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(31/08/2010 10:10:32)

La France, un surf sans trop d'inquiétudes sécuritaires

A partir de 127 millions d'ordinateurs étudiés dans 144 pays, l'éditeur de logiciel de sécurité a déduit un nombre d'attaques potentielles par utilisateur. Résultat, c'est la Turquie qui pointe en tête des pays les moins sûrs avec 1 risque sur 10 d'être touché par un virus. Suivent la Russie (1 risque sur 15), l'Arménie, l'Azerbaïdjan et le Bangladesh.

A l'inverse, les pays les plus sûrs pour surfer sur Internet se trouvent en Afrique. Sierra Leone (1 risque sur 700), Niger, Togo et Namibie figurent ainsi dans le cinq pays les plus sûrs, aux côtés du Japon. La performance de ces pays s'explique par le fait que ces pays africains comptent relativement peu d'internautes.

L'hexagone, bon élève


La France pointe au 127ème rang avec 1 risque d'attaque pour 225 utilisateurs. Une bonne performance qui vaut à l'Hexagone d'être classé parmi les 20 pays les plus sûrs au monde pour surfer sur le Web.

En revanche, les Etats-Unis se situent au 9ème rang avec un risque d'attaque élevé, de 1 sur 48. L'un des pays les connectés au monde se classe entre le Portugal (1 sur 43) et le Pakistan et l'Ukraine (1 sur 48 chacun).

A l'échelle mondiale, AVG estime qu'un internaute a 1 chance sur 73 d'être victime d'une attaque de virus. (...)

(31/08/2010 10:45:23)

AMD envisage des serveurs équipés de puces de faible puissance

Après Microsoft avec des puces Intel Atom et certains fournisseurs de services cloud sur base Via Nano, AMD  envisage également l'évaluation d'une plate-forme serveur basse consommation d'entrée de gamme reposant sur son architecture Bobcat. «Nous réfléchissons à une solution bénéficiant de ce design» a expliqué Donald Newell, le nouveau directeur technique d'AMD, transfuge d'Intel où il occupait précédemment le poste d'ingénieur en chef. « Il serait stupide de ne pas le faire. »


Le fondeur de Sunnyvale va bientôt commencer à expédier ses premières puces faible puissance Ontario exploitant l'architecture Bobcat pour équiper des portables ultrafins et des netbooks. Ces processeurs combinent une
unité de traitement et un circuit graphique sur un seul morceau de 
de silicium. AMD, qui n'a pas encore offert des puces basse consommation  dans le cadre de son offre serveur, trouverait avec l'Ontario la puce adéquate. À peine arrivée, Don Newell exploite de nouvelles pistes pour doper l'offre d'AMD. Au-delà de la simple amélioration des puces, il se penche également sur les aspects partage de la mémoire et gestion du réseau. Des points qui pourraient significativement augmenter les performances  globales des serveurs. Chez Intel, le nouveau CTO d'AMD a travaillé sur le développement des puces de type SoC (Socket on a Chip) et des infrastructures pour centres de calcul.

Une phase de test

Il y a un intérêt croissant dans le développement de serveurs avec des puces basse consommation, et l'expérimentation est toujours une bonne chose, poursuit Don Newell. L'efficience énergétique des serveurs est devenue un des principaux axes de développement pour réduire la facture électrique des entreprises et les puces basse consommation sont peut-être la solution pour certains usages. Mais avant de proposer des processeurs Bobcat pour serveurs, la firme doit passer par une phase de tests et d'évaluations pour bien mesurer les avantages et les inconvénients de cette plate-forme. «Il y a seulement quelques études ... et il y a encore beaucoup de données à 
collecter », souligne Donald Newell. « Cela dépend d'un certain nombre de facteurs... pour déterminer si, au final, le design sera bon ou mauvais. »

Un ensemble de processeurs de faible puissance peuvent fournir de meilleures performances par watt que des puces pour serveur beaucoup plus rapides, explique Don Newell. Mais les processeurs de type traditionnel pour serveurs sont également plus réactifs et fiables, et offrent une meilleure gestion de la montée en charge. « Il y a encore certains usages où une grande quantité de calcul doit être réalisée dans un temps très court », précise l'ingénieur. « Les coeurs très puissants peuvent fournir plus de capacité de traitement ... et un meilleur temps de réponse. » 

Par exemple, des requêtes adressées à un moteur de recherche seront plus rapidement traitées par un serveur utilisant des processeurs classiques que par des puces pour netbooks. Toutefois, jusqu'à ce que toutes les données soient collectées et analysées, la stratégie serveur de la société continuera à tourner autour de sa gamme de processeurs Opteron. Ces dernières proposent jusqu'à 12 coeurs par socket avec la série 6000 (Magny Cours) et AMD a déjà annoncé un successeur capable d'accueillir jusqu'à 16 coeurs avec la famille Interlagos reposant sur la plate-forme Bulldozer présentée lors de la dernière convention Hot Chip à l'Université de Stanford en Californie.

Dell, SeaMicro et ARM sur les rangs


AMD exploite aujourd'hui un marché ou la récolte est encore maigre. 
Dell propose bien des serveurs de faible puissance reposant sur des processeurs Via Nano, et la start-up  SeaMicro a dévoilé un serveur embarquant jusqu'à 512 puces Intel Atom greffées sur des cartes mères de la taille d'une carte de crédit. Pour défendre sa solution, SeaMicro explique que les processeurs Intel Atom sont bien adaptés à des charges de travail limitées, et sont capables de fournir des réponses rapides tout en utilisant beaucoup moins d'énergie que des coeurs plus puissants.

Et après quelques années de silence sur le sujet, ARM cherche également à pousser ses processeurs de faible puissance dans les serveurs. D'autres entreprises, comme Marvell et Smooth-Stone, ont aussi annoncé leur intention de proposer des plates-formes serveurs reposant sur des puces exploitant l'architecture ARM. Ces circuits équipent aujourd'hui presque tous les smartphones et les équipements électroniques évolués.

Donald Newell reste toutefois sceptique quant à la réussite d'ARM sur le marché des serveurs, qui reste aujourd'hui dominé par l'architecture X86. Incompatibles avec les instructions X86, les puces ARM ne peuvent pas s'intégrer d'un coup de baguette magique dans les centres de calcul traditionnels. «Il sera difficile pour ARM de s'imposer sur le marché des serveurs, comme pour le X86 d'arriver sur celui des lave-vaisselles », assène Don Newell.

Associer plus étroitement CPU et GPU

Dernier focus du CTO d'AMD, le développement d'une plate-forme serveur associant étroitement CPU et GPU. À l'heure actuelle, ces circuits sont conçus pour des besoins informatiques différents, mais à l'avenir ces éléments architecturaux pourraient parfaitement travailler beaucoup plus étroitement pour le plus grand bénéfice des entreprises, conclut Don Newell. Pour en savoir plus, il faudra atteindre les premiers tests de la plate-forme Bulldozer qui exploite une voie originale sur le marché des serveurs en réduisant le nombre d'unités de calcul en virgule flottante au sein des processeurs au profit justement des GPU.

 

Illustration : Donald Newell, CTO d'AMD, crédit D.R.

(...)

(30/08/2010 17:39:13)

3M achète le spécialiste en sécurité biométrique Cogent Systems

3M, entreprise à l'activité très diversifiée, allant du scotch aux circuits électroniques, a décidé d'offrir 943 millions de dollars pour acheter Cogent Systems, spécialisé en solutions de contrôle d'accès biométrique. Cela devrait contribuer à étendre son activité de systèmes d'authentification et de cartes d'accès sur des marchés différents de son coeur de clientèle, les services de frontières et les forces de l'ordre. Les produits de Cogent sont principalement des outils d'identification par empreinte digitale ou palmaire pouvant être utilisés pour protéger l'accès à certains matériels informatiques ou applications.

3M offre 10,50 $ par action, ce qui valorise Cogent à 943 millions de dollars. Mais si l'on considère les réserves d'argent de Cogent, qui s'élèvent à 500 millions de dollars, 3M ne débourse en réalité que 493 millions pour cette acquisition, selon les dires des deux entreprises. Le conseil d'administration de Cogent a recommandé à l'unanimité la transaction à ses actionnaires, et le fondateur et PDG Ming Hsieh a lui-même accepté de céder ses parts. L'acquisition devrait se finaliser durant le dernier trimestre. Le chiffre d'affaire de Cogent, basée en Californie, ne montait l'an dernier qu'à 130 millions de dollars, soit une toute petite part du marché de la biométrie qui est estimé à 4 milliards. Ses solutions entrent en effet en compétition avec celles de L-1 Identity Solutions et de Dermalog Identification Systems.

Illustration : Ming Hsieh, PDG et fondateur de Cogent Systems
Crédit Photo : D.R.

(...)

(30/08/2010 16:56:03)

Recrutement : le duo CV + lettre de motivation, toujours gagnant

A l'heure de l'omniprésence des réseaux sociaux, à quel type de candidature les recruteurs sont-ils vraiment sensibles aujourd'hui ? Pour le savoir et conseiller les candidats en recherche d'un nouveau poste, le cabinet de recrutement Robert Half a interrogé plus de 2 400 managers européens. A l'arrivée, l'étude montre que les partisans des réseaux sociaux et professionnels se trouvent avant tout en Allemagne (18%), en Espagne et en Autriche (13%) ainsi qu'en Italie (11%). Dans ces pays, les responsables des ressources humaines se montrent plus enclins à s'affranchir de la double lecture d'un CV et d'une lettre de motivation. Un profil sur un réseau en ligne leur suffit désormais comme première approche.

Saisir tous les canaux de candidature est vivement recommandé en Italie

Ce sont les dirigeants italiens (41%) qui sont les plus ouverts en matière d'outils de recrutement : ils n'ont pas de préférence marquée entre un profil sur un réseau et un CV, et apprécient que l'envoi soit associé à une lettre de motivation. Cette pratique est également approuvée par leurs homologues espagnols (36%), allemands (34%), suisses (33%) et autrichiens (32%).
A l'opposé, les managers tchèques et irlandais ne semblent plus vouloir s'encombrer de la traditionnelle lettre de motivation. Désormais, ils sont respectivement 39% et 27% à préférer recevoir uniquement un CV. Seules les mentions descriptives des compétences et expériences attirent leur attention pour une première présentation de candidature.
Reste que l'envoi traditionnel d'un CV et d'une lettre de motivation demeure la préférence de la majorité des managers interrogés dans le cadre de cette enquête. Au Luxembourg, la quasi totalité (90%) des managers préfèrent recevoir les candidatures sous cette double forme. A leur suite, 65% des managers belges, puis 56% des responsables français et néerlandais.

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(30/08/2010 16:56:03)

Des outils Flash et Flex pour les familiers de Visual Studio

Avec Amethyst Professional, les utilisateurs de Visual Studio, de Microsoft, se voient proposer un environnement de développement intégré pour concevoir, coder et déboguer des applications Flash, Flex ou ActionScript. « Créez en flash, déboguez dans Visual Studio 2008 ou 2010 », annonce SapphireSteel Software, fournisseur de cet IDE qui permet aussi d'élaborer des applications AIR (Adobe Integrated Runtime, la technologie client riche de l'éditeur de Flash).

Dans l'environnement graphique d'Amethyst, les développeurs glissent les composants depuis la boîte à outils de Visual Studio vers le logiciel Amethyst Designer pour composer les interfaces utilisateur Flash. SapphireSteel explique que son produit fonctionne de la même façon que les environnements C# et Visual Basic. Les projets sont importés dans Amethyst depuis les outils d'Adobe (FlexBuilder, Flash Builder ou l'IDE Flash). Le débogueur Amethyst Cylon supporte les points d'arrêt (breakpoints) simples et conditionnels, et le décompte des arrêts (hit count).

L'IDE Amethyst Professional coûte 249 dollars. Un essai gratuit de soixante jours est proposé à l'issue duquel le logiciel se convertit en Amethyst Personal, version gratuite mais limitée du produit.

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(30/08/2010 16:22:01)

James Gosling lance des T-shirts de libération de Java

James Gosling, « père » de Java  reste un militant dans l'âme et a choisi de rappeler les engagements d'Oracle sur le langage Open Source, en proposant à la vente plusieurs objets, dont des t-shirts. Ces derniers arborent un logo entouré d'une phrase « Java, programming language has achieved such wiedspread usage, that for the health of the industry, it's time to Just Free it » (Java, le langage de programmation a atteint une telle maturité d'usage que pour la bonne santé de l'industrie, il est temps de rendre Java libre) et d'un sous-titre « Hold Oracle to their Pledge » (Aider Oracle à respecter ses engagements).

Un autre T-shirt montre Larry Ellison, PDG d'Oracle, avec une phrase « We're long past 1984 » (Nous ne sommes plus en 1984 (date de naissance de Java). Ces T-shirts sont proposés au prix de 19,90 et 24,90 dollars. James Gosling, sur son blog souhaite que des personnes portent ses vêtements lors des conférences OpenWorld et JavaOne pour faire pression sur les dirigeants d'oracle.

Hormis les T-Shirt, le site propose des magnets pour réfrigérateur, des mugs pour boire son café ou thé ou simplement un badge.

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