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(31/08/2009 16:45:51)

Semestriels : Sopra limite la chute de son CA à moins de 1%

Sopra a présenté ce matin, 31 août, les résultats de son premier semestre 2009 qui laisse transparaître une bonne résistance à la situation de crise actuelle. Le chiffre d'affaires de la SSII française pour la période s'élève à 544,8 M€ contre 549,6 M€ pour le premier semestre 2008, soit une baisse de 0,9%. La diminution de - 4,3% du CA organique le situe au même niveauque l'ensemble des SSII françaises plutôt en difficulté sur la première moitié de l'année. Le résultat net de 10,8 M€ (contre 24,7 M€ l'an dernier) accuse une chute de près de 57%. Le résultat opérationnel courant de 26,5 M€ (-35%) assure néanmoins une marge opérationnelle courante de 4,9 % (contre 7,4 % en 2008). La crise est une des explications fournies par Sopra pour cette baisse de son CA. Pierre Pasquier, PDG de la SSII, explique néanmoins que ses clients ont différé, ou morcelé, certains projets sans les annuler pour autant. Des pays comme l'Espagne, particulièrement touchés par la crise, ont aussi affecté les ventes. Enfin, la société a tout simplement eu du mal à rester à la hauteur de ses très bons chiffres de l'an dernier. Des charges de personnel en hausse Les charges de personnel ont crû de 1,4%. Comme l'explique Pierre Pasquier, PDG de Sopra, la société a réduit de près d'un tiers le nombre de sous-traitants qu'elle emploie, mais elle a aussi recruté 300 personnes en début d'année et augmenté légèrement les salaires. « Nous avons par exemple eu recours à des stagiaires que nous hésitions à transformer en CDI, ajoute-t-il, et nous les avons finalement transformés. » En juin, Sopra comptait 12 750 employés. L'intégration de systèmes et solutions (ISS), qui représente près de deux tiers de l'activité de Sopra, a augmenté de 2,8% en France à 353,2 M€, alors qu'elle a plongé de 17,9% en Europe à 89,5 M€ (-14,3% en croissance organique). Axway, la filiale de Sopra éditeur de logiciels de transfert de données, a vu son CA grimper de 14,9% au total mais reculer de 14% en organique. Elle avait absorbé, en fin d'année dernière, le spécialiste du transfert de fichiers B2B, Tumbleweed. Les solutions applicatives, dont celles d'Axway, comptent pour 27% dans le CA de Sopra. Le conseil en management (12%) subit de son côté une forte baisse d'intérêt (-23,1% à 19 M€) qui conforte Sopra dans son idée de regrouper l'ensemble des activités de conseil (Orga Consultants et activité de business consulting). Les commandes du secteur public en forte croissance [[page]]Le secteur des services financiers représente 29% des ventes, devant l'industrie avec 18% (une dizaine de grands comptes dont EADS) et le secteur services/transports/énergie pour 18% également. « Progressivement, nous assistons aussi à une énorme poussée des prises de commandes du secteur public - aujourd'hui 16% du C.A., ajoute Pierre Pasquier, en particulier en France. » La SSII a signé cette année des contrats et en a renouvelé d'autres avec nombre de grands comptes comme EDF, BNP Paribas, HSBC, le Minefi pour le système d'information financière de l'Etat Chorus, le Ministère de la Défense ou encore EADS. En trois ans, le CA réalisé par Sopra pour EDF a triplé, tant en conseil, qu'en assistance à maîtrise d'ouvrage, formation, CRM, etc. L'industrialisation des back-offices bancaires est par ailleurs à l'origine de toute une série de grands projets complexes. (...)

(31/08/2009 15:40:00)

Intel révise ses prévisions pour le 3e trimestre à la hausse

Intel se montre plus optimiste que prévu sur les résultats de son troisième trimestre fiscal (clôture fin septembre). Le fabricant de processeurs pense désormais réaliser un chiffre d'affaires de 9 milliards de dollars sur cette période, plus ou moins 200 M$. Sa précédente indication, communiquée le 14 juillet avec, certes, une visibilité moindre, s'établissait à 8,5 Md$, plus ou moins 400 M$. Intel évalue aussi que sa marge brute (chiffre d'affaires duquel sont retranchés les coûts liés aux ventes) devrait tourner autour de 53%, plus ou moins deux points. Au cours des deux derniers mois, Intel a acquis Cilk et Rapidmind, deux petits éditeurs (moins de cinquante salariés) investis dans les outils de programmation parallèle destinés aux processeurs multi-coeurs. Le Californien présentera les résultats de son troisième trimestre le 13 octobre prochain. D'ici là, les conditions économiques peuvent évidemment changer, entraînant un décalage dans les achats des entreprises. Cela dit, les révisions d'Intel sont en ligne avec celles de Gartner, le cabinet estimant que le recul sera moins important que prévu sur le marché des semiconducteurs en 2009 (-17% contre les -22,4% précédemment évalués). Ces prévisions font également écho aux déclarations de Michael Dell, la semaine dernière. Le PDG de Dell a précisé que le deuxième semestre 2009 serait meilleur que les six premiers mois (en recul de 23%) pour le constructeur texan, si la demande se maintenait à son niveau actuel. En fin de semaine dernière, le marché boursier a réagi favorablement à toutes ces réévaluations revoyant à la hausse les titres d'AMD, de Dell, de HP et d'Intel. (...)

(31/08/2009 09:36:58)

A la veille de VMworld, VMware affiche fièrement ses chiffres de vente

En guise de prologue à l'ouverture de son salon VMworld (31 août-3 septembre, San Francisco), l'éditeur VMware a communiqué quelques chiffres qui visent à démontrer l'ampleur et le dynamisme du succès de son offre d'hypervision. Pour le premier semestre 2009, VMware revendique 21 000 nouveaux clients. Ce qui porte la population totale à 150 000. L'éditeur communique aussi le chiffre de 350 000 livraisons de ses différents logiciels depuis la disponibilité de vSphere 4.0, fin mai dernier. Ce qui est différent du nombre de clients. Par ailleurs, on ignore si ce mot "livraison" englobe ou non les exemplaires d'hyperviseurs préchargés sur leurs machines par les fournisseurs de serveurs. Quoi qu'il en soit, étant donné que VMware est le seul acteur des trois principaux du marché à facturer ses hyperviseurs, ces chiffres prennent une autre dimension que ceux, par exemple de Citrix. Mi-août, ce dernier revendiquait le téléchargement de 150 000 exemplaires gratuits de XenServer. De là, il extrapolait le fait que 10% des 500 plus grands comptes du classement du magazine américain Fortune avaient activé et utilisaient XenServer. Mais, en regardant le CA généré par les logiciels compagnons de XenServer et qui servent à l'administrer, on constate qu'il est nettement inférieur à 16 M$. Quant à Microsoft, il devrait rapidement publier des chiffres qui mêleront ceux de Windows Server 2008 et d'Hyper-V R2. (...)

(28/08/2009 14:32:53)

Semestriels Dell : le chiffre d'affaires chute de 23%

Dell n'est pas parvenu à redresser la barre au cours de son deuxième trimestre fiscal, clos le 31 juillet. Son chiffre d'affaires a baissé de 22% à 12,76 Md$ et son bénéficie net de 23% à 472 M$. Toutefois, ce trimestre est moins mauvais que le précédent (à l'issue duquel le constructeur a accusé un recul de 23% sur le CA et de 63% sur son bénéfice net). Le groupe a réussi à augmenter de 1,1 point sa marge brute à 18,7% et à diminuer de 14% ses coûts opérationnels, à 1,72 Md$. Les ventes de PC (26% du CA) ont baissé de 33% et les ventes de portables (30% du CA) de 21%. L'ensemble serveur et réseau (11% du CA) diminue de 11%. Quant au stockage (4% du CA), il marque aussi le pas, avec un recul de 11%. La répartition par clientèle montre que l'activité grands comptes (26% du CA) enregistre la plus forte baisse (-32%), suivie par l'activité PME (22% du CA) avec -29% et les ventes auprès du secteur public (30% du CA) qui baissent de 16%. Les ventes au grand public (22% du CA) ne diminuent que de 9%, mais avec un résultat opérationnel moindre en proportion, par rapport aux autres activités (89 M$). Les boursiers, qui avaient anticipé un trimestre encore moins bons, ont salué les résultats en revalorisant le cours de l'action. Il y a une semaine, le PDG d'HP affirmait que son groupe résistait mieux que ses concurrents à la crise. C'est le cas face à Dell, son principal concurrent sur le marché de la micro et des serveurs x64. (...)

(25/08/2009 12:27:37)

Semestriels : Gemalto améliore son CA de 1% grâce à la sécurité

Dans un climat économique particulièrement difficile pour les fabricants de cartes à puces, le Français Gemalto parvient à maintenir ses résultats dans le vert. Le chiffre d'affaires dépasse les 800 M€, en hausse de 1% par rapport à la même période un an plus tôt. Le résultat opérationnel grimpe de 6,5%, à 74 M€. Seul le résultat net accuse une légère baisse, de 0,2%, à 62,3 M€. La téléphonie mobile représente toujours la principale source de revenu du groupe avec 416 M€, même elle accuse une chute de 11% à taux de change constant. La sécurité en revanche enregistre une belle progression (+26%) avec un chiffre d'affaires semestriel de 130 M€, notamment grâce à l'accélération de programmes gouvernementaux concernant la généralisation des pièces d'identité numériques aux Etats-Unis mais aussi dans certains pays en Afrique et en Australie. Le coup de pouce du FSI, en France En juin dernier, Gemalto a par ailleurs bénéficié d'un coup de pouce financier non négligeable de la part de l'Etat français, via le Fonds stratégique d'investissement (FSI) créé en novembre 2008 par Nicolas Sarkozy. Le FSI a racheté 8% du capital de la société, pour un montant de 160 M€. Cette opération (la sixième du genre depuis la création du Fonds) a ainsi mis fin aux tentatives de prise de contrôle de Gemalto par l'ancien premier actionnaire du groupe, l'Américain TPG Capital, longtemps soupçonné de chercher à s'approprier la technologie biométrique mise au point par la société française. Au cours du premier semestre, la société a racheté 0,1% de son capital, pour 2 M€ (ce qui correspond à 112 716 actions). Elle détient désormais 6,4% de son capital. Dans un entretien accordé à Reuters, Olivier Piou, DG du groupe, a par ailleurs que Gemalto comptait poursuivre dans cette voie. -Le 2 juin : L'Etat français met un pied dans le capital de Gemalto
-Le 23 octobre 2007 : Troisième semaine de grève pour les salaries de Gemalto Orléans
-Le 4 juillet 2005 : Les Etats-Unis intéressés par la biométrie de Gemplus
(...)

(20/08/2009 17:25:23)

Les ventes d'imprimantes chutent de 24,4% au 1er semestre.

Avec 18 millions d'unités vendues sur les six premiers mois de l'année, le marché des imprimantes a baissé en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (EMEA) de 24,4% par rapport au même semestre de 2008, selon Gartner. Cette analyse prend en compte aussi bien les imprimantes classiques que les copieurs et les multifonctions. Pour expliquer une telle chute, le Gartner s'en tient à l'impact de la crise qui a été préjudiciable aux clients, qu'il s'agisse de particuliers ou d'entreprises. Mais cela ne suffit pas à expliquer l'ampleur de la baisse sur ce marché, supérieure à celle enregistrée sur tous les autres secteurs informatiques. une dégringolade de plus de 30% pour HP Les principaux constructeurs sont très affectés, mais dans des proportions différentes. Le n°1, HP, est le plus atteint avec une chute de 31,5% de ses ventes. Il est passé de 44,6% à 40,5% de parts de marché et de 10,6 à 7,3 millions d'unités vendues. C'est Canon qui enregistre le deuxième plus mauvais score avec -25,8% et 16,1% de parts de marché contre 16,4%. Canon a vendu 2,9 millions d'imprimantes contre 3,9 millions un an auparavant. Les trois suivants semblent un peu moins affectés, en tout cas, ils se trouvent sous la moyenne des 24,4% de baisse. Epson suit Canon de très près avec 14,4% de parts de marché (contre 16,1% à son rival). Il baisse de 16,3% par rapport à l'an passé avec 2,6 millions d'unités vendues conte 3 millions un an auparavant. Brother, quatrième, baisse de 8,4% avec 1,4 million d'unités vendues, contre 1,5 million au 1er semestre 2008. Brother passe de 6,3 à 7,6% de parts de marché. Collant aux basques de Brother, Samsung est à -6,2%, et 7,4% de parts de marché (1,3 million de ventes), contre 6% (et 1,4 million de ventes) au 1er semestre 2008. Les autres fabricants sont collectivement à -22,9%, ils représentent 14% de parts de marché contre 13,7% un an auparavant. (...)

(19/08/2009 16:25:30)

A l'exception des services, HP affiche un 3e trimestre exécrable

HP clôt son troisième trimestre sur des résultats particulièrement moroses. Le CA baisse de 2% à 27,5 Md$ et le résultat net de 19% à 1,6 Md$. Ces baisses interviennent malgré une très forte hausse de l'activité de services du géant, grâce au rachat d'EDS, des réductions de salaires et le licenciement de 2% des salariés (en sus des 16 000 postes déjà supprimés dans le cadre de l'intégration d'EDS). Avec une baisse de CA de 12% à 9,9 Md$, c'est l'Europe qui affiche les plus mauvais résultats. Pendant ce temps, le CA a progressé de 8% aux Etats-Unis à 12,8 Md$. Un résultat brut opérationnel sauvé par les services L'activité de services est la seule dans laquelle HP parvient à juguler la crise. Son CA a gonflé de 93% à 8,5 Md$ et son résultat brut de 127% à 1,29 Md$ avec l'intégration d'EDS. Et c'est grâce aux services que le résultat brut opérationnel global progresse de 8% à 3,18 Md$. A l'exception du logiciel (+13% à 153 M$), toutes les autres activités voient leur rentabilité baisser : -34% pour la micro et - 35% pour le tandem serveurs - stockage et même -8% pour la division imprimantes et image. Les ventes de micros se sont effondrées de 18% à 8,4 Md$ malgré une hausse des livraisons de 2%. Le CA des portables baisse de 10% à 4,8 Md$ et celui des machines de bureau de 26% à 3,09 Md$. HP revendique toutefois des gains de part de marché, tant sur la micro que sur les serveurs x86. Sur ces derniers, il enregistre une baisse de CA de 21% à 2,26 Md$. Les ventes stockage ne font pas mieux (-21% à 820 M$). Et les serveurs d'entreprise enregistrent une chute de 30% à 578 M$. Les consommables aussi subissent la crise [[page]]Les ventes d'imprimantes souffrent avec un CA de 5,7 Md$ en régression de 20%. Même les consommables (70% du CA) accusent une diminution de 12% de leurs ventes. Quant aux logiciels, ils perdent 22% à 847 M$. HP confirme ses prévisions de mai qui anticipaient une baisse du CA annuel de 4 à 5%. Son PDG, Mark Hurd, estime toutefois que l'environnement économique a touché le fond et que son groupe résiste mieux que ses concurrents à la crise. (...)

(13/08/2009 16:09:37)

+27% de smartphones vendus au 2e trimestre, selon Gartner

Entre avril et juin, plus de 40 millions de smartphones ont été achetés dans le monde, ce qui représente une progression de 27% par rapport à l'an dernier, vient d'indiquer Gartner. En tête des fournisseurs, Nokia se maintient encore loin devant ses deux grands concurrents avec, à lui seul, près de 18,44 millions de terminaux vendus. Les 45% de parts de marché (en volume) du Finlandais se sont légèrement effritées par rapport à l'an dernier (47,4%) au profit de RIM et d'Apple. Le fabricant américain du Blackberry a augmenté légèrement sa position avec 18,7% de parts et 7,68 millions de terminaux écoulés (contre 5,59 millions d'exemplaires et 17,3% au deuxième trimestre 2008). Quant à Apple -sur le podium depuis le troisième trimestre 2008, il s'octroie 13,3% de parts (2,8% l'an dernier) avec un peu plus de 5,4 millions de smartphones vendus. Une performance qui a d'ailleurs dopé le chiffre d'affaires trimestriel du fabricant de l'iPhone. Les ventes du modèle iPhone 3G S, livré fin juin, ne pèseront significativement dans les chiffres qu'au second semestre. Derrière le Californien suivent HTC et Fujitsu avec 6% et 3% de parts. Symbian et Windows Mobile cèdent du terrain Sur ce deuxième trimestre, Gartner fait à l'inverse état du recul de 6,1% des ventes de téléphones mobiles, à 286,1 millions d'exemplaires. Le créneau des smartphones permet aux fournisseurs de réaliser des marges plus élevées, avec un niveau de prix moyen qui résiste mieux que sur le terrain des mobiles. La progression du Blackberry et de l'iPhone a réduit de 57% à 51% la domination du système d'exploitation Symbian -celui qu'utilisent les gammes de Nokia en particulier. Android, l'OS de Google récemment mis en fonction dans des terminaux, n'avait encore gagné que 2% du marché sur ce deuxième trimestre. Quant au système d'exploitation de Microsoft, Windows Mobile, il réduit sa part à 9%. Pour regagner du terrain, la société de Steve Ballmer et Nokia viennent tout juste d'annoncer que la suite bureautique Office allait être portée sur Symbian, mais sans indiquer de date précise. Parmi les fabricants exploitant des licences Windows Mobile, HTC et Samsung continuent d'ajouter des fonctions à leurs propres interfaces au-dessus de l'OS de Microsoft pour livrer des modèles plus attractifs, rappelle Roberta Cozza, analyste chez Gartner. Enfin, le Palm Pre, sorti ce trimestre, ne s'est écoulé qu'à 205 000 exemplaires et l'analyste s'interroge sur la capacité de son fabricant, Palm, 10e au classement des vendeurs de smartphones, à s'imposer au-delà du marché américain. (...)

(13/08/2009 11:38:56)

Apple vaut plus cher que Google en bourse

Chi va piano va sano. Sur les cinq dernières années, c'est la valeur boursière d'Apple qui s'est la plus appréciée parmi les grandes sociétés high-tech cotées aux Etats-Unis. Sa capitalisation a été multipliée par douze (+1150%) à 148 Md$ (à la clôture du 10 août). Cette performance lui permet de valoir plus cher aujourd'hui que Google, qui n'a progressé "que" de 530%, à 145 Md$. Estimé à 254 Md$, Microsoft caracole toujours en tête, malgré une dépréciation de 29%. IBM, qui n'a augmenté que de 11%, reste deuxième avec une valeur de 156 Md$. Bien sûr, ce genre d'instantané n'a qu'un intérêt limité. Comparé au cours le plus haut sur cinq ans, le cours d'Apple pris en référence a baissé de près de 17%. Celui de Google a, quant à lui, chuté de près de 36%. En revanche, il montre que les boursiers voient toujours un bel avenir pour Apple. Même si ils ne lui accordent un PER (Price Earning Ratio - cours de l'action / bénéfice par action) que de 28,4 alors que celui de Google est de 31,63. A l'inverse, Microsoft, avec un PER de 14,4, et IBM, avec un PER de 16,67, ont beaucoup moins la cote. (...)

(07/08/2009 16:54:28)

Cisco termine son année fiscale sur un trimestre très morose

Cisco a clos son quatrième trimestre sur un CA en baisse de 17,6% à 8,5 Md$ et sur un net en chute de 42,4% à 1,1 Md$. Sa marge brute s'est maintenue à 64%. La comparaison avec le quatrième de l'exercice précédent est d'autant plus douloureuse qu'il demeure le meilleur trimestre jamais réalisé par le groupe. Sur l'année, le lissage entre les trimestres avant la crise qui a explosé à l'automne et les suivants, permet à Cisco de n'annoncer que 8,7 % de baisse de CA et 24% sur le bénéfice net à 6,1 Md$. Les résultats non-Gaap présentés par Cisco, lui permettent d'annoncer un bénéfice net de 1,8 Md$ au quatrième trimestre (-23%) et de 8 Md$ sur l'année (-17%). Le PDG du groupe, John Chambers a déclaré que le climat actuel est "clairement le plus difficile défi économique depuis notre création." C'était il y a 25 ans. Au quatrième trimestre, Cisco a -enfin- commencé à livrer les serveurs lames au coeur de son offre "Unified Computing", présentée en grande pompe en mars dernier. Au cours de ces trois mois, l'Amérique du Nord a vu son CA baisser de 13% à 4,8 Md$, tandis que l'Europe enregistrait une baisse de 19% à 1,7 Md$ et l'Asie -20% à 1 Md$. Sur l'ensemble de l'année, la vente de produits a représenté 80% du CA et les services 19% (en hausse de 8%). Au sein des produits, les switches ont généré 33% du CA total de Cisco (en baisse de 11%), les routeurs 17% (en baisse de 21%) et ce que le groupe appelle "Advanced technologies" 25% (en baisse de 4%). Advanced technologies englobe des lignes de produits comme la vidéo, les communications unifiées, la sécurité, les réseaux individuels, etc. (...)

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