissent déjà leur réseau Wimax dans certaines régions du pays et ont surtout passé un accord de roaming pour assurer le fonctionnement des terminaux d'un réseau à l'autre afin de favoriser le développement de la technologie. En Europe, Vodafone prévoit également de couvrir le continent avec un réseau Wimax, selon l'étude. Toutefois, et bien que persuadé de l'inévitable développement de Wimax dans les années à venir, ABI Research prédit un succès de courte durée à cette technologie. Dès 2012, LTE devrait en effet prendre la relève, cette technologie présentant de nombreux avantages sur Wimax dont la rétro-compatibilité avec les équipements GPRS et UMTS sans oublier une meilleure bande passante (100 Mbps contre 70Mbps pour Wimax), une accessibilité jusqu'à 100 kilomètres de distance, etc. D'ailleurs de nombreux opérateurs, surtout en Europe où LTE se développe plus favorablement, ont déjà commencé à effectuer leurs premiers tests avec LTE dont Orange, T-Mobile International ou encore Vodafone, qui travaillent en étroite collaboration avec Alcatel, Nokia, etc. (...)

(01/10/2007 08:48:15)

3Com se vend 2,2 Md$ à un fonds d'investissement

Après avoir repris l'intégralité de sa fabrication en main en novembre dernier, en rachetant ses parts à Huawei, 3Com a décidé de s'adosser à un fonds d'investissement : Bain Capital Partners acquiert l'équipementier réseaux pour environ 2,2 Md$, soit une prime de 44% par rapport au cours de clôture de l'action le 27 septembre. Le bruit que 3Com était à vendre courait depuis quelque temps déjà, et Nortel y aurait été sensible. L'opération menée avec Bain Capital Partners permet à 3Com de rester indépendant, et de conserver ses relations privilégiées avec Huawei. L'équipementier chinois profite en effet de la transaction pour s'octroyer une part minoritaire dans le capital. Huawei et 3Com avaient fondé en 2003 une coentreprise basée à Hong-Kong (mais avec des usines en Chine), laquelle avait permis à 3Com de revenir sur le marché des coeurs de réseaux d'entreprise, qu'il avait abandonné quelques années auparavant en allant chercher de la rentabilité du côté des PME. L'Américain avait mis fin à la joint-venture en rachetant pour 882 M$ les 49% de parts du Chinois. Mais Huawei était resté le premier client de l'équipementier, comptant pour 30% environ du chiffre d'affaires. A noter que dans le même temps, les fonds d'investissement Silver Lake Partners et TPG viennent de recevoir l'accord des actionnaires pour l'acquisition d'Avaya pour 8,2 Md$. La transaction devrait être finalisée dans le courant du mois. (...)

(24/09/2007 15:31:43)

Cisco sort son premier point d'accès sans fil à la spécification 802.11n

Cisco revient sur sa décision de ne pas commercialiser du 802.11n, norme WiFi haut débit qui est toujours l'enjeu d'une intense lutte de pouvoir. Le constructeur affirme que les progrès réalisés permettent de proposer un produit qui garantit l'investissement des utilisateurs. Le point d'accès Aironet 1250, nom du produit dévoilé, pourra être mis à jour sur site. Cisco revendique pour ce point d'accès commercialisé 1 300 $ un débit théorique de 300 Mbits. L'actuelle norme 802.11g ne permet d'atteindre que 54 Mbits. Rappelons que l'adoption des spécifications de la norme de réseau sans fil 802.11n a vu s'affronter deux groupes de pression : TGnSync emmené par Intel et Atheros, d'une part, et le World-Side Spectrum Efficiency (WWiSE), d'autre part, regroupé autour d'Airgo. (...)

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