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(08/10/2010 16:23:03)

GFI choisit le rugby pour recruter dans le Sud Ouest

GFI Informatique, qui table sur un objectif de 1 000 embauches d'ici la fin de l'année, poursuit le rythme de ses embauches en région. Après Nantes, la SSII a choisi d'organiser, à Toulouse, une soirée spéciale de « speed recruiting » axée sur le thème du rugby. L'évènement, qui aura lieu jeudi prochain à 18h au stadium, devrait conduire GFI Sud Ouest à embaucher une trentaine de collaborateurs dans la ville rose. Les candidats auront une vue panoramique sur le stade et pourront échanger en temps réel avec Jean-Baptiste Elissalde (ancien international de l'équipe de France et actuellement entraîneur au stade toulousain) dans le cadre d'un débat interactif autour des valeurs du rugby et de l'entreprise de services informatiques.

Une vaste palette de postes à pourvoir

Les postulants découvriront l'ensemble des offres d'emploi au cours d'entretiens individuels avec les équipes technique, commerciales et RH qui exposeront les projets et possibilités d'embauche. La palette des profils recherchés est vaste : il s'agit de chefs de projet Java/J2EE et infrastructure, d'ingénieurs avant-vente, et également d'ingénieurs Unix, Windows et sécurité disposant d'une expertise de cinq ans minimum. Les postes à pourvoir concernent aussi des ingénieurs commerciaux et des analystes fonctionnels  (ayant deux ans d'expérience minimum), ainsi que des ingénieurs test et validation (ayant entre une à cinq années d'expertise).
Comptant 400 collaborateurs répartis sur ses sites de Toulouse et Bordeaux, GFI Sud Ouest intervient auprès des grands comptes Airbus, EDF et France Télécom.

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(08/10/2010 14:14:56)

Les Français résignés à la hausse de l'abonnement triple play

Depuis la rentrée, plusieurs opérateurs ont en effet annoncé leur intention de répercuter sur la facture des abonnés la hausse de la TVA sur les forfaits triple play. En cas d'augmentation du prix de leur forfait, les abonnés Internet resteraient dans leur grande majorité chez le même fournisseur d'accès. 38% disent qu'ils ne changeront rien à leur offre actuelle car « tous les fournisseurs vont augmenter leurs prix ». Parmi les abonnés qui ne changeraient pas d'opérateur, 5% des sondés envisageraient toutefois de moduler leur offre (en réduisant le nombre d'options, par exemple) afin d'en diminuer le coût.

Par ailleurs, un sondé sur cinq (21%) adhère à la proposition « vous trouveriez [cette hausse] inadmissible et changeriez de FAI pour choisir le moins cher ». Enfin, 5% des abonnés envisageraient même d'arrêter complètement leur accès à Internet pour se tourner vers d'autres solutions, comme le réseau 3G via leur téléphone mobile.

Cette enquête a été réalisée par téléphone les 1er et 2 octobre, auprès d'un échantillon national représentatif de 967 individus âgés de 18 ans et plus, structuré selon la méthode des quotas.

(...)

(08/10/2010 14:14:17)

Microsoft tuesday patch: L'énorme paquet d'octobre atteint (encore) des records

Quatre des 16 mises à jour sont jugées « critiques », soit le plus haut degré en terme de menace dans l'échelle de notation à quatre niveau de Microsoft, 10 autres sont qualifiées d' «importantes », soit au deuxième rang, alors que la paire restante est jugée «modérée». Comme a son habitude, Microsoft a détaillé le contenu de ses mises à jour avant la livraison prévue pour le mardi 12 octobre à 1H00 Eastern Time, indiquant que neuf d'entre elles pourraient être exploitées par des attaquants pour injecter du code malveillant dans PC. L'éditeur qualifie souvent les bugs susceptibles d'être utilisés pour exécuter du code à distance - les plus dangereux - comme importants, quand les éléments vulnérables ne sont pas activés par défaut, ou quand d'autres fonctions, comme les mesures défensives de type ASLR et DEP, peuvent protéger certains utilisateurs.

La série de patchs de la semaine prochaine représente un record à tout point de vue. Les 16 mises à jour - désignées sous le terme de bulletins ou avis par Microsoft - sont un record, parce qu'elles doublent celui déjà élevé d'août 2010. Les 49 correctifs dépassent largement le record des 34 mises à jour livrées au cours d'un seul mois, déjà atteint en octobre 2009 et répété en juin et en août derniers. Microsoft a alternativement livré des grosses et des petites mises à jour, les plus grosses étant généralement réservées aux mois pairs, si bien que le nombre élevé de mises à jour d'octobre ne devrait pas surprendre. En août, par exemple, Microsoft a émis 14 bulletins pour corriger 34 vulnérabilités. La série de septembre comprenait cependant 9 bulletins fixant 11 failles. « J'ai une théorie sur la taille élevée de la mise à jour d'octobre, » a déclaré Andrew Storms qui fait remarquer que Microsoft avait publié 13 bulletins et corrigé 34 vulnérabilités ce même mois l'année passée, livré 12 mises à jour et fixé 21 failles en octobre 2008. « C'est la fin de l'année, la plupart des entreprises verrouillent les deux derniers mois où elles font leur bilan commerciaux et financiers. Elles ne mettent pas leurs systèmes à jour, » a t-il expliqué. « Douze des 16 bulletins concernent les éditions desktop ou serveur de Windows, et parfois les deux. Deux concernent Office - Word et Excel, en particulier - et patchent une ou plusieurs vulnérabilités identifiées dans le format de fichier des applications, » a encore détaillé Andrew Storms. L'un des patchs de sécurité règle un problème dans SharePoint, la suite logicielle collaborative entreprise de l'éditeur. Selon la notification rendue publique, la mise à jour de SharePoint est liée à Office Web Apps qui comprend les versions en ligne de Word, Excel, PowerPoint et OneNote.

Windows 7 et Windows Server 2008 R2 également patchés

A part comptabiliser les mises à jour que les utilisateurs auront à appliquer, Andrew Storms a également remarqué que plusieurs d'entre elles s'appliquaient aux versions les plus récentes des systèmes d'exploitation de Microsoft, Windows 7 et Windows Server 2008 R2. Toutes deux ayant été corrigées à maintes reprises depuis leur introduction l'an dernier. Neuf des mises à jour de Windows à paraître mardi prochain concernent Windows 7 - dont trois patchs critiques - et Windows Server 2008 R2 recevra neuf mises à jour, dont deux critiques. Microsoft a toujours présenté Windows 7 comme étant l'OS le plus sûr jamais créé, incitant même les utilisateurs de Windows XP à abandonner ce système lancé il y a neuf ans. Au final, lors du le prochain Tuesday Patch, XP n'est concerné que par huit des 13 bulletins, et par deux patchs critiques.

La mise à jour importante d'Internet Explorer concerne IE6, IE7 et IE8. Microsoft n'a pas dit si elle mettrait à jour également IE9, sortie en version beta il y a trois semaines, mais selon Andrew Storms, « cette mise à jour est aussi prévue. » Microsoft a corrigé IE tous les mois impairs pendant un période, et les derniers correctifs pour le navigateur datent d'il y a deux mois.

Pas d'informations sur

L'éditeur n'a pas précisé si les mises à jour de la semaine prochaine incluraient des correctifs pour bloquer les vulnérabilités susceptibles d'être exploitées par des attaques utilisant le détournement de DLL. Celles-ci utilisent les applications Windows pour charger des fichiers malicieux de type DLL (Dynamic Link Libraries) sur les PC, lesquels sont ensuite exécutés automatiquement. Plusieurs éditeurs ont corrigé leurs programmes pour remédier au détournement de DLL, mais Microsoft a refusé de confirmer si l'une de ses applications étaient vulnérables, et si oui, laquelle. Cependant, les chercheurs ont fait valoir que IE, Word, PowerPoint et un certain nombre de programmes Windows moins connus développés par Microsoft présentaient des failles et devaient être mis à jour. « Même si on exclus les correctifs pour les DLL, les mises à jour de la semaine prochaine vont préoccuper les administrateurs, » a déclaré Andrew Storms. « Elle ne semble pas compliquée, » a t-il dit. « Il n'y a par exemple aucune mise à jour d'Exchange, de SQL Server ou de IIS. Mais elle est importante en taille... encore une fois. Elle sera lourde à mettre en route pour les entreprises qui testent les mises à jour avant de les déployer. »

 

D'autres éditeurs ont récemment publié des mises à jour importantes. Comme Adobe, par exemple, qui vient de livrer 23 patchs pour son Reader PDF cette semaine. « Je continue à surveiller de près le nombre élevé de mises à jour de sécurité publiées par Apple, » a déclaré Andrew Storm. « Ensuite, je regarde du côté de Microsoft et je me rends compte que je ne peux pas leur laisser de répit ce mois-ci. »

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(08/10/2010 13:39:29)

Microsoft n'exclurait pas un rapprochement avec Adobe

Les patrons respectifs de Microsoft et d'Adobe se seraient récemment rencontrés en vue d'établir  le meilleur accord possible qui leur permettrait de renforcer leur lutte contre leur ennemi commun, à savoir Apple. D'après le New York Times, le rachat d'Adobe par l'éditeur de Redmond serait également à l'étude. Citant des sources anonymes, le quotidien américain indique ainsi que le PDG de Microsoft, Steve Balmer, a rencontré Shantanu Narayen, le dirigeant d'Adobe, pour discuter du contrôle d'Apple sur  le marché de la téléphonie mobile et d'un partenariat, qui leur permettrait de lutter conjointement contre la firme de Cupertino.

Des rencontres qui auraient lieu de temps en temps

Le journal précise également que Microsoft se serait refusé à tout commentaire. Pourtant, dans un document, Adobe aurait reconnu que Steve Ballmer et Shantanu Narayen s'étaient bel et bien rencontrés. « Adobe et Microsoft partagent des millions d'utilisateurs à travers le monde et les dirigeants des deux firmes ont pour habitude de se rencontrer de temps en temps », a déclaré   l'éditeur de Flash et d'Acrobat et d'ajouter :  «toutefois, nous ne souhaitons pas commenter  publiquement les thèmes abordés lors de ces rendez-vous privés. » Alors qu'Apple gagne à la fois des développeurs et des utilisateurs grâce à
ses iPad et ses iPhone, de leur côté, Microsoft et Adobe prennent le risque d'être mis de côté sur le marché des terminaux mobiles, environnements que les développeurs qualifient d'excitants.

Rachat abandonné en raison de la loi antitrust

L'éditeur de Redmond a tenté et a finalement échoué, par le passé, à générer de l'enthousiasme pour sa plate-forme de téléphonie mobile, et Adobe s'est senti sous pression après qu'Apple décide de ne pas autoriser les logiciels Flash à être utilisés sur ses terminaux. Toujours selon le New York Times, Steve Balmer et Shantanu Narayen n'auraient pas parlé de l'interdiction prônée par Apple. Concernant l'autre point de la discussion, à savoir le possible rachat d'Adobe par l'éditeur de Redmond, ce dernier aurait étudié cette option depuis plusieurs années pour finalement abandonner, en raison de ses problèmes relatifs à la loi antitrust. Il reste que cette opération contribuerait à renforcer le pouvoir de Microsoft sur le marché du développement web, et lui donnerait alors l'avantage dans la bataille contre Apple.

Illustration: Shantanu Narayen, PDG  d'Adobe. Crédit photo: D.R


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(08/10/2010 12:37:03)

Interfaces hommes-machines : Microsoft voit large avec Kinect

« Un chirurgien en salle d'opération pourrait déplacer ses mains au-dessus d'un écran et mettre à jour les informations concernant un patient sans quitter l'environnement stérile. Ou encore, avec des capteurs reproduisant les gestes, une personne pourrait jouer à un jeu de société avec un adversaire situé à distance », a ainsi expliqué Craig Mundie, directeur recherche et stratégie chez Microsoft lors d'une conférence au MIT. « Les avancées technologiques en matière de capteurs et d'affichage vont changer la façon dont les individus interagissent avec les ordinateurs et vont entrainer la création de systèmes où les gestes suffiront pour diriger des machines », a t-il ajouté.

« En priorité, Microsoft envisage d'utiliser ces technologies d'interface virtuelle homme-machine dans l'univers du jeu, » a annoncé le directeur de recherche. Distribué en novembre prochain dans le monde entier et destiné à la Xbox 360, Kinect sera le premier système HUI (Human User Interface) de Microsoft pour contrôler les jeux par les mouvements et par la voix. « L'idée est d'éliminer les manettes de  jeu et de les remplacer par un système virtuel permettant de jouer tout à fait normalement », a-t-il dit.

Une technologie popularisée par Nintendo

C'est en 2006 que Nintendo, avec sa console de jeu Wii, a popularisé le concept du jeu contrôlé par le mouvement. La télécommande sans fil permet de jouer à des jeux et de réaliser des actions sur un écran comme frapper une balle de baseball ou lancer une boule de bowling. Au cours des quatre dernières années, Nintendo a réussi à considérablement améliorer la précision de son système.

Microsoft travaille également sur les avatars, et a imaginé un individu virtuel avec lequel il serait possible d'interagir pour « stimuler l'expérience sociale », a-t-il déclaré.  Celui-ci a voulu également montrer que la technologie 3D, que chaque acteur des nouvelles technologies est en train d'ajouter à ses produits, s'accordait bien avec les interfaces virtuelles. C'est ainsi que certains participants dotés de lunettes 3D ont « joué » à acheter des produits virtuellement, les prenant, les regardant, et les plaçant éventuellement dans un caddie. Il a également montré comment, dans une émission de télévision en 3D, les téléspectateurs pouvaient participer à l'intrigue. Il a aussi testé des commandes vocales pour contrôler et interagir avec un ordinateur. «Prédire si des jeux ou des émissions de télévision de ce type seront adaptées aux interfaces virtuelles est difficile à dire, mais la technologie est là », a insisté Craig Mundie.

De nouveaux usages à venir

Microsoft prévoit en tout cas de s'intéresser aux apports de la technologie virtuelle homme-machine et de créer des systèmes en conséquence, comme c'est le cas par exemple en matière d'actions récurrentes, comme l'écriture d'une signature. « Nous étudions quelles types d'applications peuvent émerger de son utilisation », a t-il déclaré. Un autre système montré par Craig Mundie combine les images d'une caméra infrarouge et d'une caméra classique pour établir la "carte du squelette" d'une personne, plus des microphones pour les commandes audio. Dans le cas du système Kinect, les données sont envoyées à la Xbox 360 pour être traitées. « Nous n'avons pas intégré le processeur dans le système virtuel pour éviter d'en augmenter le prix », a précisé Craig Mundie. Pour l'instant Microsoft n'envisage pas d'adosser ses systèmes au cloud computing pour prendre en charge le traitement des données recueillies par les systèmes HUI. « La plupart des interactions virtuelles seront calculées localement » a-t-il préconisé, ajoutant que dans l'avenir, il pense plutôt à un couple « client et cloud pris comme une entité unique. Les entreprises et les utilisateurs ne veulent pas payer pour la bande passante utilisée pour transmettre des données pour le traitement à distance et les problèmes de latence liés au cloud computing laissent penser qu'une bonne interaction est peu probable » a déclaré Craig Mundie. «  Les êtres humains sont très sensibles à la latence. »

Crédit photo : D.R.

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