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(29/04/2009 17:37:29)

Sun achève son parcours indépendant par un trimestre dans le rouge

Sun, en phase de rachat pour 7,4 Md$ par Oracle, achève son parcours indépendant sur un trimestre rouge carmin. Celui qui fut le champion des serveurs Unix à la belle époque de la "bulle Internet", creuse ses pertes à plus de 200 M$, dont 46 M$ de charges de restructurations, par rapport à une perte de 34 M$ un an auparavant. Le CA chute de 20%, tiré vers le bas par une baisse de 24% des ventes de produits (-24% à 1,5 Md$) tandis que les ventes de services baissent de 13% à 1 Md$. Les ventes en Europe (-24% à 849 M$) ont baissé davantage qu'aux Etats-Unis (-17% à 1,04 Md$). Ce sont les ventes de systèmes qui ont le plus diminué (-26% à 1,09 Md$). Sun a publié ses résultats sans faire de commentaires. Les dirigeants ne se sont pas pliés à l'exercice de la traditionnelle conférence téléphonique. Le Californien termine néanmoins le trimestre avec un cash flow de 178 M$ et près de 3 Md$ d'argent disponible. Cette cagnotte viendra automatiquement alléger la facture de plus de 7 Md$ qu'Oracle doit acquitter pour se l'offrir.

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(29/04/2009 16:40:09)

Trimestriels SAP : baisse de 33% sur les ventes de logiciels, compensée par la maintenance

L'éditeur allemand SAP a réalisé des ventes mondiales de logiciels en retrait de 33% sur son premier trimestre 2009, à 418 M€, et un bénéfice net en baisse de 16%, à 204 M€, par rapport au premier trimestre 2008. En France, toutefois, les ventes de logiciels ont moins marqué le pas, reculant seulement de 18%. Malgré ce revers, prolongé par la baisse de son activité de services et conseil (-9% à 649 M€), le chiffre d'affaires mondial de l'éditeur d'ERP (progiciels de gestion intégrés) et de solutions décisionnelles ne recule que de 3%, à 2,397 Md€, sur le trimestre. SAP le doit aux revenus issus de sa maintenance logicielle (52% du total), naturellement alimentés par les contrats signés l'an dernier : ils ont progressé de 18%, à 1,25 Md€. A noter, dans ce domaine, qu'un accord a finalement été conclu entre l'éditeur et ses principaux clubs utilisateurs au sujet de l'augmentation de tarif de cette maintenance. La majoration du taux de support (qui passe de 17% à 22% du prix des licences achetées) ne sera plus échelonnée sur quatre ans, mais sur sept ans, jusqu'en 2015. Par ailleurs, elle sera associée à un système de critères permettant de mesurer la valeur qu'elle apporte effectivement aux clients. « Si les critères ne sont pas atteints, l'augmentation annuelle sera décalée », promet Pascal Rialland, DG de SAP France. 51 postes vont être supprimés en France L'éditeur allemand a engagé à la fin de l'année dernière un plan mondial de réduction de coûts. En janvier, il a indiqué vouloir supprimer 3 000 postes d'ici à la fin 2009 sur son effectif global de 51 500 personnes. Plus de la moitié de cet objectif est déjà atteint. A ce jour, 1 900 salariés ont déjà quitté l'entreprise, principalement aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. En France, la filiale supprime 51 postes (sur 1 600 salariés), notamment par le biais d'un plan de départs volontaires. « Dans une industrie comme la nôtre, l'attrition naturelle des effectifs est généralement de l'ordre de 10% et nos collaborateurs partent le plus souvent chez des partenaires intégrateurs ou bien chez des clients », tient à rappeler Pascal Rialland, PDG de SAP France. Sur le trimestre écoulé, SAP veut mettre surtout l'accent sur la préservation de sa marge opérationnelle. Celle-ci a certes subi l'impact de 160 M€ de charges de restructuration qui couvrent 2 200 suppressions de postes. Mais, note l'éditeur, elle recule de moins d'un point, à 13,9% du chiffre d'affaires, par rapport à celle de l'an dernier (qui était affectée par les investissements faits sur l'offre hébergée Business ByDesign). Sur l'année 2009, SAP maintient ses prévisions de marge opérationnelle située entre 24,5% et 25,5%. Le fournisseur souligne aussi qu'il dispose au 31 mars de 2,95 Md€ de liquidités qui lui permettent de réaliser des acquisitions s'il le souhaite. (...)

(27/04/2009 18:03:00)

Logitech dans le rouge pour la première fois depuis 10 ans

Logitech annonce ses premières pertes trimestrielles depuis 10 ans. Le spécialiste des périphériques pour ordinateurs personnels inscrit une perte nette de 35 M$ à la clôture des comptes de son quatrième trimestre fiscal 2009. Cette perte est la conséquence d'une baisse de 32% du CA à 407,9 M$. Sur l'ensemble de l'exercice, la baisse de CA dépasse 7% à 2,2 Md$ et une chute de plus de 50% de son bénéfice. La société a décidé de supprimer 500 postes, soit 15% de ses effectifs, afin d'économiser 100 M$. Pour le trimestre en cours, Logitech anticipe encore une perte nette. (...)

(27/04/2009 12:57:39)

1 600 postes supprimés dans les Apple Stores au premier trimestre 2009

Si Apple a publié mercredi dernier des résultats satisfaisants pour le deuxième trimestre de l'exercice fiscal en cours, il s'est bien gardé de faire le point sur sa masse salariale. Et pour cause : le constructeur a supprimé 10% des effectifs au cours du premier trimestre de l'année, soit 1 600 postes. En commentant les résultats « historiques » du premier trimestre - clos le 31 décembre 2008 -, Steve Job s'est contenté de préciser qu'il s'agissait « du meilleur trimestre de l'histoire d'Apple, dépassant pour la première fois le cap des 10 Md$ de revenu », sans mentionner que les effectifs de la société étaient passés de 15 600 à 14 000 salariés durant cette période, un chiffre qu'on retrouve dans un rapport envoyé le 28 mars 2009 par Apple à la SEC (Securities and exchange commission, un organisme chargé de surveiller la bourse américaine). Ce sont les CDI de salariés travaillant dans les points de vente Apple qui sont affectés par ces coupes. Les Apple Stores sont en effet moins rentables d'année en année : au cours du deuxième trimestre 2008, un de point de vente générait en moyenne 8,5 M$ de chiffre d'affaires contre 7 M$ un an plus tard, soit une baisse de 17%. La rentabilité par salarié a, quant à elle, chuté de 37%. Face à une marge qui s'érode, Apple, qui chérit fortement la vente au détail malgré les frais de location, de construction et d'entretien, n'a nullement l'intention de les fermer. Deux solutions s'imposent donc : couper dans la masse salariale et ralentir le rythme d'ouverture des magasins. D'ailleurs Apple n'a ouvert qu'un seul point de vente au cours du deuxième trimestre 2009 et quatre au trimestre précédent, alors que Peter Oppenheimer, directeur financier d'Apple, annonçait en début d'année que 25 nouveaux magasins ouvriraient leurs portes au cours de l'exercice 2009, dont la moitié hors des Etats-Unis. Un objectif déjà deux fois inférieur aux chiffres enregistrés en 2008 (50 Apple Stores, dont un toujours en cours de construction en France) et qui semble désormais utopique. (...)

(24/04/2009 17:54:52)

Microsoft conclut le pire trimestre de son histoire

Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft annonce un chiffre d'affaires trimestriel en baisse. La société qui, plus que toutes les autres, fonde l'informatique actuelle, enregistre une baisse de revenus de près de 6%, à 13,6 Md$. Dans la foulée, son résultat net s'effondre : -32% à 2,9 Md$. Ce tassement est d'une telle ampleur qu'il touche le résultat net cumulé sur neuf mois. Il baisse de 14%, à 11,5 Md$. Sur cette période, Microsoft parvient à afficher un CA en légère hausse (moins de 2%), à 45,3 Md$. Microsoft a pourtant serré les boulons ces derniers mois. Il est parvenu à réduire ses charges opérationnelles de 9%. Faute de procès, de paiements d'amende et de coûteux règlements à l'amiable ce trimestre, l'éditeur a pu réduire de 61% ses charges G&A (General and administrative). Il a cependant dû débourser 290 M$ de charges liés à 1100 licenciements. Le géant de Redmond n'échappe pas aux perturbations économiques La crise actuelle met en lumière les faiblesses du Microsoft. Au cours du trimestre, l'éditeur a été attaqué sur tous les fronts, mais ce sont les divisions Online et celles reliées à l'informatique personnelle qui ont le plus souffert. La division Services en ligne voit son CA chuter de 14,5%, à 721 M$ et, surtout, ses pertes se creusent encore : 575 M$ contre 226 M$ un an auparavant. La division loisirs et périphériques affiche aussi des pertes (31 M$, contre un résultat de 106 M$ il y a un an) sur un CA en légère baisse (-1,6%, à 1,5 Md$). Mais c'est sur la division Client (OS pour système individuel) que le retentissement de la crise est le plus remarquable : la vache à lait historique qu'elle représentait pour Microsoft n'est plus aussi prolifique, cette activité passe en troisième position du groupe en termes de revenus. Sur un CA en baisse de 15%, à 3,4 Md$, elle ne rapporte plus que 2,5 Md$ à l'éditeur. La sanction de cette baisse (-19%) est radicale : elle fait chuter le ratio CA/résultat opérationnel à 74%... Vista toujours boudé par les entreprises [[page]] Microsoft a dû casser les prix de Windows : alors que le nombre de licences vendu en OEM a baissé de 6%, le CA généré a chuté de 19%. Microsoft incrimine à la fois les netbooks (vendus avec du Windows XP à bas prix pour contrer Linux) et la morosité de la demande de "premium editions" par le marché professionnel. Comprenez, les entreprises ne veulent pas de Vista. Heureusement, la division Server and Tools voit son CA augmenter de 7%. Avec 3,4 Md$ engrangés, elle est devenue la deuxième division du groupe. Sa rentabilité progresse dans des proportions encore plus importantes avec un résultat opérationnel de 1,3 Md$ (+24%). Avec un ratio par rapport au CA de 39%, on est pourtant encore loin de la profitabilité des Windows clients. Microsoft souligne la progression des ventes de SQL Server, mais pas celle de Windows Server qui devrait pourtant être portée par les mises à jour vers la version 2008. L'intérêt pour la virtualisation ne doit pas être étranger à cette discrétion. Quant à la Business Division, dont 90% du CA provient des ventes de Microsoft Office et le reste du PGI (ERP) Dynamics, elle affiche des résultats mitigés. La plus importante division du groupe annonce un CA en baisse de près de 5%, à 4,5 Md$ et un résultat opérationnel en baisse de 8%. En cause, la chute de la demande du grand public (-30%, à 299 M$). Microsoft constate, outre la morosité générale du marché, un basculement ("shift") vers des "produits moins chers". Il doit s'agir de la suite bureautique gratuite Open Office. (...)

(23/04/2009 12:14:45)

Trimestriels Apple : ventes de Mac en baisse, l'iPod et l'iPhone vont crescendo

Apple résiste à la crise. Au titre du bilan de son deuxième trimestre fiscal (closfin mars 2009), le fabricant a publié un chiffre d'affaires en hausse de 8,5% à 8,16 Md$. Le résultat net s'établit quant à lui à 1,21 Md$ contre 1,05 milliards Md$ à période comparée de l'exercice précédent, soit une hausse de 15%. Bien que ces résultats soient encore une fois une belle performance dans l'histoire d'Apple, le fabricant ne peut pas fanfaronner sur tous les plans. Avec 2,22 millions d'unités vendues durant le deuxième trimestre, le succès des Mac est en recul de 3%. Un point qui satisfera certainement Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, qui a récemment expliqué que le tarif exorbitant des Mac aurait plus de mal à passer auprès des clients en temps de crise économique. Les ventes d'iPhone font plus que doubler En revanche, les clients d'Apple ne se sont pas fait prier pour délier leurs bourses afin d'acquérir les deux autres produits phares du fabricant, à savoir l'iPhone et l'iPod. Les ventes des baladeurs ont encore augmenté de 3%, pour atteindre 11,01 millions d'unités. Quant à l'iPhone, il s'en est écoulé 3,79 millions d'unités, soit rien de moins qu'une croissance en volume de 123% par rapport à l'exercice précédent. Ceux qui attendaient Apple au tournant pour son second trimestre en sont donc globalement pour leur frais. Reste que les prévisions du fabricant pour le prochain trimestre pourraient, finalement, décevoir les marchés. Apple table en effet sur un chiffre d'affaires compris entre 7,7 et 7,9 Md$ au troisième trimestre alors que les analystes attendent 8,2 Md$ de revenus. (...)

(22/04/2009 17:53:46)

Annuels Wipro : les revenus dans le vert, les embauches dans le rouge

Contrairement à certains de ses compatriotes indiens embourbés dans les scandales financiers (comme Satyam) ou en proie à la crise économique, Wipro a publié hier des résultats annuels plutôt satisfaisants. Le chiffre d'affaires grimpe de 29% à près de 5 Md$ et le bénéfice net s'établit à 677 M$, en hausse de 7% par rapport à l'année précédente. La troisième SSII indienne profite notamment de la dépréciation de la roupie par rapport au dollar. Dans le détail, les services rapportent 75% des revenus à Wipro, en hausse de 31% avec 110 clients de plus que l'année dernière. La division produits et logiciels enregistre pour sa part une croissance de 36%. Cette activité représente 13% des revenus de Wipro, soit près de 680 M$. La croissance de Wipro ne semble donc pas affectée par la privation de contrats avec la Banque mondiale dont elle a été frappée en janvier dernier, comme Satyam. Wipro avait commenté cette sanction en minimisant son impact sur son activité étant donné que le volume d'affaires avec la Banque mondiale n'était « pas significatif ». Wipro, qui emploie actuellement 97 800 salariés, dont plus des trois-quarts dans les services IT et le reste dans le BPO (externalisation des processus métier), a toutefois annoncé qu'elle allait ralentir ses recrutements. Au cours du dernier trimestre de l'année, elle a embauché 845 personnes contre près de 2300 un an plus tôt. Elle prévoit également de geler les salaires, voire même de les diminuer. (...)

(22/04/2009 17:05:37)

Les investissements IT en France ne reprendront pas avant 2011

Au mois d'août 2008, IDC France prévoyait 1,5% de croissance des budgets informatiques des entreprises françaises pour 2009. Un chiffre révisé au mois de novembre suivant. En plein déclenchement de la crise, la prévision tombait de 1,5 à 0,2% de croissance. Cette fois, le cabinet annonce -0,05%. La tendance est passée dans le rouge. « Plus de 50% des entreprises interrogées ne voient pas de sortie de crise avant fin 2010, nous explique Stéphane Krawczyk, consultant senior auteur de l'étude. Jusqu'alors on espérait que cette échéance serait plus rapprochée ». Elément fort de l'étude, l'informatique est le deuxième poste de dépense affecté dans les entreprises. Quand on sabre dans les budgets, à 50% c'est dans les frais généraux, mais derrière, dans 35% des cas, la hache tombe sur l'informatique. A égalité avec les transports et les déplacements. Manifestement, certains budgets informatiques sont faciles à remettre en cause, essentiellement les renouvellements de matériels. Mais ce n'est qu'une solution à court terme, rapidement les parcs à renouveler devront l'être sous peine de toucher au système d'information lui-même. Une hypothèse à vérifier dans les prochains baromètres. Actuellement, les entreprises ont deux armes principales pour réduire leurs budgets informatiques : repousser des projets ou des renouvellements de contrats ou de parcs, ou bien entamer la renégociation à la baisse des contrats. L'étude montre également une répartition des entreprises en trois catégories d'inégale importance. 45% des entreprises déclarent ne pas modifier leurs budgets informatiques 2009 par rapport à ceux de 2008. 35% envisagent une baisse comprise entre 5 et 10% (39% de ces 35% prévoyant une baisse de plus de 10% de leurs budgets). 22% conservent un relatif optimisme et envisagent des budgets en hausse (39% de ces 22% envisagent même une croissance de plus de 10%). Les projets d'investissements phares de 2009 seraient : les applications métiers, les logiciels de sécurité, la refonte des architectures télécoms. Les plus touchées sont également les applications métiers et les architectures télécoms, mais aussi la BI et les applications collaboratives. Comment les fournisseurs vont-ils recevoir ces chiffres ? On peut noter qu'au 1er trimestre, tous se sont efforcés de souligner que les reports de budgets, fréquents, ne signifiaient pas des annulations. La tendance montrée par IDC pourrait les inciter à relativiser leur optimisme. Chaque trimestre, le baromètre d'IDC France permettra en tout cas de mesurer le moral des DSI et de donner une idée de celui de leurs prestataires. (*) C'est le « baromètre entreprise France », basé sur l'interview de 400 entreprises, réalisée pour cette édition en février et mars. Des entreprises de trois tailles : 100 à 200 salariés, 200 à 500, 500 et +. (...)

(22/04/2009 15:31:39)

Yahoo supprime 700 postes pour pallier la dégringolade de ses résultats

Les résultats financiers du premier trimestre 2009 de Yahoo ne sont guère plus reluisants que ceux publiés fin 2008 : le bénéfice net du portail perd 78% (118 M$ contre 537 M$ au premier trimestre 2008) et le chiffre d'affaires passe de 1,89 Md$ à 1,58 Md$ (-13%), légèrement au-dessus des attentes des analystes interrogés par Reuters, qui tablaient sur un CA de 1,2 Md$. Pour redresser la barre, Carol Bartz, PDG de Yahoo depuis janvier dernier, a décidé de tailler dans les effectifs. Comme prévu, après avoir réorganisé l'équipe dirigeante pour en simplifier le fonctionnement, elle allège la masse salariale. Elle a ainsi annoncé la suppression de 5% des postes (Yahoo emploie 13 600 personnes), soit près de 700 salariés qui rejoindront les 2600 personnes déjà remerciées au courant de l'année 2008. « Il s'agit du prolongement naturel des efforts que nous faisons pour simplifier notre structure et éliminer les redondances », a justifié Carol Bartz. L'argent économisé sera réinvesti dans des services qu'elle qualifie de prioritaires : innovation dans la publicité en ligne et amélioration des pages comme celle d'accueil, le sport, les actualités, la finance, les divertissements, la high-tech et la mobilité. Microsoft-Yahoo : no comment sur l'avancée des discussions Carol Bartz explique la médiocrité de résultats de Yahoo par divers facteurs, comme la revente de Kelkoo pour un montant quatre fois inférieur à celui d'achat (soit 475 M€), le ralentissement du marché de la publicité en ligne ainsi que l'introduction en bourse d'Alibaba, un site chinois détenu par Yahoo à hauteur de 40%. Carol Bartz s'est en revanche gardée de faire allusion à la gestion désastreuse de Yahoo par son prédécesseur, Jerry Yang, ainsi qu'à l'échec de l'OPA de Microsoft. Même mutisme sur l'avancée des pourparlers avec Steve Ballmer au sujet d'un éventuel partenariat autour de la recherche en ligne. (...)

(15/04/2009 15:49:05)

Trimestriels : Intel fait meilleure figure que fin 2008

Tout est question de point de vue. Comparé à ceux du premier trimestre de son exercice 2008, les résultats annoncés par Intel pour le premier de 2009 sont en nette baisse. Tant en terme de CA (-26%) que de bénéfice net (- 55%). Mais, ils font bonne figure si on les rapproche de la dégringolade du trimestre précédent, lorsqu'Intel avait affiché un effondrement de 90% de son résultat net sur un CA en baisse de 23%. Paul Otellini, PDG du fabricant de processeurs, se réconforte d'ailleurs en précisant que le résultat net de ce trimestre est en hausse de 176% par rapport à celui du précédent, lequel avait chuté de 90% sur un an... Pourtant, la rentabilité d'Intel continue de s'étioler. La marge brute chute de huit points par rapport au trimestre précédent et de onze points par rapport à la même période en 2008. Le résultat d'exploitation est passé sous la barre des 10% alors qu'il était supérieur à 20% il y a un an. Malgré l'adversité, Intel n'a réduit ses dépenses de R&D que de 13%. Un retour à la normale de la saisonnalité des ventes Officiellement, Intel dit voir le bout du tunnel. Ses clients qui, plutôt que de lui acheter des composants au trimestre précédent, ont puisé dans leurs stocks reviennent maintenant vers lui. Paul Otellini peut donc parler d'un "retour à la normale de la saisonnalité des ventes". Mais c'est surtout le cas pour les composants destinés aux PC de bureau. Sur ce marché en baisse structurelle, le retournement conjoncturel de la fin 2008 a eu moins d'impact. En revanche, sur le marché des composants pour mobiles, en forte croissance structurelle, l'onde de choc se propage jusqu'aux résultats de ce trimestre. La croissance du marché des netbooks prend de plein fouet la crise. Ainsi, le CA généré par les processeurs Atom et leurs jeux de composants baisse de 27% par rapport au trimestre précédent à 219 M$. Bien que Paul Otellini ait affirmé qu'il considérait que les ventes avaient touché le fond au cours de ce trimestre, il s'est refusé à communiquer des prévisions la prochaine période. (...)

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