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(01/09/2010 17:32:09)

Le watercooling fait son retour sur les mainframes IBM

Dans quelques semaines, IBM pourra livrer ses prochains zEnterprise 196 avec un système de refroidissement à eau que les clients avaient vu disparaître en 1995. Le nouveau mainframe maison fonctionne avec un maximum de 96 processeurs contre 64 dans le System z10 et, ce, avec la même quantité d'électricité. Si IBM a amélioré l'efficience générale de sa série z196, l'utilisation optionnelle d'un système de refroidissement à eau contribue à l'optimisation globale du datacenter.

En standard, le zEnterprise 196 n'est pas livré avec un système de refroidissement à l'eau, explique Jim Porell, un ingénieur d'IBM qui travaille sur la série z. Big Blue propose en option un échangeur de chaleur externe refroidi à l'eau. « Il s'agit en fait d'un genre de retour vers le futur», souligne Jim Porell, au sujet de cette option. La dernière ligne de mainframes IBM qui intégraient un système de refroidissement était la famille ES/9000. L'ingénieur explique encore que ce watercoooling peut diminuer de 12 % la consommation énergétique nécessaire au refroidissement ce qui pourrait aider de nombreux responsables de datacenter à reculer la construction d'une nouvelle salle informatique. L'eau est plus efficace que l'air dans l'élimination de la chaleur, précise-t-il.

Des plaques de cuivre pour refroidir les puces

Animé par des puces quatre coeurs à 5,2 GHz, qu'IBM présente comme le processeur le plus rapide au monde, le z196 dégage un peu plus de chaleur qu'un modèle équipé des précédents CPU quatre coeurs à 4,4 GHz, déclare l'ingénieur.  Le retour d'IBM au refroidissement liquide a commencé en 2005 avec la sortie de l'eServer Rear Door heat eXchanger qui un système destiné aux serveurs lames haute densité. Or, cette technologie était également une simple option pour les clients. En avril 2008, IBM a ensuite présenté un supercalculateur refroidi par eau, le Power575, animé par des puces Power6. Ces dernières sont rafraichies par des dissipateurs thermiques - des plaques de cuivre en fait - en contact avec de l'eau réfrigérée.

Si IBM poursuit le développement de ses puces pour mainframe en augmentant la fréquence d'horloge, Jim Porell refuse de spéculer sur leurs limites. Et avec le watercooling, Big Blue pourra certainement pousser ses circuits dans leurs derniers retranchements

Crédit photo IBM

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(01/09/2010 17:14:40)

Les offres d'emploi de l'Apec sur iPhone

L'Apec lance son application iPhone dédiée au marché de  l'emploi des cadres. Elle permet aux utilisateurs d'accéder gratuitement et à tout moment à plus de 20 000 offres. Cette solution a été conçue pour que les usagers demeurent en alerte sur leur marché et qu'ils ne passent à côté d'aucune opportunité professionnelle. « L'idée de proposer des services de l'Apec sur un smartphone nous trottait dans la tête depuis un certain temps », expose Jean-Pascal Szelerski, directeur des services web de l'Apec, et d'ajouter : « nous souhaitions  en effet apporter une réelle valeur ajoutée à nos usagers ».
Pour l'heure, l'organisme semble avoir gagné son pari. « La solution est opérationnelle depuis vendredi dernier, et nous avons déjà noté des tendances plus que favorables en matière d'usage », poursuit le responsable. « Au cours de la seule journée de lundi, plus de 1 500 personnes ont téléchargé l'application », précise-t-il.

Des évolutions vers Android et les Blackberry

Si l'Apec a choisi de s'engager dans le virage de la mobilité, c'est en raison des multiples opportunités que propose des outils tels que l'iPhone. Rechercher des offres par filtres : mots clés, lieux, salaire, fonction, secteur, depuis n'importe quel lieu, que ce soit chez soi, au bureau ou dans le métro. Recevoir des alertes dès qu'une nouvelle offre concernant un candidat est publiée. Opérer un tri des offres par géolocalisation. Bénéficier des conseils de l'Apec depuis leur téléphone, sous forme de vidéos. Et surtout, pouvoir sauvegarder les offres sélectionnées et les synchroniser avec le site Apec.fr pour les consulter ultérieurement. Côté perspectives, l'association pour l'emploi des cadres n'entend pas en rester là. « Après les candidats, nous souhaitons toucher la cible des recruteurs », ajoute Jean-Pascal Szelerski. « Nous envisageons également de basculer vers d'autres plates-formes, telles qu'Android, l'OS de Google, ou vers des terminaux comme Blackberry. »

En attendant, l'application iPhone de l'Apec est disponible sur l'AppStore et elle est gratuite.

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(01/09/2010 17:05:43)

La DGGCRF admoneste plusieurs voyagistes en ligne

A l'occasion du lancement de l' « Opération Interministérielle Vacances », le 1er juillet dernier, Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, souhaitait mettre l'accent sur le thème des « Vacances pas chères », proposées par les sites Internet. Pour ce faire, la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) a contrôlé tout au long de l'été 429 sites web, qui ont donné lieu à 79 rappels à la règlementation et 8 procès-verbaux. Parmi eux, 12 compagnies aériennes à bas coût ont été surveillées. L'une d'elles, dont le ministre a souhaité taire le nom, s'est vu opposer un PV pour « pratiques commerciales trompeuses ».

Un contrôle continu


Le secrétaire d'Etat en charge également de la Consommation a mis au jour « de nombreuses anomalies », concernant en particulier les offres à prix attractifs « s'avérant très difficiles à trouver sur le site, voire inexistantes ». Il ajoute que « les contrôles ont aussi mis en évidence des cas de sociétés dont les tarifs annoncés initialement diffèrent des montants réellement exigés à la fin de la commande ». Fort de ces constats, il a déclaré que « la DGCCRF ne relâchera pas ses efforts. Elle ciblera les sites à la Toussaint et à Noël, sur le principe de la tolérance zéro ».

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(01/09/2010 16:28:31)

T-Systems supprime plus de 300 postes en France

Rien ne va plus chez T-Systems France. La filiale hexagonale de Deutsche Telekom, qui compte près de 1 600 collaborateurs sur le territoire, va supprimer 324 postes. Les sites de Villepinte et La Défense en région parisienne ainsi que ceux de Lyon et de Toulouse seront sans doute les plus touchés.« Cela fait plusieurs années déjà que la direction annonce des projets stratégiques qui n'ont aucun sens en France », déplore Frédéric Vielle, élu au CE et délégué syndical CGT. Pour le représentant syndical, T-Systems s'adresse à de gros clients - comme la BNP ou Airbus- , et,  comme la priorité est à la réduction des coûts, la société  n'hésite pas à faire pression sur les sous-traitants.

Un projet professionnel assorti d'un budget formation

L'entreprise n'en est d'ailleurs pas à son premier coup d'essai. En effet, l'an dernier, un plan social portant sur la suppression de 50 postes avait été annoncé, mais il avait été déclaré invalide par la DDTE. «La filiale française se porte mal depuis plusieurs années, poursuit Michel Décossas, responsable syndical CFDT au Comité d'entreprise de T-Systems. Nous avons été informés de la tenue d'un plan social vendredi dernier, mais nous ne connaissons pas encore toutes les mesures d'accompagnement ».  Pour l'heure, les représentants syndicaux sont en discussion avec la direction. Ils demandent à ce que chaque salarié au départ puisse disposer d'un projet professionnel, et qu'un budget de formation digne de ce nom soit mis en place. Or, ce dernier point inquiète particulièrement les élus. « A ce jour, la direction ne  dispose pas d'un outil de description de poste qui permettrait d'évaluer les besoins de chacun en formation », regrette Michel Décossas.
En attendant, un guichet de départ volontaire devrait être mis en place mais beaucoup d'informaticiens ont déjà quitté l'entreprise. « Chez T-Systems France, le taux de turnover a augmenté au cours des trois dernières années, signale Stéphane Peillon, délégué syndical FO. Depuis 2007, l'entreprise compte entre dix à trente départs par mois».

Contactée par la rédaction, la direction de T-Systems France a mis en avant sont devoir de réserve. En effet, la procédure d'information et de consultation oblige cette dernière à consulter les représentants du CE avant de prendre toute décision importante. Un CE extraordinaire devrait avoir lieu demain, jeudi.


Illustration: le site de T-Systems à la Défense. Crédit photo: D.R
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(01/09/2010 16:19:51)

Alcatel-Lucent s'offre OpenPlug

Alcatel-Lucent élargit son offre dans l'écosystème de la mobilité. Très connu pour les réseaux de téléphonie mobile, l'équipement monte en gamme dans le domaine des applications. Récemment, il avait acquis ProgrammableWeb, un annuaire universel d'API. Aujourd'hui, il annonce le rachat d'OpenPlug, éditeur d'outils de développement pour applications mobiles. Cette opération, dont le montant n'a pas été communiqué, permettra à Alcatel-Lucent de fournir aux entreprises les moyens de développer des applications ou des boutiques dédiés sur plusieurs plateformes mobiles (Windows Mobile, Android, iPhone, etc). OpenPlug propose des suites, baptisées Elips, à l'attention des développeurs.

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(01/09/2010 16:14:43)

WebOS 2 arrive en version beta pour les développeurs

Le WebOS 2.0 dispose de la fonctionnalité « Stacks ». Selon Palm, elle gère le vrai « multitâche » à travers un système d'empilement de cartes (fenêtres d'applications). On peut ainsi se déplacer rapidement entre les tâches. Un utilisateur peut aussi faire une glisser-déposer des cartes ou laisser le système d'exploitation les empiler automatiquement.

La fonction « Quick Action » fait partie de ce que Palm appelle «Just Type », nom de son outil de recherche. Avec de simples gestes, un utilisateur peut lancer un e-mail, mettre à jour le statut de sur son réseau social ou effectuer une recherche sur le web sans avoir besoin de lancer une application.

Le chargeur support d'applications


D'autres changements sont inclus avec la fonctionnalité « Exhibition », qui autorise la création d'applications par les développeurs lorsque le smartphone est placé sur Touchstone, le dock de chargement à induction de Palm. Cela pourrait être par exemple, la mise en route d'un diaporama ou de widgets sur des informations (météo, bourse, etc.). L'éditeur prévoit aussi une meilleure prise en charge d'HTML5, dont la géolocalisation et la gestion du cache.

Pas de date n'a été annoncée sur le lancement de la version grand public, ni sur quel terminal il sera intégré.

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(01/09/2010 17:13:54)

Scam avec de faux mails Hadopi

Alors que l'envoi des premiers mails d'avertissement est imminent, dans le cadre de la riposte graduée instaurée par la loi Hadopi, les internautes doivent d'ores-et-déjà apprendre à démêler le vrai du faux. En effet, des escrocs ont déjà fait parvenir de faux avertissements censés provenir de la Haute Autorité et demandant aux individus de s'acquitter d'une amende en ligne. Par ce procédé, les malfaiteurs ont pour but de récupérer à la fois les informations bancaires des victimes, mais aussi leurs coordonnées personnelles.

Il existe cependant des moyens simples pour déterminer l'authenticité de ces mails. Tout d'abord, ils ne sont pas nominatifs, contrairement à ceux qui seront effectivement émis par l'Hadopi, explique son secrétaire général Eric Walter, mettant en garde contre ces pratiques. Il ajoute par ailleurs qu'il n'est demandé aucun paiement dans les véritables mails, étant donné qu'il ne s'agit que d'avertissements. Néanmoins, le public n'ayant toujours pas connaissance du modèle d'emails qui seront émis, il doit rester vigilant et être à l'affut de la moindre incohérence, même si Eric Walter indique que ce modèle sera très probablement copié lui aussi lorsqu'il sera diffusé. Le manque d'informations concernant la mise en place de cette loi tant de fois délayée ne semble pas avoir été compensé par les distributions estivales de prospectus aux péages, au grand bonheur de ces arnaqueurs en ligne.

Illustration : Eric Walter, secrétaire général de l'Hadopi
Crédit Photo : D.R.

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(01/09/2010 15:28:04)

1ère prise en main d'un smartphone Windows Mobile 7

 

Windows Phone 7, le sauveur de Microsoft dans le domaine mobile, pourrait arriver bientôt, peut-être même dès octobre. Pourtant, si le web a véhiculé bon nombre d'informations sur le futur système d'exploitation mobile de Microsoft, et si le géant de Redmond a prêté des appareils équipés de Windows Phone 7 aux développeurs, les médias n'avaient pas encore pu manipuler librement un terminal équipé du tant attendu OS mobile.
Heureusement, comme prévu, des appareils tournant sous Windows Phone 7 ont été présentés à la grande messe TechEd 2010 de Microsoft en Nouvelle-Zélande (du 30 aout au 1er septembre), même si il a semblé un instant que, même là, personne ne serait autorisé à toucher un de ces mobiles, et encore moins à prendre des photos. Mais, l'enthousiasme des geeks du TechEd "ne pouvait être déçu," et il n'a pas fallu longtemps avant que notre correspondant de ComputerWorld en Nouvelle-Zélande se saisisse, non pas d'un, mais de deux mobiles sous Windows Phone 7. Non, il ne les a pas trouvés dans un bar Sky City et oui, il les a rendus après quelques manipulations. Les deux téléphones en question étaient un Samsung et un LG, corrects, mais peu spectaculaires en terme de design. On lui a vite fait remarqué "qu'aucun des appareils utilisés en développement n'étaient représentatif de la version finale." Quelqu'un lui aurait même dit "de ne pas regarder le téléphone lui-même, c'est de la m... " 

Un design très basique pour l'instant

Il est probable que les premiers mobiles sous Windows Phone 7 auront meilleure allure, et des rumeurs laissent même entendre que Microsoft a fait appel aux services de designers de renom, histoire de rendre à Jon Ive d'Apple la monnaie de sa pièce, pour son iPhone bien entendu. Les dirigeants de Microsoft présents au salon auraient pu donner au correspondant une réponse autre que "aucun commentaire sur les spéculations", pour répondre à sa question concernant les concepteurs, mais ils ne l'ont "malheureusement pas fait." Contrairement aux appareils sous Windows Mobile et aux Pocket PC, Microsoft s'est montrée aussi très stricte en terme de spécifications techniques et d'exigences minimales de conception pour les appareils susceptibles d'accueillir Windows Phone 7. Mais là encore, ni les fabricants de téléphones, ni les opérateurs, également présents, ne se sont hasardés à faire des commentaires, comme un remake des préparatifs d'Apple avant le lancement de l'iPhone.

Des bonnes et des mauvaises choses

La courte prise en main des deux appareils sous Windows Phone 7 a montré que l'interface utilisateur était un mélange de bonnes et de mauvaises idées, comme l'ont souligné des avis parus sur des sites non américains. Les polices de caractère et les champs sans délimitation sont jolis, mais les carreaux de couleur sur l'écran d'accueil ne le sont pas. Notre correspondant note que "Microsoft a travaillé dur pour rendre la navigation et la fonction de défilement régulière et précise," et "cette préversion atteste déjà qu'elle y est certainement parvenue". Elle témoigne aussi de la quantité de détails auxquels l'éditeur s'est attaché pour rendre Windows Phone 7 différent. La navigation à l'intérieur des fonctionnalités lui a semblé "naturelle" et de même que "l'agrégation de médias sociaux séduira sans doute beaucoup d'utilisateurs," a encore noté le journaliste de Computerworld. Curieusement, Twitter n'apparait pas encore dans Windows Phone 7, "mais cela ne devrait pas tarder."

Connecté au cloud maison

L'accès à Skydrive, le service de stockage en ligne de Microsoft qui offre gratuitement jusqu'à 25 Go d'espace aux utilisateurs pour télécharger des photos, des vidéos et de la musique, via Windows Live est opérationnel. Savoir si les opérateurs de téléphonie, avec leurs tarifs élevés pour faire payer l'échange de données en 3G, sont prêts pour l'intégration de ce type de services est une autre affaire. Heureusement que par ailleurs, les appareils sous Windows Phone 7 sont susceptibles d'être équipés du WiFi. Pour l'instant, ni Windows Marketplace, ni le service de jeux en ligne Xbox Live, n'ont été activés, si bien qu'il y avait peu d'applications ou de jeux à tester. Mais ceux qu'a pu essayer notre correspondant semblaient "assez fluides, et pouvaient tourner en réseau." Il s'est aussi demandé "comment sont chargées les applications, les vidéos et les fichiers musicaux." Le porte-parole de l'éditeur auquel il s'est adressé n'a pas nié que "Microsoft suivrait là encore l'exemple d'Apple." Autrement dit, que le lecteur multimédia Zune serait enrôlé de force pour mettre en place une plate-forme de téléchargement et d'e-commerce à la iTunes. Apparemment, ce sera "comme Windows Media Player dopé aux stéroïdes."

Microsoft a certainement l'expertise nécessaire pour faire de Windows Phone 7 un bon produit, surtout si l'entreprise met toutes ses ressources en première la ligne. Néanmoins, l'OS mobile arrive un peu tard sur un marché difficile où Apple donne le ton et où Google Android se propage comme un feu sauvage. Alors, Windows Phone 7 devra être plus que bon, voire même le meilleur, pour réussir son entrée en scène. Le pari n'est pas encore gagné...

Illustrations : Terminal Windows Phone 7 sur base LG C900, crédits photos IDG

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(01/09/2010 14:46:57)

VMworld 2010 : Dell repense ses datacenters modulaires

Les premiers datacenters modulaires, y compris celui présenté par Dell il y a deux ans, utilisaient des conteneurs de transport standard pour abriter des serveurs et autres matériels informatiques. Les conteneurs sont certes robustes, relativement bon marché et très faciles à transporter, mais certains vendeurs les trouvaient trop rigides. Le dernier modèle de Dell a abandonné le concept conteneur pour un squelette en acier supportant 12 racks serveurs standard répartis sur deux rangs, avec un espace central pour la maintenance. Dell a indiqué qu'il était possible d'assembler trois ou quatre structures de ce type selon les besoins en calcul. Les unités électriques et de refroidissement sont également modulaires. Les éléments de refroidissement par évaporation ou à base d'eau - le choix dépend du climat local - sont fixés au sommet de la structure et une alimentation redondante est accrochée en bout de ligne. «Ces unités sont produites pour un nombre limité de clients", a déclaré Steve Schuckenbrock, responsable du département Grands Comptes chez Dell, lors d'une conférence qu'il a tenu lors de la convention VMworld 2010 à San Francisco. Les systèmes sont vendus par le groupe Data Solutions Center de Dell, qui fournit également des serveurs personnalisés, et vise uniquement les très grandes entreprises. Mais Dell a vendu certains de ses serveurs DCS à de petites entreprises et pourrait éventuellement faire de même avec ses datacenters modulaires si la demande est suffisante.

Une offre qui s'étoffe

Des fabricants de serveurs comme Hewlett-Packard, IBM et SGI, mais aussi des fournisseurs d'équipements électriques comme APC et Active Power, vendent également des centres de calcul modulaires. Le fournisseur de services de colocation i/o Anywhere, qui s'est aussi placé sur ce marché, a de la même façon laissé de côté les conteneurs standard pour leur manque de souplesse. Les datacenters modulaires ont trouvé leur créneau, car ils permettent d'apporter de la capacité de calcul sans que l'entreprise ait à construire un centre de données coûteux avec plancher surélevé. "Un des clients de Dell les stocke dans un entrepôt," a même indiqué Steve Schuckenbrock. Ces unités, capables de concentrer beaucoup de puissance de calcul dans un petit espace, ont également un haut rendement énergétique. Elles attestent aussi d'un changement, au moment où les entreprises veulent construire des clouds privés et publics tout en cherchant à maintenir leur capital et à réduire leurs coûts opérationnels. HP a franchi une étape supplémentaire, proposant un datacenter modulaire de 24 000 mètres carrés qui peut être assemblé sur place à partir d'éléments préfabriqués. «L'infrastructure va changer à mesure que nous construisons ces clouds publics et privés," a ajouté le responsable de Dell, annonçant que "les centres de calcul vont évoluer de façon spectaculaire."

Illustration : Steve Schuckenbrock, responsable du département Grands Comptes chez Dell, crédit D.R.

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