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SGBD

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(23/06/2009 08:42:08)

Tribune : le concept de bases de données épaisses, pour en finir avec la lourdeur et la lenteur

Et si la réponse au problème de compétences dans le développement informatique passait par une utilisation plus optimale des bases de données ? Dans une tribune publiée dans le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr, Frédéric Brouard, spécialiste en bases de données relationnelles, met en avant le concept de développement en bases de données épaisses comme remède à bien des maux actuels. Le concept de SGBD épais vise à inclure davantage de traitements au sein même de la base. Les avantages, écrit Frédéric Brouard, sont nombreux : vitesse de traitement améliorée, langage de développement stable, possibilités étonnantes du SQL réduisant sensiblement le temps de développement. Et de citer quelques statistiques : « Réduction par un facteur 3 à 4 des lignes de code client, donc réduction potentielle par ce même facteur des bugs non encore découverts, division par un facteur 10 à 100 des temps de réponse du système, réduction par un facteur 2 à 3 du temps global de développement. » Frédéric Brouard relève aussi l'inconvénient majeur de cette approche : « Il convient que tous les acteurs d'un tel projet maîtrisent les techniques des bases de données relationnelles, ce qui est rarement le cas ! » A la place, dénonce l'auteur, les développeurs requièrent à des lignes et des lignes de code, ou bien se reposent sur les derniers frameworks à la mode, au risque que quelques années après, plus personne ne sache les maîtriser et donc maintenir l'application. A toutes fins utiles, en enseignant qu'il est aussi (au Cnam, à l'Isen Toulon et à Toulouse le Mirail), Frédéric Brouard donne les conseils et techniques pour déterminer où placer son code métier et quelles fonctions utiliser dans SQL. En passant, l'auteur égratigne aussi les ORM (outils de correspondance relationnel-objet), qui se sont imposés pour simplifier le dialogue entre le code applicatif objet et les SGBD relationnels. Pour lui, avec de tels outils, « le nivellement se fait par le bas », à la fois en termes de possibilités fonctionnelles et de performances. « Il est vrai, écrit-il avec une ironie féroce, qu'en SQL on ne dispose que de quelques instructions pour faire la même chose avec la performance en plus. » Au final, estime Frédéric Brouard, il faudrait améliorer la connaissance du SQL parmi la population de développeurs. Un voeu pieux ? Retrouvez la tribune de Frédéric Brouard sur le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr. (...)

(17/06/2009 17:35:14)

EnterpriseDB fait évoluer son SGBD compatible Oracle et change de direction

EnterpriseDB, connu pour proposer un SGBD compatible Oracle à moindre prix, annonce les versions 8.3 de Postgres Plus et de Postgres Plus Advanced Server. Cette évolution apporte en particulier la possibilité d'installer en mémoire tout ou partie d'une base qui sert essentiellement à la consultation. Infinite cache, qui ne nécessite aucune modification de code, apporte, bien sûr, un net gain de performance. Postgres s'améliore aussi sur son principal élément différenciateur : la compatibilité avec le SGBD d'Oracle. Il reçoit également des outils supplémentaires pour faciliter les migrations. Quelques jours avant l'annonce de cette version 8.3, Alfresco et EnterpriseDB signaient un partenariat aux termes duquel Alfresco Enterprise, l'outil de gestion de contenu du premier, et le SGBD du second bénéficieront désormais d'un support technique commun. Enfin, la version 8.3 de Postgres arrive dans un EnterpriseDB qui vient de changer de direction. Après avoir passé les six dernières années chez Red Hat à différents postes de haut niveau dans la vente et le marketing, Ed Boyajian, a été nommé président et directeur général. Il succède à Andy Astor qui se concentre sur le "business development". Cette nomination intervient moins de trois mois après qu'un groupe d'investisseurs, au rang desquels figure IBM, a injecté 10 M$ dans la société. Sur ces entrefaites, celui-ci avait annoncé que la version 9.7 de son SGBD DB2 intégrait désormais Postgres... (...)

(17/06/2009 12:02:09)

Salesforce.com propose un accès gratuit à sa plateforme de développement en ligne

L'éditeur de logiciels de CRM Salesforce.com espère attirer davantage de développeurs et d'éditeurs vers Force.com, sa plateforme de développement d'applications en ligne, en proposant un accès gratuit. Gratuit, certes, mais limité. Ainsi, Force.com Free Edition donne la possibilité de développer une seule application, à déployer sur un maximum de cent utilisateurs. L'offre inclut toutefois une formation en ligne, des exemples d'applications et un environnement de test. L'accès payant, lui, démarre à 50 dollars par utilisateur et par mois. Selon Salesforce.com, 110 000 applications personnalisées auraient déjà été développées sur la plateforme Force.com. L'un des arguments avancés par l'éditeur en faveur de son environnement est qu'il permettrait aux entreprises de concevoir des applications plus rapidement que les outils traditionnels. Il avance un récent rapport de Nucleus Research qui s'est penché sur 17 projets Force.com. En moyenne, les développeurs interrogés auraient pu créer les applications 4,9 plus vite que dans un environnement Java ou .Net, grâce, explique Nucleus, à la possibilité de configurer rapidement les interfaces utilisateurs, aux composants préconstruits et aux workflows personnalisables. Sans oublier que les applications Force.com sont déployées dans l'environnement de production de Salesforce.com, ce qui évite aux développeurs d'avoir à se préoccuper de choisir la base de données et le serveur d'application et leur permet de passer plus de temps sur le test de l'application. China Martens, analyste au cabinet d'études 451 Group, reconnaît que Salesforce.com aimerait effectivement bien être positionnée comme un choix possible face à Java et .Net. (...)

(12/06/2009 12:32:31)

Google propose la fusion et la visualisation de tables de données en ligne

Google Fusion Tables est accessible à tous en bêta. Ce nouveau service du moteur de recherche donne la possibilité d'exporter dans le 'cloud' des tables de données, de les éditer de façon collaborative, éventuellement de les fusionner, pour enfin les publier en ligne - pour tous ou juste pour des personnes sélectionnées. Ce service de visualisation de données reprend donc les grands principes de Google Docs, avec quelques particularités toutefois. Il est ainsi possible de fusionner des tables, en réalisant des jointures entre colonnes identiques, et de choisir quelles colonnes seront affichées dans les vues qu'on crée. Les vues peuvent ensuite être affichées de façon graphique (sous forme de carte, d'histogrammes, d'échelle de temps...). Google fournit ainsi quelques tables de façon à tester les fonctions offertes. Nous avons de notre côté testé le service avec deux tables rapidement créées dans OpenOffice, contenant les noms des présidents de la Ve République, l'une comportant les lieux de naissance, l'autre les dates. L'import des fichiers XLS s'est fait sans anicroche, et la fusion également. Un clic a ensuite permis d'afficher les lieux de naissance sur une carte Google Maps, avec les noms et dates de naissance en infobulle. Un bug à signaler toutefois : bien que la colonne de dates de naissance ait bien été identifiée par Google comme un type de données 'date', nous n'avons pas pu utiliser la visualisation échelle de temps. (...)

(08/06/2009 18:05:31)

Le nouveau PDG de Progress oriente sa stratégie de vente vers les "solutions"

Fini la stratégie multimarque, "best of breed", de Progress Software. Avec le nouveau PDG de l'éditeur vient une nouvelle stratégie, orientée solutions. Alors que jusqu'à présent, Progress se distinguait des autres acteurs du marché en proposant des briques technologiques plutôt que des plateformes complètes d'infrastructures SOA, l'éditeur américain dit vouloir désormais vendre des solutions. Au besoin en renforçant son département service, qui pourra formuler des propositions incluant un ou plusieurs produits de l'éditeur. Bien évidemment, cette stratégie passe par la mise en place de départements ventes et marketing unifiés pour tout le catalogue Progress, alors qu'ils étaient organisés par produit. C'est ce qu'explique Rick Reidy, nommé fin mars lors de l'annonce de la démission du PDG-fondateur Joseph Alsop, dans un entretien exclusif pour la France avec LeMondeInformatique.fr. Certaines marques pourraient disparaître dans le processus, Progress entendant désormais communiquer sur son nom, pour accroître sa notoriété. Une campagne de publicité en ce sens devrait d'ailleurs démarrer d'ici à cet automne. Toutefois, les marques les plus connues, comme Sonic ou Datadirect, devraient rester pour chapeauter les différentes divisions. Une chose ne changera pas : Progress Software continuera de procéder à des acquisitions, tant pour fortifier le portefeuille technologique que pour accroître la base de revenus (516 M$ en 2008). Rick Reidy, qui a plus de 20 ans de maison, a bien l'intention de faire passer à Progress le cap du milliard de dollars d'ici 5 ans. (...)

(19/05/2009 14:46:51)

L'inventeur de MySQL propose un clone du SGBD Open Source

Et si MySQL vivait de nouveau de ses propres ailes... sous un autre nom ? C'est en quelque sorte l'ambition de Michael Widenius, alias Monty, le développeur originel de la base de données Open Source et fondateur de MySQL AB. Monty Widenius promeut aujourd'hui MariaDB, un clone de MySQL, ou plutôt « la même base, avec plus de fonctions et moins de bugs », nous a-t-il confié. La prise en main de la société par Sun, après un rachat pour un milliard de dollars en janvier 2008, avait été pour les fondateurs et dirigeants de MySQL quelque chose de difficile à supporter. Tour à tour, Michael Widenius, David Axmark et Marten Mickos ont quitté Sun, dénonçant à mots plus ou moins couverts une approche trop bureaucratique et le peu d'intérêt porté à la communauté Open Source. Quel intérêt pour Oracle de soutenir l'activité de MySQL ? Le rachat en cours de Sun par Oracle n'est pas fait pour arranger les choses, Oracle étant plutôt connu pour laisser végéter les technologies de base de données Open Source qu'il a eues entre les mains. Et puis quel intérêt aurait Oracle à développer le marché d'une base qui a démontré, cas clients à l'appui, que des dépenses inutiles en licences Oracle pouvaient aisément être évitées ? Avec MariaDB, Michael Widenius aimerait remettre sur les rails l'idée qu'il a eue avec David Axmark au moment de la création de MySQL : une petite structure s'occupant de l'animation de la communauté des développeurs Open Source, et un réseau de partenaires apportant des technologies liées et des services. La différence majeure entre MariaDB et MySQL, indique-t-il, est tout simplement le fait que le premier est livré avec le moteur de stockage Maria par défaut. Une branche - et non un « fork » - de MySQL [[page]] En effet, le système de gestion de de base de données (SGBD) MySQL peut fonctionner avec plusieurs moteurs. On se souvient par exemple que fin 2005 Oracle avait racheté Innobase, éditeur d'InnoDB, le moteur transactionnel préféré des utilisateurs de MySQL. Au travers de sa nouvelle société Monty Program AB, Michael Widenius s'est donc associé avec Percona, qui édite XtraDB, un clone d'InnoDB, au sein de l'Open Database Alliance. Au final donc, Monty Widenius a recréé un MySQL - mais ne l'appelle pas ainsi car c'est Sun qui détient ce droit. En tout cas, insiste-t-il, il ne s'agit pas d'un « fork » (ce qui arrive quand deux groupes de programmeurs partent de la même base de code pour créer deux projets concurrents). « Un fork signifie que vous abandonnez le projet original, dit-il. C'est pourquoi j'appelle cela une branche : vous retrouvez tout MySQL. » Une collaboration plutôt qu'une compétition L'ambition du fondateur de MySQL n'est pas de reprendre tous les clients. « Il y a de très grands clients, note Michael Widenius, qui continueront d'être très bien servis par Sun. En revanche, nous serons là pour écouter et prendre en compte les besoins de tel ou tel client, et cela Sun ne sait pas le faire. De même, nous avons, nous, le savoir-faire pour animer une communauté Open Source. » Au final, dit-il, « le mieux serait de parvenir à une collaboration avec Sun/Oracle. J'en ai parlé avec Sun, puis avec Oracle, mais tant que la transaction n'est pas finalisée, ils ne peuvent pas se prononcer. » (...)

(15/05/2009 16:54:18)

Sapphire : Hasso Plattner prône le stockage vertical et en mémoire

L'information au bout des doigts. SAP, comme les autres, l'avait promis. Au final, les doigts doivent patienter des minutes voire des heures pour obtenir l'information. Hasso Plattner, cofondateur de SAP et président du conseil d'administration, l'a reconnu lors de son intervention à la conférence Sapphire de l'éditeur allemand à Orlando, le 13 mai dernier. Mais il a fait une promesse : si les bonnes technologies sont adoptées d'ici 18 à 24 mois, le patron d'une entreprise de la taille de SAP devrait pouvoir accéder à n'importe quelle donnée du progiciel en moins d'une seconde. Trois piliers technologiques sont nécessaires pour parvenir à ce résultat, selon Hasso Plattner : le multicoeur (et des applications parallélisées), des bases de données en mémoire et du stockage en colonne. Le docteur Plattner a fait précéder son intervention d'une série d'affirmations interpellant l'auditoire (voir en encadré ci-dessous). Son but était de pointer le fait que la puissance de calcul continue d'augmenter, mais que cette puissance est gâchée, du fait de solutions de stockage totalement inadaptées. Le stockage en colonnes, ignoré par tous - « y compris par SAP » Comme Hasso Plattner ne peut guère intervenir sur les supports de stockage, il a fait part d'une expérience menée avec des étudiants d'une faculté scientifique allemande sur la façon de ranger les données en base et d'y accéder. Hasso Plattner a ainsi découvert une technologie « qui existe depuis 15 ans, mais que les éditeurs comme SAP ont ignorée jusque là », le stockage en colonne (ou stockage vertical). Cette technique, mise en oeuvre par quelques bases spécialisées comme Sybase IQ ou Vertica, consiste à accéder aux données par colonnes et non par lignes. Selon les experts du domaine, cette méthode accélère grandement les accès lorsqu'il s'agit de lire les données. C'est pourquoi Sybase l'a implémentée, par exemple, dans sa base destinée aux solutions décisionnelles, ou pourquoi Google s'en est inspiré pour concevoir sa base BigTable qui stocke les éléments de ses pages Web. Vu le taux de compression du stockage vertical, tout peut tenir en mémoire [[page]] En outre, a indiqué Hasso Plattner, le stockage vertical affiche « des taux de compression 10 fois supérieurs à ceux du stockage traditionnel ». Sachant qu'une carte-mère actuelle peut accueillir jusqu'à 144 Go de RAM, « et que cela devrait monter à un demi-téraoctet dans 18 mois », cela ouvre des perspectives intéressantes pour monter toute une base de données en mémoire vive. En revanche, le stockage vertical donne des résultats bien moins bons lorsqu'il s'agit de mettre les données à jour, c'est pourquoi - malgré les rodomontades du fondateur de Vertica, Michael Stonebraker - il n'est pas utilisé pour les applications transactionnelles. Dès lors, les données de production doivent passer par le filtre de l'ETL pour alimenter un entrepôt de données qui servira de support à des applications analytiques ; autant dire, a expliqué Hasso Plattner, que l'information date un peu quand on la présente sous une forme lisible au dirigeant de l'entreprise. Un accès dans la seconde à toute donnée dans 250 millions d'enregistrements Avec son équipe universitaire, Hasso Plattner a décidé de passer outre les traditionnelles objections. « Nous avons étudié les solutions dont on disait qu'elles ne marcheraient jamais. » Au final, ils ont abouti à un prototype dont la démonstration sur scène était plutôt bluffante : une interface Excel 2007 couplée au système de recherches de données T-REX, de SAP, et à une variante - développée pour l'occasion - du langage de requête SQL, permettait d'accéder dans la seconde à des données de production (une base empruntée à un gros client, totalisant 250 millions d'enregistrements). Pour parvenir à ce résultat, Hasso Plattner est parti du principe que les bases transactionnelles avaient rarement besoin de mettre des données à jour : « dans 15% des cas pour les applications de prise de commande, dans 5 à 10% des cas pour les applications financières ». Du coup, la chose peut être réglée grâce à des insertions, ce qui permet de ne jamais verrouiller la base. Parmi les autres avantages, le stockage vertical élimine la nécessité de réaliser des agrégats (sous-ensembles présélectionnés de la base), et élimine aussi la redondance des informations : reprenant des champs couramment dupliqués, Hasso Plattner a expliqué qu'il y a un nombre limité de pays, de devises... ou de sexes. Au final, la base s'en trouve réduite d'un facteur 20. Arguant bien du fait qu'il n'est pas un dirigeant exécutif de SAP, Hasso Plattner s'est refusé à prendre tout engagement sur la transformation de ce prototype en produit. Il espère bien néanmoins pouvoir revenir sur scène dans un an avec un projet mené cette fois par la R&D de SAP. (...)

(15/05/2009 14:57:16)

L'Open Database Alliance veut fédérer les énergies autour de MySQL

A l'initiative de Monty Widenius, l'un des fondateurs de MySQL, l'Open Database Alliance (ODA) vient de voir le jour. Alors que MySQL se retrouve dans giron d'Oracle à l'occasion du rachat de Sun Microsystems, cette association à l'ambition de devenir un lieu d'échange pour tous les acteurs gravitant dans l'écosystème de la base données en Open Source. ODA veut ainsi faciliter la coordination des développements et des évolutions autour de ce SGBD. A l'initiative de la création d'ODA, on trouve deux sociétés. D'une part, Monty Program ab, spécialiste de l'ingénierie sur MySQL, qui développe MariaDB, une variante libre de MySQL. D'autre part, Percona, société fondée par Monty Widenius qui propose des prestations de service et de support sur MySQL. (...)

(11/05/2009 18:28:40)

Virtualisation : Oracle fait grincer des dents chez VMWare

Le refus d'Oracle de supporter officiellement d'autres hyperviseurs que le sien fait grincer des dents. Chez EMC, la maison mère de VMware, deux vice-présidents ont pris la plume sur leur blog pour appeler les utilisateurs à une fronde contre la politique d'Oracle. L'éditeur, qui rechigne à accorder son support sur ses logiciels installés en VM, pratique aussi une politique de prix très dissuasive. Même si la VM Oracle n'utilise qu'une partie des processeurs physiques disponibles, Oracle facture l'ensemble de la configuration. Par exemple, même si une VM Oracle n'utilise que deux processeurs sur les huit présents, le prix à payer sera celui pour utiliser les huit. Il est ainsi très difficile de faire usage de VMware VMotion (déplacement des VM) sans enfreindre les licences accordées par Oracle. En mars dernier, les analystes du Gartner ont pondu une note sur le sujet. Ils préviennent que si les utilisateurs ne respectent pas scrupuleusement les règles édictées par Oracle, ils s'exposent à des surcoûts conséquents. Ils expliquent que l'attitude d'Oracle exige d'y regarder à deux fois avant de se lancer dans une opération de virtualisation et d'envisager des solutions alternatives comme le portage sur un autre serveur ou la mise en place de configurations parallélisées. Oracle a aussi choisi de proposer son propre hyperviseur, Oracle VM, en choisissant le code open source Xen. En mars dernier, il a renforcé son hyperviseur avec Oracle Enterprise Manager 10g Release 5 (10gR5), une suite de gestion des VM. Le projet de rachat de Sun par Oracle et la déclaration de Larry Ellison d'avoir une offre globale qui s'étend de "la base de données au disque" montre que l'éditeur n'est pas près de changer d'attitude. Dans la corbeille de Sun, Oracle va récupérer l'ensemble xVM qui se compose d'un hyperviseur, d'un outil d'administration (Ops Center), d'un gestionnaire de connexion (VDI) et d'un outil de virtualisation des postes de travail (VirtualBox).

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