Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 6211 à 6220.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(25/10/2010 14:11:31)

Microsoft abandonne sa participation aux projets IronPython et IronRuby

« Ce changement va permettre à la communauté dans son ensemble d'apporter ses contributions en code source pour les deux projets, » a déclaré Jason Zander, vice-président de l'équipe de Visual Studio de Microsoft, dans un blog. Entre temps, Jim Hugunin, qui avait notamment travaillé sur IronPython chez Microsoft, vient de partir chez Google. « IronPython et IronRuby sont deux implémentations de langage dynamique que nous avons développé en interne au cours des dernières années. Nous avons sorti plusieurs versions de ces deux environnements, et l'ensemble du code a été publié sous licence Open Source (récemment transformée en licence Apache V2.0), » a ajouté Jason Zander. Selon lui, une nouvelle direction et un nouveau modèle de développement « permettront à l'ensemble de la communauté de contribuer au développement de ces projets.» Comme il l'a expliqué, « les apports pour les deux projets peuvent être réalisés via le site du programme Open Source CodePlex, ce qui permet aux membres de la communauté de déposer leurs contributions sans avoir besoin du parrainage d'un salarié de Microsoft. » Celui-ci a ajouté que « Microsoft avait accompli un travail de base qui servira aux futures versions. »

Une ouverture d'IronRuby et d'IronPython à Linux et Mac OS

Au nombre des coordinateurs du projet IronPython, on trouve Miguel de Icaza de Novell, l'auteur Michael Foord, le programmeur de .Net Jeff Hardy et le blogueur Jimmy Schementi. Par ailleurs, Miguel De Icaza et Jimmy Schementi coordonneront désormais le projet IronRuby. «Tous ont travaillé avec ou sur les projets Iron depuis leur création, et je ne peux qu'avoir confiance et respect pour les nouveaux représentants chargés de porter ces projets communautaires,» a déclaré Jason Sandler. «D'une manière générale, j'espère que ces changements contribueront à augmenter considérablement les possibilités offertes aux membres d'apporter leur propre contribution en code pour IronPython et IronRuby, et de participer activement à ces projets, » a-t-il encore ajouté. « Les deux projets Python et Ruby seront développés au même titre que d'autres projets Open Source, mais sans les limitations existant auparavant, » a écrit Miguel de Icaza sur son blog. « En particulier, de mon point de vue très centré sur Unix, nous pourrons apporter les correctifs nécessaires aux langages Iron pour les faire fonctionner sur Linux et Mac OS. »

Pour sa part, Jim Hugunin a fait savoir sur son blog qu'il se réjouissait d'aller travailler chez Google. « La décision de Microsoft d'abandonner sa participation dans IronPython a été le catalyseur, mais pas le motif de mon départ de l'entreprise. Bien que la plupart d'entre vous savent que je n'ai pas été directement impliqué dans IronPython depuis un certain temps, la décision de Microsoft m'a amené à reconsidérer ma place au sein de l'entreprise et à réaliser qu'il était temps pour moi d'envisager d'autres possibilités de carrière, » a-t-il déclaré.

(...)

(25/10/2010 13:48:57)

Air France KLM optimise ses impressions et sa gestion documentaire

« Il y a cinq ans, notre parc d'imprimantes était hétérogène, il y avait des scanners qui trainaient ici ou là... » se souvient Jean-Claude Cathelineau, directeur aux achats de systèmes d'information chez Air France KLM. Face à cette situation, OptiPrint 1 et 2 avaient pour buts d'atteindre l'excellence en terme de services autour du document (impression, partage, accès...), d'innover autour du circuit du document et de prendre en compte la responsabilité sociétale et environnementale (RSE) de la compagnie. Ce dernier point consistait notamment à diminuer considérablement le nombre d'impressions. Bien entendu, tout cela s'accompagne d'une volonté claire de baisser les coûts.

OptiPrint 1 a d'abord été testé dans deux services. Les imprimantes et les scanners y ont été remplacés par des multifonctions départementales. Au bout de six mois, les résultats obtenus ont incité à généraliser le dispositif en France. Un appel d'offres a alors été lancé et Ricoh a été retenu parmi sept fournisseurs candidats. Le nombre d'imprimantes et de copieurs est passé de plus de 10 000 à environ 3 700. Certains bureaux ont cependant conservé des imprimantes en propre pour des raisons de confidentialité, comme la DRH notamment.

Jean-Claude Cathelineau indique : « après avoir réduit les coûts directs -de l'ordre de 30%- nous avons attaqué une logique de coût total de possession. » De plus, durant cette phase, Optiprint est devenu un plan international pour toutes les implantations d'Air France KLM (à ce jour, le déploiement des solutions n'est pas achevé dans tous les pays).

Une phase 2 orientée green, accompagnement et social

Au-delà du déploiement des multifonctions avec scan-to-mail et recto/verso noir et blanc automatique, Air France KLM a mis en place une GED centralisée qui s'interface avec les copieurs multifonctions. La sortie par impression sur papier n'est donc plus qu'un des traitements possibles d'un document circulant sur la GED, le multifonction devenant ainsi un périphérique d'entrée (grâce au scanner) que de sortie. La GED est gérée en direct par Air France dans ses propres infrastructures tandis que les multifonctions sont infogérés par Ricoh.

La phase actuelle d'Optiprint 2 consiste à réaliser des « reportings green » en cours de mise au point. « Il est possible d'effectuer des rapports par typologie de document, par service, etc. pour responsabiliser les différentes entités du groupe » se réjouit Jean-Claude Cathelineau. Air France KLM teste également la possibilité de n'imprimer que sur déverrouillage par badge. « L'avantage, c'est que le badge commun (qui sert aussi pour la cantine, l'accès aux bâtiments...) permettant seul le déblocage de l'impression, il y a moins de gâchis de documents et plus rien de confidentiel ne traine ; l'inconvénient, c'est que l'on est obligé d'attendre son impression devant la machine au lieu que cela sorte pendant qu'on s'y rend » stipule le responsable.

Enfin, une dernière fonctionnalité est actuellement testée : l'impression mobile. Il s'agit d'utiliser le fait que les imprimantes sont gérées via la GED pour permettre d'imprimer à partir de smartphones. Cette possibilité est plutôt regardée comme une possibilité de nouveau service destiné aux passagers dans les aéroports.

Une grille tarifaire à deux niveaux

« Les technologies que nous employons sont disponibles depuis des années et le vrai problème était donc de mener une véritable conduite du changement des comportements » observe Jean-Claude Cathelineau. Le sponsor des plans Optiprint est membre du Comité Exécutif du groupe puisqu'il s'est agi du directeur général délégué aux achats. Jean-Claude Cathelineau se réjouit : « c'est lui qui a expliqué les enjeux ». Mais la communication a été intense. Ainsi, un camion de formation s'est déplacé sur les différents sites d'Air France pour expliquer aux salariés les nouveaux process et distribuer des brochures ainsi que des affiches.

Sur Optiprint 1, le modèle tarifaire de Ricoh comprenait une partie fixe et une partie variable lié au volume. Sur Optiprint 2, tout a été intégré dans un prix à la page imprimée. Après les 30% d'économie du premier plan, le deuxième a permis d'économiser en « pied de la facture » environ 5% de plus. L'un des facteurs de choix de Ricoh pour infogérer les multifonctions a d'ailleurs été sa capacité à s'impliquer proactivement dans cette gestion du changement.

Le fabricant s'est également engagé à confier 20% du montant de sa prestation à des entreprises adaptées (ex-CAT, centres d'aide par le travail, pour travailleurs handicapés). « Nous avons l'habitude de ce genre de partenariat dans les achats de services de blanchisserie mais c'est la première fois dans l'informatique » indique Jean-Claude Cathelineau.

Après une première année « difficile », les personnels semblent aujourd'hui satisfaits. Optiprint 2 phase 1 est déployé à ce jour à hauteur de 85% des implantations de la compagnie. Mais, selon le dirigeant, « il reste encore une marge d'optimisation du nombre d'impressions ».

(...)

(25/10/2010 12:01:04)

Affaire TomorrowNow : SAP veut museler les avocats d'Oracle

A l'appui de sa demande SAP a cité une récente colonne du New York Times qui indiquait que le spécialiste des ERP avait commis « le plus grave des crimes d'affaires ». Cet article soulignait également que l'ancien responsable de l'éditeur, Léo Apotheker, « était au courant » du vol de logiciels Oracle. Le New York Times a reconnu plus tard que l'auteur de cette tribune, Joe Nocera, est le compagnon de la directrice de la communication du cabinet d'avocats représentant Oracle contre SAP. « Bien que l'auteur nie savoir que sa compagne travaille pour le cabinets d'avocats représentant Oracle, il ne nie pas qu'elle était la source des informations détaillées et des preuves qu'il cite dans son article » précisent les avocats de SAP dans leur demande auprès du tribunal.

En conséquence, ils ont demandé à la juridiction de signer une ordonnance interdisant aux avocats des deux côtés de discuter de l'affaire en dehors de la salle d'audience. Ils ont demandé une décision rapide puisque le procès doit commencer le 1er novembre, devant un tribunal fédéral à Oakland, en Californie.

Oracle accuse SAP et sa filiale TomorrowNow d'avoir volé des milliers de corrections de gros patchs et autres documents de support sur un site web d'Oracle et de les utiliser pour fournir un service de maintenance à prix réduit pour les clients du spécialiste de la base de données. SAP a admis le mois dernier ce téléchargement illégal et le procès devra se concentrer sur le montant des dommages et intérêts que devra verser l'éditeur allemand. Oracle estime son préjudice à des milliards de dollars, tandis que SAP le calcule en dizaine de millions.

La problématique de l'information numérique

Le dépôt de la demande de SAP sur la publicité autour des affaires judiciaires entre entreprises jette la lumière sur les défis créés pour les tribunaux  par l'Internet et les médias sociaux comme Twitter et Facebook. La nécessité de contrôler la publicité antérieure au procès « est encore plus forte à l'ère numérique dont l'accès est quasi immédiate et pour beaucoup addictive et irrésistible » souligne les avocats de SAP.

Lors d'une conférence préparatoire au procès le mois dernier, un avocat d'Oracle a demandé au juge saisi de l'affaire, Phyllis Hamilton, la façon de traiter avec le « gros problème » des jurés qui font des recherches en ligne pour trouver des informations sur l'affaire. « Même lorsque vous l'interdisez aux jurés, ils le font quand même », a déclaré le procureur Donn Pickett, dans une transcription partielle de la réunion. Le juge Hamilton est d'accord en déclarant avoir essayée pendant l'été à quatre reprises de limiter ces recherches, mais « à chaque fois, c'était vraiment un problème. » Elle a invité les avocats à rédiger des instructions au jury pour les dissuader de faire des recherches sur Google sur l'affaire. Les recommandations devront couvrir « toute la panoplie de gadgets et d'appareils » afin « qu'ils ne pensent pas que par omission c'est OK pour eux et tweet à ce sujet depuis la salle des jurés », dit le juge.

Un avocat d'Oracle a indiqué que certains jurés sont susceptibles d'accorder une plus grande confiance à ce qu'ils ont lu sur Internet que ce qui est présenté comme preuve. Le juge a dit que certains jurés ont bénéficié de largesses dans une affaire antérieure, car il ne pensait pas qu'ils puissent « résister à la tentation » de la recherche en ligne pour obtenir des renseignements au sujet du procès. Les avocats pourraient être tentés lors de la sélection du jury de choisir des personnes âgées qui pourraient être moins tentés de recherche, conclut le juge.

Illustration : Le billet de Joe Nocera du New York Times cité par les avocats de SAP

Crédit Photo : D.R

(...)

(25/10/2010 11:05:13)

Venedim renforce ses compétences dans le stockage

Créée en 2005, Venedim est une SSII très particulière qui se développe en créant des filiales spécialisées. Le but est d'échapper au syndrôme de la SSII généraliste, celle qui couvre toutes les fonctions et emploie une grande masse de collaborateurs. Olivier Frerot, le PDG de Venedim,  veille à spécialiser ses équipes en impliquant le mangement comme actionnaire des filiales. Après « infrastructures », « consulting », « télécom et réseaux », Venedim lance « Venedim Storage ». Une opération plus complexe que les autres.

Venedim opérait déjà dans le secteur du stockage et continuera à le faire avec sa filiale infrastructures. Cette dernière travaille sur le conseil en solutions de stockage. En plus, Venedim développe maintenant des relations capitalistiques et commerciales avec une société toulousaine, Solution Data. Venedim prend 35% de cette société, qui elle même prend 25% de Venedim Infrastructures. Solution Data s'occupera de la partie intégration des solutions de stockage.

Spécialisée dans les produits Netapp

Solution Data est spécialisée à 80% dans les produits NetApp. Elle travaille également sur EMC, Hitachi, Symantec et VMware. Focalisée initialement sur un contrat avec Airbus, ses dirigeants souhaitent se déployer nationalement, l'accord avec Venedim leur apporte la solution. « Nous créons une synergie entre leurs activités de déploiement de solutions de stockage et nos activités initiales de conseil sur cesecteur» souligne Olivier Frerot.

Venedim, qui compte réaliser 13 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, devrait atteindre entre 16,5 et 18 ME en 2011. En plus de sa stratégie de filialisation, la société compte s'implanter en régions. Soit par filiales, soit par des directions régionales. Une filiale est en place sur l'Ile-de-France, deux autres devraient se créer début 2011 à Lyon et Toulouse, le grand ouest sera pourvu plus tard, sans doute par une direction régionale.

Crédit photo : NetApp

(...)

(25/10/2010 11:05:27)

Le monde compte 5 milliards d'abonnés à la téléphonie mobile

Selon des estimations du cabinet d'analyse, publiées ce vendredi 22 octobre, les marchés émergents que sont l'Inde, l'Indonésie et la Chine montrent une progression plus rapide. Le continent africain s'avère cependant le marché à conquérir pour les acteurs du marché, précise l'analyste.

Dans les marchés plus matures que sont notamment les Etats-Unis et le Japon, ABIresearch note que le nombre d'abonnés ne cessent de progresser, malgré un taux de pénétration dépassant les 100%. L'analyste explique ce constat par l'adoption des technologies 4G comme le WIMAX. Ce dernier voit son nombre d'abonnés augmenter de 91% entre le premier et deuxième trimestre 2010.

Le LTE (Long Term Evolution), technologie ultra-rapide de diffusion voix/données, devrait connaître quant à lui une progression fulgurante lorsque les Etats-Unis, le Japon et l'Europe l'auront lancé, ajoute ABIresearch. D'ici 2015, le nombre d'abonnés actifs pourraient atteindre les 6,4 milliards, dont 169 millions ayant souscrit à la 4G.

(...)

(25/10/2010 11:06:13)

Twitter mise beaucoup sur la pub

(Source EuroTMT) C'est chose faite, Twitter accueille la publicité. L'opération a été mise au point par Dick Costolo, qui vient d'être promu au rang de PDG en remplacement d'Evan Williams le co-fondateur de la société. La publicité va permettre à Twitter de franchir une étape cruciale : celle de la rentabilité. Une logique suivie par la plupart des sites communautaires comme Facebook qui ont déjà commencé à remplir leur page de garde de publicité. C'est d'ailleurs la raison qui a poussé la direction de Twitter à admettre la publicité, juste pour renforcer l'idée et le concept de concurrence avec Facebook.

Dans quelques jours, les choses vont donc prendre un nouveau tournant pour le site de micro-blogging qui compte aujourd'hui 160 millions d'utilisateurs, contre 3 millions seulement il y a deux ans. Hier encore, le site vivait grâce aux financements accordés par les fonds d'investissements et les sociétés de capital-risque. Les annonceurs vont arriver et vont devoir apprendre à gazouiller pour faire bref du moins au départ.  Twitter devient finalement une affaire vraiment rentable sur le long terme. C'est du moins ce qu'espère l'équipe de Dick Costolo qui table sur l'augmentation constante du nombre de visiteurs et d'abonnés au site pour attirer les annonceurs. D'autant qu'une étude publiée par le Wall Street Journal affirme que chaque annonceur serait prêt à dépenser quelque 100 000 dollars pour les publicités sur le site.

Après avoir commencé par dresser un magnifique bilan prévisionnel, la direction de Twitter a réfléchi aux modalités de présentation des annonces sur le site. C'est la fin des vieilles méthodes habituelles : bandeaux publicitaires ou newsletters. Elles ont été remisées au grenier pour faire de la place à de nouvelles formes de sponsorisation dites « plus proches de la clientèle ».

Des campagnes ciblées


Celles-ci peuvent par exemple prendre la forme d'un message instantané, d'un profil ou du résultat d'une recherche. La semaine dernière, la société a déjà réalisé un premier gros ballon d'essai avec le lancement des comptes Twitter. Moyennant une sorte de redevance payée par les annonceurs, le système peut suggérer à certains utilisateurs, de cliquer sur un profil après avoir été averti qu'il s'agit d'une annonce publicitaire. Chaque annonce sera classée dans un groupe en fonction de l'argument traité.

La plateforme adopte donc le modèle de la publicité ciblée car les suggestions de comptes aux utilisateurs se fonderont sur un algorithme s'appuyant les comptes déjà suivis par les utilisateurs. Le système publicitaire mis au point tire les enseignements d'un premier test réalisé en avril dernier avec les « promoted Tweet » : à savoir, des messages publicitaires plutôt très courts disséminés le long des pages de garde du site. Les utilisateurs pouvaient alors les consulter immédiatement, les classer pour les ouvrir un peu plus tard, voire carrément les enregistrer. La plateforme a ainsi indiqué être actuellement en test avec Hootsuite, pour proposer un service de syndication de tweets promotionnels. Selon Dick Costolo qui a tenu les comptes de cette première opération, au moins 5 % des utilisateurs accepteraient, aujourd'hui, d'ouvrir un message publicitaire.  5 % de 160 millions d'abonnés, c'est déjà un sacré point de départ. « Nous travaillons avec plus de 40 annonceurs, près de 80 % d'entre eux sont déjà devenus des acheteurs réguliers » a récemment déclaré Carolyn Penner, responsable de la communication de Twitter.

(...)

(25/10/2010 11:05:25)

Trimestriels Infotel : + 22,4 % de croissance

La SSII Infotel réalise une année 2010 performante avec une croissance à deux chiffres. Au troisième trimestre son chiffre d'affaires atteint 25,4 millions d'euros (ME) en hausse organique de 16%. Pour l'année 2010, Infotel prévoit un CA de 110 ME.

Sur ce troisième trimestre, l'activité service e a progressé de 15,8% à 23,5 ME, avec un taux d'inter-contat inférieur à 1% « et un recours adapté à la sous-traitance » précuise la société. Le groupe se montre très optimiste mentionnant de nouveaux référencements grands comptes et des ouvertures de comptes. L'activité logiciels, qui ne réalise que 1,1 ME sur ce trimestre chute lourdement de 33,2%. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >