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Saas
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(25/02/2009 15:10:11)
Le Saas a séduit 61% des entreprises, selon Markess
Le cabinet Markess International s'était intéressé une première fois au SaaS (Software As A Service) en 2006 et il vient de réaliser une nouvelle étude sur le sujet. Entre les deux éditions, le progrès du SaaS est indéniable, même si la généralisation n'est pas encore pour demain. Ainsi, aujourd'hui, 61% des répondants déclarent utiliser des solutions de type SaaS, 23% savent qu'ils ne le font pas et 16% ignorent si ce mode est utilisé effectivement dans leur entreprise. Mais il y a une grande différence entre les profils d'adoptants : les organisations recourant au SaaS sont soit petites (moins de 99 employés), soit grandes (plus de 2000 employés) ; les structures moyennes sont sous-utilisatrices. En moyenne, il y a environ 2,5 applications en mode SaaS dans les organisations interrogées. De 2006 à 2009, le marché du SaaS a crû de 18%, passant de 1,5 à 1,75 Md€. Une nouvelle croissance de 10% est attendue d'ici à 2010. Le secteur public est particulier dans son approche puisque son usage majeur concerne les plateformes de marchés publics dématérialisés. Au delà, le principal usage du modèle SaaS est dans la communication d'entreprise (messagerie, agenda partagé, conférence web, gestion de projets...) pour 38% des répondants, avec une croissance attendue de 12% d'ici à 2010. Les créneaux les plus dynamiques demeurent cependant la GRH (e-paye, e-recrutement...), avec 31% d'utilisateurs et 18% de croissance attendue, et la gestion des relations clients (21% d'utilisateurs et +22% de croissance attendue). Pendant la crise, des croissances à deux chiffres Les logiciels et services employés appartiennent à plusieurs catégories majeures avec, au premier chef, le stockage et la sauvegarde (18% d'utilisateurs, +10%) suivis des services 2.0 (réseau social, blog, wiki... 17% d'utilisateurs, +13%) et de la sécurité (16% d'utilisateurs, +6%). En revanche, le PGI, progiciel de gestion intégré, semble rester trop complexe à mettre en oeuvre de cette façon. Même si le SaaS est par définition en dehors de l'entreprise, le DSI est cependant dans les deux tiers des cas la source de validation technique de la solution et une aide au choix des produits proposés. Les deux tiers des répondants estiment en outre qu'une part croissante de leur budget sera consacrée au SaaS contre 7% qui pensent que le budget va baisser. Dans ce dernier cas, selon Markess International, le SaaS n'est pas réellement réduit mais peut rester à périmètre constant avec une négociation tarifaire ou bien subir les réductions de personnels et donc de nombre d'utilisateurs, base essentielle du coût du SaaS. Parmi les avantages, une amélioration de la productivité et de la collaboration Si, pour la plupart des répondants, le retour sur investissement rapide, la facilité d'accès et la possibilité de développer le travail nomade ou multi-sites sont des motivations à basculer en mode SaaS, ceux ayant déjà opté pour au moins un applicatif SaaS ajoutent l'amélioration de la productivité et du partage collaboratif. Les utilisateurs sont plutôt séduits par l'absence d'investissement initial en licences et dans la possibilité de pouvoir déployer aisément de nombreux produits, même quand les ressources informatiques internes sont limitées. A l'inverse, le principal frein pour l'adoption du SaaS reste la double crainte de la confidentialité et de la disponibilité en tous temps des données et applications. Une autre difficulté tient à la bonne compréhension et même à la connaissance des offres présentes sur le marché, signe qu'il manque des consultants spécialisés sur le créneau. Le prestataire prioritairement contacté lorsqu'une organisation cherche une offre de type SaaS reste en premier lieu un éditeur classique ayant développé une offre de ce type (38% des répondants) et en second lieu des 'pure players' comme Salesforce.com (30%). Enfin, c'est généralement à l'occasion d'une migration applicative que le modèle SaaS est envisagé. (...)
(25/02/2009 11:33:19)24 heures après la panne de Gmail, Google aurait trouvé la cause
Après la panne qui a affecté les utilisateurs de Gmail partout dans le monde hier matin pendant 2 heures et demi (voire beaucoup plus pour les plus malchanceux), Google vient tout juste d'avancer une explication pour ce qui s'est passé. L'éditeur du service de messagerie gratuit s'est excusé platement et publiquement, a promis 15 jours gratuits aux entreprises utilisant son service payant, mais est longtemps resté coi sur les causes de cette interruption de service. La seule piste disponible était le fait que les utilisateurs de smartphones (Blackberry, iPhone) n'avaient pas eu de problème, « ce qui laisserait penser à un problème d'affichage », avançait-t-on sans grande conviction au service de presse. Acacio Cruz, responsable de la fiabilité du service, a fini par indiquer sur le blog officiel de Google que tout serait parti d'une mise à jour sur un serveur en Europe. Elle aurait créé des « effets de bord », surchargeant un autre datacenter, qui lui-même aurait débordé sur les autres, et ainsi de suite en cascade. L'incident, somme toute banal pour un service applicatif en ligne, prend une ampleur particulière pour deux raisons. D'une part parce que le service compte la bagatelle de 113 millions d'utilisateurs (source ComScore), d'autre part parce que Google est à la pointe du combat en ce qui concerne les applications en ligne, et la fiabilité de ces dernières est un des premiers critères scrutés par les entreprises. Or, Google multiplie tant les services que les avanies ; quelques exemples : bug dans l'agrégateur de flux Google News la semaine dernière ou dans la messagerie instantanée Gtalk en décembre dernier, résultats de recherche pour le moins étonnants fin janvier (on se souvient du lugubre 'Ce site peut endommager votre ordinateur'), Gmail inutilisable à de multiples reprises en août dernier... Toutefois, il faut aussi relativiser : sauf volonté de souscrire l'abonnement Premier, le service est gratuit, il ne coûte pas un liard en personnel ou machines sur site, et un taux d'interruption de service de moins de 9h dans l'année correspond à un taux de fiabilité de 99,9%. Comme le souligne Gartner , le Saas (Software as a service, services applicatifs en ligne) a ses inconvénients mais aussi ses indéniables avantages. (...)
(23/02/2009 17:24:09)Le mode SaaS n'est pas toujours moins cher, rappelle Gartner
Les directions informatiques ne doivent pas partir du principe que le mode SaaS (software as a service), qui fournit le logiciel en ligne contre un abonnement, est moins cher que la licence classique qui s'installe dans l'entreprise. Un petit rappel bienvenu de Gartner, qui explique qu'il y a eu autour du SaaS une bonne dose de « battage » ayant pu conduire les entreprises à se faire de fausses idées sur le sujet. Ainsi si ce mode est moins coûteux pendant les deux premières années de son utilisation, puisqu'il n'y a ni licence à payer ni matériel à acheter, le coût total de possession sur cinq ans pourrait être moins élevé avec les solutions dites « on-premise », c'est-à-dire installées en interne. Pour faire ce calcul, Gartner prend en compte la dépréciation du matériel d'un point de vue comptable. Engageant à adopter un point de vue réaliste sur le SaaS, Robert DeSisto, vice président de Gartner, met en garde : « Ce qui est préoccupant, c'est que certaines entreprises déploient ce type de solutions en s'appuyant sur de fausses hypothèses. » Le paiement à l'usage est rarement une réalité, selon Gartner Dans un rapport listant les cinq assertions les plus communes autour du Saas (Fast checking : The five most-common SaaS assumptions), Gartner avertit par exemple que ces applications en ligne ne sont pas nécessairement plus rapides à mettre en oeuvre que des solutions plus classiques. Si les fournisseurs indiquent généralement 30 jours comme délai normal de mise en route, certains logiciels requièrent jusqu'à sept mois, indique par exemple le rapport. Les entreprises se trompent encore quand elles pensent qu'elles seront facturées à l'usage, poursuit Gartner. « Dans la grande majorité des cas, les clients ont été amenés à signer des contrats pré-établis comportant une redevance fixe. » Attention aussi aux idées reçues dans l'autre sens Mais, par ailleurs, le rapport de Gartner note que les entreprises peuvent aussi sous-estimer le mode SaaS. Nombre d'entre elles ont ainsi l'impression qu'elles ne pourront pas intégrer le logiciel en ligne avec leurs applications internes ou leurs sources de données ; alors que ces données peuvent être au départ chargées vers l'application SaaS, puis mises à jour régulièrement, ou mises à jour en temps réel au moyen de services Web. En outre, rappelle Gartner, il ne faut pas oublier que les applications SaaS peuvent être personnalisées et qu'elles ne se limitent plus depuis longtemps à des fonctions de base. (...)
(23/02/2009 15:01:21)SAP reprend les outils de plateforme en ligne de Coghead
SAP vient d'acquérir les droits de propriété intellectuelle du Californien Coghead qui proposait jusqu'au 18 février une plateforme et des outils de développement pour bâtir et exploiter des applications de gestion en ligne. L'éditeur allemand figure déjà depuis deux ans, par le biais de SAP Venture, au capital de cette société créée en 2003. Il devrait utiliser cette infrastructure hébergée pour ses besoins internes dans un premier temps, selon l'un de ses porte-parole. Récemment, Coghead avait prévenu ses clients qu'il prévoyait d'arrêter son service en ligne pour des raisons économiques, mais sans mentionner, alors, l'accord signé avec SAP. Dans les prochaines semaines, ce dernier devrait en dire un peu plus sur la façon dont il compte exploiter la technologie acquise, mais il n'a pas, pour l'instant, l'intention de la vendre sous forme de service commercial. L'éditeur dit également travailler pour aider les clients de Coghead à effectuer une transition de leurs applications vers de nouveaux hébergeurs sans interruption de service. Un environnement pour élaborer des applications Web et les mettre à disposition en ligne La plateforme de Coghead s'adressait aux éditeurs indépendants, développeurs et départements informatiques auxquels il fournissait un environnement de conception graphique pour élaborer des applications Web et les mettre à disposition en ligne : environnement de développement « drag and drop » basé sur Flex, d'Adobe, fonctions de workflow pour modéliser des processus métiers, interface de programmation REST et outils 'Coglets' pour l'intégration avec d'autres applications Web. Enfin, l'éditeur Coghead s'est appuyé sur le cloud d'Amazon EC2 et les services qui lui sont associés, AWS (Amazon Web Services). C'est l'une des nombreuses plateformes en ligne qui se sont multipliées à côté des Salesforce.com, Google et Microsoft Azure, ou encore d'autres acteurs plus petits comme Caspio, Californien lui aussi. Plusieurs d'entre eux proposent maintenant aux utilisateurs de Coghead des offres intéressantes pour migrer vers leur infrastructure. Pour le PDG de RunMyProcess, le marché existe malgré la faillite de Coghead « Coghead était une des start-up emblématiques du marché du Saas/PaaS/Cloud », commente Mathieu Hug, PDG de Runmyprocess.com étonné par cette « surprenante nouvelle de la faillite » de cette société puis de son rachat par SAP. Editeur d'une solution de BPM en mode SaaS, Runmyprocess.com voyait Coghead se positionner comme un concurrent. Son rachat est-il un avertissement pour toutes les plateformes fournies comme un service et les entreprises qui les utilisent ? Mathieu Hug ne le pense pas. « D'une part, le marché existe, nous le sentons émerger nettement depuis trois à quatre mois, mais lancer un business 'as a service' est un travail de longue haleine et la crise actuelle n'aide pas, analyse le dirigeant. D'autre part, le rachat par SAP prouve la valeur de ce type d'offre, même si SAP était déjà partie prenante de Coghead par le biais de SAP Venture. (...) Cela prouve aussi que le SaaS, les PaaS ou le cloud sont sans équivoque la prochaine étape majeure de l'évolution de l'informatique. » Pour Michael Coté, analyste pour le cabinet Redmonk, la technologie de Coghead semble bien convenir à SAP si l'on en juge par la popularité qu'elle a acquise au sein de la communauté de développeurs de l'éditeur allemand. (...)
(19/02/2009 17:04:51)Delphi et JBuilder accessibles à la demande
Les nostalgiques des outils de développement de Borland tels que Delphi ou JBuilder vont pouvoir se réjouir : Embarcadero, qui les a rachetés en mai 2008, les propose en ligne, au sein d'une offre de distribution originale. Embarcadero All-Access inclut tous les outils de développement et de gestion de bases de données de l'éditeur, l'accès à ce portefeuille (plus de quarante en comptant les éditions différentes des logiciels) étant soumis au paiement d'une seule licence. L'éditeur a prévu quatre niveaux de membres, du Bronze (pour les développeurs ou administrateurs de bases de données isolés) au Platinum (pour les architectes et autres responsables de projets d'entreprise). Selon le niveau de membre et le type de licence retenu (au développeur nommé, au jeton...), chacun pourra puiser dans ce portefeuille les produits qui le concernent. La principale innovation est cependant seulement en train de se mettre en place. Embarcadero prévoit de rendre l'ensemble de ses outils accessibles en utilisation à la demande, directement depuis le Web, grâce à sa technologie InstantOn. D'ici à fin 2009, tous les outils devraient pouvoir ainsi s'utiliser sans installation en local. Embarcadero avait obtenu Delphi, C++ Builder ou encore JBuilder lors du rachat - pour 23 M$ - de Codegear, une entité autonome où Borland avait regroupé ses outils de développement. L'éditeur de JBuilder s'était rendu à cette solution après avoir vainement tenté de les vendre en 2006. Confronté au succès grandissant d'Eclipse, Borland avait décidé de concentrer ses efforts sur le marché de la gestion du cycle de vie des applications. (...)
(16/02/2009 15:17:46)Esker reçoit le soutien d'Oseo pour la dématérialisation en mode SaaS
L'éditeur français Esker a reçu le soutien d'Oseo, sous la forme d'une avance remboursable de 545 000 euros, pour soutenir le développement d'offres de dématérialisation des flux de documents en mode SaaS (Software as a service). Ces solutions s'adresseront aux entreprises de taille moyenne. L'objectif est de leur permettre, en limitant les coûts d'investissement, de dématérialiser « à la demande » à la fois les documents entrants dans l'entreprise, tels que bons de commande et factures fournisseurs, et les documents sortants (factures, lettres de relance, commandes...). La première de ces offres devrait être livrée cette année. Elle s'appliquera aux factures fournisseurs. Esker précise que le développement de ces solutions mobilisera 25 personnes pendant deux ans au sein de sa R&D. Labellisée Entreprise innovante en 2006, Esker avait déjà reçu en novembre dernier une avance remboursable de 450 000 euros de la part d'Oseo. Cette aide était alors destinée à constituer une offre d' « usines courriers » clé en main. L'éditeur français dispose déjà de plusieurs de ces « usines », dans l'Hexagone, mais aussi en Australie et aux Etats-Unis, pour imprimer, mettre sous pli et expédier des courriers papier envoyés par les utilisateurs de ses logiciels. Des solutions comme FlyDoc ou Esker DeliveryWare proposent en effet aux entreprises d'expédier des courriers papiers depuis leurs logiciels de gestion ou leurs logiciels métiers. En 2008, Esker a réalisé un chiffre d'affaires de 26,63 M€ et se place en 33e position du logiciel français en 2007 selon le classement EuroSoftware. (...)
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