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RIA

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(06/01/2009 12:46:00)

L'encodage de vidéos à la volée séduit les investisseurs : Ripcode lève 12,5 M$

Après avoir amassé 19,5 M$ sur 2006 et 2007, Ripcode vient de lever 12,5 M$ pour financer son développement à l'international. Cette start-up texane a mis au point une technologie d'encodage des vidéos à la volée, pour simplifier leur diffusion vers les mobiles. Début décembre, Ripcode signait ainsi un contrat avec MySpace. Dans son blog, Brendon Mills, le fondateur de Ripcode, explique qu'ainsi MySpace n'a plus à encoder ses vidéos dans plusieurs formats (flv, mp4, etc.) - ce que Brendon Mills appelle « des méthodes historiques pré-transcodage » - afin de pouvoir toucher le maximum de plateformes. De leur côté, les utilisateurs de la version mobile de MySpace n'ont pas à choisir le format vidéo qui leur convient, ils se contentent de cliquer sur la vidéo qu'ils veulent : la technologie de Ripcode encode automatiquement le contenu dans le format accepté par le mobile. Ripcode partage la conviction des grands acteurs des plateformes d'exécution, comme Microsoft, Adobe ou Sun : tant le contenu multimédia sur le Web que le nombre d'utilisateurs y accédant via des appareils mobiles vont exploser. En revanche, même si Ripcode s'affiche comme un partenaire, ils différent complètement sur la stratégie à adopter. La technologie de Ripcode (On-Demand and Real-Time Stream Transcoding) est à l'opposé de ce que proposent Microsoft, Adobe et Sun qui souhaitent, avec leurs offres respectives Silverlight, Flash et JavaFX que tous les producteurs de contenu et les fabricants de téléphones prennent leur format comme standard. (...)

(02/01/2009 16:01:29)

2008-2009 : bilan et perspectives

Netbooks qui relancent un marché de la micro morose, prise de conscience écologico-économique avec le Green IT, débuts du 'cloud' et affirmation du Saas, 2008 a encore été une année riche pour tous les décideurs du monde informatique. Une année pleine de conflits, aussi, au niveau économique (tarifs SAP, fusion-hésitation avortée entre Microsoft et Yahoo...) comme au niveau social, avec une avalanche de plans d'économies et de suppressions de postes. LeMondeInformatique.fr a fait le tri pour vous, et vous propose la synthèse de tout ce qu'il faut savoir pour aborder 2009 dans les meilleures conditions. Un dossier à imprimer et à conserver - avec tous nos voeux de bonheur et de réussite pour cette nouvelle année. (...)

(31/12/2008 12:25:45)

Bilan 2008 : La guerre des RIA réconcilie SOA, mash-up et Web 2

Les clients lourds, à installer sur chaque ordinateur, n'ont plus la cote : trop complexes à installer et mettre à jour, incompatibles avec la vaste majorité des terminaux, ils se sont fait voler la vedette par les interfaces Web. Mais les interfaces HTML, même mâtinées de Javascript (concept Ajax), restent trop simplistes pour des usages avancés, et impliquent de rester connecté en permanence. Le constat ne date pas d'hier, et on parle depuis des années des clients pour les applications Internet riches (RIA), qui reprendraient le meilleur des deux mondes : projets XUL chez Mozilla, GWT chez Google, Apollo chez Adobe, WPF/E chez Microsoft, RCP chez Eclipse et chez Sun Netbeans, OpenLaszlo (implémentation Open Source de Flex)... La véritable émergence des RIA, toutefois, peut vraiment être située en 2008. C'est en effet ces derniers mois que les quatre gros acteurs du secteur ont peaufiné leur stratégie et leur technologie. Google, avec son offre en Open Source, qui permet à tous les développeurs Java de créer simplement des interfaces riches, a su habilement diffuser son GWT (Google Web Toolkit). Adobe a enfin compris qu'il lui fallait diffuser le plus largement possible - donc gratuitement pour les terminaux mobiles, comme pour les PC - sa plateforme d'exécution Flash, car son installation conditionne en partie le succès de ses offres Flex (client Flash permettant la manipulation des sources de données) et AIR (Adobe Integrated Runtime, client riche complet) ; l'autre condition du succès étant le soutien de la communauté de développeurs et de créatifs. Avec la deuxième version de Silverlight, Microsoft a concrétisé la promesse d'un client riche s'adressant - comme chez Adobe - à la fois aux créatifs et aux développeurs. Sachant que si la communauté .Net est extrêmement importante, Microsoft doit encore faire ses preuves pour séduire les graphistes. Et Sun a - enfin ! - sorti sa propre solution, dont il parlait depuis plus d'un an et demi, JavaFX. L'inventeur de Java part évidemment avec un atout sérieux, la diffusion de la plateforme d'exécution Java. En revanche, la version 1.0 a franchement laissé sceptiques les spécialistes du domaine : Sun a encore beaucoup de chemin à parcourir avant d'atteindre la productivité et le résultat des solutions concurrentes. Il est probable que ces différentes technologies cohabitent. Mais plusieurs tendances devraient assurer leur succès. D'abord, les RIA peuvent aussi bien servir aux applications professionnelles, pour remplacer des clients complexes ou vieillissants, que grand public, notamment dans le monde du Web 2.0 qui mise avant tout sur l'interactivité. Elles bénéficient donc de facto d'une large audience potentielle, renforcée par le fait que les utilisateurs en entreprise (notamment les 'digital natives') souhaitent de plus en plus pouvoir travailler avec des interfaces aussi ergonomiques que ce qu'ils utilisent au quotidien dans leur vie personnelle. Ensuite, les types de terminaux se multiplient (ordinateur, netbook, smartphone...), et leur seul point commun est Internet - et la capacité du navigateur embarqué à télécharger la plateforme d'exécution idoine. Enfin, les RIA correspondent exactement à la philosophie guidant actuellement les développements : architectures orientées services (SOA) et mash-up (combinaisons de services applicatifs au niveau du poste client ou des serveurs Web). Ce sont en effet les clients idéaux pour accéder à des services divers et les agréger avec une interface fonctionnelle et agréable. A lire sur le sujet : - Le 29 décembre : Sun assure que JavaFX sera entièrement disponible en Open Source - Le 19 décembre : Adobe sort une version Linux de son client riche AIR - Le 19 novembre : Adobe Max : AIR 1.5 s'adapte aux capacités de Flash 10 - Le 19 mai : Moonlight, la version libre de Silverlight fait ses premiers pas - Le 16 décembre : Les clients Adobe témoignent de leur utilisation des RIA - Le 5 décembre : Sun JavaFX : technologie RIA à la traîne et stratégie à revoir - Le 14 octobre : Silverlight 2 convoque Eclipse via le Français Soyatec - Le 1er juillet : Le contenu Flash accessible aux moteurs de Google et Yahoo - Le 7 mai : JavaOne : Sun présente sa technologie de client riche JavaFX - Le 17 avril : Microsoft rejoue Mix au public français - Le 25 février : Adobe lance officiellement son offre de clients riches - Le 1er décembre : Adobe Max : Flash et AIR mixent vidéo et réseaux sociaux - Le 9 juin : Silverlight 2 pourra être programmé en Ruby ou Python - Le 7 mai : Adobe veut diffuser Flash gratuitement sur les mobiles - Le 18 avril : Silverlight supportera les DRM avant la fin de l'année - Le 17 mars : Flash Lite et PDF bientôt sur Windows Mobile - Le 11 mars : Microsoft dévoile ses ambitions pour un Silverlight mobile - Le 25 février : Ilog intègre ses composants de visualisation à AIR et Flex (...)

(29/12/2008 16:56:10)

Sun assure que JavaFX sera entièrement disponible en Open Source

Conformément à sa politique, Sun mettra bien à disposition tous les éléments de sa technologie d'interfaces riches, JavaFX, sous licence Open Source. Jeet Kaul, vice-président du Software Client Group de Sun, l'a réaffirmé sur son blog, tout en précisant que cela prendrait un peu de temps. Plusieurs éléments de JavaFX sont déjà disponibles selon les termes de la GPL, notamment le compilateur et le plug-in pour Netbeans. Mais certains autres présentent des dépendances avec du code sous licence propriétaire, explique Jeet Kaul. « Nous travaillons à réduire les dépendances, de façon à ce que les portions non-propriétaires puissent être ouvertes. » Jeet Kaul précise par ailleurs que la version mobile de la solution RIA (Rich Internet application) de Sun sortira en mars. JavaFX à fort à faire pour rattraper son retard sur les solutions concurrentes, notamment de Google (GWT), Adobe (Flex/AIR) et Microsoft (Silverlight). (...)

(16/12/2008 16:45:37)

Les clients Adobe témoignent de leur utilisation des RIA

Plus de 200 décideurs ont répondu présent à l'invitation d'Adobe, et ont assisté à la conférence sur les RIA (applications Internet riches) qui s'est tenue ce jour à la Défense. A la différence des conférences Max des semaines passées (à Las Vegas puis à Milan), l'objectif ce mardi était de parler à un public pas forcément technique, et ne connaissant pas toujours les solutions Adobe, en particulier AIR et Flex. Plus que de technologie, il a donc surtout été question de la façon dont les RIA peuvent aider à rendre les applications d'entreprise plus efficaces, et les applications ouvertes au public plus à même de retenir leur attention et de les inciter à dépenser davantage. Plusieurs cas d'entreprise - Maaf, Etam (cf. page suivante), Gaselis, Orange... - ont illustré ces promesses. La tâche de planter le décor a été confiée à Christian Fauré, de la SSII Atos Origin. Pour lui, « le Web est devenu la plateforme de l'industrie IT », ce qui a conduit à « une phase de désajustement », les entreprises devant adopter « le Web, son architecture, ses pratiques, ses usages ». Un moyen simple de le faire dans de bonnes conditions serait de passer par une réflexion sur les RIA. Des données plus fiables et plus facilement compréhensibles Premier avantage des RIA, indique Christian Fauré : l'ergonomie qu'elles proposent améliore la saisie des données, ce qui par conséquent en améliore la qualité. Or, dit-il, nous sommes passés, après « les ères du hardware, du software et du netware », dans l'ère du « dataware », puisque aujourd'hui ce sont les données qui symbolisent la richesse du patrimoine d'une entreprise. Les RIA sont aussi, a rappelé plus tard Adobe, une très bonne solution pour rendre le décisionnel beaucoup plus graphique et ergonomique (à l'aide notamment des composants Elixir d'Ilog). Or un décisionnel efficace repose avant tout sur des données de qualité, a souligné Christian Fauré, citant un ami : « Si tu as de la merde en bas, tu auras de la merde en haut. » Des applications sous forme de flux, et des services découplés de la couche présentation Les RIA imposent par ailleurs un nouveau type de collaboration entre IT et métier, ce qui leur est bénéfique, avance Christian Fauré. « Les RIA impliquent un effort de scénarisation », dit-il. Avec un client riche, les applications ne se présentent plus comme des successions de pages, mais « sous forme de flux ». Cette façon de prendre l'utilisateur par la main évite les écueils des applications transposées dans les navigateurs : écran blanc pendant qu'une page se charge, temps de chargement pouvant dépasser la seconde, impossible de revenir en arrière sans provoquer de comportement bizarre... Autre avantage des RIA, elles induisent un découplage entre la couche présentation et la couche services, ce qui en fait les meilleures amies des architectures orientées services. Vivek Badrinath, directeur de la technologie chez Orange, a insisté sur ce découplage : c'est la base technologique sur laquelle l'opérateur compte s'appuyer pour son offre de convergence, qui doit faire travailler ensemble trois systèmes d'information différents, pour le fixe, le mobile et Internet. Orange propose d'ailleurs désormais une vingtaine d'interfaces vers des services qu'il offre, et que des développeurs (hobbyistes ou partenaires) peuvent librement utiliser, au sein de mash-up (applications composites). Etam révolutionne le mode de fonctionnement de ses RH avec Flex [[page]] Dans l'après-midi, Etam a bien illustré la façon dont une ergonomie moderne peut révolutionner le mode de fonctionnement d'une entreprise. Guy Chevreau, responsable des domaines RH et paye de l'enseigne, a mis en oeuvre Flex (qui s'appuie sur le Player Flash côté client) afin de permettre aux responsables de magasins d'agir eux-mêmes sur les données SAP. Aujourd'hui, a-t-il expliqué, les managers envoient chaque mois par fax des fiches papier au siège, où est effectuée la saisie. Ce qui prend du temps et engendre des erreurs - et devient de plus en plus handicapant au fur et à mesure que grandit l'entreprise (Etam compte 687 magasins en France, plus de 3600 dans le monde). Le client riche change sa cinématique en fonction des règles de gestion La solution retenue se compose de quatre éléments : l'application cliente sur le TPV (terminal point de vente) en magasin, conçue en Flex et déployable à distance ; le serveur de communication Blaze Data Services pour faire le lien avec Netweaver, le middleware SAP, et ce dernier qui communique avec l'application RH du progiciel. A la différence de ce qui se passerait en cas d'accès direct au progiciel, via une interface Web, par exemple, le responsable de magasin qui utilise l'application n'a pas besoin de connaître les règles de gestion de SAP : elles sont encapsulées dans l'application Flex. C'est elle qui valide ou non les saisies, et qui modifie son comportement (autrement dit la cinématique de l'application) en fonction des données saisies. Pour une embauche, par exemple, selon que l'employé est français ou non, pris en CDI ou en CDD, en temps partiel ou temps plein, les champs à remplir changent automatiquement. De bonnes performances même quand tout le monde se connecte en même temps Autre bénéfice de l'encapsulation des règles de gestion dans le client : les traitements sont exécutés en local, et les serveurs ne sont donc sollicités que pour un bref échange de données. Ce qui garantit les performances, alors même que tous les managers devraient se connecter en même temps : le matin, juste après l'ouverture, quand il y a encore peu ou pas de clients. Dans le processus, le responsable de magasin conserve les mêmes attributions au niveau RH, indique Guy Chevreau, mais « il renforce son rôle managérial », puisque grâce à l'outil, il peut désormais savoir précisément où en est son équipe en termes d'heures effectuées ou de soldes de congés. La décision d'utiliser Flex a été prise en juillet dernier, et le déploiement massif ne devrait pas intervenir avant mars, pour éviter aux gens d'avoir à s'adapter à un nouvel outil pendant les fêtes ou les soldes. Néanmoins, précise Guy Chevreau, les résultats déjà obtenus ont poussé Etam à réfléchir à d'autres pistes. Le même principe pourrait ainsi être appliqué pour suivre les stocks, afin de renseigner les clients sur la disponibilité d'un produit dans un magasin de la marque à proximité, par exemple. (...)

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