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(01/08/2011 13:27:07)

Adobe montre Edge, l'outil HTML5 qui empiète sur Flash

Semant les graines de ce qui pourrait potentiellement venir perturber le succès et les revenus récurrents dont il bénéficie avec ses outils d'animation Flash, l'éditeur américain Adobe vient de livrer une pré-bêta du logiciel Edge, conçu pour assembler des contenus dynamiques sur le Web en s'appuyant sur HTML5 et les standards ouverts associés. « Il s'agit d'outils destinés aux designers qui veulent construire des contenus interactifs en recourant à des standards du web », a expliqué Devin Fernandez, responsable produit chez Adobe.

Traditionnellement, ces utilisateurs se servaient de Flash ou d'un produit concurrent tel que Silverlight, de Microsoft, pour ajouter des éléments interactifs aux pages web, sous la forme de « splash screen » (ces pages qui s'affichent pour faire patienter l'internaute pendant le chargement d'un logiciel), de graphiques dynamiques, de  vidéos courtes ou de bannières publicitaires. Adobe estime que 99% de tous les ordinateurs desktops disposent du logiciel qui permet d'exécuter ces fichiers Flash. 

Au cours des dernières années toutefois, le W3C (World Wide Web Consortium) et d'autres organisations équivalentes ont développé différentes spécifications pouvant être utilisées pour réaliser des contenus Internet riches de même nature. Et les fournisseurs de navigateurs web intègrent ces standards (comme HTML5, JavaScript, CSS et les Canvas tags) dans leurs logiciels, ce qui supprime la nécessité de faire appel à un plug-in séparé tel que le lecteur Flash.

Adobe n'a pas non plus été aidé par Apple dont le PDG, Steve Jobs, a critiqué Flash le jugeant trop bogué et conseillant aux développeurs de passer à HTML5.

Flash et HTML5 vont continuer à coexister

« Davantage de traitements qui étaient précédemment réservés à Flash sont maintenant effectués avec des standards web, reconnaît Devin Fernandez. Nous considérons qu'aider à tirer profit de HTML5 peut constituer une énorme opportunité pour notre société ».

Le nouvel outil utilise HTML5, CSS et JavaScript pour insérer des contenus web animés directement sur une page HTML. Dans une approche similaire à celle de l'outil de développement Flash, Edge permet à un développeur de modifier les attributs d'une image ou d'un élément HTML en fonction d'une durée préétablie, l'image web qui en résulte offrant alors l'impression d'être animée.

Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Al Hilwa, analyste chez IDC, spécialisé sur le développement d'applications, estime qu'Adobe a déjà montré qu'il pouvait facilement adopter de nouvelles tendances. « Cela montre qu'il peut rester le premier fournisseur d'outils quelle que soit la technologie utilisée », considère-t-il. « Il y a très peu d'acteurs qui soit autant qu'Adobe en phase avec les besoins et la sensibilité des designers. Il apporte le modèle historique familier à de nombreux développeurs Flash vers l'univers de HTML5 et de JavaScript, tout en conservant l'intégrité du code ».

Adobe ne s'attend pas à ce qu'Edge supplante totalement Flash, au moins pas dans un futur proche. « La technologie Flash restera un composant clé pour des usages spécifiques tels que la vidéo haut de gamme ou les jeux, précise Devin Fernandez. HTML5 et Flash vont sans aucun doute continuer à coexister. Chez Adobe, nous allons donc continuer à travailler sur des solutions portant sur ces deux axes. Les utilisateurs décideront sur quelle technologie ils veulent s'appuyer ».

La preview de Edge peut être téléchargée gratuitement. Adobe prévoit de livrer la version commerciale définitive en 2012, pour Windows et MacOS.

Crédit photo : Adobe

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(22/07/2011 10:42:25)

Wolfram Research veut concurrencer Flash et Silverlight avec le CDF

Avec le Computable Document Format (CDF) de Wolfram Research, les utilisateurs peuvent créer des représentations visuelles de leurs données, manipulables ensuite. « C'est une façon de communiquer sur le monde des idées quantitatives beaucoup plus riche que par le passé », a déclaré Conrad Wolfram, directeur général de l'entreprise, lors d'une conférence de presse. Le CDF propose de visualiser non seulement des données brutes, mais aussi les algorithmes qui associent ces différents groupes et les différentes interactions. La société a publié un certain nombre de démonstrations sur cette technologie.

Concrètement, le CDF pourrait intégrer des données interactives dans les manuels numériques, documents scientifiques, des présentations d'affaires précise Conrad Wolfram. Il ajoute que les documents d'aujourd'hui se résument  à des tableaux, des graphiques, diagrammes et autres représentations statiques. En utilisant la puissance de calcul, les présentations pourraient devenir plus dynamiques, en donnant aux spectateurs un moyen de manipuler les éléments. « Nous n'avons pas besoin d'avoir des lecteurs pour décompresser les idées », poursuit le dirigeant Wolfram en référence au besoin pour un auteur de « compresser » ses idées dans une représentation visuelle facile pour le spectateur.

Télécharger un plug-in gratuit


Pour regarder les données dans le format CDF, les utilisateurs auront besoin de télécharger un plug-in gratuit sur le site de Wolfram (il pèse 101 Mo). Prochainement, l'éditeur lancera ce service directement depuis un serveur web sans passer par le téléchargement d'une extension. Les créateurs de contenu pourront créer des documents CDF depuis le logiciel Mathematica, mais l'éditeur proposera aussi des outils de composition en ligne. Avec cette version, Wolfram Research sera en concurrence avec des outils de RIA à l'attention des développeurs comme Flash d'Adobe, Silverlight de Microsoft et même certaines combinaisons de bibliothèques JavaScript et les standards HTML 5. Conrad Wolfram a promis que sa solution serait plus facile à utiliser et à apprendre.

« La clé du succès du CDF sera de rendre l'interactivité facile pour les auteurs et ne reste pas l'apanage unique des professionnels (développeurs) » conclut Conrad Wolfram.

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(08/11/2010 17:33:00)

Dossier méthodes agiles : Le renouveau des relations client/fournisseurs

L'avantage des méthodes agiles réside avant tout dans le fait qu'elles mettent en avant une démarche plus pragmatique que les démarches traditionnelles, en impliquant au maximum le client et ses réels besoins sans fonctionnalités superflues. Toutefois, un gros travail d'audit et d'évangélisation reste à faire car ces méthodes sont sous exploitées dans les SSII et les entreprises, un peu moins chez les éditeurs qui les utilisent depuis longtemps. Enfin, si les gains sont bien identifiés, la mise en place des contrats et de la facturation n'est pas encore très aboutie.
Sommaire du dossier


- Les méthodes agiles pour l'aboutissement d'un projet de qualité chez le client ?

- Les méthodes agiles réclament écoute et compréhension

- Des gains identifiables grâce aux méthodes agiles

- Témoignage utilisateur : Thierry Roche, DSI de l'Apec


Illustration principale : Crédit Mountain Goat Software (...)

(24/06/2011 10:15:37)

Adobe fait évoluer Builder et Flex

Adobe Systems a annoncé la disponibilité des mises à jour de Flash Builder 4.5 et Flex 4.5, autorisant par là-même le développement d'applications pour l'iPhone, l'iPad et le BlackBerry PlayBook. Grâce à la prise en charge des terminaux Android dévoilée en avril dernier, les développeurs disposent désormais d'une seule et même plateforme pour créer des app qui peuvent être distribuées via Android Market, l'App Store d'Apple et BlackBerry App World.

La version 4.5 de Flash Builder accélère le développement des applications Flash et ActionScript ainsi que leur déploiement en utilisant le logiciel Adobe Air. Selon Adobe, ce dernier sera supporté par plus de 200 millions d'appareils mobile d'ici la fin de l'année. Flash Builder 4.5 et Flex 4.5 sont disponibles séparément ou inclus dans la gamme Creative Suite 5.5, précise l'éditeur.


www.ictjournal.ch

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(27/05/2011 14:10:01)

What's Next : Le monde Java pense à l'avenir sans Oracle

Le Grand Rex à Paris a été choisi comme lieu de rendez-vous de la communauté Java pour l'évènement What's Next. Créée à l'initiative de Zenika, spécialiste en technologies Open Source et méthodes agiles, de nombreux participants sont venus écouter, apprendre et comprendre l'intérêt de ce langage pour d'autres acteurs. Parmi ces derniers, on peut citer Microsoft, Alfonso Castro, en charge de l'interopérabilité chez Microsoft indique « nous souhaitons attirer les développeurs Java vers notre plateforme cloud Windows Azure. Des travaux ont été réalisés pour créer des API et des SDK Java en collaboration avec Eclipse qui nous permet sur Windows Server de faire du portage de code Java » et d'ajouter « des réalisations concrètes de ces partenariats existent comme les solutions de Bonitasoft ». La main tendue par Microsoft a également été relayée par Niel Gafter, récente recrue de la firme de Redmond qui a passé 15 ans chez Sun et reste un membre reconnu de la fondation Apache.

Autre acteur qui cherche à séduire la communauté, Spring Source, propriété de VMware. Adrian Colyer, CTO de Spring et grand ordonnateur de la plateforme CloudFoundry, dans son intervention inaugurale sur les applications en entreprises, a exhorté les développeurs à prendre en compte les différentes évolutions, les différents terminaux, les interactions entre applications, les passerelles avec l'univers des réseaux sociaux, etc... « les développeurs ont besoin d'aller plus vite mais aussi de cible leur intérêt » et d'ajouter « nous proposons la création de modules spécifiques comme Spring Mobile, Spring Social, Spring Data ».

Des websockets au RIA


Le spectre des intervenants à l'évènement était large. Pour preuve, la présence de la société Kaazing en la personne de Bryan Drisdale, directeur technique de la zone EMEA. Elle est spécialisée sur les websockets, il s'agit d'un standard du web, intégré dans HTML5, qui vise à développer un canal de communication bidirectionnel et full-duplex sur un socket TCP pour les navigateurs et les serveurs web. L'objectif pour Bryan Drisdale est « d'avoir une meilleure expérience utilisateur en proposant un dialogue en temps réel, ce protocole donne une faible latence pour l'éxécution des applications java ». Souvent mis en concurrence avec http, les websockets disposent elles aussi d'un protocole sécurisé, nommé web sockets secure qui gère l'authentification et le chiffrement des données échangées. Bryan Drisdale a résumé l'intérêt pour ce type de communication notamment dans une optique de cloud, « les web sockets sont le TCP pour le cloud » et d'indiquer que Kaazing travaille pour intégrer cette technologie au sein de terminaux tels que les compteurs intelligents ou les équipements RFID.

Du général au particulier, il n'y a qu'un pas quand on discute avec Michael Chaize, évangéliste de la plateforme Flash chez Adobe. Son leitmotiv est l'expérience utilisateur, « beaucoup de projet s'interroge sur l'aspect technique, mais la bonne question est quel est votre problème » et de citer des projets comme celui du Crédit Agricole NICE qui comprend une partie RIA (Rich Internet Application) pour faire converger l'interface utilisateur des sites clients et des agences. Ce programme a été développé en Java. Un autre axe important pour la communauté Java et pour Adobe est, la mobilité à travers les smartphones et les tablettes. L'expérience utilisateur est très importante sur ce genre de terminaux, qui a un impact fort sur la prise de décision. Michael Chaize précise qu'Adobe a noué des partenariats avec Spring Source par exemple pour optimiser les flux de données pour faire du temps réel.

Au final, la conférence qui s'est tenue sur 2 jours a été riche d'enseignement pour la communauté Java qui a balayé le champ des possibles. On en aurait presque oublié le grand absent de cette manifestation, Oracle...

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(29/04/2011 12:51:27)

Performances des applications web : BMC rachète Coradiant

Avec le rachat de l'éditeur Coradiant, annoncé hier, BMC Software récupère des outils permettant de surveiller les performances des applications web. En les ajoutant à sa plateforme Business Service Management, le spécialiste américain de la gestion des services métiers considère qu'il dispose ainsi de la solution la plus complète pour suivre et intervenir de façon proactive sur les performances applicatives offertes aux utilisateurs.

La technologie de Coradiant surveille les performances des applications à la fois « on-premise » (installées dans l'entreprise), accessibles dans un environnement virtualisé ou dans le cloud. Sur le marché, on trouve des offres concurrentes chez Keynote, Opnet et Compuware. Le monitoring d'applications comporte deux volets. D'une part, il aide le département IT à localiser les problèmes risquant d'entraver la fluidité des applications d'entreprise et de réduire la productivité des utilisateurs. D'autre part, ces outils sont mis à profit pour contrôler la disponibilité et le bon fonctionnement des portails publics et des sites de e-commerce.

La gamme TrueSight de Coradiant se décline en plusieurs produits : Enterprise Edition, End User Monitor et le service « on-demand » Performance Reporting Service. L'éditeur a également développé TrueSight Cloud Visibility Edition for Akamai, une appliance virtuelle pour vérifier en temps réel les performances des applications web accélérées par Akamai.

Une visibilité de bout en bout sur les applications

La nouvelle solution BMC End User Exeperience Management, basée sur la technologie de Coradiant, aidera à comprendre comment la performance des applications peut affecter le comportement des utilisateurs et, par ricochet, l'activité de l'entreprise. Elle fournira en temps réel une visibilité de bout en bout sur les applications (en mode SaaS, dans le cloud ou déployées en interne). BMC souligne que la compétitivité des entreprises est de plus en plus tributaire d'applications en ligne et rappelle qu'avec le développement des datacenters virtualisés, du cloud et des technologies Web 2.0, les applications, extrêmement complexes, sont de plus en plus distribuées.

BMC disposera donc de fonctionnalités de monitoring pour analyser finement le comportement des utilisateurs face à leur interface applicative. En reliant ces données à la performance applicative, il sera possible de fournir un compte-rendu détaillé des problèmes survenus pendant chaque visite d'internaute, explique l'éditeur. L'acquisition de Coradiant lui apporte une brique de plus pour alimenter la concurrence avec les trois autres acteurs du « Big Four » de l'administration de systèmes (CA Technologies, Hewlett-Packard et IBM), dans lequel BMC Software constitue le quatrième protagoniste.

Illustration :  le service "on-demand" TrueSight Performance Reporting
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(18/04/2011 11:07:32)

Adobe colmate une faille zero day dans son player Flash

Adobe avait reconnu cette faille en indiquant que des kits d'attaques étaient déjà en circulation. L'éditeur avait promis de corriger la faille avec une mise à jour d'urgence. Ce patch est le deuxième en moins de quatre semaines. La version de Flash Player 10.2.159.1 est disponible pour Windows, Mac, Linux et Solaris. On notera l'absence d'Android dans cette liste, le système d'exploitation mobile de Google qui gère également Flash. Un correctif spécifique sera délivré au plus tard la semaine du 25 avril, a déclaré Adobe.

L'éditeur doit dans la même semaine corriger Acrobat et Reader, outils pour la création et la lecture de PDF. La vulnérabilité trouvée dans Flash existe aussi dans Reader et de manière plus avancée dans Acrobat car le code peut s'immiscer dans des documents PDF. Les premières attaques se sont basées sur des pièces jointes Word malveillantes. Les pirates ont élargi leur campagne afin d'inclure des fichiers Excel corrompus, selon Mila Parkour, le chercheur indépendant en sécurité qui a signalé la faille dans Flash. Elle a suivi les attaques pendant plus d'une semaine et a publié des informations à leur sujet sur son blog Contagio Malware Dump. Elle a ainsi montré que les premiers documents Word portaient sur les lois antitrust chinoises ou sur le programme d'armement nucléaire japonais. Peu après, les documents étaient plus terre à terre en portant sur des plans de réorganisation de l'entreprise ou sur une mise à jour des listes de contacts professionnels.

Une origine chinoise ?

La spécialiste en sécurité a également réussi à tracer  le serveur d'envoi des messages. Celui-ci est enregistré en Chine. Elle a par ailleurs constaté que certains des documents Word et Excel malveillants avait été initialement conçus en chinois.

Google a mis à jour son navigateur Chrome  qui inclut une copie de Flash Player. Ce téléchargement rectifie non seulement le bug Adobe, mais aussi un trio de vulnérabilités critiques dans la technologie d'accélération matérielle au sein du navigateur. Comme Internet Explorer et Firefox, Chrome utilisent le processeur graphique (GPU) pour traiter certaines tâches. La firme de Mountain View considère habituellement comme « critiques » les failles que les attaquants pourraient utiliser pour contourner la « sandbox » du navigateur.
Les utilisateurs d'autres navigateurs peuvent télécharger la version corrigée de Flash Player à partir du site d'Adobe.

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(15/04/2011 10:21:47)

MIX11 : Microsoft montre Mango, la mise à jour de son OS mobile

Microsoft a dévoilé cette semaine les détails de Mango, la prochaine mise à jour de son OS pour smartphones Windows Phone, qui sera lancée à l'automne prochain avec près de 1 500 nouvelles APIs. L'éditeur a également présenté les améliorations prévues sur les  outils de développement permettant de créer des applications pour la plateforme. Avec Mango, Microsoft renforce son système d'exploitation mobile dans des domaines tels que les menus déroulants, l'utilisation de la mémoire et l'accès aux données. « Mango inclut maintenant une base de données SQL locale qui permet aux utilisateurs d'enregistrer les données ou d'effectuer des requêtes au sein des applications », a déclaré Scott Guthrie (en photo, à droite), vice-président de la plate-forme de développement .Net, lors de la conférence Mix11 à Las Vegas. Les APIs permettront d'exposer les fonctionnalités du plug-in Silverlight 4 pour afficher des applications Internet.

Les données se chargent plus rapidement dans Mango. Alors que Windows Phone 7 se fige lorsqu'il charge de nouvelles informations, « Mango réagit immédiatement, même si les données ne sont pas entièrement arrivées », a t-il expliqué. Un collecteur d'informations permet de charger progressivement les données en mémoire sans stopper l'application. Ainsi, celle-ci démarre beaucoup plus rapidement et interagit de façon plus fluide, en particulier avec les jeux.

Une quinzaine de langues supplémentaires et des fonctions HTML5


« Mango s'appuiera sur la nouvelle version du navigateur Internet Explorer 9, qui inclut un moteur de navigation haute performance », a pour sa part indiqué Joe Belfiore (en photo, à gauche), vice président, responsable programme Windows Phone. La mise à niveau de l'OS pour smartphones comportera 16 langues supplémentaires, parmi lesquelles des langues asiatiques,  et disposera de  fonctions de recherche améliorées. Mango exploitera également des fonctionnalités HTML5, comme la lecture de fichiers audio en tâche de fond pendant la navigation, et d'applications natives optimisées dans des domaines comme l'intégration des données. « Il y a beaucoup de choses que nous réalisons dans cette  mise à jour pour que vous puissiez mieux intégrer vos applications, les données, les services et les capteurs sur le téléphone», a ajouté le responsable du programme Windows Phone. Les capacités multitâches permettent par ailleurs de passer plus rapidement d'une application à l'autre. La façon dont le code s'exécute est gérée de façon à améliorer la durée de vie de la batterie. Enfin, un menu (jump list) aide les utilisateurs à accéder directement à l'application qui les intéresse.

Silverlight 5 disponible en version bêta


Les outils de développement Windows Phone pour développer des applications Mango seront disponibles gratuitement à partir du mois prochain. Ils proposeront des capacités d'émulation améliorées incluant et la simulation de la localisation. Des outils de mesure des performances permettront aux développeurs d'identifier certains problèmes. « Ils vous dirigent vers la portion de code à corriger », explique Scott Guthrie. En outre, une capacité d'allocation de mémoire trace les objets en fonction de la quantité de mémoire qui leur est allouée.

Comme prévu, Microsoft a également annoncé la sortie de la version bêta du plug in Silverlight 5, Le support de Silverlight 5 dans Microsoft Visual Studio et Expression Studio Tools est également disponible. La version 5, qui devrait atteindre l'étape de la livraison aux fournisseurs OEM cette année, proposera des fonctionnalités qui amélioreront la qualité vidéo et intégrera  une interface basée sur les outils XNA pour visualiser de la 3D dans les applications. La version bêta de Silverlight 5 est disponible sur le site Web de Silverlight.

Illustration : de gauche à droite, sur MIX11 (à Las Vegas), Joe Belfiore, vice président, responsable du programme Windows Phone et Scott Guthrie, vice-président de la plate-forme de développement .Net. (...)

(08/03/2011 15:24:58)

Digital Publishing Suite Entreprise d'Adobe met les tablettes à portée des éditeurs

La version Edition Enterprise de la suite Digital Publishing d'Adobe est disponible. Cette solution d'édition clé en main associant des services hébergés, une technologie de lecture et une intégration avec Adobe Creative Suite 5 (CS5) est destinée aux éditeurs pour créer, diffuser, vendre et rentabiliser la publication de magazines numériques, de journaux et de contenus en ligne. En particulier, la version Edition Enterprise met à la portée des éditeurs les tablettes sous Android, comme la Xoom de Motorola, la Galaxy Tab de Samsung, mais aussi le Playbook de RIM et les appareils mobiles sous iOS d'Apple, pour lesquelles ils peuvent créer des contenus numériques dédiés, sans perturber les processus de publication et les infrastructures existantes.

L'annonce de cette disponibilité vient après le communiqué d'Adobe indiquant que sa suite Adobe Digital Publishing sera compatible avec le système d'abonnement de l'App Store d'Apple et avec le Google One Pass pour les éditeurs de magazines et de journaux. « Le secteur de l'édition est dynamisé par l'émergence des tablettes tactiles. Grâce à elles, les éditeurs peuvent mettre en valeur leurs magazines et leurs publications dans des formats innovants, les proposer en abonnement aux lecteurs et offrir aux annonceurs un espace interactif dont l'impact est élevé, » a déclaré David Wadhwani, vice-président senior pour les Solutions Créatives et Interactives chez Adobe. « Le programme préliminaire mené par Adobe pour tester, en condition réelle, l'Edition Enterprise de la suite Digital Publishing, nous a permis de travailler avec certains des plus grands noms de cette industrie, et nous pouvons nous réjouir de la qualité du contenu qui sera accessible sur ces dispositifs. »

Une édition complète pour les gros éditeurs


La version Enterprise Edition de la suite Digital Publishing offre à tous les éditeurs, où qu'ils se trouvent dans le monde, une gamme de services hébergés et de fonctionnalités. Un service Production, qui permet de télécharger un contenu directement depuis Adobe InDesign CS5 et de le tester ; un service Distribution pour le stockage et la diffusion centralisée des publications numériques vers les tablettes sous Android, iOS, et RIM QNX ; un service de Commerce électronique pour la vente de contenu, par l'intermédiaire de places de marché mobiles, App Store d'Apple et Android Market, mais aussi via des réseaux de vente de contenu numérique au détail ou le site web de la maison d'édition ; un service Analyse qui offre des outils basés sur Adobe Marketing Suite pour analyser et optimiser le contenu éditorial et publicitaire Un service SiteCatalyst supplémentaire permet à l'éditeur d'obtenir des analyses plus approfondies. Enfin, la suite comprend également un outil de création de lecteurs de contenu personnalisés, pour prévisualiser, tester et élaborer des « lecteurs » propriétaires.

Essentiellement destinée aux gros groupes d'édition du marché  - Bonnier, Condé Nast, le Groupe Globo Media, Martha Stewart Living Omnimedia et le National Geographic l'ont déjà adopté - l'Edition Enterprise de cette suite va ouvrir l'accès de titres, dont certains parmi les plus emblématiques, aux tablettes tactiles. « Depuis 100 ans, le National Geographic offre un contenu de qualité reconnu, » a déclaré Drew Onufer, vice-président pour les Produits interactifs et numériques au National Geographic. « Avec l'Edition Enterprise de la suite Digital Publishing et les logiciels de création d'Adobe, les consommateurs pourront profiter de ces contenus sur une grande variété de tablettes tactiles. Nous pourrons aussi diffuser plus largement nos contenus, en imaginant de nouvelles manières de les présenter. Nous venons de publier  « 50 Grands Photographes » et nous avons de nombreux titres en cours d'élaboration. C'est un moment très excitant pour le National Geographic et pour l'ensemble de l'industrie de l'édition. »

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(08/03/2011 11:50:55)

Adobe expérimente Wallaby pour porter Flash sur iOS

Wallaby, qui sera offert gratuitement sur le site Adobe Labs, donnera la possibilité aux développeurs de convertir un fichier Flash créé dans l'outil de développement Flash Professionnel au format HTML. iOS d'Apple, qui ne supporte pas Flash Player, est la principale cible de Wallaby. Cette technologie peut aussi fonctionner sur les navigateurs comme Safari et Chrome, a déclaré Tom Barclay, chef de produit senior pour Adobe Creative Suite.

« Il s'agit d'une technologie expérimentale qui donne un aperçu de l'innovation que nous faisons autour de Flash et HTML et de montrer l'investissement que nous faisons dans les deux technologies que nous jugeons importantes pour le long terme », souligne Tom Barclay. Wallaby n'est pas fondé que sur du code HTML, mais comprend SVG et CSS, qui sont des technologies connexes.

Une conversion avec ses limites

Wallaby est une application AIR (Adobe Integrated Runtime) compatible avec Windows et Mac. Les développeurs peuvent convertir des fichiers au HTML5 via la fonctionnalité de glisser-déposer, affirme l'éditeur. Une fois les fichiers convertis, les développeurs peuvent le modifier à l'aide d'un outil d'édition HTML, comme Dreamweaver ou à la main.

Adobe Flash est une technologie brevetée, pour jouer à des expériences riches dans les navigateurs. Elle a été contestée par Apple en particulier, qui a fait valoir que pour ce type d'expérience, elle misait sur  HTML5. Adobe considère que les deux formats peuvent coexister. Cependant, la conversion à partir de Flash au format HTML peut signifier la perte de certaines fonctionnalités, comme l'absence d'effets, la gestion des filtres et la fusion des claques, indique Tom Barclay. « Si une fonction Flash n'est pas pris en charge dans HTML, elle ne sera tout simplement pas disponible » conclut-il. (...)

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