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(29/05/2009 17:05:57)
Google veut faire collaborer les gens dans une «wave»
Après deux ans de travail, Google a dévoilé Wave, un ambitieux programme de collaboration en ligne empruntant à ses divers outils (courriel, messagerie instantanée, gestion de photos, partage de documents...). Lars Rasmussen, co-fondateur du projet, l'a présenté lors de la conférence I/O de Google, en expliquant que le plus gros challenge serait de faire comprendre l'intérêt de Wave aux utilisateurs. C'est pourquoi, dit-il, Google a choisi d'informer en premier lieu les développeurs, et de discuter avec eux, plusieurs mois avant de donner un accès au public. Du côté professionnel, Google Wave empiète évidemment sur les plates-bandes de Microsoft, Lotus (IBM), Adobe et consorts, en proposant des services similaires par le biais d'un navigateur. Lars Rasmussen explique son invention sur le blog de Google : « Une vague est à parts égales un document et une conversation, où les gens peuvent communiquer et travailler ensemble sur des textes à la mise en page riche, des photos, des vidéos, des cartes, et plus encore. Voilà comment cela fonctionne : dans Google Wave, vous créez une vague et y ajoutez des gens. Chacun peut éditer du texte, des photos, des gadgets, ou encore des flux de données d'autres sources du Web. Ils peuvent insérer une réponse ou éditer la vague directement. C'est de l'édition de texte simultanée : vous pouvez voir sur votre écran ce que tapent vos collaborateurs dans votre vague quasiment instantanément. Ce qui signifie que Google Wave est aussi bien calibré pour les messages rapides que pour le contenu persistant ; il s'agit aussi bien de collaboration que de communication. Vous pouvez aussi rembobiner la vague et voir comment elle a évolué. » Un mode de communication plus innovant que Gmail Ken Dulaney, analyste de Gartner qui a assisté à Google I/O, se dit très impressionné par le projet : « C'est l'un des meilleurs concepts que j'ai vus ces cinq dernières années. » Il s'attend à ce que les utilisateurs de Gmail, le service de courriel en ligne gratuit de Google, migrent vers ce nouveau service, dans la mesure où il s'agit pour lui d'une évolution significative de la façon dont on peut communiquer sur Internet. De fait, Lars Rasmussen cherche à abolir les habitudes de mimétisme qui ont été prises jusque-là (en remplaçant le courrier par le courriel, le téléphone par la messagerie instantanée avec ajout éventuel de l'audio et de la vidéo), en faveur d'un mode de communication entièrement neuf, sans aucune racine dans le monde réel. Néanmoins, il lui faudra parvenir à améliorer sensiblement la façon dont les applications Google gèrent aujourd'hui la collaboration en temps réel. Sur Google Docs, c'est une catastrophe. Pour l'aspect graphique, Google Wave s'appuie sur HTML 5 et sur son outil d'applications Internet riches (RIA), GWT (Google Web Toolkit), qui permet de développer en Java des services avec des interfaces Ajax. Un des objectifs est en effet de simplifier le développement de solutions capables de s'intégrer dans Wave, et la population de développeurs Java est ainsi directement concernée. En outre, le code source de Wave sera publié en Open Source. (...)
(08/04/2009 12:55:56)Google vient concurrencer les serveurs d'applications Java
Voilà un nouvel entrant - et pas des moindres - sur le marché des serveurs d'applications Java. Google a annoncé hier soir, pour le premier anniversaire de son serveur App Engine, un ensemble de nouvelles fonctions, dont le support de Java. L'ambition de Google est d'offrir une expérience de bout en bout pour les développeurs Java, puisque le déploiement dans le serveur d'applications hébergé de Google est directement pris en charge par un tout nouveau plug-in pour l'environnement de développement Eclipse, tandis que la création d'interfaces graphiques est assurée au travers de GWT (Google Web Toolkit, qui permet de développer en Java des interfaces Ajax, soit HTML et Javascript), dont la version 1.6 a été annoncée simultanément. Lors de l'annonce, Google a donné l'exemple de Google Moderator, utilisé récemment par la Maison Blanche, pour un dialogue en ligne avec les internautes. Moderator tourne sur Google App Engine, tandis que son interface est développée en GWT. Il s'agit d'une solution, explique Google, qui a été créée en interne afin d'organiser des séances de questions/réponses avec une vingtaine de participants. Déployée sur le Web, sur App Engine, pour la Maison Blanche, elle a supporté des millions d'utilisateurs, et des pics de plusieurs centaines de requêtes par seconde. Toutes les questions d'infrastructure et de montée en charge étant gérées par Google. Pour Didier Girard, directeur technique et opérationnel de la SSII Sfeir, qui teste le produit depuis plusieurs mois, il s'agit d'une avancée considérable. « Il n'y avait aucune solution permettant de développer en Java une application et de la déployer sur Internet. On pouvait le faire en PHP, ou en .Net avec Azure, mais pas en Java. Il fallait passer par le cloud Amazon, ou par un hébergeur, alors que là, il suffit de déclarer le projet dans Eclipse, et le déploiement est automatique, et gratuit jusqu'à 5 millions de pages vues par mois. » Traitements batch et import/export des données au menu En outre, Google a fait en sorte que son offre s'adapte mieux aux contraintes des entreprises. Le 'Cron service' donnera ainsi la possibilité de prévoir des traitements batch, comme de la consolidation de données en fin de journée, ou l'envoi de courriels automatisé. L'éditeur propose aussi d'importer ses données - et dans un futur proche de les exporter. Cela répond à un reproche classique adressé aux offres de cloud, qui représentent un nouveau risque d'enfermement pour les utilisateurs. De même, Google a fait en sorte, avec le SDC (Secure data connector), qu'on puisse conserver les données qu'on souhaite chez soi, derrière son pare-feu, pour des raisons de sécurité ou de contraintes réglementaires. L'ensemble de ce dispositif fait désormais de Google App Engine un concurrent sérieux de serveurs d'applications Java classiques, comme Tomcat. Toutefois, il ne s'agit pas non plus d'un serveur J2EE, comme le rappelle Didier Girard: « Il ne couvre pas 100% des fonctions en Java, il y a plusieurs limitations, on ne peut pas subdiviser en threads, par exemple. » Néanmoins, un App Engine supportant Java pourrait bouleverser l'équation économique des serveurs d'applications Java, qu'il s'agisse des logiciels commerciaux comme Weblogic ou Websphere, ou des Open Source comme Springsource ou Jboss, qui dans les deux cas impliquent de payer pour le support de l'infrastructure. Tout sera une question d'analyse des besoins. « Certes, considère Didier Girard, Google App Engine est plus un concurrent de Tomcat que de Websphere, mais comme la plupart des gens utilisent Websphere comme un Tomcat... » (...)
(25/03/2009 15:12:13)Octo Technology : « Les RIA de Microsoft et Adobe ont un niveau de maturité assez exceptionnel »
L’internétisation des applications de gestion a beau être un néologisme barbare, il s’agit aussi d’une réalité. Qui a souvent mal tourné, les interfaces HTML n’offrant pas la même productivité que leurs prédécesseurs sur clients lourds. Aujourd’hui, estime Djamel Zouaoui, architecte senior d’Octo Technology dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, les technologies d’applications Internet riches (RIA) offrent la productivité attendue à la fois par les utilisateurs et par les développeurs. Djamel Zouaoui animera, en duo avec son collègue David Alia, une session sur le sujet des RIA lors de la prochaine Université du SI d’Octo Technology (les 1er et 2 juillet prochains à Paris, en partenariat avec LeMondeInformatique.fr). Le propos des deux consultants, focalisé sur Flex d’Adobe et Silverlight de Microsoft, privilégie le pragmatisme. Au risque de susciter une petite polémique, car ce choix délibéré écarte de fait plusieurs autres solutions, notamment en Open Source, mais aussi et surtout des technologies plus respectueuses des standards, alors qu’Adobe comme Microsoft s’appuient chacun sur leur ‘player’. Interview à lire et à commenter sur le blog Ingénierie logicielle. (...)
(19/03/2009 12:15:49)Mix'09 : Silverlight 3 disponible en bêta
A chaque Mix son Silverlight. Microsoft dévoilait sa technologie de client riche lors de Mix'07, nouveau rendez-vous pour les designers et développeurs de l'éditeur. La bêta de la version 2 était dévoilée lors de Mix'08, et le Mix'09 de Las Vegas tient ses promesses avec le lancement de la bêta de Silverlight 3. Alors que Microsoft présentait Silverlight face à Flash, et toute sa plateforme cliente face à AIR (Adobe Integrated Runtime), la technologie de RIA (Rich Internet Application) d'Adobe, voilà que Silverlight 3 se dote d'un mode déconnecté autonome : les applications Silverlight pourront ainsi passer de façon transparente du mode connecté au mode déconnecté. Avec quelques avantages par rapport à ce que propose Adobe, souligne Thomas Serval, directeur de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France : l'intégration dans Windows sera transparente, puisque les applications SIlverlight seront accessibles depuis le menu Démarrer, et les accès aux ressources de bas niveau seront « très limitées », « Microsoft privilégiant la sécurité ». Silverlight 3 proposera toutefois une accélération matérielle profitant des GPU (puces graphiques). La visualisation est l'un des grands points d'amélioration de cette troisième version de Silverlight, puisque l'outil bénéficiera du support du codec H.264 (utilisé pour la diffusion de vidéo HD) et de la technologie Smooth HD, permettant de diffuser la meilleure qualité possible de vidéo en fonction de la connexion de l'internaute. La « superpreview », pour vérifier le rendu dans tous les navigateurs Les développeurs pourront de leur côté ajouter des fonctions cartographiques - de la Terre comme du ciel - avec le support des technologies maison Virtual Earth et Worldwide Telescope. Les outils dont ils disposent dans Visual Studio seront évidemment mis à jour en conséquence, et Microsoft a continué de financer Soyatec pour étendre le support de Eclipse4SL aux environnements MacOS. Côté designers - où Microsoft sait qu'il doit faire des efforts pour rivaliser avec Adobe - la gamme Expression gagnera quelques fonctions bienvenues. Ainsi, Expression Web permettra de « visualiser le rendu d'une page sur tous les navigateurs du marché », une fonction dite « superpreview », ressemblant à ce que proposait il y a peu un ingénieur d'Adobe. Et Expression Blend offrira un mécanisme de « sketchflow » que Thomas Serval juge « bluffant » : la capacité d'importer des dessins crayonnés et/ou des illustrations venant de Photoshop ou Illustrator, afin de s'appuyer dessus pour définir rapidement le design et la cinématique d'une application, et pouvoir travailler dessus de façon collaborative. A noter enfin que des efforts ont été faits en matière de référencement (SEO, search engine optimization) par les moteurs de recherche, pour lesquels les clients riches représentent généralement des boîtes noires. Là, point d'accord avec les moteurs comme pour Flash, mais les objets manipulés par SIlverlight peuvent ainsi être automatiquement transcrits en équivalents HTML, si bien qu'il est possible de « voir une application Silverlight comme un ensemble de pages ». (...)
(13/02/2009 18:01:19)Techdays'09 : Azure, Seven, Multitouch, les technologies de Microsoft mises à nu
Troisième édition et un succès qui ne se dément pas pour la grand-messe française de Microsoft, où développeurs, administrateurs systèmes et décideurs IT se sont pressés pour approfondir leurs connaissances et obtenir des informations sur les futurs produits. Windows Azure, Windows Seven, Visual Studio 2010 étaient ainsi au coeur des interrogations, les 10, 11 et 12 février derniers au Palais des Congrès de Paris. LeMondeInformatique.fr a assisté aux trois jours de l'événement ; notre dossier vous propose un compte-rendu pratique et sans langue de bois. (...)
(13/02/2009 17:08:51)JBoss Mass, une communauté pour faciliter la migration de middleware
Red Hat met en place le projet Open Source JBoss Mass (pour Migration ASSistance) destiné à faciliter les migrations vers son middleware. Il s'organise autour d'une communauté d'experts dont les ressources humaines proviennent de partenaires tels que Amentra (désormais filiale de Red Hat), CityTech, Consilium1, Exadel, Freedom OSS, RivetLogic, Unisys et Vizuri. D'ici six mois, promet Red Hat, arriveront des outils pour faciliter les migrations à partir de serveurs d'applications Java tiers comme Weblogic d'Oracle ou Webshepre d'IBM. La communauté travaille aussi à collecter les meilleures expériences. Red Hat en profite pour souligner que la facturation de JBoss Enterprise Middeware, qui repose sur un abonnement, serait jusqu'à dix fois plus économique que celle d'autres middlewares dont les tarifs s'incrémentent en fonction du nombre de processeurs des serveurs et de la présence d'une couche de virtualisation. Chez Red Hat, on reconnaît que l'activité middleware croît deux fois plus vite que celle autour de Linux. Le lancement de trois éditions spécifiques fondées sur la version 5.0 du serveur d'applications de JBoss est prévu en cours d'année. JBoss Application Server 5.0 permet cette modularité grâce à sa conformité avec le système de composants OSGI. L'éditeur souhaite ainsi pouvoir répondre plus précisément à des besoins spécifiques. Ces éditions seront ainsi prépackagées et testées, et fourniront des interfaces particulières. Red Hat travaille ainsi au support des API de Flex d'Adobe, de WebToolKit de Google et d'Hibernate. (...)
(12/02/2009 16:38:26)Sun sort la version mobile de sa technologie de client riche JavaFX
Ouf, Sun sera prêt pour le Mobile World Congress de Barcelone, qui ouvrira ses portes le 16 février prochain : le constructeur a même devancé l'appel de quelques jours, et présenté la version mobile de JavaFX, sa technologie de client riche (RIA, Rich Internet application). Présenté début décembre, JavaFX n'avait guère soulevé l'enthousiasme, comparé aux technologies de RIA existant déjà, comme celles de Microsoft (Silverlight), Adobe (Flex/AIR) ou Google (GWT). Néanmoins, Sun compte sur l'énorme base installée de Java, tant du point de vue des clients que des développeurs. Du côté des mobiles, par exemple, Sun explique que la plateforme Java Mobile Edition (Java ME) est installée sur 2,6 milliards de mobiles. Et le Californien indique que plusieurs fabricants et opérateurs, comme Sony Ericsson, LG Electronics et Orange, soutiennent son initiative. (...)
(09/02/2009 15:33:46)Le client riche vu par Oracle
Oracle a mis en ligne un site d'information sur les REA (applications d'entreprise riches) démontrant son savoir-faire en matière d'interfaces riches pour le Web. S'il n'édite pas lui-même de technologie de type RIA (applications Internet riches) comme Microsoft ou Adobe, Oracle veut montrer qu'il n'est pas à la traîne dans ce domaine. Son site, rea.oracle.com, illustre - notamment avec une vidéo et plusieurs exemples - ce qu'il est possible de réaliser avec les outils actuels de l'éditeur, en premier lieu le portail Webcenter, l'outil de développement Jdeveloper et les composants du cadre applicatif ADF (Application development framework). Vues par Oracle, les applications d'entreprise riches recourent aux composants Ajax, à du Flash ou au besoin à un mélange des deux. Le but est tout autant de proposer une interface Web plus attractive et plus interactive au grand public que de proposer une interface plus productive (plus proche de l'interface des outils de gestion) aux utilisateurs internes. Oracle montre par ailleurs comment utiliser ces technologies pour permettre aux utilisateurs de réaliser leurs propres combinaisons de services applicatifs (mash-up). (...)
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