Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 6821 à 6830.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/09/2010 18:21:52)

Conférence LMI/CIO : Améliorer la qualité des données au service des métiers

Les outils décisionnels sont le moteur des décisions prises dans l'entreprise en fonction des informations disponibles. « Savoir pour prévoir, afin de pouvoir » disait le philosophe Auguste Comte. Le décisionnel est la clé de voûte de la performance pour tous les métiers. L'optimisation de ces outils est aujourd'hui vitale. De nombreux bouleversements ont marqué le marché de l'offre récemment. Et côté utilisateurs, l'heure est à la rationalisation d'une situation trop souvent anarchique ainsi qu'à l'amélioration de la qualité tant des données que des processus mis en oeuvre.

Notre conférence abordera la structure du marché. Il s'agit de comprendre les effets des bouleversements identifiés pour établir les offres en présence. La question de la qualité des données sera ensuite abordée, plutôt sous un angle technique. Enfin, les utilisateurs métiers des outils décisionnels, souvent décideurs en la matière, viendront expliquer ce qu'ils attendent de ces outils et comment ils les utilisent au quotidien.

Pour connaitre le programme de cette matinée et vous inscrire , rendez-vous sur cette page.

(...)

(02/09/2010 17:54:37)

IBM publie son classement X-Force des vulnérabilités web

Le rapport établi par IBM, qui classe les éditeurs en fonction de leur assuidité à corriger les failles de sécurité dans leurs logiciels, vient de désigner Google comme le plus mauvais et fait passer Microsoft à la première place. Google, qui chute de la sixième à la douzième place, a protesté contre les méthodes utilisées par l'équipe X-Force d'IBM pour réaliser son rapport semestriel 2010 sur la sécurité, intitulé "Risques et tendances".

Pour justifier ces changements, Tom Cross, un blogueur d'IBM, a affirmé qu'il était difficile de suivre toutes les publications et les correctifs de vulnérabilité, du fait que les données devaient être recueillies manuellement. "Comme vous pouvez l'imaginer, il s'agit d'une tâche complexe, car chaque éditeur de logiciel gère les failles de sécurité de manière différente et il existe aujourd'hui peu de normes pour le partage de cette information," a-t-il ainsi écrit. Dans l'un de ses blogs, Google estime cependant qu'il faudrait faire plus d'efforts pour vérifier les données utilisées dans ces rapports. "Dans un premier temps, les personnes chargées de réunir les informations pour constituer cette base de données devraient s'adresser aux éditeurs et leur faire part de leur intention afin de trouver une solution durable qui garantisse un échange d'information plus cohérent pour les deux parties," a déclaré dans son blog Adam Mein, membre de l'équipe chargé de la sécurité chez Google. "Une autre amélioration importante consisterait à obtenir plus de transparence de la part des compilateurs - notamment en ce qui concerne l'intégration de davantage de données brutes, selon la méthodologie qui sous-tend la collecte des informations, et une présentation critique reconnaissant les limites des données présentées."

Mal classé, Google conteste la méthodologie d'IBM

Google s'est plaint à IBM parce que le rapport déclare que l'entreprise présente un taux de vulnérabilités critiques, identifiées et non patchées, de 33%. Or, il s'est avéré après coup que les 33% font référence à un patch pour trois vulnérabilités, et que l'une d'entre elles n'est pas une faille de sécurité.

IBM a publié deux listes, l'une qui établit le classement des entreprises en fonction des vulnérabilités connues mais non patchées et l'autre listant les entreprises en fonction des vulnérabilités critiques non patchées. C'est ainsi que Google a chuté de la sixième à la douzième place dans la première évaluation et de la première à douzième place dans la seconde. Mais ce n'est pas la seule à accuser un repli. D'autres éditeurs de logiciels reculent de manière significative dans le classement, comme Sun, qui passe respectivement de la première à cinquième place et de la septième à la douzième place - à égalité avec Google -, et Linux, qui passe de la septième à la dixième place et de la quatrième à la douzième place, selon les deux types de critères retenus par le rapport de l'équipe X-Force d'IBM.

Au final, le classement des entreprises en fonction du nombre de vulnérabilités non patchées et connues est le suivant : Microsoft, 23%; Mozilla, 17%; Apple, 12%; IBM, 9%; Sun, 8%; Oracle, 6%; Cisco, 6%; Novell, 5%; HP, 4%; Linux, 3%; Adobe, 3%; Google, 0%. Celui des entreprises en fonction du nombre de vulnérabilités critiques connues et non corrigées est : IBM, 29%; Oracle 22%; Novell, 10%; Microsoft, 7%; HP, 5%; Mozilla, 4%; Adobe et Cisco avec 2%, et Apple, Google, Linux et Sun, chacune avec 0%.

Crédit photo D.R.

(...)

(02/09/2010 17:22:03)

Un accès gratuit à JavaOne pour les étudiants

Pour inciter la jeune génération de développeurs à s'intéresser au langage Java et à ses autres outils de conception de logiciels, Oracle a décidé d'accueillir gracieusement les étudiants sur les conférences JavaOne et Oracle Develop qui se tiendront à San Francisco du 19 au 23 septembre dans le cadre d'OpenWorld 2010.

Pour obtenir leur « Pass Découverte » (Discovery Pass), les jeunes gens doivent avoir dix-huit ans et être inscrits cet automne dans un établissement de formation agréé à but non lucratif, pour un minimum de six unités de cours. Cet accès gratuit leur permettra d'assister à plusieurs interventions de type keynotes, d'arpenter plusieurs halls d'exposition et de participer à des sessions Java Frontier spécialement destinées aux étudiants. Ils auront aussi le loisir d'écouter des sessions techniques, de se rendre à des ateliers pratiques (« hands-on lab ») et de prendre part à des discussions informelles sur des sujets spécifiques (les fameux « Birds-of-a-feather »), le tout en fonction des places disponibles.

Doper la notoriété de ses outils de développement

Cette annonce d'Oracle arrive au lendemain d'une controverse engagée par Tim Bray, co-inventeur de XML et ancien directeur des technologies web de Sun. Dans un billet de blog, celui qui a désormais rejoint les rangs de Google expliquait pourquoi ses équipes ne participeraient pas à JavaOne cette année. Il y déplorait aussi qu'Oracle ne déploie pas plus d'énergie à renforcer la notoriété de ses outils de programmation auprès des développeurs (comme Microsoft s'y emploie avec son programme DreamSpark). En mars dernier, Tim Bray a accepté de servir la cause du système d'exploitation Android chez Google, sous l'étiquette de « developer advocate », un terme qui vaut bien celui d'évangéliste (et qui, tout au moins, ne véhicule pas de connotation religieuse).

Se référant à une ancienne conversation, la nouvelle recrue de Google a regretté qu'Oracle cherche davantage à renforcer les relations entre ses experts métiers Oracle et ses clients. Or, les préoccupations qui concernent strictement les développeurs n'ont pas vraiment de réalité à ce niveau-là.

Les propos de Tim Bray sonnent juste néanmoins

Avec le Pass Discovery, l'éditeur montre qu'il n'a pas renoncé à faire croître sa communauté de développeurs. Malgré tout, le billet de Tim Bray sonne juste, relève Michael Coté, analyste chez Redmonk. « Oracle apprécie les développeurs, il n'y a pas de doute là-dessus. Mais, son modèle économique de base s'ancre dans les lignes de produits pour l'entreprise et les revenus qu'il en tire : Siebel, PeopleSoft, ses bases de données et, maintenant, Java. » Les plus grandes entreprises rassemblent déjà un grande nombre d'utilisateurs de ces technologies, rappelle l'analyste. Par conséquent, Oracle n'a nul besoin de courtiser les développeurs comme un acteur Open Source doit le faire pour générer des ventes « virales », conclut-il.

(...)

(02/09/2010 16:44:22)

3Par : HP propose 33 dollars et Dell renonce (MAJ)

A quelques minutes de la fin de la période pour surenchérir sur l'offre d'HP, qui était de 30 dollars par action, Dell a proposé 32 dollars (soit 2,3 milliards de dollars). Mais HP entend bien ne pas lâcher l'affaire et offre à 33 dollars par action (soit 2,4 milliards de dollars). Le conseil d'administration de 3Par n'a pu que constater que l'offre d'HP était supérieure. Dell a annoncé qu'il renonçait. Certains analystes estimaient récemment que 33 dollars seraient le prix plafond pour une telle opération.

3Par poursuivit pour violation de brevet


Effet d'aubaine ou réalité, une entreprise du nom de Crossroads Systems a déposé une plainte pour violation de brevets contre plusieurs sociétés D-Link, Rorke Data, Chelsio Communications, DataCore Software, iStor Networks, American Megatrends et surtout 3Par. Pour ce dernier, l'infraction concerne 7 modèles de serveurs de la gamme InServ, ainsi que l'Inform OS de 3Par. Crossroads Systems produit des routeurs et des ponts de stockages, une appliance de sécurisation des bases de données, des solutions de chiffrement et de migration des données.

Aucun commentaire n'a été apporté par 3Par, qui on s'en doute, a d'autres préoccupations actuellement.

(...)

(02/09/2010 16:11:08)

VMworld 2010, le salon des rivalités VMware/Microsoft, a fermé ses portes

Retour en 10 points sur le VMWorld 2010 qui clôture ses portes ce jeudi.

1. Cette année, le VMworld a attiré 17 021 participants inscrits, soit en nette progression par rapport aux 12 488 inscrits de l'année dernière. Parmi eux, 4 000 n'avaient jamais participé à la manifestation auparavant et 55 n'ont jamais raté un seul VMworld depuis sa création en 2004. Le salon les a distingués en leur offrant une place spéciale sur la scène pendant le keynote.

2. L'exposition a également attiré plus de 200 sponsors et exposants, dont des sponsors de premier plan comme Cisco, Dell, EMC et NetApp. 170 sessions ont été consacrées à expliquer le fonctionnement de la technologie de virtualisation à ceux qui le souhaitaient, et surtout à parler de VMware.

3. L'une des sessions intitulées "L'avantage de VMware sur Microsoft pour la mise en place d'un cloud privé : un comparatif point par point," visait, avant tout à éclairer les clients afin de leur permettre de "prendre des décisions fondées sur des faits pour savoir où investir." La séance, dirigée par des cadres de VMware, a permis d'exposer de manière "tout à fait impartiale" les technologies de VMware et de Microsoft.

4. Pendant ce temps, Microsoft faisait paraître un encart pleine page dans le journal USA Today pour déconseiller aux clients de signer des contrats de trois ans avec VMware. Paul Maritz, le PDG de VMware, et ancien dirigeant de Microsoft Windows, a qualifié la pub de "témoignage sincèrement flatteur," tout en faisant remarquer que " en parlant de verrouillage (lock-in), Microsoft s'affiche comme l'hôpital qui se moque de la charité." Au passage, Microsoft n'a pas manqué d'égratigner son concurrent, faisant valoir que VMworld limitait les règles de concurrence. Mais l'éditeur a finalement offert des démonstrations de sa plate-forme cloud Windows Azure aux participants.

5. La cérémonie d'ouverture a été animée par les grandes vedettes, tentées par quelques entrées en scène humoristiques : Herrod Stephen, CTO de VMware et d'autres ont enfourché des scooters pour se déplacer d'un côté à l'autre de la scène. Ou encore, cette vidéo inspirée du film Matrix, où Oracle explique que le cloud est partout et que nos esprits sont tout simplement devenus des «terminaux passifs». Elle compare également le cloud computing avec le déroulement d'une commande de pizzas, des gags à l'américaine plutôt bien accueillis par le public.

[[page]]

6. EMC, le propriétaire de VMware, a figuré en bonne place en tant que sponsor, mais pour l'essentiel, sa participation majoritaire dans l'éditeur Palo Alto n'a pas été évoquée. EMC s'est simplement positionné comme un partenaire de Vmware - certes le plus important - apparaissant même sur un panneau comme "EMC : n° 1 du stockage pour VMware."

7. Comme toujours, l'exposition a étalé quelques présentations délirantes. Le vendeur Kingston Technology a accueilli un concours Guitar Hero; le stand de CA Technologies a mis des femmes sur des échasses, et le stand géant de VMware arborait une page du playbook d'Apple affublé d'un Genius Bar.

8. Le réseau qui a alimenté les sessions de travail était composé d'une infrastructure à 10 Gigabits, agrémenté de liaisons directes avec Terremark et les installations de Verizon en Floride et en Virginie; il offrait une capacité de stockage de 244 To; sans compter les 352 serveurs, les 736 sockets CPU et les 3072 coeurs de processeur. Globalement, 125 000 machines virtuelles ont été déployées au cours de la conférence pour satisfaire 12 500 sessions de travail.

9. 3Par, un vendeur de solutions de stockage, qui fait actuellement l'objet d'une guerre aux enchères à coup de milliards de dollars entre HP et Dell, avait beaucoup d'argent à dépenser au VMworld pour faire la promotion du stockage virtualisé dans son immense stand. Il a même offert une télévision 3D.

10. VMware s'est vanté d'avoir 190 000 clients, de "AstraZeneca à Zappos" et a fait remarqué que 2009 a été la première année où le nombre de serveurs d'applications déployés sur des infrastructures virtualisées dépassait le nombre d'applications déployées sur des machines physiques. «Le nombre de systèmes d'exploitation tournant sur des machines virtuelles dépasse désormais celui des systèmes tournant sur des machines physiques," a déclaré Paul Maritz.

(...)

(02/09/2010 15:32:30)

Capgemini prend 55% du capital du brésilien CPM Braxis

En concluant un accord avec les actionnaires de Braxis CPM,  Capgemini s'offre 55% du capital de la première société de services informatiques brésilienne. Disposant d' une clientèle de grandes entreprises locales et internationales, en particulier dans le secteur financier, CPM Braxis compte engranger 450 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010  L'accord permettra à Capgemini de renforcer considérablement sa présence au Brésil sur le marché des services informatiques. Grâce à ce contrat, le groupe élargira sa clientèle et sera en mesure de mieux accompagner ses clients internationaux dans leur développement au Brésil. De son côté, CPM Braxis bénéficiera des actifs de Capgemini - notamment sa portée mondiale, ses méthodologies et son réseau de partenaires - pour servir ses propres clients.

Une croissance annuelle qui devrait dépasser les 10%

Le Brésil représente 47% du marché des services informatiques en  Amérique latine, soit une valeur de 23 milliards de dollars. Poussé par une économie en plein essor, ce secteur a connu la plus forte progression au cours des cinq dernières années, et sa croissance annuelle devrait dépasser les 10% d'ici à 2014.

Comptant plus de 5.500 employés, CPM Braxis dispose d'un portefeuille d'affaires diversifié axé sur les services d'infogérance et de gestion des infrastructures, des contrats pluriannuels, en grande majorité. L'entreprise possède plus de 200 clients à son actif, principalement dans le secteur financier. Son plus gros client, la grande banque brésilienne Bradesco, a également été son principal actionnaire avant cette opération. Pour sa part, Capgemini sera en mesure de tirer parti de l'expertise et de la connaissance du marché local de CPM Braxis, celle-ci étant également présente dans les  télécoms, dans le secteur de l'industrie et également dans les services publics.

Une valeur estimée à 437 millions d'euros

D'après les termes de la transaction, Capgemini prendra 55% du capital de CPM Braxis, ce qui représente un montant total de quelque  233 millions d'euros. La valeur de CPM Braxis étant estimée à 437 millions d'euros. L'opération sera financée sur la  trésorerie nette de Capgemini.  Elle sera réalisée par l'intermédiaire d'une augmentation de capital de CPM Braxis de 129 millions d'euros souscrite par Capgemini. Et elle sera couplée à un rachat d'actions auprès des actionnaires de la société brésilienne pour un montant s'élevant à 104 millions d'euros.

(...)

(02/09/2010 14:53:35)

Semestriels : Osiatis retrouve des couleurs

Osiatis retrouve le sourire avec un chiffre d'affaires semestriel de 120 millions d'euros (ME) en croissance de 2,3% et surtout une rentabilité repartie en flèche : +22% pour le résultat opérationnel courant (8 ME), +38,9% pour le résultat net (4,9 ME), +21,6% pour la marge opérationnelle (8 ME). La société est repassée en positif que ce soit à l'international où c'était déjà le cas, et surtout en France.

Le deuxième semestre est abordée avec prudence, les entreprises clientes raisonnent à court terme, les perspectives de croissance sont encore faibles, sans susciter d'inquiétudes. Osiatis est de toute façon repartie de l'avant. Le rachat de l'activité  « gestion des infrastructures d'Astek en Ile-de-France »  ne restera pas sans suite. D'autres acquisitions sont en vue, essentiellement dans le coeur de cible des infrastructures.

Osiatis va par ailleurs amplifier le développement de son activité « conseil et ingénierie de transformation » avec le développement du cloud. Cette activité représente 4% du CA 2010 et devrait passer entre 8 et 10% en 2012. En revanche, l'activité développement d'applications est en berne sur le 1er semestre, en baisse de 12,2%.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >