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(15/04/2009 15:31:16)

Annuels Infosys : la SSII sanctionne le manque de performance de ses salariés

La récession économique commence à faire sérieusement mal aux SSII indiennes. Infosys vient de publier des résultats annuels qui restent dans le vert mais sont nettement moins impressionnants que ceux affichés les années précédentes. Le chiffre d'affaires progresse de 11,7 % (à 4,66 Md$), contre 35% en 2008 et 44% en 2007. La progression du bénéfice net est également divisée par trois (+10,1%, contre 36% l'année dernière et 53% en 2007). La situation ne devrait pas s'améliorer : les clients reportent certains contrats et interrompent même des projets déjà en cours de réalisation. Pour l'exercice entamé, la SSII table d'ores et déjà sur une baisse de son chiffre d'affaires de l'ordre de 3,1% à 6,7% (entre 4,35 Md$ et 4,52 Md$). Le premier trimestre devrait être particulièrement difficile, avec un recul du CA de 8,2%.

Infosys embauche encore mais punit les moins bons élèves.

Infosys, qui en novembre dernier étaittrès optimiste sur le nombre d'embauches à venir, revoit ses prévisions légèrement à la baisse : de 25 000 recrutements prévus, elle passe à 18 000. Parmi ces nouvelles recrues, 16 000 proviendront directement des universités et seront formées par la SSII de manière à pouvoir être placées chez les clients dès la reprise du marché. Et attention aux faux pas : pour traverser la crise, Infosys gèle les salaires et n'hésite pas à renvoyer les salariés qu'elle estime peu performants. « Notre tolérance au manque de compétitivité est désormais nulle », a lancé Mohandas Pai, DRH de la SSII. 2100 salariés en ont déjà fait les frais : ils ont tout bonnement pris la porte pour flagrant délit de manque de rentabilité. Pour devancer d'éventuelles critiques, Mahandas Pai se défend : « cela aurait pu être pire, l'évaluation initiale prévoyait [le licenciement] de 6000 personnes ! ». La société a recruté 13 663 personnes cette année contre 18 946 un an plus tôt, ce qui porte son effectif global à 104 850 salariés. (...)

(08/04/2009 12:47:12)

A l'annonce du Truffle 100, les éditeurs réclament des mesures pour les PME

Comme chaque année, Truffle Capital et le CXP ont présenté le classement des cent premiers éditeurs français de logiciel. Malgré la crise, le CA global de ces entreprises a baissé de 1,7% à 5,7 Md€ en 2008 contre 5,8 Md€ en 2007. L'activité directement associée au logiciel a compté pour 3,8 Md€ contre 3,7 Md€ en 2007. Encore une fois, le palmarès a subi son lot de pertes, représentant un CA total de 754 M€. Deux disparitions frappent les dix premiers : IBM a acquis Ilog, fleuron de longue date du logiciel français, et Sungard a avalé GL Trade. En 2007, deux éditeurs avaient déjà quitté le top 10 : le numéro 2, Business Objects, avait acheté Cartesis avant d'être lui-même absorbé par l'allemand SAP. C'est toujours Dassault Systèmes qui détient la première place, loin devant les autres, faute de combattants. Son CA atteint près de 1,335 Md€ alors que le deuxième, Sopra Group, n'affiche que 312,6 M€ et Cegid, troisième, réalise 214 M€. A noter que le spécialiste de l'informatique financière, Linedata Services, monte de la 8e à la 4e place du fait de la disparition de GL Trade et de Ilog, et double GFI Informatique et Avanquest Software. Les trois premiers totalisent 80% des profits Le trio de tête reste le même qu'en 2007. Et, preuve de la forte concentration du marché, il représente un tiers du CA total du classement et près de 80% des profits. Seules 31 entreprises dépassent 20 M€ de CA (contre 27 en 2007) et 63 font plus de 10 M€ (54 en 2007). Malgré cette légère amélioration, le classement démontre une fois de plus la difficulté des PME françaises à devenir des entreprises de taille suffisante pour résister à des acheteurs potentiels, la plupart du temps étrangers, et pour affronter l'international. En deux ans, ce sont onze sociétés du Truffle 100 qui ont été absorbées par des sociétés étrangères. Le comité éditeurs du Syntec Informatique, le CXP, Truffle Capital et deux éditeurs présents à l'annonce du classement, DenyAll (100e) et Lefebvre Software (16e), s'accordent sur l'urgence de prendre les choses en main. L'idée d'un Small business act (SBA) à la française refait surface. Cette disposition qui existe aux Etats-Unis depuis plus d'un demi-siècle réserve certains marchés publics aux PME. Depuis février dernier, la France a pris une première initiative, en permettant l'affectation de 15% d'un marché public de haute technologie à des PME. Un bon début, néanmoins insuffisant, selon les participants. Le comité éditeurs du Syntec Informatique travaille ainsi sur l'évolution de ce SBA, mais aussi sur le Crédit impôt recherche que le syndicat estime trop axé sur la technique, sur la visibilité des métiers du logiciel et sur la transformation du secteur avec l'arrivée du SaaS par exemple. « Il faut aider une industrie qui s'auto-finance, contribue à l'impôt et embauche » [[page]] Pour Bernard-Louis Roques, DG fondateur de Truffle Capital, il faut insister sur cette industrie du logiciel qui « s'auto-finance, qui contribue à l'impôt et qui embauche ». Les cent du Truffle comptent 51 184 employés dont plus de 10 000 en R&D. Mieux encore, justement parce que la R&D est au coeur de leur activité (700 M€ investis en 2008), les éditeurs ont une très faible propension à délocaliser (22% du Truffle 100). Intervenue en vidéo, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique et à la prospective, préfère attendre un ou deux ans et voir les effets de la disposition très récente des 15% avant d'imaginer son évolution. Nicolas Gagnez, PDG de Deny All, répond en proposant aux éditeurs de s'accorder sur un document que tous joindraient à leur réponse aux appels d'offres publics. Ce texte reprendrait les termes de la disposition gouvernementale pour l'expliquer aux donneurs d'ordre. Les résultats de cette action seraient ensuite envoyés au fur et à mesure au ministère. Un moyen simple d'observer au quotidien l'efficacité de la mesure. (...)

(02/04/2009 16:54:12)

Gartner table sur une baisse des dépenses IT de 3,8% en 2009

A peu de chose près, tous les segments du marché mondial des technologies de l'information devraient subir les effets négatifs du ralentissement de l'économie mondiale. Selon Gartner, les ventes cumulées de matériels, de logiciels et de services (dont les services télécoms) devrait ainsi baisser de 3,8% à 3200 Md$ durant l'année en cours. Avec un recul attendu de 14,9% pour un chiffre d'affaires de 381 Md$, les ventes de matériels devraient être les plus touchées. Le recul des revenus du marché des services devrait se situer quant à lui à 1,7% pour 809 Md$. Dans le même temps, le secteur des télécoms devrait accuser une décroissance de 2,9% à 1950 Md$. En comparaison, le secteur des logiciels tire son épingle du jeu avec une hausse en valeur prévisionnelle de 0,3% à 221 Md$. « La situation sera pire qu'en 2001 où le recul du marché mondial des technologies de l'information avait atteint 2,1% suite à l'éclatement de la bulle internet », conclut Richard Gordon, le vice-Président de la Recherche chez Gartner. (...)

(25/03/2009 11:56:22)

Annuels Lefebvre Software : +11,6% sur le chiffre d'affaires sans inclure ASGroupe

L'éditeur français de solutions de gestion Lefebvre Software a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 23,4 M€, en progression de 11,6% à périmètre constant, sans tenir compte du rachat de l'éditeur ASGroupe, réalisé en novembre dernier. Sur l'année, son résultat opérationnel courant s'élève à 2,6 M€ (11% du chiffre d'affaires) et le résultat net à 2,8 M€. Lefebvre Software s'est engagé dans un plan de développement ambitieux depuis l'arrivée à sa tête, il y a deux ans, de Viviane Ribeiro, précédemment présidente de l'éditeur Geac France où elle avait passé 17 ans. La société compte doubler son chiffre d'affaires d'ici à 2010 et poursuivre sa croissance externe. L'acquisition d'ASGroupe, spécialiste de la consolidation et du reporting, vient compléter sa suite de gestion intégrée (redéveloppée en architecture J2EE) et ses solutions de gestion des ressources humaines, qui s'adressent à des entreprises du mid-market (la base installée conserve une forte proportion d'utilisateurs de l'AS/400 d'IBM). En incluant ASGroupe, Lefebvre Software totalise un chiffre d'affaires de 31,7 M€ en 2008 dont 10% réalisés à l'international (notamment en Italie, Belgique, Espagne, Portugal et au Royaume Uni). Ensemble, les deux éditeurs rassemblent une base installée de 2 500 clients. (...)

(20/03/2009 09:21:15)

Pour la première fois, Oracle verse des dividendes à ses actionnaires

Le monde est en crise, mais pas Oracle. Et l'éditeur souhaite que cela se sache : taux de change mis à part, « nous avons vendu plus de nouvelles licences au troisième trimestre de cette année que lors du troisième trimestre de l'année dernière », s'est réjoui Larry Ellison, en présentant les résultats financiers du trimestre clos le 28 février dernier. Et le patron d'Oracle d'ajouter que vu la récession actuelle, « c'est un résultat plutôt remarquable ». Du coup, le conseil d'administration d'Oracle a même décidé de débuter un programme de rétribution des actionnaires. Comme l'indique Safra Catz, la directrice financière du groupe, Oracle avait l'habitude de « donner de la valeur à ses actionnaires au travers de l'innovation technologique, des acquisitions stratégiques, des rachats de capital ». Mais pas par des dividendes, aussi étrange que cela paraisse. Désormais, ce sera le cas, à hauteur de 5 cents par action et par trimestre. « Nous avons généré 8 Md$ de cash flow sur les 12 derniers mois, a-t-elle expliqué, et nous dégageons des marges opérationnelles record. Nous avons toujours été attachés à récompenser les investissements de nos actionnaires dans Oracle, et le conseil d'administration a décidé que c'était le bon moment pour offrir des dividendes à nos actionnaires. » Oracle incrimine les variations de taux de change qui font apparaître une baisse de 6% par rapport à l'an dernier sur ses ventes de nouvelles licences (1,5 Md$) au troisième trimestre fiscal (clos le 28 février 2009). A taux de change constant, ces ventes ont progressé de 3%, précise l'éditeur américain. Globalement, ses revenus logiciels ont néanmoins progressé de 5%, à 4,4 Md$, le chiffre d'affaire issu des mises à jour et de la maintenance ayant progressé de 11% à 2,9 Md$. Le chiffre d'affaires total s'établit à 5,5 Md$ (+2%) incluant des ventes de services en retrait de 8% à 1 Md$. A taux de change constant, souligne encore Oracle, la progression du CA se serait élevée à 11%. Quant à la marge opérationnelle, elle a progressé de 4% à 1,9 Md$ et le niveau de la trésorerie sur douze mois glissants s'est élevé à 8,5 Md$ (+17%). (...)

(18/03/2009 16:35:23)

Annuels GFI : des résultats stables et un nouveau patron

La SSII française GFI Informatique a clos son exercice 2008 sur un chiffre d'affaires consolidé en hausse de 11,6 % à 768,1 M€, comme l'indiquaient les résultats préliminaires. Le résultat net du groupe s'est établi à 14,3 M€, un montant quasi équivalent à celui dégagé en 2007 (14 M€). Le résultat opérationnel courant est également resté stable à 44,9 M€. La France a réalisé un chiffre d'affaires de 514,4 M€ (67% du CA total), soit une croissance organique de 5%, et une croissance totale de 14%. Toujours dans l'Hexagone, la marge opérationnelle courante s'est établie à 32,3 M€, soit 6,3% du CA. Le fondateur s'apprête à passer la main Sur le quatrième trimestre, toujours en France, les activités de GFI ont toutefois subi les effets du ralentissement économique, essentiellement dans les secteurs banque/finance. Le taux d'activité a baissé de 1,5% lors de ce dernier trimestre notamment à cause du retard pris dans le démarrage chez les clients de contrats signés. Côté perspectives, la SSII s'attend à ce que les mesures d'économies mises en place en 2008 aient plein effet en 2009, sans donner davantage de précisions. Enfin, dans le cadre de cette publication, la SSII a annoncé la nomination de Vincent Rouaix, actuellement directeur des opérations France, au poste de directeur général en remplacement de Jacques Tordjman qui avait fondé le groupe il y a plus de 15 ans. Ce dernier restera toutefois président du conseil d'administration jusqu'à l'assemblée générale du 20 mai 2009, date à laquelle Vincent Rouaix prendra ses nouvelles fonctions de PDG. (...)

(16/03/2009 16:33:48)

Annuels Altran : bénéfice en recul et premières mesures de chômage partiel

Altran a clos son exercice 2008 sur un chiffre d'affaires consolidé en hausse de 3,7% à 1,65 Md€, comme l'indiquaient les résultats préliminaires. Le spécialiste français du conseil en technologies a publié aujourd'hui, lundi 16 mars, un résultat opérationnel 2008 en hausse de 27,8% à 127 M€, contre 99,4 M€ en 2007 (soit 7,1% du chiffre d'affaires sur le premier semestre 2008 et 8,3% au second semestre 2008). En revanche, le bénéfice net est en chute libre : il a quasiment été divisé par deux pour s'élever à 11,4 M€ en 2008 contre 21,6 millions d'euros, un an auparavant. En conséquence, les perspectives 2009 du groupe n'augurent rien de bon : dans un communiqué, la société de conseil indique qu'elle réagira en temps réel aux difficultés de ses clients dans certains secteurs (comme l' automobile), mais qu'elle continuera de croître dans les zones d'Europe du Sud et sur des périmètres dans lesquels la visibilité restera clairement plus positive. Le chômage partiel pourrait s'étendre en fonction des perspectives économiques Pour l'heure, le groupe de conseil entend renforcer ses efforts dans la gestion de ses intercontrats, en développant les mobilités internes, en accélérant la formation, et en recourant, comme STMicroelectronics, à des mesures de chômage partiel. Il s'agirait en fait d'une extension du procédé, puisque le groupe y a déjà eu recours, depuis le début de l'année, chez ALD (ex Arthur D. Littlle), filiale d'Altran rattachée au secteur automobile, et dans sa filiale hollandaise. Le chômage partiel pourrait s'étendre en France et gagner d'autres pays et d'autres secteurs si la conjoncture venait à se dégrader, nous a-t-on précisé du côté d'Altran : « A ce stade, Altran ne s'interdit pas d'appliquer des mesures similaires à d'autres pays et secteurs si ces derniers subissent une forte dégradation tout au long de l'année 2009. » (...)

(26/02/2009 13:39:37)

L'offshore est de mieux en mieux accepté par les clients de Logica France (interview)

En France, l'activité de la SSII Logica est restée soutenue en 2008. Elle représente 20% de l'activité globale du groupe. Pour le président de Logica France, Patrick Guimbal, la croissance du chiffre d'affaires de la filiale (+5%, à 721 M£, sur un CA total de 3,588 Md£) résulte de la nouvelle stratégie engagée depuis le changement de direction. D'autres facteurs ont également pesé dans la balance, en particulier la forte représentation de la SSII dans le secteur public, sa focalisation sur une quinzaine de grands domaines de croissance, le ralentissement de ses recrutements sur l'Hexagone et la hausse de ses activités offshore. En 2009, Logica continuera à se focaliser sur des projets à retour sur investissement rapide et générant une réduction de coûts. « Le recours à l'offshore est de mieux en mieux accepté par nos clients », affirme Patrick Guimbal. Lire l'entretien de Patrick Guimbal, président de Logica France. (...)

(25/02/2009 17:03:32)

Annuels Logica : Des revenus 2008 légèrement supérieurs aux prévisions

La SSII Logica a clos son année fiscale 2008 sur des revenus légèrement supérieurs à ses prévisions. Le groupe anglo-néerlandais a publié un chiffre d'affaires de 3,588 Md£, en progression de 5% à périmètre courant. Ses dirigeants tablaient sur des revenus globaux en hausse de 4% sur l'exercice 2008. En revanche, le bénéfice net avant impôt s'est établi à 44 M£, et recule ainsi de près de 50% par rapport aux 84 M£ dégagés l'année précédente. Le résultat d'exploitation a, quant à lui, baissé de 22% par rapport à 2007, pour atteindre 86 M£. En France, l'activité est restée soutenue en 2008 et représente 20% de l'activité globale de la SSII : sur cette période, le chiffre d'affaires réalisé dans l'Hexagone a progressé de 5%, à 721 M£. Le résultat opérationnel ajusté atteint 55 M£, suite à une marge opérationnelle en progression de 7,6 % (contre 6,9 % en 2007). Une performance due, selon la SSII, à une amélioration de sa productivité et à une politique basée sur la réduction des coûts dans ses différentes divisions et au sein de ses fonctions centrales. Logica a également réussi à améliorer la structure de ses coûts en freinant ses recrutements onshore, c'est à dire en France. A l'inverse, la SSII a gonflé ses équipes de support offshore pour ses clients français au Maroc (29 clients, 33 projets en 2008) et en Inde. Au cours du second semestre, la SSII a réussi à progresser malgré le contexte économique incertain : en France, les revenus des secteurs de l'industrie, de la distribution et des transports ont pu progresser de 8% en 2008, pour s'élever à 281 M£. Toujours dans l'Hexagone, Logica a également affiché une hausse de ses activités d'outsourcing (+32%, CA à 232 M£), dopées par des contrats significatifs avec Michelin ainsi qu'avec plusieurs acteurs du secteur bancaire et public. (...)

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