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Smartphones
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(23/11/2009 14:48:48)
LTU étend les possibilités de la recherche d'images en passant au mode Saas
Spécialiste de la recherche d'images, LTU Technologies souhaite sortir de son pré carré, en misant sur les nouvelles possibilités offertes par les smartphones et leurs forfaits 3G. Alexandre Winter, cofondateur de la société et actuel dirigeant, imagine la possibilité suivante : vous parcourez un magazine, prenez en photo l'image accompagnant un article, et l'application sur votre mobile la transforme en URL, vous donnant accès à la page Web désignée par le magazine. Cela rappelle grandement ce qui est fait aujourd'hui avec les QR Codes (ou Mobile Tags), ces carrés noir et blanc (adoptés par certains sites, journaux ou afficheurs), ce que ne nie pas Alexandre Winter. « Les QR Codes et les codes barres ont sensibilisé le public au fait que ça fonctionne. Mais les gens aimeraient quelque chose de plus simple, plus naturel. » Chaque image de la base est associée à une URL Pour illustrer la chose, LTU a développé une application de démonstration. « Nous avons passé en revue des sites consacrés à la peinture, aux films, aux jeux vidéo, etc. Chaque objet de notre base correspond à une URL. Il vous suffit donc de prendre la photo, et l'application envoie le lien correspondant. Personnellement, je m'en sers pour le vin, on a intégré les deux grands sites de vins aux Etats-Unis. Pour un Français installé en Californie, c'est très compliqué de choisir du vin. Donc, je prends en photo l'étiquette, et je suis automatiquement dirigé vers la page Web. » L'application sera disponible sous peu, gratuitement, pour les iPhone. Une version pour Android est en cours de développement. Pour une entreprise dont l'essentiel de l'activité se situe dans le domaine institutionnel, il s'agit d'une diversification majeure. Mise sur le marché en 1999 par des chercheurs de l'Inria (dont Chahab Nastar, parti ensuite chez Business Objects), la technologie de LTU permet de retrouver des images similaires à une image témoin. Elle a d'abord servi - et sert encore - aux forces de l'ordre, dans le cadre d'enquêtes criminelles (pour détecter des similarités dans les images pédophiles, par exemple), pour retrouver des objets volés (une activité en pleine croissance, selon Alexandre Winter), etc. Une offre hébergée à partir de 500 euros, pour viser même les petits projets Pour séduire le plus grand nombre, LTU a décidé de revenir à la façon dont elle comptait commercialiser sa technologie à ses débuts : en mode hébergé - abandonné ensuite, car « les forces de l'ordre n'en étaient pas friandes ». Baptisée LTU Engine/ON demand, cette offre Saas (Software as a service) donne tout loisir à LTU de viser aussi bien les petits éditeurs d'applications que « des grands projets où le client préfère sous-traiter cette partie ». La tarification se fera en effet en fonction de la volumétrie de la base d'images et du nombre de requêtes, avec un tarif de départ à 500 euros par mois. En cas de succès, rien n'empêchera par ailleurs de rapatrier la technologie chez soi, pour une utilisation sous licence classique. Dans tous les cas, et si on excepte l'application de démonstration, LTU entend rester un fournisseur de technologie. Le public visé est donc bien les intégrateurs et les éditeurs, y compris dans le monde Open Source. LTU Technologies a sorti un premier module Open Source pour le gestionnaire de contenus Drupal, et d'autres sont en cours de développement. A noter que LTU, filiale depuis mars 2005 du groupe japonais Jastec, intervient au sein de Quaero, le projet européen pour mettre au point le moteur de recherche du futur. (...)
(20/11/2009 16:24:29)Twitter propose aux développeurs une API de géolocalisation... et un guide de bonnes pratiques
Plus besoin de préciser d'où on poste des messages dans Twitter, les applications pourront le faire d'elles-mêmes. Le service de micro-blogging a mis officiellement à disposition des développeurs une API de géolocalisation. Cette interface de programmation donne la possibilité de 'géotaguer' les messages (leur accoler une étiquette donnant leur position). La multiplication des clients Twitter pour smartphones dotés de puces GPS (iPhone en tête, mais aussi appareils sous Android) ouvre en effet des perspectives intéressantes, souligne Twitter, comme la possibilité de restreindre une recherche à des utilisateurs de la même région, ou de savoir qui est à proximité. Twitter est toutefois conscient que le principe pourrait ne pas plaire à tout le monde, et ne veut pas être pris pour cible. « Nous ne devrions jamais entendre d'utilisateur se plaindre qu'il ne savait pas que telle application 'géotaguait' automatiquement chaque message », écrit l'éditeur dans un guide des bonnes pratiques réalisé tout exprès. Une donnée personnelle sensible Avec une grande clairvoyance, Twitter explique aux développeurs dans ce guide : « Nous sentons que la plupart des utilisateurs se diviseront très vite en deux camps, ceux qui sont intéressés par la fonction ['geotagging'] et ceux qui ne le sont pas. » (sic) Twitter encourage donc les éditeurs d'applications à bien informer leurs utilisateurs au préalable, et pour plus de sécurité, la fonction sera désactivée par défaut. Les utilisateurs devront aller sur leur compte Twitter pour l'activer. Cela laisse toutefois en suspens une autre question délicate, celle de la conservation des données : chaque éditeur d'un client Twitter pourra en effet, si la fonction est activée, réaliser un historique complet des déplacements de l'utilisateur. Chacun devra adopter une politique spécifique en ce qui concerne cette épineuse question des données personnelles, estime Twitter. (...)
(17/11/2009 16:02:28)Gemalto dévoile un téléphone mobile/titre de tranport
A l'occasion du salon Cartes et Identifications (du 17 au 19 novembre au Parc des expositions de Villepinte), Gemalto et la SNCF ont présenté un système de billettique sur téléphone portable. Reposant sur la technologie NFC (Near Fiel Communication - Onde à courte portée), cette fonction permettra prochainement d'utiliser son téléphone pour acheter ses titres de transports à distance. En se connectant au site Internet de la SNCF, les voyageurs pourront prochainement acheter des tickets, enregistrés directement sur le téléphone NFC. A tout moment, le téléphone sur eux, les passagers pourront savoir combien il leur reste de titres de transport. Pour valider leur passage aux tourniquets, le public n'aura qu'à passer son téléphone sur les bornes sans contact, comme pour n'importe quel autre pass, de type Navigo. En cas de contrôle, le téléphone portable sert de preuve. Le contrôleur vérifiera la validité du ticket grâce à son lecteur. Par la suite, la SNCF envisage d'étendre ce service de télébillettique vers d'autres fonctionnalités comme la diffusion d'informations pratiques telles que les horaires ou les itinéraires. Navigo sur les téléphones mobiles En juin dernier, le Stif, autorité organisatrice des transports en Ile-de-France, avait déjà dévoilé un projet reposant sur la mise à disposition des puces Navigo sur téléphone portable. La fonction permettra notamment d'acheter et charger un titre quel que soit l'endroit où l'on se trouve. A l'instar du Navigo aujourd'hui, les voyageurs pourront valider leur ticket uniquement grâce à leur téléphone portable, en passant ce dernier sur un lecteur dédié. La technologie NFC, utilisée là-aussi, autorisera aussi la gestion de ses titres de transport. En Ile-de-France, la validation des titres de transport pour le métro via son téléphone mobile avait déjà été testée en novembre 2006. En partenariat avec l'opérateur Bouygues Telecom et la marque Nec, la RATP avait doté une centaine de cobayes de téléphones portables embarquant une puce sans contact à passer sur les bornes Navigo pour valider leur titre de transport. Des tests à Nice avec Air France Dans le transport aérien, Air France teste depuis avril dernier la technologie à l'aéroport de Nice. Munis d'un téléphone NFC, les passagers n'ont qu'à présenter leur mobile devant une borne dédiée pour valider leur billet d'avion. La technologie NFC n'est pour l'heure expérimentée que ponctuellement en France notamment pour les paiements sans contact. Au Japon, pays le plus en avance sur la NFC, près d'un utilisateur sur deux dispose d'un téléphone mobile autorisant le paiement sans contact en magasin ou en supermarché. (...)
(13/11/2009 09:29:19)Le marché des smartphones se porte bien selon Gartner
Les smartphones ont toujours la cote. Selon les données publiées jeudi 12 novembre par le cabinet Gartner, les ventes mondiales de ces téléphones mobiles multifonctions ont augmenté de 12,8% au troisième trimestre 2009 par rapport au même trimestre l'an dernier, tandis que le marché global de la téléphonie mobile a stagné sur la même période (+0,1%). Ainsi, au total, il s'est vendu un peu plus de 41 millions de smartphones, soit une hausse de près de 13% sur un an. Les smartphones demeurent le segment qui augmente le plus sur le marché des téléphones mobiles et nous restons confiants quant à leur potentiel pour le quatrième trimestre 2009 et pour 2010", a commenté dans un communiqué Carolina Milanesi, analyste chez Gartner. Nokia passe de 42,3 à 39,3% en part de marché Le finlandais Nokia demeure le premier vendeur de smartphones dans le monde avec 16,15 millions d'unités écoulées au troisième trimestre, mais ses parts de marché sont tombées à 39,3%, contre 42,3% l'année dernière. La société canadienne Research In Motion (RIM), fabricant des célèbres BlackBerry, se place deuxième position avec 20,8% de parts (contre 15,9% au troisième trimestre 2008). Suivent Apple (17,1%), dont l'iPhone s'est mieux vendu que les BlackBerry en Europe de l'Ouest, HTC (6,5%) et Samsung (3,2%). Globalement, les ventes de téléphones portables dans le monde ont représenté près de 308,87 millions d'unités entre juillet et septembre, soit une légère hausse de 0,1% en un an. Sur les deux premiers trimestres, le marché avait respectivement chuté de 9,4 et 6%. Nokia demeure le leader du secteur, avec 113,46 millions de mobiles écoulés sur cette période. Ses parts ont toutefois diminué : 36,7% cette année, contre 38,2% l'année dernière. Suivent les fabricants sud-coréens Samsung et LG, tous deux en hausse. Le top 5 est complété par Motorola et Sony Ericsson, dont les parts ont chuté pratiquement de moitié en un an. (...)
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