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(22/07/2009 11:03:11)

Trimestriels : les ventes records de l'iPhone tirent la croissance d'Apple

Apple publie de nouveau des résultats records pour le compte du troisième trimestre de son exercice fiscal 2009, clos le 27 juin. Le fabricant enregistre un chiffre d'affaires de 8,34 Md$ (dont 44% réalisés à l'international), en hausse de 11,7% comparé à il y a un an. La marge brute représente 36,3% de ses revenus tandis que son bénéfice net affiche une hausse de 14,9% pour s'établir à 1,23 Md$. Avec des ventes en hausse de 626% à 5,2 millions d'unités, l'iPhone a sans conteste tiré la croissance de l'entreprise lors de son troisième trimestre. Durant les trois mois précédents, la progression des livraisons du dernier best seller d'Apple n'avait atteint « que » 123%. Revers de la médaille de ce succès grandissant, les ventes de l'iPhone, qui intègre des fonctions de baladeur, cannibalisent quelque peu celles de l'iPod. De fait, les achats de ce dernier produit sont en baisse de 7% à 10,2 millions d'unités. En revanche, les ventes de Mac reprennent des couleurs pour progresser de 4% à 2,6 millions d'unités. Apple semble notamment tirer profit du renouvellement de sa gamme MacBook Pro dont les modèles 15'' et 17'' ont été renouvelés et qui comporte désormais un modèle 13''. Pour le quatrième trimestre de son exercice 2009, Apple table sur un chiffre d'affaires compris entre 8,7 et 8,9 Md$. Le bénéfice par action devrait se situer entre 1,18 et 1,23 $. (...)

(17/07/2009 16:09:36)

Trimestriels Google : bénéfice net en hausse de 19%

Google continue de surprendre en publiant des résultats trimestriels dépassant les attentes des analystes. Le chiffre d'affaires progresse certes très modestement (+3%) pour atteindre 5,52 Md$, mais le bénéfice net grimpe de 19 points par rapport à la même période de l'année dernière, à 1,48 Md$. En soustrayant les commissions et autres frais que Google paie à ses partenaires publicitaires et distributeurs, le CA s'élève à 4,07 Md$, soit 0,01 point de plus que les prévisions. Le bénéfice de l'action est passé de 4,63 $ à 5,36 $ en un an, alors que les analystes tablaient sur une valeur n'excédant pas les 5,05 $. « Ces bons résultats prouvent l'endurance de notre modèle économique et met en lumière les efforts réalisés pour diminuer les dépenses », a expliqué Eric Schmidt, PDG du groupe. Google est en effet parvenu à faire baisser ses coûts de fonctionnement en les faisant passer de 1,64 Md$ à 1,54 Md$. En mars dernier, Google a notamment supprimé 200 postes en ventes/marketing afin de rationnaliser les ressources. Eric Schmidt s'est montré confiant pour l'avenir, « nous sommes en bonne position pour [appréhender] la reprise économique », a-t-il commenté. Dans le détail, les sites mêmes de Google génèrent 66% du CA du groupe, soit 3% de plus que l'année dernière. Pour le reste, ce sont essentiellement les sites partenaires - via le programme AdSense - qui contribuent à alimenter les revenus du moteur de recherche (1,68 Md$, en hausse de 2% par rapport à 2008). Plus de la moitié du chiffre d'affaires de Google est réalisée en dehors des Etats-Unis, essentiellement en Grande-Bretagne (13%). (...)

(15/07/2009 11:57:49)

Trimestriels : les résultats d'Intel dans le rouge après l'amende de Bruxelles

L'amende infligée à Intel par la Commission européenne se ressent sur les résultats du deuxième trimestre du fondeur. En mai, Bruxelles a condamné Intel à payer 1,06 Md€ (1,44 Md€) pour avoir abusé de sa position dominante sur le marché des microprocesseurs. Conséquence de cette charge, le résultat net du groupe s'effondre et bascule dans le rouge à -398 M$, soit environ 2Md$ de moins qu'il y a un an. Sans ce lourd poste de dépense, Intel indique qu'il aurait enregistré un bénéfice de 1 Md$. Le chiffre d'affaires affiche lui aussi un sérieux coup d'arrêt, avec un recul de 15% par rapport à la même période de l'année dernière, à 8 Md$. Le groupe tient néanmoins à présenter les choses d'une manière positive en soulignant une progression séquentielle du CA. Mieux, selon le PDG Paul Ottelini, ce deuxième trimestre « reflète l'amélioration des conditions sur le marché des PC avec la plus forte croissance entre les 1er et 2e trimestres depuis 1988 et de grands espoirs pour le second semestre ». C'est essentiellement la demande émanant du grand public qui a dopé la production d'Intel au T2, les commandes des entreprises restant faibles. Celles-ci devraient rebondir l'an prochain, si l'on en croit Paul Otellini, à la faveur de renouvellement de parcs et d'un fort intérêt pour les processeurs basés sur l'architecture Nehalem. La version 8 coeurs du Nehalem-EX devrait voir le jour en 2010 et, selon une source proche d'Intel, une nouvelle déclinaison du Xeon devrait apparaître le mois prochain pour les serveurs. Le groupe table sur un chiffre d'affaires de 8,5 Md$ au 3e trimestre. (...)

(07/07/2009 16:51:54)

Facebook vise les 500 M$ de chiffre d'affaires en 2009

Facebook, le site communautaire aux 200 millions de membres, sera-t-il un jour rentable ? Oui, selon Marc Andreessen, membre du conseil d'administration de la société depuis un an. Dans un entretien accordé à Reuters, le créateur de Mosaic (premier navigateur Internet) et de Netscape affirme que Facebook devrait réaliser un chiffre d'affaires de 500 M$ en 2009 et que dans cinq ans les revenus du site se compteront en milliards de dollars. D'après Marc Andreessen, Facebook aurait même déjà dû franchir la barre du milliard de revenus si la société s'était davantage mobilisée pour monétiser son audience. Il estime néanmoins que Facebook (au même titre que Twitter, dans lequel il a investi) a eu raison de se concentrer sur sa base utilisateurs pour l'étoffer, sans être obnubilé par l'argent comme l'a fait MySpace. Longtemps chouchouté par les internautes, le réseau social racheté en juillet 2005 par le milliardaire Rupert Murdoch (pour 580 M$) a trop mis l'accent sur la vente de publicités et a négligé le développement de sa plateforme, entrouvrant une brèche dans laquelle Facebook n'a pas manqué de s'engouffrer. Marc Andreessen vient par ailleurs de lancer un fonds d'investissement avec Ben Horrowitz, son associé depuis des années. Ce fonds est doté d'un capital de 300 M$. Il servira à financer des jeunes pousses du secteur IT, à hauteur de 300 000 $ pour les sociétés qui viennent de se lancer et de 15 M$ pour celles qui sont déjà bien positionnées. Au cours de sa carrière de mentor, Marc Andreessen a notamment investi dans les réseaux sociaux Ning, LinkedIn et Digg. Depuis le décollage de l'audience de Facebook, de nombreux investisseurs ont injecté des millions de dollars dans le site, comme Microsoft (240 M$), les fonds Accel Partners et Peter Thiel, le milliardaire chinois Li Ka-Shing (60 M$) ou encore le Russe Sky Digital Technologies (200 M$ en mai dernier). Le site communautaire a toujours refusé de communiquer le moindre résultat financier. (...)

(22/06/2009 16:58:28)

Lefebvre Software poursuivra sa croissance externe

C'est la complémentarité qui guide la stratégie de croissance externe de Lefebvre Software. Viviane Ribeiro, présidente de l'éditeur français, l'a réaffirmé à ses clients accueillis vendredi 19 juin au Palais Brongniart pour la conférence annuelle « Interactives ». Parmi eux, des utilisateurs des logiciels Iris Finance et Iris Personnel, mais aussi ceux du produit Comptarel issu du rachat de Scod en 2007, et des solutions d'AS Group, acquis en novembre. L'objectif, pour Viviane Ribeiro, c'est que Lefebvre Software continue à être identifié comme un expert de la gestion financière et des ressources humaines et, désormais, de la consolidation et du reporting financier. « Etre un leader, c'est d'abord être reconnu comme un spécialiste ». Avec l'absorption d'AS Group, la société a doublé sa base installée. Elle compte actuellement 2 500 clients et 280 collaborateurs. Fin 2008, le chiffre d'affaires cumulé des deux éditeurs a atteint 31,7 M€ et fait grimper Lefebvre Software dans le top 20 des éditeurs français (16e place du Truffle 100). La présidente ne compte pas en rester là. « Nous voulons atteindre une taille qui nous permette de répondre à nos enjeux et suivre nos clients à l'international ». 10% du chiffre d'affaires est actuellement réalisé hors du marché français (Iris Finance existe en huit langues et se conforme à douze législations différentes). A l'horizon 2010, Viviane Ribeiro vise un chiffre d'affaires global de 50 M€ dont 20% réalisés à l'international. D'ici là, l'éditeur devrait procéder à une ou plusieurs acquisitions. Il porte ses recherches parmi les acteurs de la gestion des ressources humaines. D'autres pistes vont être aussi explorées, par exemple du côté des démarches liées pour partie au green IT, comme la dématérialisation. « Ces rachats se feront toujours par complémentarité avec nos offres, sans remettre en cause les produits rachetés », insiste la dirigeante. Les clients de Scod et AS Group soucieux de la garantie de service En ouverture de la journée utilisateurs, vendredi dernier, les clients d'AS Group et de Scod, soucieux de voir se maintenir la qualité de service sur l'assistance téléphonique autour des logiciels qu'ils exploitent, se sont vus confirmer le maintien des différentes équipes de hotline existantes. « L'avantage de la croissance complémentaire, c'est qu'elle ne génère pas de doublons », a commenté à ce sujet la présidente de Lefebvre Software. Viviane Ribeiro a aussi conforté les utilisateurs des produits pour les plateformes i (ex AS/400 et iSeries) d'IBM sur la pérennité des offres qu'ils ont choisies : « Nous nous tirerions une balle dans le pied dans le cas contraire : 80% de nos clients viennent du monde AS/400 ou utilisent cette plateforme. » Mieux, OpenIris, la gestion des immobilisations développée en J2EE, devrait elle aussi fonctionner prochainement sur AS/400. La présidente a par ailleurs présenté les prochaines améliorations d'Iris Personnel, en constante évolution, en raison notamment de la nécessité de suivre la législation. (...)

(22/06/2009 12:45:52)

Bon trimestre pour RIM qui, craignant la concurrence, intensifie sa R&D

RIM (Research in Motion), l'inventeur du Blackberry, a clos fin mai son premier trimestre fiscal 2009 sur un CA en hausse de 52% à 3,4 Md$ et un bénéfice net en progression de 33% à 643 M$. Au cours de ces trois mois, RIM a augmenté de 72% son budget de R&D, à 219 M$, d'où un résultat opérationnel en faible hausse de 7%, à 690 M$. La marge brute s'établit à 43%. Au cours de ce trimestre, la société n'a enregistré que 3,8 millions de nouveaux abonnés, soit moins que les 3,9 millions du trimestre précédent. Au total, RIM revendique 28,5 millions d'abonnés. Difficile d'attribuer ce fléchissement de croissance séquentiel, le premier depuis trois ans, à la conjoncture économique ou au durcissement de la concurrence sur le marché des smartphones. En relançant sa R&D, RIM montre en tout cas qu'il prend très au sérieux la menace de ses concurrents. Lorsque l'on est crédité par IDC de plus de 55% du marché américain des smarthones, on doit prendre au sérieux l'arrivée du iPhone 3G d'Apple et le Pre de Palm. RIM a livré 7,8 millions d'unités au cours de ce trimestre, autant qu'au cours du précédent trimestre. Avec plus de 80% du CA, cette activité domine largement le service (13% du CA) et le logiciel (4%). Au prochain trimestre, les boursiers attendent de RIM qu'il écoule entre 8,1 et 8,7 millions d'unités et recrute entre 3,8 et 4,1 millions de nouveaux abonnés. (...)

(22/06/2009 12:39:31)

Des rumeurs de vente de Novell font bondir l'action de 10%

L'hebdomadaire Barron's rapporte des rumeurs de cession totale ou partielle de Novell. Ce média du groupe Dow Jones, tout comme le Wall Street journal, s'est fait l'écho des impressions de John DiFucci, analyste à la banque d'investissement JP Morgan. Selon ce dernier, la direction de Novell trouve sa société sous-évaluée en bourse et pourrait céder tout ou partie des activités pour valoriser des actifs à leur juste valeur. Si l'objectif était d'accroître la valeur en bourse du groupe, il a été atteint. L'action de Novell a bondi de plus de 10% pour atteindre une capitalisation totale de 1,62 Md$. La direction de Novell s'est aussi fendue d'un document officiel auprès de la SEC (la commission américaine des opérations en bourse) pour démentir tout projet de vente. Fin avril, Novell a clos son premier semestre 2009 sur des résultats mitigés. Le CA du groupe a baissé de plus de 8%, la progression de la division Open Platform Solution (Linux, etc.) ne parvenant pas à compenser la baisse des autres activités. Quant à la rentabilité, elle ne s'est maintenue qu'en raison de coupes sombres dans les dépenses consacrées au marketing et à la vente. (...)

(09/06/2009 17:52:20)

Satyam publie ses premiers résultats non trafiqués, mais non audités

Avec cinq mois de retard, Satyam a présenté aujourd'hui ses résultats financiers pour le quatrième trimestre, clos en décembre dernier. Le chiffre d'affaires s'élève à 22,94 milliards de roupies (481,6 M$) et le bénéfice net à 1,81 milliard de roupies (38 M$). Ces chiffres (non audités) ont été calculés par le service de gestion interne qui a précisé à la bourse de Mumbai « que des erreurs pourraient s'y être glissées ». En dépit de ces incertitudes, cette publication confirme que que les résultats de la SSII indienne sont loin d'être flamboyants. Les revenus sont en baisse de 2,6% et le bénéfice net s'écroule puisqu'il atteignait les 4,3 milliards de roupies au dernier trimestre 2007. Dans son rapport, Satyam détaille également les résultats de janvier (CA de 6,5 milliards de roupies et bénéfice de 40 millions) et de février (CA de 6,5 milliards roupies et bénéfice de 520 millions). Entre décembre 2008 et février 2009, la SSII a licencié près de 3800 personnes, ce qui porte ses effectifs actuels à 41 622 salariés. Satyam est plongée dans le scandale depuis que Ramalinga Raju, fondateur et ex-PDG de la SSII, a révélé que les résultats financiers de la société étaient trafiqués depuis des années. Dans une lettre de démission présentée au conseil d'administration de l'entreprise, il précise que le chiffre d'affaires du trimestre clos le 30 septembre ne s'établit pas à 27 milliards de roupies mais à seulement 21,12 milliards. Le bénéfice opérationnel, quant à lui, est divisé par dix dans la réalité : il passe de 6,5 milliards de roupies à seulement 610 millions. Suite à ces révélations, plusieurs membres de l'équipe dirigeante ont fini en prison. Malgré ses déboires, la SSII a réussi à trouver un repreneur, l'Indien Tech Mahindra, en avril dernier. (...)

(04/06/2009 11:08:50)

Semestriels : La progression de Linux SUSE ne compense pas le déclin de Novell

Le deuxième trimestre de Novell a été sauvé par le chiffre d'affaires généré par la maintenance et les abonnements. Les ventes de licences ont chuté de près de 32% à 30,3 M$. Une chute similaire (33 %) à celle de l'activité services à 27 M$. C'est la hausse de 4,9%, à 158 M$, de la maintenance et des abonnements qui a permis à Novell de n'afficher qu'une baisse de 8,5% de son CA total. C'est au prix d'une réduction drastique de ses dépenses marketing et vente (-12%) que l'éditeur, malgré une marge brute en baisse de 3%, parvient à afficher un résultat opérationnel multiplié par dix, à 17,6 M$. Ce qui lui permet d'annoncer un bénéfice net en hausse de 169%, à 31,2 M$. L'analyse des résultats par ligne de produits montre que seule la division Open platform solutions (Linux, etc.) progresse sur un an (+17,6% à 44 M$). Plus petite division il y a douze mois, elle se hisse à la troisième place. Elle doit sa performance à la hausse de 23% du chiffre d'affaires Maintenance et abonnement, à 38,8 M$ (Linux SUSE). Elle arrive derrière la division Systems and ressource management, qui, malgré le rachat de PlateSpin en février 2008, affiche une baisse de CA de 3%, à 45,3 M$. Ces derniers mois, cette division a vu partir un nombre conséquent de cadres supérieurs originaires de PlateSpin. La division Identity et security management enregistre une baisse de son CA de 16%, à 38,8 M$. Surtout, la division Workgroup (Netware et GroupWise) voit son CA chuter de près de 17%, à 87 M$. (...)

(02/06/2009 12:48:08)

Annuels : démembré, Arès atteint avec peine les 90 M€ de CA

Arès a publié un chiffre d'affaires en retrait de 9% (90,2 M€ contre 99,1 M€ en 2008). Si on prend en compte l'ancien périmètre du groupe, le CA s'écroule littéralement : il aurait du atteindre 329,1 M€ si Arès ne s'était pas, peu à peu, défait de certaines activités au cours des derniers mois. Le groupe s'est successivement débarrassé de SIS Ile-de-France (cédé à SCC), de SIS Régions (revendu en juillet 2008 à la SSII bordelaise Cheops Technology), d'Adequat (repris par D.FI), du pôle RMS (réseau, mobilité, sécurité) ainsi que de la société Databail. Ces différentes opérations ont valu à Arès un redressement judiciaire, entériné par le Tribunal de commerce d'Evry il y a deux mois seulement, après une longue période d'observation. Ces reventes ont provoqué une réduction drastique de la masse salariale d'Arès. En un an, elle est passée de 2 000 à 1 100 salariés. Par secteurs d'activités, c'est le pôle ITS (IT Services) qui permet à Arès d'engranger 68% de ses revenus. Vient ensuite le pôle SIT, qui distribue les solutions Autodesk (20% du chiffre d'affaires). La division ISA (Intégration de solutions applicatives) génère 12% du CA. Elle est chargée de distribuer et d'intégrer la gamme Arcole, une suite de progiciels (paie/RH) qu'Arès a lui-même développée mais qu'il a revendue à l'éditeur De Gamma pour 6 M€ en avril 2008. Pour 2010, le groupe entend mener à terme son redressement judiciaire et se concentrer sur des activités à valeur ajoutée, comme les services managés ou le PLM (gestion du cycle de vie du produit), et renforcer sa présence dans le secteur public, parapublic, la santé et le social. (...)

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