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SGBD

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(12/10/2007 16:47:56)
Oracle/BEA : Gartner décrit un acte préventif
Pour Massimo Pezzini, analyste vice-président de Gartner, la proposition d'achat d'Oracle faite à BEA relève plus de la stratégie commerciale que de l'intérêt technologique. « Je crois, nous a-t-il expliqué, qu'Oracle veut prévenir un éventuel rachat de BEA par quelqu'un d'autre (HP ? Fujitsu ?) qui deviendrait alors un remarquable concurrent. » Car BEA propose peu ou prou la même offre middleware, et présente même quelques avantages par rapport au portfolio d'Oracle. Ainsi, dit-il, « WebLogic est nettement supérieur au serveur d'applications d'Oracle, il est déjà conforme JEE 5, a une base installée bien plus conséquente et bénéficie d'un large support de la part des éditeurs de logiciels. D'autres produits resteraient parce qu'ils sont meilleurs ou n'ont pas vraiment d'équivalent, comme la machine virtuelle Jrockit, probablement l'offre de BPM et celle de gestion des métadonnées (issue de Flashline). » Dans le même temps, Oracle réaliserait une belle opération en termes de revenus récurrents : « Oracle se paie ainsi un chiffre d'affaires régulier lié à la maintenance, et une base installée importante, tant d'un point de vue géographique que sectoriel : BEA a de gros clients dans les télécoms, la finance, le secteur public... » La nouvelle, conclut-il, n'est pas très bonne pour les clients, qui devront s'attendre, si la transaction a lieu, à « une rationalisation massive » et une intégration des lignes de produits qui pourrait prendre « des mois, peut-être des années ». Ceux qui devraient en profiter sont les acteurs plus petits du secteur. Pour Massimo Pezzini, ces acteurs ont une carte à jouer, du fait de la dépendance accrue des clients à quelques gros fournisseurs. « Des acteurs comme JBoss, Tibco, Software AG ou Progress devraient en profiter », pense l'analyste de Gartner. (...)
(10/10/2007 15:20:40)Devenu indépendant, Teradata fait alliance avec SAS
L'américain Teradata, spécialiste des technologies d'entrepôt de données (datawarehouse), est depuis le 1er octobre dernier une société indépendante cotée à la Bourse de New-York (sous le nom de TDC). Dans la foulée, l'éditeur annonce une alliance stratégique avec SAS, éditeur d'une plateforme d'analyse décisionnelle, à l'occasion de sa conférence utilisateurs Teradata Times qui se tient en ce moment à Las Vegas (07-11 octobre). Teradata, également fournisseur de solutions analytiques capables d'explorer d'importants volumes de données (offre bien implantée dans les secteurs de la banque et de la grande distribution, notamment), était jusqu'à présent une filiale de NCR, dont l'activité historique est la fabrication de caisses enregistreuses et de distributeurs de billets. La scission avec la maison mère était planifiée depuis plusieurs mois. En janvier dernier, Teradata avait rappelé que son modèle économique et celui de NCR étaient très différents et viables séparément. Il estimait alors qu'il s'était suffisamment imposé sur le marché du datawarehouse pour faire cavalier seul. Les dés sont jetés. « Nous contrôlons maintenant notre destinée et nos investissements », vient de déclarer son PDG, Mike Koehler, sur Teradata Times. Teradata et SAS, face à Oracle, SAP/BO, IBM et HP Le partenariat avec SAS va permettre d'exploiter les solutions analytiques de ce dernier directement avec le moteur de base de données de Teradata, donc sans avoir à faire migrer les informations du datawarehouse dans un environnement SAS. L'alliance porte aussi sur une coopération entre les deux éditeurs pour l'optimisation de leurs technologies respectives, sur la mise au point de solutions conjointes, ainsi que sur des démarches marketing et commerciales conjuguées. Cette association ne peut qu'être profitable aux deux acteurs, qui doivent faire face à la fois à la concurrence d'Oracle/Hyperion et, désormais, de SAP/Business Objects, mais aussi à celle d'IBM et de HP, également présents sur le marché des datawarehouses. Pour Joël Martin, vice-président d'IDC Canada, cet accord permet aussi à SAS d'accéder aux solutions de MDM (master data management, gestion des données de référence) de Teradata. (...)
(10/10/2007 11:03:58)IBM offre un lifting à IMS à l'approche de ses 40 ans
Créée pour le programme lunaire de la Nasa en 1968, la base de données transactionnelle IMS d'IBM vient de s'offrir un petit lifting avec le lancement de la version 10. Celle-ci ouvre la base de données aux architectures plus modernes en y intégrant des composantes telles que xQuery, Enhanced XML et le support de services Web. Malgré la concurrence d'autres bases de données plus récentes, IBM continue à choyer cette vieille dame tournant dans le back office de 95% des très grandes entreprises (du Fortune 1000) et dans 80% des plus grandes banques européennes, japonaises et américaines. Ne tournant que sur des serveurs mainframes zSeries, la base IMS est disponible à la location à partir de 9000 dollars par mois. La version 9 datait d'octobre 2004. (...)
(08/10/2007 15:10:22)Sur Windows, Oracle est enlacé aux produits Microsoft
Quand le SGBD le plus important au monde a rendez-vous avec le système d'exploitation le plus répandu : le cabinet Ovum s'est penché sur les utilisateurs d'Oracle tournant au dessus de Windows Server. Le cabinet, soutenu financièrement par Oracle pour l'occasion, souligne la qualité de l'intégration du SGBD Oracle dans l'environnement Microsoft, dont le premier portage sur Windows NT remonte à 1994. La mise au point n'est pas inutile au moment où Oracle fournit un effort tout particulier en environnement Linux. Là, il propose désormais sa propre distribution, copie conforme de celle de Red Hat dont l'association avec MySQL et l'intégration de JBoss lui déplait de toute évidence. Même si Oracle se refuse à détailler son parc installé par système d'exploitation, le fait que Microsoft SQL Server soit devenu en quelques années un concurrent direct justifie à lui seul l'intérêt que la société de Larry Ellison porte à venir affronter Microsoft sur son propre terrain, l'environnement Windows. Y choisir Oracle plutôt que SQL Server n'aurait aucune conséquence sur la cohésion de l'ensemble du système d'information et apporte, bien sûr, de meilleures performances. Et Ovum d'étayer son message en passant en revue la (trop ?) discrète collaboration d'Oracle avec Microsoft. Sont ainsi montrés en exemple l'utilisation d'Active Directory par Oracle pour gérer l'accès à son SGBD, le travail conjoint des deux éditeurs sur les services Web XML et le support d'Office comme outils de consultation d'Oracle. Sur ce dernier point, Ovum n'ose tout de même pas se lancer dans une comparaison avec Duet, intégration d'Office à SAP avec la bénédiction ostensible de Microsoft. Oracle n'est pas en reste non plus côté outils de développement avec des outils pour Visual Studio qui permettent d'exploiter pleinement .NET. Pour finir, l'étude souligne que Fusion, le middleware d'Oracle (en cours de développement), viendra encore parfaire cette cohabitation. De plus, Enterprise Manager, le framework d'administration d'Oracle, permet d'administrer des produits Microsoft. (...)
(04/10/2007 14:33:37)Ingres rachète Luminary Solutions et MIS
Issu du partenariat entre CA et Garnett & Helfrich Capital, Ingres Corporation étend ses activités dans les services informatiques. L'éditeur de bases de données et de solutions Open Source vient en effet de se porter acquéreur du britannique Luminary Solutions et de l'Australien MIS, deux sociétés spécialisées dans le développement d'applications critiques. Implantées au Royaume-Uni, en Irlande, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ces deux acquisitions apportent à Ingres Corporation quelques belles références dont notamment le trésor public irlandais et le ministère australien de l'éducation. (...)
(02/10/2007 15:29:01)IBM propose la gestion de fichiers haute performance pour tous
Dans la version 3.2 de son GPFS (General Parallel File System), IBM ajoute des techniques de gestion des fichiers haute performance pour étendre la base de marché des supercalculateurs. Pour démontrer la puissance de cette nouvelle version, IBM a passé plus d'un milliard de fichiers en revue en un peu plus de deux heures et demi. Ce test vise surtout à convaincre les institutions financières et la grande distribution, qui manipulent de grosses quantités de données peu structurées. Un marché qui fait l'objet de nombreuses convoitises et dans lequel Sun a marqué récemment des points en rachetant CFS, connu pour Lustre, un gestionnaire de fichier Open Source dédié aux supercalculateurs. En outre, le GPFS est capable de retrouver des fichiers sur près de 1000 noeuds en parallèle, d'indiquer suivant le type de fichier le support de stockage à utiliser, et même de déplacer les fichiers non utilisés depuis 30 jours vers des supports plus économiques. Tournant sur serveurs System p et System x, il est supporté par AIX et certaines version de Red Hat et de Suse Linux. (...)
(25/09/2007 17:40:15)+20% pour les formations en logiciels libres en 2007
La formation est un bon indicateur de l'adoption d'une technologie par les entreprises. D'après la seconde édition de l'Observatoire des logiciels libres créé par deux spécialistes de la formation, Anaska et ib-groupe Cegos, le nombre de personnes formées aux logiciels libres a progressé de 20% entre 2006 et 2007. Preuve que les environnements ouverts séduisent toujours plus. Le succès de la plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP), notamment, ne se dément pas. Par ailleurs, le catalogue de formations s'enrichit désormais de sessions dédiées à un public moins technique : c'est le cas des outils de gestion de la relation client (comme SugarCRM,) et de solutions de reporting/décisionnel (comme JasperSoft et l'ETL de Talend). L'Observatoire note un engouement indéniable pour des formations autour du langage de développement Ajax et des outils du Web 2.0. Il montre aussi que si les sessions PHP portaient à l'origine sur le langage en lui-même, les entreprises cherchant désormais à se former aux techniques et architectures avancées. Elles sont demandeuses de cursus sur des frameworks comme Symfony et le Zend Framework, qui s'imposent peu à peu. Les formations aux outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent également un certain succès. Parmi les leaders, des solutions comme JasperSoft et Talend. Anaska et ib-groupe Cegos indiquent aussi que le nombre de personnes formées aux bases de données Open Source comme MySQL a progressé de 40% cette année, et que les entreprises s'intéressent à des contenus toujours plus pointus. Enfin, ils notent que le nombre de formations autour de Linux reste stable, les universités et les écoles d'ingénieurs proposant toujours plus de formations initiales. Et que les entreprises forment de plus en plus en interne sur la suite bureautique OpenOffice.org, dont les téléchargements ont progressé de 46% entre 2006 et 2007. (...)
(25/09/2007 17:25:58)Des serveurs Dell pré-configurés avec SQL Server 2005
Dell va livrer des serveurs pré-configurés pour la base de données SQL Server de Microsoft. Les deux fournisseurs prétendent ainsi damer le pion aux offreurs de solutions décisionnelles packagées (les fameuses « appliances BI »), tant au niveau du prix que des performances et de la facilité d'installation. Cette annonce a été faite par Dell lors de la conférence annuelle des utilisateurs de SQL Server, jeudi dernier, à Denver. Le constructeur texan avait été précédé sur cette voie par HP qui a, lui aussi, lancé une offre d'entrepôt de données bâtie sur MS SQL Server, en mai, à l'occasion de la Business Intelligence Conference (organisée par Microsoft sur son campus de Redmond). Dell propose trois configurations gérant respectivement 1 To, 2 To ou 4 To de données sur un système PowerVault MD1000. Chacune d'elles comprend un serveur PowerEdge sous Windows Server 2003 équipé d'une base SQL Server 2005. Leur prix s'établit à environ 100 000 $ par To de stockage. Il est prévu que PerformancePoint Server 2007, la toute nouvelle offre décisionnelle de Microsoft (couvrant la gestion de la performance économique) vienne bientôt compléter la configuration, en option. Selon le « Olap Report », régulièrement mis à jour par le Business Application Research Center, Microsoft serait numéro un sur le marché des outils d'analyse multidimensionnelle Olap (online analytical processing). Un marché évalué à 5,7 Md$. Prêchant pour sa paroisse, Tom Casey, responsable de l'activité SQL Server chez Microsoft, estime que les packages qu'il propose avec Dell sont moins chers et moins propriétaires que les appliances BI de ses concurrents, ce qui les rend plus faciles à gérer et à intégrer. « Nous n'obligeons pas les entreprises à acheter une boîte noire », renchérit Judy Chavis, directrice marketing de Dell. Pour Jim Kobielus, analyste pour Current Analysis, tout cela est un peu exagéré. Il trouve notamment que le prix n'est pas si intéressant. Certes, il est moins élevé par rapport aux offres d'Oracle et d'IBM. En revanche, Jim Kobielus rappelle que les solutions équivalentes de Netezza, Datallegro et Dataupia ne se situent qu'entre 10 000 et 20 000 $ par To. (...)
(13/09/2007 12:14:53)MySQL réunit ses utilisateurs à Paris
L'éditeur éponyme de la base de données Open Source MySQL réunira ses clients le 16 octobre à Londres, le 18 octobre à Munich et le 23 octobre à Paris. Comme toute conférence utilisateurs, ces trois journées seront l'occasion de confronter des expériences, notamment grâce aux témoignages de grands comptes, mais aussi de rencontrer des responsables de l'éditeur et d'apprendre les évolutions attendues de ses produits et services. Pour la première fois, l'éditeur organisera cette conférence utilisateurs annuelle sur trois villes afin de répondre à une demande de ses clients. Les trois réunions Grande-Bretagne : Mardi 16 octobre 2007 - Cavendish Conference Center, Londres, 9h00 - 18h00. Allemagne : Jeudi 18 octobre 2007 - Hôtel Hilton Munich City, Munich, 9h00 - 18h00. France : Mardi 23 octobre 2007 - Hôtel Sofitel Le Parc, Paris, 9h00 - 18h00. (...)
(07/09/2007 09:45:42)Un pionnier des bases de données décrète l'obsolescence des SGBDR
La plupart des bases de données relationnelles actuelles reposent encore sur un concept inventé il y a 25 ans, et ne sont plus du tout adaptées au monde actuel. Des besoins ont émergé, le prix du matériel est devenu moins important que le coût des ressources humaines, il faut donc basculer son mode de pensée de 90 degrés. Voilà, en résumé, la pensée de Michael Stonebraker, pionnier des SGBD, considéré comme le père des technologies utilisées dans Ingres, IBM Informix, Microsoft SQL Server, Sybase ASE... Michael Stonebraker livre ses réflexions dans un blog nouvellement créé, The Database Column, qui compte également parmi ses contributeurs des gens comme Don Haderle, un des pères d'IBM DB2, et Jerry Held, qui a participé à la conception de la base NonStop de Tandem. Les arguments de Michael Stonebraker sont toutefois clairement orientés, puisque sa dernière start-up, Vertica Systems, édite une base de données pratiquant le stockage en colonnes. Une technologie qui selon lui bat d'un facteur 50 les SGBDR actuels pratiquant le stockage en ligne. Et de pronostiquer la disparition « plutôt rapide » de la technologie actuelle, dans la mesure où les utilisateurs souffrent considérablement, dit-il, du manque de performances de leurs solutions. Le stockage en colonnes déjà utilisé dans le décisionnel Bizarrement, si Michael Stonebraker dénonce le « one size fits all » (taille unique) du marché actuel des SGBD, il adopte en fait la même attitude, puisqu'il préconise, y compris pour des bases transactionnelles, une technologie couramment utilisée dans le décisionnel. [[page]]En effet, bien que Vertica qualifie cette technologie de révolutionnaire, il faut noter qu'elle est déjà employée dans des bases spécialisées chez Alteri ou Sybase (pour Sybase IQ). Michael Stonebraker le reconnaît, en expliquant que seules des bases utilisant la technologie de stockage en colonnes sont capables de rivaliser avec la sienne, mais que « Vertica les devance d'un facteur de 10 environ ». Responsable avant-vente de Sybase France, François Guérin dit adhérer complètement à l'idée que la taille unique ne convient pas à tous les projets. C'est le credo qu'il défend justement lorsqu'il propose Sybase IQ à des entreprises élaborant des projets décisionnels. En revanche, pour lui, le stockage vertical n'est guère adapté aux contraintes du transactionnel. « Lorsqu'il s'agit par exemple de réaliser une opération sur une et une seule ligne, comme mettre à jour une donnée client, le stockage vertical sera beaucoup moins efficace, dit-il. De ce point de vue, il n'y a pas photo entre Sybase ASE et Sybase IQ. Le stockage vertical réduit le nombre d'accès au disque, et est donc adapté à la recherche rapide d'informations, mais il ne répond pas aussi bien à la problématique de la mise à jour. » La précédente start-up de Michael Stonebraker, Streambase, dominait le marché du traitement des événements complexes, qui fait appel à des technologies capables d'analyser d'importants flux de données et d'y appliquer des règles en temps réel. Un marché de plus en plus lorgné par les grands acteurs du middleware, tels que BEA, Oracle, Tibco, Sun... (...)
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