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(29/05/2009 17:12:31)

Les ventes mondiales de serveurs chutent de 24,5% au 1er trimestre selon IDC

Les livraisons mondiales de serveurs ont chuté de 26,5% sur les trois premiers mois de l'année, à 1,49 million de systèmes, par rapport au premier trimestre 2008, selon IDC. Le chiffre d'affaires résultant des ventes faites aux distributeurs recule quant à lui de 24,5%, à 9,9 milliards de dollars. Il s'agit du troisième trimestre consécutif enregistrant une baisse de ce marché (-12% sur les livraisons et -14% sur les revenus au dernier trimestre 2008). En tête des ventes, HP et IBM s'octroient chacun 29,3% des parts (2,9 Md$). Derrière eux arrivent Dell, avec 11% (1,09 Md$), Sun Microsystems, avec 10,3% (1 Md$), et Fujitsu/Fujitsu Siemens, avec 6,7% (667 M$). La compression des budgets IT a conduit les entreprises à ralentir le remplacement de leurs serveurs, constate IDC. Le marché s'est détérioré sur toutes les zones géographiques, note Matt Eastwood, vice président d'IDC, chargé des plateformes d'entreprise. La diminution du chiffre d'affaires s'explique aussi par le passage à la virtualisation et la consolidation de serveurs qui en découle, les entreprises cherchant à améliorer l'utilisation des machines déjà installées. Le cabinet d'études estime que la demande commencera à reprendre des couleurs au second semestre en prévision d'une reprise économique en 2010. Selon lui, la majorité des achats réalisés au premier trimestre ont été surtout le fait d'entreprises de taille moyenne, en quête de capacités serveurs plus importantes. Les ventes de serveurs x86 marquent davantage le pas Sur la période, la baisse des revenus est plus forte sur les plateformes x86, en recul de 28,8% (à 5,1 Md$, pour 1,4 million de systèmes livrés) que sur les systèmes à base d'autres processeurs dont les ventes s'établissent à 4,8 Md$ (-19,4%) pour quelque 64 450 machines vendues. Sur cette deuxième catégorie, IBM détient 42,8% de parts de marché, devant HP (21,8%) et Sun (18,2%). Le marché des serveurs Unix enregistre une baisse de 17,5% en valeur par rapport au premier trimestre 2008. Il pèse un tiers du marché (3,3 Md$). IBM détient 31% de ce segment, suivi de Sun et de HP, chacun d'eux en possédant 27,7%. Les ventes de systèmes sous z/OS d'IBM s'établissent à 889 M$ (9% du marché, en baisse de 18,9%). Celles des serveurs sous Windows baissent davantage. Elles se situent à 3,7 Md$ (-28,9%) et pèsent 37,3% du marché. Enfin, les livraisons de serveurs sous Linux (13,8% du marché) diminuent de 24,8% à 1,4 Md$, ce qui constituent leur niveau le plus bas depuis cinq ans. A noter que, pour la première fois, le segment des serveurs lames a également enregistré un repli : -14,4% en valeur (à 1,1 Md$, 11% du marché), -18,1% en volume par rapport au premier trimestre 2008. Un segment sur lequel HP dépasse les 52% de parts sur le trimestre. (...)

(29/05/2009 15:14:07)

Malgré un mauvais trimestre, Dell accumule les liquidités

Au premier trimestre de son exercice fiscal 2010, Dell a particulièrement souffert. Avec un CA en baisse de 23%, son résultat net a fondu de 63%. A cela trois raisons. Pour commencer, le groupe qui ne tire que 23% de son CA des ventes au grand public était particulièrement exposé à la morosité du marché professionnel. Ses ventes grands comptes et PME (51% de son CA) ont chuté de plus de 30% alors que celles vers le grand public n'ont baissé que de 13%. Par ailleurs, Dell tarde à s'adapter au glissement de la demande des PC fixes vers les portables. La chute de 34% des ventes de PC de bureau s'est accompagnée d'une baisse de 30% du CA généré par les portables. A titre de comparaison, les ventes de portables d'HP n'ont baissé que de 13% sur la même période. Enfin, le poids des activités services (10% du CA) et stockage (4% du CA) est insuffisant pour compenser le ralentissement du coeur de l'activité de Dell. Le Texan compte d'ailleurs se diversifier. Il dispose désormais d'une cagnotte estimée à 9,7 Md$ (16% d'augmentation en trois mois). Steve Felice, président de l'activité PME, a bien précisé que cette somme serait consacrée à des opérations de croissance externe. Il n'a pas évoqué la situation des milliers de ses salariés visés par le programme de suppression de 8800 postes. (...)

(22/05/2009 12:12:27)

Le dernier trimestre fait plonger Lenovo dans le rouge pour toute l'année

Le très mauvais quatrième trimestre de Lenovo fait plonger l'ensemble de son année fiscale dans le rouge. Pour ce constructeur, qui reste numéro un du marché chinois avec une part de marché d'environ 25%, les trois derniers mois ont été catastrophiques. Sur une diminution de 25% du CA, les pertes, qui atteignent 264 M$, sont beaucoup plus importantes que celles anticipées par les analystes. Ajoutées à celles de 96,7 M$ du troisième trimestre, elles font plonger les résultats annuels dans le rouge (226 M$ de pertes). Le groupe se dit victime de la récession qu'a connue le marché micro au deuxième semestre. Sur le quatrième trimestre, il voit son CA aux Etats-Unis et en Europe baisser de 33% à, respectivement, 682 et 591 M$. Ces deux régions génèrent d'importantes pertes opérationnelles. Tout comme pour Dell, la forte présence de Lenovo sur un marché professionnel encore plus atone que le marché grand public explique sa chute. De plus, en tant que numéro un du marché chinois, il a aussi beaucoup souffert de son retournement très brutal. Devant l'ampleur du désastre, la nouvelle direction du quatrième fabricant mondial de micro, la précédente ayant été débarquée en février, a dû annoncer que l'exercice qui débute sera aussi déficitaire. Tout laisse à penser que les 2500 suppressions de postes annoncées en janvier dernier seront suivies par d'autres. En juillet dernier, IBM avait continué de se retirer du capital de Lenovo en dégageant une plus value. Le groupe américain ne détient plus que 4,7% du Chinois. (...)

(20/05/2009 17:11:07)

Encore en baisse au T2, HP prévoit 6 400 suppressions de poste de plus

HP continue l'année 2009 à la baisse. Et sans la prise en compte d'EDS, racheté l'été dernier, HP aurait vécu un deuxième trimestre bien pire. En fait, le CA baisse de 3% et le résultat net de 17%. Dans la foulée de ces mauvais résultats, dont l'annonce a poussé l'action à la baisse, le groupe a annoncé la suppression de 6 400 emplois supplémentaires. Cette réduction s'ajoute aux 25 000 suppressions de postes dans le cadre de l'intégration d'EDS à HP. Sur le continent américain, HP a vu son CA augmenter de 9% (44% du CA). Mais l'activité en Europe (39% du CA total) a baissé de 11%. Mark Hurd, PDG du groupe, affirme ne pas voir d'embellie à l'horizon. D'où des prévisions très conservatrices pour le troisième trimestre. Il anticipe un CA stagnant, voire en baisse légère. Les perspectives de CA annuelles sont aussi en berne (- 4 à 5% de CA). Ce trimestre, ce sont encore les activités centrées autour du matériel qui affichent les plus mauvais résultats. Sur l'ensemble de ses divisions, HP constate une baisse du CA plus nette sur les produits professionnels que sur ceux destinés au grand public. Les services sauvent la mise Sous l'effet de l'intégration d'EDS, l'activité services d'HP voit son CA bondir de 99%. HP se garde bien de communiquer des chiffres à périmètre comparable. L'activité service représente désormais 31% du CA total d'HP et, grâce à une marge de 13,8%, génère plus de 38% de son résultat opérationnel. L'impression reste la vache à lait Même si la division impression affiche une très nette baisse d'activité (-22%), elle contribue à hauteur de 21% au CA total. 69% de son activité en provenance de la vente de consommable propriétaire lui permet d'afficher une marge record de 18% et de contribuer à hauteur de 35% au résultat opérationnel. La division entreprise sauvée par le stockage La division entreprise, qui regroupe tous les types de serveurs commercialisés par HP et ses systèmes de stockage, enregistre la plus forte baisse d'activité (-27%). Sur fond d'une marge en nette baisse à 7%, son résultat opérationnel s'effondre de plus de 61%. Si cette division contribue à hauteur de 12% au CA total, elle n'apporte que 8% au résultat opérationnel. L'activité centrée sur les serveurs X64, qui génère un quart du CA de cette division, a enregistré une baisse d'activité de 29%. A noter que les serveurs lames ne subissent qu'une baisse de 12% de leur CA. Le stockage, qui représente 57% du CA de cette division, enregistre la baisse de CA la moins importante (-22%). L'informatique personnelle sauvée par les portables La division systèmes personnels enregistre une baisse de près de 19% de son CA alors que le volume des livraisons reste étal. Les portables, qui pèsent 57% du CA de la division, enregistrent une baisse de CA de 13% malgré une hausse de 14% des livraisons. Côté PC de bureau, c'est la chute sur les deux tableaux : -24% du CA et -13% des livraisons. Cette division, qui représente 30% du CA total du groupe, ne contribue qu'à hauteur de 12% à son résultat opérationnel en raison d'une marge de moins de 5%. Le logiciel baisse mais pèse davantage dans le résultat opérationnel Quant à l'activité logiciel, si son CA en baisse de 15% pèse moins de 4% du CA total, elle voit, grâce à une marge de 17,8%, son résultat opérationnel progresser de 51%. Ce qui porte sa contribution au résultat opérationnel total à 5%. (...)

(14/05/2009 16:34:14)

Annuels CA : chiffre d'affaires étal mais la réduction des dépenses paye

L'éditeur américain CA (ex Computer Associates) a terminé son exercice fiscal 2009 sur un chiffre d'affaires de 4,271 Md$, étal par rapport à l'an dernier. En revanche, les coupes opérées dans les dépenses (-8% sur l'année, ce qui a conduit à les ramener à 3,14 Md$) ont permis au fournisseur de dégager une augmentation de 39% de son bénéfice net, à 694 M$. Sur l'année, l'éditeur de logiciels d'administration gagne également 6 points sur sa marge opérationnelle par rapport à l'an dernier. Celle-ci atteint 26% du chiffre d'affaires, en progression de 32%, à 1,127 Md$. A l'instar des autres éditeurs américains, CA dit avoir pâti des variations de taux de change. Il indique que le chiffre d'affaires de son quatrième trimestre fiscal, 1,03 Md$, recule de 5% à taux de change courant, mais augmente de 2% à taux de change constant. Sur cette période, l'éditeur enregistre un recul de 17% sur ses activités internationales (seulement -4% à taux de change constant), alors que ses ventes augmentent de 6% en Amérique du Nord. Enfin, le carnet de commandes de CA baisse également à taux de change courant sur ce dernier trimestre, de 3% à 1,465 Md$ (+6% à taux constant). En novembre dernier, l'éditeur a présenté son initiative « Mainframe 2.0 » destinée à simplifier l'administration des mainframes pour des directions informatiques directement touchées par les réductions de coûts. Parmi les avancées proposées figurent notamment l'unification des interfaces de ses solutions d'administration de mainframes. Même s'il prévoit un début d'exercice 2010 difficile, John Swainson, PDG de CA, dit vouloir réaliser des investissements significatifs dans de nouveaux produits et dans l'amélioration des solutions existantes, ainsi que dans ses ressources commerciales. Il reste confiant sur la capacité de CA à renouveler ses contrats de licence à long terme dans de bonnes conditions (sans être contraint à des remises trop fortes). Les prévisions de l'éditeur pour l'exercice qu'il vient d'entamer s'établissent entre -1 à -3% à taux de change courant (+2 à +4%, à taux de change constant). (...)

(13/05/2009 12:06:14)

Sue Oliva prend la tête de Sun France

En plein rachat par Oracle, Sun Microsystems restructure sa direction en Europe. Sue Oliva est nommée présidente France et vice-présidente Europe du Sud du groupe. Employée chez Sun depuis 1987, elle remplace Jean-Philippe Chiarella, qui occupait ces fonctions depuis septembre 2007. Sue Oliva aura pour mission de réorganiser les filiales France, Espagne, Italie et Portugal du constructeur. Cette nomination pourrait cependant représenter les prémices d'une restructuration de plus grande envergure. Les analystes de Wall Street estiment en effet que le rachat de Sun par Oracle pourrait se solder par la suppression de 10 000 postes dans le monde, le géant Californien souhaitant rationnaliser les coûts de base. Pas question pour autant de se défaire des activités matérielles de Sun. Interrogé par Reuters, le PDG Larry Ellison a balayé les inquiétudes de certains analystes en affirmant qu'Oracle ne s'intéressait pas seulement au système d'exploitation Solaris, mais également aux serveurs et aux microprocesseurs Sparc de Sun, qui ne seraient donc pas menacés. [mise à jour] Contacté par LeMondeInformatique.fr, Bruno Hourdel, directeur marketing chez Sun France a tenu a préciser que « cette nomination n'a rien à voir avec le rachat par Oracle. Elle était prévue depuis longtemps et s'inscrit dans la réorganisation présentée en novembre dernier par Jonathan Schwartz ». Selon lui, Sue Oliva a été choisie pour ses compétences multinationales (d'origine anglaise, elle vit en France depuis deux ans). Jean-Philippe Chiarella s'était lui-aussi vu proposer le poste mais il « ne répondait pas à ses aspirations personnelles ». L'ancien patron de Sun France quitte donc définitivement la société. En France on ignore encore dans quelle mesure les coupes toucheront la masse salariale, mais Sun promet davantage de précisions pour juin. (...)

(11/05/2009 16:00:29)

Annuels Symantec : les dépréciations d'actifs plombent le résultat

Symantec a enregistré une perte nette de 192 M$ au quatrième trimestre 2009 (clos début avril), contre un bénéfice de 186 M$ il y a un an. Une mauvaise performance due à une dépréciation d'actifs de 413 M$. Le chiffre d'affaires trimestriel de l'entreprise ne traduit pas non plus une bonne santé, puisqu'il est en baisse de 4,5% à 1,47 Md$. Sur l'ensemble de l'année, les pertes annuelles atteignent 6,7 Md$. Un montant colossal qui tient compte d'une dépréciation d'actifs de 7,4 Md$. Un an plus tôt, le résultat net de Symantec atteignait 464 M$. Pour le premier trimestre de l'exercice 2010, l'éditeur anticipe des revenus compris entre 1,44 et 1,55 Md$. (...)

(06/05/2009 17:05:27)

Microsoft supprime encore 3000 postes et pourrait aller au-delà

Dans un mail adressé à l'ensemble des salariés, Steve Ballmer a confirmé hier que Microsoft poursuivait le plan de suppressions de postes présenté en janvier dernier et pourrait même aller plus loin. L'éditeur avait annoncé qu'il allait tailler dans les effectifs à hauteur de 5%, soit environ 5 000 postes. La deuxième charrette devrait toucher 3000 personnes dans le monde, qui s'ajoutent aux 1 400 déjà remerciées en début d'année. Steve Ballmer a indiqué qu'il allait surveiller de près l'impact de la récession économique sur le groupe et que de nouvelles décisions pourraient être prises, sans toutefois préciser quel délai de réflexion il se donnait. Initialement, ce plan de restructuration devait s'étaler sur 18 mois, mais il est fort probable que Microsoft atteigne ses objectifs avant, sans doute pressé par les mauvais résultats du troisième trimestre 2009. Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft a vu son chiffre d'affaires baisser (-5,6%), et ce malgré les mesures de réduction des coûts mises en place en octobre 2008. Peu touchée par cette deuxième vague, la filiale française de Microsoft ne s'émeut pas de cette annonce. Seuls deux postes (à envergure internationale) sont concernés sur les 1 300 que compte l'éditeur dans l'Hexagone. « Les personnes touchées seront reclassées, comme en janvier », indique Pascal Vaché, délégué syndical CFTC et représentant du personnel chez Microsoft France. Selon lui, la France dispose par ailleurs d'un statut particulier auprès de Microsoft, car cette filiale reste rentable avec une croissance du chiffre d'affaires de l'ordre de 10%. (...)

(06/05/2009 13:07:15)

LinkedIn souffle sa 6e bougie avec 40 millions de membres

LinkedIn fête aujourd'hui ses six ans avec 40 millions de membres dans le monde, contre 22 millions il y a un an (+82%). En Europe, le réseau social professionnel compte 10 millions d'inscrits dont 800 000 dans l'Hexagone, soit 200 000 de plus qu'en novembre 2008, date à laquelle le site a lancé sa version francophone. LinkedIn a encore du mal à trouver un modèle économique viable. Ce dernier repose sur cinq piliers : les abonnements premiums, la publicité, les espaces entreprises (dont Viadeo, son principal concurrent dans l'Hexagone s'est inspiré en décembre 2008), la publication de sondages et d'offres d'emploi. La société n'est est rentable que depuis deux ans et demi. Elle a dégagé un chiffre d'affaires de 100 M$ en 2008, mais refuse désormais de communiquer sur ses revenus. En un an, le nombre de groupes de discussion créés sur LinkedIn est passé de 50 000 à 300 000. Onze applications ont été développées pour le réseau social, comme Slide Share par la société éponyme, Blog Link qui permet de relier le réseau social à son propre blog, développé par SixApart, ou My Travel par Tripit (pour organiser ses voyages d'affaire) ainsi qu'une application pour l'iPhone. Pour comparaison, Facebook compte 200 millions de membres et 52 000 applications, plus publiques que professionnelles il est vrai, mais LinkedIn et ses onze API font pâle figure face à ce concurrent. (...)

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