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(11/05/2009 14:57:22)

Un groupe d'actionnaires de Sun s'oppose au rachat par Oracle

Un groupe d'actionnaires de Sun a déposé trois plaintes auprès de la SEC (Securities and exchange commission), le gendarme de la bourse américaine, dans le but de bloquer le rachat de la société par Oracle. Ils estiment que la proposition de l'éditeur à7,4 Md$ est injuste et insuffisante. Dans leur volonté des faire capoter les négociations, tous les moyens sont bons. Les actionnaires accusent ainsi Sun d'avoir bafoué l'US Foreign Corrupt Practice Act (loi portant sur les pratiques de corruption à l'étranger). Le constructeur n'a pas cherché à nier les faits. Il a indiqué vendredi avoir peut-être violé cette loi « dans certains pays », sans préciser lesquels, tout en indiquant qu'il avait mis en place des mesures correctives et qu'il tenait au courant les autorités américaines. Oracle de son côté, s'est contenté de préciser qu'il avait eu connaissance de ces entorses à la loi avant de proposer de racheter Sun. Les efforts des actionnaires devraient donc, au pire, retarder la conclusion du rachat. Larry Ellison veut conserver l'activité matérielle de Sun Le géant californien a par ailleurs précisé qu'il ne comptait pas abandonner la partie matérielle de l'activité de Sun. Interrogé par Reuters, le PDG Larry Ellison a tenu à affirme qu'il « ne s'intéressait pas seulement au système d'exploitation Solaris comme le pensent certains analystes mais également aux serveurs Sun et aux microprocesseurs Sparc. » Oracle souhaite développer un modèle hybride, à l'instar d'Apple ou de Cisco. « [Ces sociétés] réalisent des marges importantes car elles font en sorte que leurs matériels et leurs logiciels fonctionnent bien ensemble, rappelle Larry Ellison. Une fois que nous serons propriétaires de Sun, nous allons augmenter nos investissements dans Sparc. Concevoir nos propres puces est véritablement très important. » Le patron d'Oracle a également indiqué qu'il continuerait de travailler avec Fujitsu qui produit des lignes de serveurs basées sur ces puces « pour mettre au point des fonctions avancées dans le microprocesseurs destinées à exécuter plus efficacement le SGBD Oracle. Selon moi, cela permettra aux mainframes ouverts Sparc-Solaris de défier la domination d'IBM dans le datacenter. »

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(23/04/2009 17:02:18)

DB2 9.7 d'IBM est compatible avec Oracle via EnterpriseDB

S'il ne fallait retenir qu'une amélioration dans la liste de celles qu'apporte la version 9.7 (Cobra) à la base de données DB2 d'IBM, c'est la compatibilité avec celle d'Oracle. IBM a signé un accord avec EnterpriseDB, éditeur du SGBD libre Postgres compatible Oracle. L'intégration de Postgres dans DB2 permet à IBM d'affirmer que son logiciel dispense les entreprises où il cohabite avec Oracle d'avoir à maintenir deux SGBD. Avec cette mise à jour, IBM facilite la migration vers DB2 des applications développées avec d'autres bases. Big Blue souligne que DB2 9.7 gère désormais nativement les données au format XML, ce qui améliore nettement ses performances et qu'il progresse au niveau de la gestion de l'espace de stockage. DB2 9.7 arrivera en juin accompagné d'Infosphere Warehouse 9.7, son outil de datamining. En 2007, sur un marché mondial des SGBD en hausse de 12,6% à 18,8 Md$, les estimations d'IDC donnait à Oracle, en hausse de 13,3%, une part de 44,3%. IBM, numéro deux, avait aussi progressé plus vite que le marché (+13,3%), mais n'obtenait que 21% de part du marché. Il était talonné par Microsoft, en hausse 14%, avec une part de marché de 18,5%. Les estimations pour l'année 2008 ne sont pas encore disponibles.

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(22/04/2009 16:49:22)

MySQL 5.4 disponible au téléchargement

Ironie des agendas : c'est au moment où Oracle met la main sur Sun, propriétaire de l'entité commerciale de MySQL que se tient la MySQL Conference & Expo à Santa Clara en Californie. A cette occasion, la version 5.4 du SGBD open source arrive sur le marché et sa mouture cluster 7.0 est annoncée. Les deux environnements débarquent en pleine période de doute sur l'avenir du SGBD libre racheté par son concurrent le plus implacable. Successeur de la version 5.1, MySQL 5.4, profite d'une version d'InnoDB, son principal moteur de stockage, qui bénéficie d'améliorations apportées par Google, fervent adepte de MySQL. Les promoteurs de ce dernier mettent en avant une nette amélioration dans les environnements multiprocesseurs : doublement du nombre de coeurs supportés : 16 X64, soit quatre processeurs quadricoeurs, et 64 coeurs pour les autres processeurs (Sparc Tx de Sun, Power d'IBM...) MySQL 5.4 donne aussi tout son potentiel lorsqu'il est installé en environnement multi-disques. Il optimise par ailleurs des "sous-requêtes" et de nouveaux algorithmes de requêtes. Sans optimisation, le passage à cette version devrait permettre d'améliorer de 40% la performance des applications actuelles. Une pré-version est déjà téléchargeable pour Linux 64 bits et Solaris 10. Les autres moutures destinées à Windows, MacOS, HP-UX, IBM -AIX devraient suivre. Quant à MySQL cluster 7.0, destiné aux gros opérateurs telco qui ont besoin d'un SGBD temps réel haute disponibilité, elle sera disponible d'ici trois mois. L'histoire montre qu'Oracle considère MySQL comme une menace. Après avoir acheté en octobre 2005 l'éditeur libre Innobase d'InnoDB, moteur de stockage transactionnel de prédilection de MySQL, l'éditeur a tenté d'acheter la structure commerciale de MySQL en 2007 pour 850 M$. En janvier 2008, MySQL s'offrait à Sun pour 1 Md$. Dans la déclaration officielle de l'achat de Sun, Oracle met autant l'emphase sur Java qu'il observe un silence pesant sur MySQL et son avenir. En particulier sur MySQL 6.0 actuellement en phase alpha. (...)

(20/04/2009 16:05:46)

Oracle-Sun : un sacré coup à l'Open Source, pour Forrester

Henry Peyret, analyste principal chez Forrester, l'avoue d'emblée : « Je n'avais pas du tout pensé à l'hypothèse d'un rachat de Sun par Oracle. » D'ailleurs, sur le papier, la synergie n'est pas évidente : Oracle n'a aucune expérience dans le matériel, il y a beaucoup de recouvrement dans le logiciel, aucun des deux acteurs n'a de branche services, et la stratégie de Sun dans l'Open Source était plutôt de constituer une offre concurrente à celle d'Oracle. Et quant aux objectifs financiers fixés par Oracle (plus de 1,5 Md$ de marge brute supplémentaire la première année), Henry Peyret dit en rester pantois, vu les performances économiques actuelles de Sun. Interview. LeMondeInformatique.fr : Quel est votre sentiment après l'annonce de cette acquisition ? Henry Peyret : D'abord je pense que cela fera énormément de mal à l'Open Source. Oracle a fait de l'Open Source pour soutenir Linux, mais sur les autres segments, les offres Open Source sont fortement concurrentes. J'étais encore chez Oracle la semaine dernière, pour parler de leur stratégie middleware. J'ai évoqué la tendance au 'lean software', portée notamment par l'Open Source, qui va vers plus de simplicité - les clients choisissant uniquement les composants dont ils ont besoin - et des coûts réduits. Or Oracle n'en parle absolument pas, leur stratégie est de vendre uniquement du bundle, toujours plus cher. Il va falloir qu'Oracle précise rapidement ses intentions sur l'Open Source. Pensez-vous qu'il y ait une chance qu'Oracle annonce finalement son intention de se séparer de l'activité hardware ? Je dirais qu'il y a une chance qu'Oracle se sépare des activités de type processeurs et lames, et reprenne à son compte la stratégie de Sun avec ses containers [une offre de datacenters autonomes livrés dans des containers, NDLR]. Si Oracle continue cette démarche tout en y ajoutant de la base de données et de l'ERP [progiciel de gestion intégré], on pourrait quasiment arriver à un système d'information sur étagère, ce serait très impressionnant. Il pourrait livrer à un client une boîte Oracle Applications pour 1000 utilisateurs comprenant tout ce qu'il faut : ERP, middleware, serveurs, climatisation, etc. Oracle pourrait aussi devenir un acteur majeur du cloud ? Oui, bien sûr. Toutefois, il lui manquera ce qui a manqué à Sun : la partie services. Jonathan Schwartz avait une bonne stratégie, Sun aurait pu avoir du succès s'il avait racheté une société de services, comme HP ou IBM ; c'est lui qui aurait dû racheter EDS. Oracle devrait le faire aussi. Racheter gros. S'il achetait Capgemini, par exemple, il deviendrait plus puissant qu'IBM, avec en outre la crédibilité conférée par l'offre d'ERP. Cette omniprésence du rouge Oracle ne va-t-elle pas créer un effet dissuasif, comme ce fut le cas avec le bleu IBM ? Oh, si, mais l'effet dissuasif existait déjà. Parmi les anciens clients de BEA, beaucoup regardent du côté de l'Open Source.

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(27/03/2009 16:20:51)

Ensemble, Oracle et HP se sont aussi intéressés à Sun

A entendre Paul Otellini, PDG d'Intel, Sun chercherait à se vendre depuis des mois. La mise sur la place publique par le Wall Street Journal de tractations entre IBM et le constructeur californien, qui ne s'est jamais remis de l'explosion de la bulle Internet en 2000, n'était en fait qu'un des épisodes d'une triste quête. Citant une source anonyme, mais apparemment bien renseignée, notre confrère britannique The Register semble confirmer ces dires en indiquant qu'Oracle s'était associé à HP pour scinder Sun. L'éditeur aurait proposé 2 Md$ pour les activités logicielles de Sun, HP s'offrant tout le reste. La proposition d'IBM de tout reprendre pour 6 à 8 Md$ aurait mis un terme aux tractations en cours. Tant de monde autour du lit du malade Sun indique bien que la société ne souffre pas d'un manque de technologies, bien au contraire, mais de son incapacité à en tirer des profits. Un profil qui rappelle celui de Digital avant son rachat par Compaq. Fondée sur l'Open Source et le logiciel, la stratégie de Jonathan Schwartz, qui a succédé à Scott McNealy mi-2006 à la tête de Sun, n'a pas payé. Mais le dirigeant avait-il le choix ? Il a tout de même persisté à investir 1,8 Md$ en R&D, soit plus de 13% des 13,3 Md$ de chiffre d'affaires annuel de Sun. A titre de comparaison, IBM ne consacre que 6,1 Md$ à la R&D, soit 6% de ses 98,78 Md$ de chiffre d'affaires annuel. Oracle convoitait MySQL, les outils d'annuaire et de gestion d'identités Oracle voulait jeter son dévolu sur MySQL, le seul SGBD Open Source qui lui fait de l'ombre, ainsi que sur les outils d'annuaire et de middleware de Sun, sur la gestion des identités et, aussi, sur les laboratoires où est né Java. Même en Open Source, l'environnement Java continue d'être très activement soutenu par Sun. Les intérêts d'HP étaient moins clairs, Solaris étant autant à la peine que son propre HP-UX pour résister à la montée en puissance des plateformes Windows/ Linux. L'accord ayant peu de chance d'aboutir, on peut ironiser à peu de frais sur l'intérêt qu'aurait eu HP à récupérer la ligne de processeurs SPARC alors que l'Itanium d'Intel peine à évoluer au même rythme... HP aurait aussi pu être intéressé par le savoir-faire de Sun en matière de stockage et de réseau. (...)

(25/03/2009 16:41:37)

Microsoft propose des programmes Open Source, dont PHP, aux développeurs Web

La plateforme d’outils gratuits de Microsoft pour les développeurs Web s’enrichit de programmes Open Source, et notamment des applications PHP. La promotion de ce langage de script par Microsoft, au même niveau que son propre langage ASP.Net, peut surprendre au premier abord. Toutefois, on se souvient que la collaboration de Microsoft avec Zend Technologies, l’inventeur de PHP, ne date pas d’hier. Et que tout comme il l’a fait avec JBoss, Microsoft préfère faire en sorte que les outils populaires – même Open Source et concurrents de ses propres produits - puissent tourner avec le maximum d’efficacité sur Windows, pour ne pas laisser le champ libre à Linux. En l’occurrence, la version bêta de Microsoft Web Platform Installer 2.0 comprend donc, outre les propres outils Web gratuits de Microsoft (le serveur Web IIS, la base SQL Server 2008 Express, le framework .Net et l’atelier Visual Web Developer Express), une version de PHP pour Windows, ainsi que plusieurs outils Open Source et/ou gratuits écrits en .Net ou en PHP, pour mettre en place un blog (Wordpress, dasBlog, SubText, BlogEngine.Net), gérer du contenu (DotNetNuke, Umbraco, Acquia Drupal, SilverStripe CMS), supporter un wiki (ScrewTurn Wiki) ou une galerie photo (Gallery). (...)

(24/03/2009 18:09:22)

La base décisionnelle Sybase IQ 15 accélère ses temps de chargement

Sybase livre à la fin de ce mois la troisième version majeure, en dix ans, de sa base de données décisionnelle, Sybase Interactive Query. Les fondamentaux de l'offre demeurent, en particulier les trois caractéristiques techniques qui font de Sybase IQ 15, moteur relationnel SQL, une base particulièrement adaptée aux environnements décisionnels, axée sur la réduction des temps de réponse : son mode de stockage de l'information en colonnes plutôt qu'en tables (*), l'indexation complète de la base et l'usage intensif de la compression des données pour optimiser un peu plus les performances. Une combinaison qui est actuellement exploitée par 1 500 clients dans le monde, parmi lesquels des utilisateurs comme BNP Paribas, Cora, Le Monde, Norauto, Atos Worldline, Premalliance ou Phildar, notamment. En France, la moitié de ces clients exploitent Sybase IQ au-dessus d'un SGBD Sybase (ASE), l'autre moitié l'alimente à partir du SGBD d'un autre fournisseur. La restitution des données se fait à partir des outils de requête du marché (SAP/BO, SPSS, Microstrategy...). Avec la nouvelle version, IQ 15, l'un des apports majeurs réside dans la gestion des ressources disque. Jusque-là, cet aspect de l'offre manquait un peu de souplesse, de l'aveu même de l'éditeur. Il est désormais possible de placer les données sur des environnements disque distincts pour prendre en compte la gestion du cycle de vie des informations (les plus anciennes pourront être stockées sur des ressources disque moins performantes). A noter que cette gestion n'est pas automatisée. Toujours sur l'aspect stockage, le partitionnement horizontal des données (chaque colonne est découpée en segment) apporte davantage de flexibilité de gestion sur les grands volumes, qui mettent en jeu des milliards de lignes. François Guérin, responsable avant vente pour Sybase IQ, évoque à ce sujet des applications au sein desquelles les clients gèrent des dizaines de téraoctets (la plus grosse base IQ est celle de l'administration fiscale américaine, l'IRS, qui réunit 130 To de données compressées). Chargement multi-serveurs et depuis des postes distants La technologie multiplex de Sybase IQ permet de déployer l'environnement sur plusieurs machines à partir d'une seule base. Cela permet, notamment, de réserver une machine à l'alimentation des données, de répartir la charge sur plusieurs serveurs pour les utilisateurs sur Internet, et d'attribuer des ressources privées à un groupe d'utilisateurs (par exemple, le département marketing pour des applications de datamining). Avec Sybase IQ 15, ces capacités ont été améliorées. Il est possible d'effectuer des bascules instantanées vers une machine de secours et de mettre en place des scénarios d'alimentation multinoeuds. Pour les grands volumes, le chargement des données a encore été optimisé avec la capacité de charger les données directement depuis des postes distants, ou d'effectuer du chargement multi-serveurs. Des optimisations ont également été effectuées sur les index, la parallélisation d'opérations internes et les traitements SQL. D'autres améliorations concernent les fonctions d'administration et de sécurisation des données (nouvelles options pour gérer les connexions, cryptage possible des données sur le disque), ainsi que le support d'IPv6. IQ représente 20% de l'activité base de données de Sybase La commercialisation de Sybase IQ se décline en deux versions. La tarification de l'offre Small Business Edition tient compte du nombre de coeurs par serveur et du nombre d'utilisateurs. L'édition Enterprise comporte en plus une tarification basée sur le volume de données compressée sur la base. La division base de données de Sybase représente toujours 70% de son chiffre d'affaires (1,13 Md$ en 2008). Cette activité se répartit entre le moteur Sybase classique ASE (60% du revenu de la division), l'offre IQ (20%) et les autres outils d'infrastructure parmi lesquels Power MC (20%). Les 30% restants du chiffre d'affaires sont réalisés avec les deux autres divisions : Sybase iAnywhere et Sybase 365 qui se concentrent sur les offres de mobilité. (*) Utilisé pour les applications décisionnelles, le mode de stockage par colonne permet de ne lire que les données utiles, donc de lire moins de données qu'avec les SGBD traditionnels et d'obtenir de meilleurs temps de réponse. (...)

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