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(17/12/2008 16:37:38)

Bouygues Telecom se fait incubateur de jeunes pousses

Bouygues Telecom veut accompagner les start-up dans leur développement et piocher, au passage, dans les bonnes idées concoctées par ces dernières. Pour cela, l'opérateur vient de lancer Bouygues Telecom Initiatives, un incubateur de jeunes pousses spécialisées dans les services de télécommunication. Sur le site mis en ligne pour présenter ce projet, Bouygues Telecom permet aux start-up de déposer leur dossier de candidature. Cinq à six entreprises seront retenues annuellement pour bénéficier du soutien de l'opérateur. Celui-ci signera un contrat le liant aux lauréats pendant 12 à 24 mois, une période au cours de laquelle les sociétés sélectionnées profiteront des moyens de Bouygues Telecom en matière de logistique, de plateformes de test, d'expertise juridique, financière ou marketing, etc. Les entreprises seront en outre hébergées dans les locaux de Bouygues Telecom. Pour l'heure, deux projets ont déjà été retenus, qui seront présentés dans les prochaines semaines. Bouygues Telecom, qui justifie son initiative par sa « volonté de se différencier par des services innovants et de s'appuyer sur la dynamique de créativité de start-up », prévoit également la constitution d'un fonds d'investissement. L'opérateur pourra ainsi prendre une participation dans le capital des entreprises qu'il épaule, une somme qui oscillera entre 100 000 € et 1 M€. (...)

(17/12/2008 16:28:50)

Viadeo ouvre un espace entreprise pour les PME

Viadeo, site français de mise en relation entre professionnels, vient d'ouvrir un espace dédié aux PME. Elles disposent ainsi d'une page personnalisable - une sorte de mini-blog dans le site - où elles peuvent décrire leur profil (adresse, métier, équipe dirigeante, forum...). « Jusqu'à présent, nous aidions nos membres à recruter le bon profil ou à trouver un emploi, explique Vanessa Raguin, ingénieur d'affaires chez Viadeo. Aujourd'hui nous allons plus loin dans notre offre de services. Nous leur proposons d'accroître leur visibilité sur notre site, non seulement vis-à-vis de potentiels futurs collaborateurs, mais également de fournisseurs, de partenaires financiers ou encore de clients. » Le nouveau service de Viadeo se décline sous forme de packs, comportant chacun un accès à l'Espace entreprise et un abonnement Premium pendant douze mois. Le premier pack (2000 € pour un an, avec une offre promotionnelle de 1490 € pour tout abonnement souscrit avant la fin de l'année) propose également l'envoi de messages ciblés à 1000 contacts sélectionnés par le moteur de recherche de Viadeo. Pour la deuxième offre (3000 € l'année et une promotion de 1890 € avant le 31 décembre) le nombre de contacts ciblés passe à 2000 et l'entreprise dispose - au choix - d'une place dans la rubrique « Ils recrutent » pendant 15 jours ou d'une annonce de recrutement accompagnée de 100 mails de push. Pour le moment ce service n'est disponible que pour les PME de province. En fonction de l'intérêt qu'il suscitera, Viadeo pourrait l'étendre dans les mois qui viennent à l'Ile-de-France. Le site compte actuellement cinq millions de membres, dont deux millions en France. Son principal concurrent est LinkedIn, qui vient d'ouvrir sa version française. (...)

(17/12/2008 15:07:36)

ITS Group recrute 270 informaticiens et encourage le reclassement des chômeurs

La société de conseil et de services informatiques ITS Group accélère sa politique d'embauche amorcée en 2008 (200 collaborateurs supplémentaires) en annonçant vouloir recruter 270 informaticiens en 2009. Les profils recherchés sont des chefs de projet techniques, des ingénieurs systèmes Unix et Microsoft, des ingénieurs de production confirmés, ainsi que des développeurs sur MySQL, .Net, Java et PHP. Un candidat sur six devrait être un junior (la SSII travaille étroitement avec des écoles comme l'Epitech ou encore l'ETNA - école des technologies numériques appliquées). Le pourcentage restant concernera des profils expérimentés et des séniors. ITS Group renouvelle sa contribution au reclassement de chômeurs La SSII a lancé en avril dernier un programme de reclassement destinées aux personnes en recherche d' emploi. Les candidats ayant répondu présents avaient des parcours très divers (chimistes, mathématiciens, biologistes, physiciens...), ITS Group s'est donc engagé à les former aux métiers de l'informatique. Devant le succès de l'opération (actuellement huit personnes sont en formation, cinq scientifiques et trois diplômés des sciences humaines), la SSII a décidé de réitérer l'expérience en 2009. ITS Group a réalisé un chiffre d'affaires de 50,3 M€ en 2007 (en hausse de 41%) et espère franchir le cap des 100 M€ d'ici à 2011. La société emploie actuellement 630 personnes en France dans cinq agences (Paris, Nantes, Lyon, Lille et Laval). (...)

(17/12/2008 14:59:25)

Adobe a dépassé en 2008 les 3,5 milliards de dollars

Sixième année consécutive de croissance à deux chiffres pour Adobe. L'éditeur a clos son année fiscale 2008 en dépassant les 3,5 Md$, contre 3,16 Md$ en 2007. La crise économique frappe finalement assez peu Adobe, qui avait pris la précaution d'avertir la Bourse que son quatrième trimestre fiscal serait juste un peu moins bon que prévu. Il est au final de 915,3 M$, soit dans le haut de la fourchette annoncée au début du mois, et assorti d'un bénéfice net de 246 M$ et d'une marge opérationnelle de 29,8%. L'avertissement s'était néanmoins accompagné du cynico-classique plan de suppression d'emplois (600 postes dans le monde, soit 8% des effectifs) à même de rasséréner les investisseurs. La croissance du chiffre d'affaires de l'éditeur est continue dans tous les domaines où Adobe est présent (cf. le tableau ci-dessous). La branche « Creative solutions », qui regroupe les outils de création multimédia, comme Premiere, Photoshop, Flash Professional ou Illustrator, représente ainsi 58% du chiffre d'affaires total, contre 60% en 2007 et 56% en 2006. La branche « Business productivity », qui regroupe les lignes « Knowledge worker » (gamme Acrobat) et « Enterprise » (gamme Livecycle), compte pour 30% du CA total, contre 29% en 2007 et 32% en 2006. Seuls les produits liés aux mobiles ont connu une progression certaine, et représentent désormais 3% du CA. Mais cela pourrait bientôt s'arrêter, Adobe préférant désormais que les opérateurs mobiles et fabricants de terminaux incorporent gratuitement sa technologie (initiative Open Screen). Le but étant de pouvoir revendiquer la plus large base installée d'appareils capables d'interagir avec du contenu Flash, qu'il s'agisse de PC ou de tout autre terminal ou smartphone connecté à Internet. (...)

(17/12/2008 14:47:58)

Le côté sombre d'Amazon révélé par une journaliste infiltrée

Les salariés d'Amazon resteront certainement dubitatifs en lisant les vers de Victor Hugo. Le poète, évoquant « le vrai travail, sain, fécond, généreux, qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux », était à mille lieues de décrire les conditions dans lesquelles triment les manutentionnaires britanniques du géant de l'e-commerce, à en croire un article paru dimanche dans la presse britannique. Après avoir passé sept jours en tant qu'intérimaire dans l'entrepôt d'Amazon situé à Bedfordshire, une journaliste du Sunday Times livre ainsi un tableau édifiant des conditions de travail imposées aux employés du VPCiste. Composée en grande partie de travailleurs étrangers, la main d'oeuvre est soumise à un rythme effréné. Sept jours de travail par semaine Après cinq jours de travail en semaine, les employés doivent encore effectuer 10,5 heures de travail le week end. Au final, les salariés doivent donc être sur site les sept jours de la semaine. Et chaque journée de labeur n'est ponctuée que de deux pauses de 15 et 20 minutes. La journaliste infiltrée rapporte même que l'autorisation du supérieur hiérarchique est nécessaire pour pouvoir se rendre aux toilettes. L'encadrement ne manque en outre pas de rappeler aux salariés que des caméras les surveillent constamment. De plus, les manutentionnaires sont priés de parler anglais entre eux. L'assiduité chez Amazon n'est évidemment pas optionnelle. Chaque employé dispose d'une sorte de permis à points, crédité de six unités. La moindre journée d'absence, même justifiée par un certificat médical, engendre la perte d'un point. Les retards se traduisent également par un malus. Et quand le total de points devient nul, le salarié est remercié. Parallèlement, Amazon tâche de motiver sa main d'oeuvre par un système de primes sur objectif. Il s'agit d'atteindre des niveaux de productivité décidés par l'encadrement - emballer un certain nombre de colis en un temps donné, par exemple - pour toucher un bonus de 39 €. Selon la journaliste, les objectifs sont purement inatteignables. Elle rapporte ainsi que, sur les 25 manutentionnaires évalués au cours d'une journée, un seul était parvenu à remplir son objectif. Malheureusement pour lui, la prime promise n'est accordée que si l'ensemble des membres d'une équipe remplissent leurs objectifs. Des heures supplémentaires obligatoires Pour gagner plus que les 6,3 £ par heure (environ 7 €) dont les gratifie Amazon pour un travail diurne, les salariés peuvent compter sur les heures supplémentaires. Ici, explique la journaliste du Sunday Times, ces heures en plus ne sont pas facultatives : tous doivent se plier aux besoins de l'entreprise et les chefs d'équipe sont intransigeants, à l'image de celui qui ne « veut pas entendre d'excuse » de la part d'employés placés dans l'incapacité de travailler plus que les huit heures contractuelles. Interrogée par le journal britannique, la direction d'Amazon Europe tâche d'estomper la noirceur de ce tableau à charge. Elle explique que les conditions de travail éprouvantes n'ont pour autre but que de garantir la satisfaction de tous les clients. Elle dément par ailleurs que les primes d'objectif ne soient qu'exceptionnellement accordées : selon les hautes sphères d'Amazon, 85% des objectifs fixés sont atteints et donnent ainsi lieu au versement d'un bonus. En ce qui concerne les courtes pauses, leur durée aurait été raccourcie en collaboration avec les représentants du personnel pour diminuer de 30 minutes le temps de présence total des salariés au cours de la journée. Enfin, la majorité des intérimaires seraient volontaires pour un poste de permanent. C'est le signe, aux yeux de la direction, que les conditions de travail ne sont pas si terribles... (...)

(17/12/2008 12:56:44)

Un adepte du green IT en charge de l'énergie et de l'environnement pour Obama

Le futur président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé la composition de son équipe en charge de l'énergie et de l'environnement. Comme cela se murmurait, c'est le prix Nobel de physique Steven Chu qui devient secrétaire à l'énergie. Jusque-là à la tête du Lawrence Berkeley National Laboratory, ce professeur de physique et de biologie cellulaire et moléculaire est un fervent supporter des solutions scientifiques aux problèmes environnementaux, mais aussi un adepte du green IT. Sa nomination traduit la volonté de la prochaine administration américaine de mener une politique énergétique et environnementale qui s'appuie sur la science et la technologie. Un moyen, selon Barack Obama, à la fois de revitaliser l'économie et de s'occuper du changement climatique. Depuis qu'il dirige le laboratoire national de Berkeley, Steven Chu a initié bon nombre de projets destinés à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il a ainsi travaillé sur des carburants alternatifs à partir de plantes non alimentaires, mais aussi sur un nouvel environnement de modélisation du climat planétaire. Cette dernière opération, on le sait, se traduit par d'imposantes quantités de calculs parallèles et nécessite des infrastructures de calcul gigantesques qui consomment des quantités astronomiques d'électricité. Autant de raisons pour que Steven Chu ait étudié toutes les possibilités de réduire l'empreinte carbone du futur supercalculateur de son laboratoire. Steven Chu a travaillé sur un supercalculateur superpuissant mais économe En mai dernier, le Berkeley National Laboratory s'est donc associé avec le Californien Tensilica pour concevoir un centre de calcul 100 à 1000 fois plus puissant que ceux qui existent aujourd'hui mais qui, pour autant, ne consommera pas les 200 Mwatts estimés pour une telle machine. L'idée consiste à exploiter un grand nombre de coeurs de processeurs embarqués connectés entre eux de façon optimisée, plutôt que des puces du marché, gourmandes en électricité et moins efficaces. Résultat : le calculateur issu de ces travaux devrait nécessiter moins de 4 Mwatts et pourrait pourtant atteindre une puissance de 1018 Flops (10 exaflops), soit près de 1000 fois plus que le plus puissant des systèmes actuel au Top 500. C'est donc bel et bien un scientifique sensible au green IT qui sera en charge de l'énergie et de l'environnement pour le gouvernement Obama. (...)

(17/12/2008 09:10:19)

L'éditeur Wallix recrutera une vingtaine d'informaticiens en 2009

Wallix, éditeur de solutions de sécurité en Open Source, compte renforcer ses équipes au cours des deux prochaines années. D'ici 2009, la société prévoit de recruter une vingtaine de collaborateurs. Les postes à pourvoir concernent des profils d'ingénieurs développeurs (pour son activité de R&D), des administrateurs systèmes et réseaux, des chefs de projet et des techniciens de support (pour sa division services), des ingénieurs commerciaux (grands comptes, ventes indirectes et export), ainsi qu'un webmaster pour animer sa communauté du Libre. Des stages de quatre à six mois - avec possibilité d'embauches à leur issue - seront également ouverts aux étudiants de dernière année de niveau Master 2 ou doctorat. (...)

(17/12/2008 09:11:13)

Cisco poursuivi par la FSF à cause du code libre des routeurs Linksys

Après cinq ans de négociations stériles avec Cisco, la Free Software Foundation (FSF) a confié au Software Freedom Law Center le soin de poursuivre le constructeur en justice pour violation de la loi sur les copyrights. L'affaire remonte à 2003, lorsque Cisco achète Linksys et récupère des lignes de produits (essentiellement des routeurs) qui embarquent du code libre dans leur firmware. Depuis cette époque, la FSF tente d'amener Cisco à respecter les termes des licences GPG et LGPL qui régissent l'usage des programmes concernés. Las, Cisco n'a fait que jouer la montre et n'a jamais accepté de distribuer le code libre de ses produits. Les tenants du libre réclament l'interdiction de vente des produits concernés(*) jusqu'à ce que Cisco respecte l'obligation de diffusion inhérente aux logiciels libres. (*) Les références de produits concernés : EFG120, EFG250, NAS200, SPA400, WAG300N, WAP4400N, WIP300, WMA11B, WRT54GL, WRV200, WRV54G et WVC54GC, ainsi que le programme Quick-VPN. (...)

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