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(18/12/2008 12:17:44)

Yahoo réduit à trois mois la conservation des données relatives aux utilisateurs de son moteur

Les uns après les autres, les moteurs de recherche réduisent la durée pendant laquelle ils conservent les données de connexions des utilisateurs de leurs services. Hier, Yahoo a ainsi indiqué qu'il rendrait anonyme ces logs après trois mois de présence sur ses serveurs. Une démarche qui pourrait inciter Google et Microsoft à raccourcir une nouvelle fois la durée de rétention de ces informations. Yahoo conservait jusqu'alors les données de connexions des utilisateurs de ses outils de recherche pendant 13 mois. En passant à 90 jours, il devient le moteur le plus respectueux de la vie privée de ses utilisateurs. Google ne rend ces données anonymes qu'après un délai de neuf mois, une durée qui atteignait deux ans en 2007. De son côté, Microsoft procède à l'effacement des informations personnelles après 18 mois, mais a indiqué récemment qu'il était prêt à réduire ce délai à six mois si ses concurrents faisaient de même. Tout ce que l'Europe compte comme défenseurs de la vie privée rappelle régulièrement que les données de connexion posent des problèmes de confidentialité en permettant aux moteurs de recherche d'identifier leurs utilisateurs - ou, à tout le moins, de dresser un profil détaillé - à partir de leurs requêtes. Les moteurs, quant à eux, plaident la bonne foi et expliquent que ces logs leurs sont indispensables pour analyser l'usage que font les internautes de leur technologie et, in fine, pour améliorer la pertinence des recherches en ligne. Ces préoccupations n'émeuvent pas les Cnil européennes. Celles-ci, réunies dans le groupe de travail de l'Article 29, « ne [voient] pas de raison d'étendre le délai de conservation au-delà de six mois », précisaient-elles en avril. Leur recommandation semble donc porter ses fruits et être considérée comme une exigence par les intéressés, qui savent que la Commission européenne surveille ce dossier de près. Et pourrait sévir en cas de mauvaise volonté manifeste. (...)

(18/12/2008 11:26:04)

Cisco trace à son tour un portrait alarmant de la sécurité des systèmes

Selon Cisco, numéro un mondial des réseaux, la sécurité des systèmes d'information continue de se dégrader. A fin octobre 2008, le nombre de failles avait augmenté de 11,5% en un an pour frôler le chiffre des 6 000. Patrick Peterson, responsable de recherches (« fellow et chief security researcher ») chez Cisco, se dit "choqué" par l'ampleur des menaces qui planent sur les systèmes d'information. Selon lui, elle dépasse les pires scénarios échafaudés. Le Web est, bien sûr, le principal moyen d'attaquer les systèmes. Cette année, les menaces dissimulées dans les sites a priori de bon aloi ont presque doublé. Dans le même temps, les attaques prennent des formes de plus en plus complexes, avec des biais multiples et sont de plus en plus ciblées. Et aucun domaine n'est à l'abri : les failles qui affectent les technologies de virtualisation ont presque triplé pour atteindre 103. Enfin, faut-il se réjouir de la diminution de moitié des attaques par pièces jointes entre 2005-2006 et 2007-2008 ? Cela semble plutôt être le signe que les cybercriminels font appel à des techniques plus sophistiquées. Les constatations de Patrick Peterson, mises en images sur YouTube, sont d'ailleurs en phase avec celle du rapport de Symantec sur la cybercriminalité. Celui-ci souligne que les criminels collaborent de plus en plus étroitement, créant ainsi une florissante économie souterraine. Cisco confirme aussi que les attaques visent désormais les applications secondaires, comme les add-on des navigateurs ou les logiciels comme Flash. Cela corrobore le diagnostic de Secunia que "98% des PC sous Windows sont exposés à des attaques" par le biais des "petites" applications, maintenant que Windows et les navigateurs disposent de modules de mise à jour automatique. (...)

(17/12/2008 17:55:15)

France Télécom refuse de payer les RTT de ses salariés

France Télécom refuse de payer à ses salariés leurs jours de RTT (réduction du temps de travail) non pris, comme le permet pourtant la loi du 8 février 2008 sur le pouvoir d'achat. Et comme l'opérateur l'avait fait l'année dernière. Dans un courrier adressé le 24 novembre dernier au syndicat CFE-CGC, la direction des affaires sociales de France Télécom a en effet indiqué « qu'il ne lui semblait pas opportun de monétiser les jours de RTT de ses salariés, d'autant plus que les résultats obtenus par l'entreprise en 2007 avaient permis une augmentation de 25% de la participation et de l'intéressement. » Le responsable des affaires sociales insiste d'ailleurs dans ce courrier sur le caractère tout à fait « exceptionnel » du paiement des RTT l'année précédente. Des RTT impossibles à poser, selon la CFE-CGC Pour la CFE-CGC, cette décision devrait permettre à l'opérateur d'améliorer ses résultats financiers en évitant le report de trop nombreux congés non pris qui seraient provisionnés en charge. «En décidant de ne pas assurer le paiement des jours de RTT, France Télécom veut faire des économies, considère Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC pour France Télécom Orange. Entre 20 000 et 25 000 salariés de France Télécom souhaitent monétiser chacun un peu plus d'une dizaine de jours de RTT cette année, ce qui revient à environ 2 500 € par personne. » La décision est d'autant plus regrettable aux yeux des syndicats, que « les congés sont souvent refusés pour des raisons de gestion de service (présence programmée obligatoire, par exemple dans les centres d'appels). » En l'absence de réponse de la direction sur l'ouverture de négociations, la CFE-CGC et l'Unsa ont décidé d'alerter les pouvoirs publics. Dans un courrier adressé début décembre au président de la République, ils sollicitent son intervention pour que sa politique du « travailler plus pour gagner plus » soit appliquée au sein d'une entreprise dont l'Etat reste le premier actionnaire. Ils mentionnent le décret du 3 septembre 2008 qui autorise les entreprises dont l'Etat est actionnaire et dont la durée de travail relève d'un régime spécifique à appliquer la loi en faveur du pouvoir d'achat. Son cabinet a aussitôt répondu que la question relevait de la compétence du secrétariat d'Etat à la Fonction publique, André Santini, et du président de France Télécom, Didier Lombard, et qu'il ne manquera pas de le leur signaler. (...)

(17/12/2008 17:39:29)

L'iPhone n'est plus une exclusivité d'Orange

Saisi en septembre 2008 par Bouygues Telecom au sujet du monopole d'Orange sur l'iPhone, le Conseil de la concurrence a décidé de suspendre à titre conservatoire l'accord d'exclusivité entre Apple et Orange. « L'injonction prononcée vise à ce que les produits iPhone ne soient plus exclusivement commercialisés par Orange mais puissent l'être par tout autre opérateur souhaitant bâtir une offre avec ce terminal », précise la juridiction. Cette décision a été motivée par l'examen de plus de 200 points (voir le document intégral en pdf). Le Conseil de la concurrence résume sa position en indiquant que « l'exclusivité d'Orange sur l'iPhone est de nature à introduire un nouveau facteur de rigidité dans un secteur qui souffre déjà d'un déficit de concurrence ». Soulignant le développement d'offres associant téléphonie mobile et Internet illimité, l'Institution estime par ailleurs que la durée du contrat liant Apple et Orange porte sur une très longue période (5 ans) et que les moyens d'accès à un iPhone nu sont réduits. Le Conseil a même souligné que les accords d'exclusivité similaires passés entre SFR et d'autres constructeurs (Rim et HTC) n'amoindrissent pas la faute d'Orange. Quel que soit l'opérateur impliqué, ce type de pratique reste donc nuisible aux consommateurs. Orange interjette appel [[page]] Logiquement, Orange a interjeté appel de cette décision mais celle-ci reste néanmoins applicable. Bouygues Telecom, comme les autres opérateurs, peut donc, dès ce mercredi 17 décembre, proposer l'iPhone dans ses points de vente. Mais, cette autorisation de principe n'est pas, en l'état, applicable. « Cela va prendre du temps, il faut contacter Apple et négocier avec eux », nous a précisé Bouygues Telecom avant d'ajouter que « ce ne sera certainement pas pour Noël ». Toutefois, la disponibilité du terminal chez tous les opérateurs ne devrait pas traîner. Ces derniers disposent déjà de forfaits adaptés à l'iPhone (les abonnements comprenant l'Internet illimité) et la société de Cupertino ne semble pas s'orienter vers une résistance acharnée. « Les droits spéciaux accordés à certains opérateurs, dont celui liant Orange à Apple pour l'iPhone en France, sont donc résiduels mais ne correspondent pas à un modèle absolu et nécessaire pour Apple, qui bien au contraire, désire ne plus en accorder de nouveaux dans la configuration actuelle », a ainsi expliqué Apple au Conseil de la concurrence. Depuis plusieurs mois l'appareil est accessible hors du réseau Orange en passant par le Cybermarchand PhoneandPhone. SFR et Bouygues proposent également à leurs clients de leur rembourser une partie du prix de l'iPhone acheté chez Orange. (...)

(17/12/2008 17:30:26)

Orange regroupe ses activités pro au sein de l'entité e-lob

« Leader », « international » et « convergence » étaient les trois mots clés d'une conférence de presse tenue mercredi matin par Orange-France Telecom : l'opérateur a en effet profité de l'annonce d'une nouvelle organisation interne - la création de l'entité e-lob (Enterprise line of business) - pour marteler ses arguments et paraître beaucoup plus imposant qu'un BT ou un Verizon. A en croire la vulgate des communicants de France Telecom, « e-lob est la nouvelle force motrice du déploiement de la stratégie de convergence du groupe dans les activités B2B des pays Orange ». Concrètement, cela signifie que la marque Orange Business Services lancée le 1er juin 2006 chapeautera toutes les activités du groupe dans le monde auprès de toutes les entreprises, de la TPE à la multinationale. Ou, pour reprendre les propos de Jacques Demaël, vice-président exécutif e-lob, « de la boucherie Sanzot à Coca-Cola ». Pour Orange, il s'agit de capitaliser sur sa marque et sa présence à l'étranger. L'opérateur a ainsi fourni une avalanche de chiffres pour illustrer sa position de leader sur le marché professionnel : son offre pro représente plus de 30% des revenus du groupe (soit quelque 16 Md€, avec une croissance de plus de 2% et une marge opérationnelle brute de plus de 3%), plus de 30 000 collaborateurs répartis dans 166 pays, 340 000 téléphones IP gérés par Orange, 850 000 utilisateurs de Business Everywhere, des réseaux mobiles dans 27 pays, une place de numéro un en France, en Pologne, en Roumanie, en Slovaquie... Orange veut faire passer ses clients pro au « real-time business » Barbara Dalibard, directrice exécutive d'Orange Business Services (OBS), et Jacques Demaël expliquent vouloir continuer la transformation d'OBS, pour passer « d'un simple fournisseur de réseau à un opérateur de communication intégré », avec l'idée de « IP-transformer » les clients dans le même temps, pour les amener vers du « real-time business ». Dans cette évolution en « trois vagues », la première phase, qui représente les services classiques de connectivité, compte pour environ 70% du chiffre d'affaires. La deuxième phase (environ 20% du CA), implique d'amener les entreprises à utiliser les services de voix sur IP, d'IP Centrex (PBX hébergé), de convergence mobile/VoIP (offre Unik)... Enfin, la 3e phase vise à fournir une infrastructure adaptée à des processus et des applications en ligne (en mode Saas) s'appuyant sur des offres de convergence : communication unifiée, click-to-call, M2M, hébergement d'applications, courriels sur les mobiles... Dans tous les cas, si Orange s'affirme en opérateur d'infrastructure et confirme sa volonté de proposer de plus en plus de services logiciels et matériels avec ses offres (des suites de sécurité jusqu'aux PC) afin de répondre à la demande de ses clients, l'opérateur dit n'avoir aucune intention d'aller plus loin : le terme de 'cloud computing' n'évoque rien chez Barbara Dalibard et Jacques Demaël en dehors des offres d'infogérance déjà en place et d'une éventuelle solution de distribution d'applicatifs en ligne tel que l'AppStore d'Apple. (...)

(17/12/2008 17:00:28)

Apple abandonne Macworld Expo

Le 6 janvier prochain, Steve Jobs ne montera pas sur scène pour présenter les nouveautés d'Apple à l'occasion de la prochaine édition de Macworld Expo (du 5 au 9 janvier à San Francisco). Et l'année 2009 marquera la dernière apparition d'Apple sur ce salon, pourtant dédié à ses produits depuis 25 ans. Officiellement, cette décision, qui suit des mouvements similaires à l'Apple Expo de Paris et aux événements Macworld de New York et Tokyo, est justifiée par la part toujours décroissante des salons dans la stratégie marketing de la marque à la pomme. Les 3,5 millions de visites hebdomadaires sur l'iTunes Store, le succès de l'App Store et les innombrables connexions sur le site Web Apple paraissent désormais suffisants pour attirer l'attention sur les nouveautés du groupe. Plus encore que cette absence programmée pour 2010, c'est celle de Steve Jobs, le patron du groupe, lors de la prochaine édition, qui inquiète les analystes. Depuis l'annonce de son cancer en 2004, les rumeurs sur l'état de santé du co-fondateur d'Apple font fluctuer le cours de l'action de la société. Et si sa présence sur scène pour le lancement des derniers Macbook avait quelque peu rassuré les actionnaires, Apple semble bien décidé à prouver qu'il peut vivre sans son leader charismatique. Ainsi, c'est Philip Schiller, vice-président en charge du marketing, qui animera la traditionnelle conférence à la place de Steve Jobs. Pour Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Researche, « Apple veut montrer sa direction, qu'il ne repose pas sur le seul Steve Jobs, que la santé et la prospérité d'Apple et de son patron sont pas liées. » (...)

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